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La société humaine est associée aux cultures de l'espèce humaine (homo sapiens) dans la biosphère. Reconnue dans le phylum des espèces, la socialisation humaine, avec l'habitat, est en rapport avec le grégarisme relatif naturel de l'espèce. La société humaine s'adapte, globalement, à l'environnement biophysique et humain local. Elle et sa nature culturelle participent à la diffusion des connaissances, des sciences, des techniques et de la compréhension des rôles écologiques des individus composants l'espèce. Elle s'occupe de la gestion des savoirs dans l'administration des sociétés de citoyens.
La société civile est le domaine de la vie civique et sociale humaine. Organisée, volontaire, largement autosuffisante et autonome dans l'État, la société civile est une société de droit. Une élection est un des événements principaux où la société civile se trouve mobilisée, notamment à travers l'éducation de l'électorat.
La société civile est avant tout la totalité des citoyens d'une commune, d'une région, d'un État-nation ou – maintenant, pour la France, en particulier – de l'Union européenne. Toutefois, dans la pratique, ceux-ci n'agissent pas forcément individuellement, mais souvent dans le cadre associatif. Une telle association peut être considérée représentative à condition qu'elle ait été constituée sur la base de la volonté et des propres intérêts des citoyens s'étant déclarés formellement et juridiquement ses membres.
Le volapük (/volɑˈpyk/, parfois écrit « volapuk » en français) est une langue construite créée en 1879-1880 par Johann Martin Schleyer, un prêtre catholique allemand, qui lors d'une insomnie sentit que Dieu lui commandait de créer une langue auxiliaire internationale. Des congrès de volapük eurent lieu en 1884 (Friedrichshafen), 1887 (Munich) et 1889 (Paris). Après un rapide développement (il y aurait eu un million de volapükistes en 1889), la langue perd rapidement un grand nombre de locuteurs au profit de l'espéranto. Malgré cela, le volapük survit, réformé dans les années 1920 sous l'impulsion d'Arie de Jong. Aujourd'hui, il existe quelques dizaines de volapükistes, actifs surtout sur internet.
Le volapük peut se définir comme une langue agglutinante à structure d'actance accusative. Syntaxiquement, elle fait partie du type sujet — verbe — objet, mais la présence de cas morphologiques (nominatif, accusatif, génitif et datif ; un prédicatif, peu usité, existe néanmoins) lui donne une certaine souplesse ; c'est enfin une langue centrifuge (par exemple, l'adjectif viendra immédiatement après le nom qu'il qualifie).
Au niveau de la typologie des langues construites, c'est une langue auxiliaire internationale (à l'origine tout du moins, car aujourd'hui toute prétention politique est abandonnée par les volapükistes), mixte (c'est-à-dire que sa grammaire et son vocabulaire s'inspirent des langues naturelles tout en y intégrant de forts aspects artificiels), à racines naturelles déformées (elle s'oppose donc aux langues qui intègrent des racines telles qu'elles sont dans les langues naturelles, ou presque, et à celles qui les créent ex nihilo), dérivative (d'une racine empruntée elle crée un champ lexical par dérivation) et schématique (elle s'oppose ainsi aux langues naturalistes qui sont beaucoup moins régulières).
Fiche anthropométrique d'Alphonse Bertillon.
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