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PCAS
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Création 1962
Fondateurs Félix Le Pors et Henri Barbier
Forme juridique Société anonyme
Slogan "More than Chemistry"[1]
Siège social Longjumeau (Essonne)
Drapeau de la France France
Direction Christian Moretti, président
Vincent Touraille, directeur général
Actionnaires Public : 53,04%
Eximium : 20,73%
C. Moretti/Anblan : 14,71%
Autocontrôle : 9,93%
Management : 1,59%
Activité Synthèse pharmaceutique et chimie fine de performance
Effectif 888 personnes
Site web www.pcas.com

Capitalisation 57,35 millions d'euros (2015)
Chiffre d'affaires 164,9 millions d'euros (2013)
Résultat net 3,5 millions d'euros (2013)


PCAS est un groupe chimique français indépendant, dont 53,04% du capital est détenu par le public (au 31/12/2013)[2]. Créé en 1962, il travaille pour de grands groupes internationaux et compte parmi ses clients les leaders mondiaux de la chimie et de la pharmacie. Depuis plusieurs années, le groupe développe également des produits propriétaires, qui représentent désormais 40% de son chiffre d'affaires.

Le Groupe est spécialisé dans la chimie fine pharmaceutique (65,31% du chiffre d'affaires 2013), la chimie fine de performance (17,04%), les spécialités avancées - nouvelles technologies et biotechnologies (11,12% ) - ainsi que la parfumerie, arômes et cosmétiques (6,53%).

Outre son siège de Longjumeau (Essonne), PCAS possède 9 sites industriels, dont trois à l'étranger. Largement tournée vers l'international, l'entreprise exporte environ 70% de sa production.

Le Groupe PCAS développe une politique de recherche intense et constante, avec environ 90 chercheurs et techniciens (près de 10% de ses effectifs) et 7,6% de son chiffre d'affaires consacré à la R&D.


Histoire

Les premières années[modifier | modifier le code]

PCAS est créé en 1962 par Félix Le Pors, chimiste organicien, et Henri Barbier, ingénieur des Arts et Métiers et diplômé de l'Ecole des moteurs de l'Institut français des pétroles[3]. Les deux hommes se sont rencontrés dans l'industrie du pétrole et ont noué une amitié durable. La production débute dans une ancienne usine électrique située à Couterne, dans l'Orne. L'activité progresse rapidement et l'entreprise est bénéficiaire deux ans après sa création. Elle est alors spécialisée dans les produits auxiliaires, la synthèse et les analyses de laboratoire.

En 1971 le siège social de l'entreprise s'installe à Longjumeau, à proximité d’Orly , sur le site actuel. A la fin des années 60 et durant les années 70, PCAS développe les activités de synthèse pharmaceutique, en travaillant pour de grands laboratoires pharmaceutiques comme Roussel-Uclaf ou Innothéra. Dans le même temps, l'entreprise démultiplie les produits auxiliaires : vernis, détergents, graisses, produits sulfurisés... Elle compte alors parmi ses clients l'industrie automobile (Peugeot, Simca et Chrysler) et de grands groupes mondiaux de la chimie comme Esso ou Mobil.

PCAS traverse une période difficile au début des années 70, mais la situation se redresse rapidement et l'entreprise développe de nouvelles activités, comme la photochimie ou la parfumerie, avec l'acquisition du site de Bourgoin-Jallieu (Isère).

L'absorption par les multinationales[modifier | modifier le code]

Le décès brutal de Félix Le Pors, en mai 1982, bouleverse l'histoire de PCAS. Henri Barbier, son associé, n'a pas les moyens de racheter sa part dans une entreprise qui pèse à l'époque 200 millions de francs de chiffre d'affaires (38 millions d'euros). En 1983, il est donc contraint de céder l'entreprise au groupe américain Stauffer Chemical Company (11.000 salariés), qui s'engage à ne pas la démanteler. Henri Barbier reste néanmoins aux commandes jusqu'à son départ en retraite, en 1986.

Mais commence alors une période agitée. En 1985, Stauffer est racheté par une autre compagnie américaine, Chesebrough Pond's (30.000 salariés). Celle-ci cherche à grandir pour échapper à une OPA inamicale. Mais cela ne suffit pas et, à la fin de 1986, Chesebrough Pond's est racheté à son tour par le groupe anglo-néerlandais Unilever (130.000 salariés). N'étant pas intéressé par la partie chimique - dont PCAS fait partie -, Unilever la revend quelques mois plus tard au géant britannique ICI (Imperial Chemical Industries).

Mais ICI s'intéresse uniquement à la partie sanitaire de Stauffer et cède, en 1987, la partie chimie fine - avec PCAS - au groupe néerlandais Akzo. Durant les année 80, PCAS développe de nouveaux produits pour différents les groupes auxquels il appartient successivement : désherbants, insecticides, produits pour la parfumerie et la photochimie, produits anticorrosion pour l'automobile, production d'organométalliques pour le flaconnage et la coloration du verre...

Dans le même temps, l'intégration à des grands groupes internationaux permet de développer la qualité, de renforcer l'organisation et les méthodes et d'ouvrir PCAS à l'international. Au début des années 90, PCAS emploie 370 salariés et pèse 300 millions de francs (57 millions d'euros). Le groupe souhaite désormais se développer par croissance externe, mais cette stratégie ne cadre pas avec celle du géant Akzo.

Retour à l'indépendance et développement[modifier | modifier le code]

Sollicité par le management de PCAS, un groupe financier français - Dynaction, créé et dirigé par Christian Moretti et Henri Blanchet - rachète alors l'entreprise à Akzo en 1992. S'ouvre alors une période d'expansion. PCAS entre en bourse en 1995 ce qui lui permet de lever les capitaux nécessaires à son développement. En deux ans, le chiffre d'affaires progresse de 35% et l'activité du Groupe se répartit désormais en quatre domaine : la synthèse pharmaceutique, la parfumerie, la photochimie et la chimie industrielle.

Au fil des ans, PCAS réalise plusieurs investissements et acquisitions comme l'acquisition de Saint-Jean Photochimie (au Québec), la création de Société Béarnaise de Synthèse (dans les Pyrénées-Atlantiques) ou l’acquisition des sites de Limay (Essonne), Aramon (Gard) ou Turku (Finlande). En mai 2004, elle rachète à Aventis la société VLG.

A partir des années 2000, PCAS s'adapte à l'externalisation d'une partie de leur R&D[4] par les grandes sociétés pharmaceutiques et s'impose comme un partenaire des sociétés biotechs émergentes. Quelques années plus tard, le Groupe crée la Joint Venture PCAS Nanosyn à Santa Rosa (Californie) et rachète la société Protéus, spécialisée dans la biocatalyse et le développement de biotechnologies innovantes[5]. En décembre 2012, alors qu'elle fête son cinquantième anniversaire[6], PCAS compte près de 900 collaborateurs et neuf sites de production.

Organisation[modifier | modifier le code]

Capital[modifier | modifier le code]

PCAS est une société par action de droit français. En 2013, dans un souci de plus grande lisibilité financière et de liquidité du titre, PCAS a fusionné avec Dynaction, sa maison-mère, qui l'avait acquise en 1992[7]. PCAS est côtée sur la place de Paris (NYSE Euronext Paris, compartiment C). Elle est incluse dans l'indice CAC All Shares et l'indice CAC Mid&Smal 190.

Au 31 décembre 2013, le capital de la société est de 15.112.225 euros. A cette date, il est détenu à 53,04% par le public. Le reste du capital se répartit entre le Groupe Eximium (20,73%), Christian Moretti/Anblan (14,71%), l'autocontrôle (9,93%) et le management de l'entreprise (1,59%).

Au 31 décembre 2014, le cours de l'action s'élevait à 3,74 euros, en baisse de 4,5% sur le cours d'ouverture au 1er janvier, ce qui valorisait l'entreprise à 56,5 millions d'euros[8].

Sites de production[modifier | modifier le code]

Depuis 1971, le siège de PCAS est situé à Longjumeau, dans l'Essonne (France). Le site abrite également certaines activités de recherche. La production et la R&D sont réparties sur neuf sites industriels : six en France et trois à l'étranger (Canada / Québec, Etats-Unis et Finlande) :

  • Un site est dédié aux biotechnologies : Protéus (Nîmes, Gard, France).
  • Trois sites - tous ISO certifiés - se consacrent à la chimie de spécialités : Bourgoin-Jallieu (Isère, France), Couterne (Orne, France) et Saint-Jean-sur-Richelieu (Québec, Canada).
  • Cinq sites - tous certifiés cGMP[9] - sont dédiés à la chimie fine pharmaceutique : Aramon (Gard, France), Limay (Yvelines, France), Santa Rosa (Californie, Etats-Unis), Turku (Finlande) et Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine, France).

Le Groupe PCAS dispose aussi de filiales commerciales à Francfort (Allemagne), New York (Etats-Unis) et Shanghai (Chine).

Filiales[modifier | modifier le code]

Le Groupe PCAS est ainsi juridiquement constitué de PCAS SA (Sites de Limay, Couterne, Bourgoin Jallieu et Longjumeau) et de différentes filiales, avec des participations allant de 50% à 100%[10]. Les principales filiales sont :

  • Protéus (Nîmes, Gard, France, 100%) : société de biotechnologie qui découvre, met au point, optimise et produit de nouvelles protéines recombinantes et développe des procédés innovants pour des applications en bio-industries pour PCAS ou pour le compte de tiers.
  • Enersens (Bourgoin Jallieu, Isère, France, 75%) : production de matériaux supers isolants, à partir d'une technologie innovante pour la production de plusieurs matériaux composites à base d’aérogel de silice.
  • Expansia (Aramon, Nîmes Gard, France, 100%) : fabrication de principes actifs pharmaceutiques et mise en œuvre de technologies organométalliques à basse température.
  • VLG Chem (Villeneuve-la-Garenne, Hauts-de-Seine, France, 100%) : fabrication de principes actifs destinés à la pharmacie.
  • PCAS Nanosyn LLC (Santa Rosa, Californie, Etats-Unis,50%) : filiale commune de PCAS et de Nanosyn, porte d’entrée dans l’outil industriel global du Groupe pour les sociétés californiennes de biotechnologie.
  • Saint-Jean Photochimie Inc. (Saint-Jean Richelieu, Québec, Canada, 100%) : production de polymères et molécules photosensibles en environnement ultra-propre pour l’industrie de la microélectronique.
  • PCAS Finland Oy (Turku, Finlande, 100%) : production de principes actifs injectables pour la pharmacie.


Effectifs[modifier | modifier le code]

Au 31 décembre 2013, le Groupe PCAS compte 888 salariés[11] répartis sur ses différents sites de production : 221 cadres (25%), 365 techniciens et agents de maîtrise (41%) et 302 ouvriers et employés (34%). En 2013, le Groupe a recruté une centaine de collaborateurs.

Par type de contrats, les effectifs se répartissent en 860 CDI[12] (97%), 22 CDD[13] (2%) et 6 contrats en alternance (1%). L'entreprise compte 27% de femmes et 73% d'hommes.

Avec environ 90 chercheurs et techniciens de laboratoire, 10% des effectifs du Groupe sont affectés aux activités de R&D.

Gouvernance[modifier | modifier le code]

PCAS est une société anonyme de droit français à conseil d'administration. Ce dernier se compose de sept membres, élus pour six ans par l'assemblée générale des actionnaires. Le conseil s'est réuni à six reprises durant l'année 2013[14].

Le président du conseil d'administrateur est Christian Moretti (HEC et MBA Columbia Business School), co-fondateur de Dynaction (voir chapitre "Histoire" ci-dessus). Le directeur général est Vincent Touraille (ENSCP et Essec).

PCAS dispose également d'un comité exécutif de six personnes se réunissant chaque semaine et d'un comité de direction, réunissant une vingtaine de cadres dirigeants.

En 2013, PCAS s'est également doté d'un conseil scientifique, réunissant notamment deux personnalités extérieures de haut niveau :

- Jacqueline Lecourtier, directrice de l'Agence nationale de la recherche (ANR) de 2006 à 2012,

- Janine Cossy, Professeur à l’école supérieure de Physique et Chimie Industrielle,

- Géraldine Masson, Chargée de Recherches au C.N.R.S.à Gif /s Yvette,

- Pierre Monsan, Professeur de Biotechnologies à l’INSA de Toulouse et directeur de « Toulouse White Biotechnologt » : T.W.B.

- Sylvain Rault, Professeur émérite de Pharmacie à Caen, responsable de la Chimiothèque nationale.


Activité[modifier | modifier le code]

Production[modifier | modifier le code]

PCAS travaille à la fois comme fournisseur pour de grands groupes mondiaux de la pharmacie et de la chimie et comme fabricant de produits propriétaires[15]. Son activité se répartit en trois marchés principaux :

Le Groupe PCAS est ainsi présent sur des secteurs porteurs comme la santé et le bien-être, la biochimie, le "cleantech" et la chimie durable...

Chimie fine pharmaceutique[modifier | modifier le code]

Pour les marchés de la pharmacie, PCAS crée, développe et produit des principes actifs, des intermédiaires de synthèse et des "Building Blocks". Ses clients sont des entreprises du "Big Pharma" (grands groupes pharmaceutiques français et étrangers), des génériqueurs, mais également des start-up bio-pharmaceutiques européennes et américaines. Cette production concerne des principes actifs exclusifs et sous brevets, mais aussi des principes actifs génériques et des biomatériaux, ainsi que des excipients fonctionnels pour des applications biomédicales.

L'activité du Groupe PCAS couvre toutes les étapes de fabrication des molécules : développement en laboratoire, production de lots de validation, industrialisation et production industrielle. Cette activité s'accompagne de la documentation réglementaire nécessaire pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché. Les processus de production de PCAS s’inscrivent dans le cadre des "Bonnes pratiques de fabrication européennes" (BPF) et des méthodes de fabrication édictées par la FDA (current Good Manufacturing Practices). Les sites de production de PCAS sont très régulièrement inspectés par l'ANSM française (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé) et par la FDA américaine (Food and Drug Administration).

Chimie fine de performance[modifier | modifier le code]

En matière de chimie de performance, PCAS crée et fabrique différents produits :

  • Molécules, produits ou matériaux pour la protection anticorrosion (notamment pour l'industrie automobile).
  • Lubrifiants et graisses à hautes performances pour les industries automobile, sidérurgique, navale, papetière et pétrolière ou pour la construction. En 2013, PCAS a notamment lancé une nouvelle gamme de graisses biodégradables, compatibles avec des utilisations dans l'industrie agroalimentaire[16].

Chimie fine pour les marchés Advanced Specialities[modifier | modifier le code]

En matière de nouvelles technologies :

  • Produits pour l'industrie de l'impression, dont des polymères à haute valeur ajoutée pour les arts graphiques.
  • Produits pour l'électronique imprimée (emballages intelligents, appareils de diagnostic médical jetables, étiquettes RFID d'identification par radio...) et pour l'électronique organique (molécules ou matériaux polymériques entrant dans la composition d'écrans plats ou d'éclairage OLED).
  • Dans le secteur des intermédiaires de synthèse[17], PCAS conçoit et fabrique des molécules complexes, des monomères ou des polymères spéciaux destinés à entrer dans la fabrication de produits à fort contenu technologique : textiles à haute résistance thermique, verres spéciaux, résines fonctionnalisées...

PCAS assure également, par le biais de sa filiale biotechnologique Protéus, la sélection et l'ingénierie de procédé pour la mise au point de catalyseurs sur base d'enzymes et de cocktails d'enzymes. Ceux-ci sont utilisés notamment pour le traitement des effluents, des sous-produits et des déchets. Ils servent aussi à la transformation industrielle de la biomasse non alimentaire en biocarburants de seconde génération.

Le groupe est également de plus en plus présent dans la chimie durable et le "cleantech". En 2014, PCAS - via sa filiale Protéus - est ainsi partie prenante du projet TREC (Tyre Recycling[18]), aux côtés de Michelin, du CEA[19] et de SDTech. Sélectionné par l'Ademe[20] et doté d'un budget de 51 millions d'euros sur huit ans, TREC comprend deux projets distincts auxquels PCAS est associé[21] :

  • la création d'une "micropoudrette" utilisable comme matière première de pneus neufs performants et obtenue par micronisation et dévulcanisation sélective (projet TREC Régénération),
  • la mise au point d'une chaîne de technologies allant de la gazéification des pneumatiques usagés à la production d'alcool par fermentation du gaz de synthèse obtenu (TREC Alcool).

En matière de parfumerie, d'arômes et de cosmétiques :

PCAS assure différentes productions liées au bien-être et aux soins personnels. Le Groupe fournit notamment aux leaders mondiaux de la cosmétique des services de production exclusive d'ingrédients cosmétiques (filtres solaires, produits anti-âge...), ainsi qu'un catalogue de composés olfactifs.

PCAS produit également des composants entrant dans la fabrication des senteurs utilisées pour des produits domestiques comme les lessives, les parfums d'ambiance ou les produits d'entretien.

Développement de la filiale Enersens[modifier | modifier le code]

Enersens, l'une des filiales du Groupe travaille au développement et à l'industrialisation de matériaux super-isolants à base de granules d’aérogel de silice. Une épaisseur de 5 centimètres du produit développé par Enersens apporte la même isolation qu'environ 45 centimètres de bois ou 15 centimètres d'un isolant actuel.

Marchés et exportation[modifier | modifier le code]

PCAS est très largement tourné vers l'international, les exportations représentant les deux tiers (66,75%) de son chiffre d'affaires[22]. En 2013, l'activité du groupe se répartit en trois zones à peu près équivalentes :

  • la France : 33,25% du chiffre d'affaires,
  • l'Europe : 33,88% du CA,
  • le reste du monde : 32,87% du CA, dont Asie-Pacifique (20,83%), Amérique du Nord (9,28%) et autres (2,76%).

Outre ses trois filiales de production implantées à l'étranger, le groupe PCAS dispose de représentations commerciales à Francfort (PCAS Gmbh, Allemagne), New York (PCAS America, Etats-Unis) et Shanghai (PCAS ChinaChine).


Recherche & développement[modifier | modifier le code]

PCAS investit fortement dans la R&D. Celle-ci regroupe 92 collaborateurs, soit plus de 10% des effectifs[23]. Il s'agit d'une R&D très structurée, fortement encadrée par des ingénieurs, docteurs ou docteurs-ingénieurs (36 PhD et 25 ingénieurs).

En 2013, les dépenses de R&D ont représenté 12,6 millions d'euros (7,6% du chiffre d'affaires). Elles sont en hausse de 9,5% par rapport à l'exercice 2012[24].

Depuis 2013, PCAS développe tout particulièrement la recherche sur les produits propriétaires[25], que ce soit en chimie fine pharmaceutique, en exploitant les fins de protection des brevets ou en chimie industrielle, en continuant à développer fortement ses expertises internes. Néanmoins, ceci ne se fait pas au détriment de la partie « Custom Manufacturing » qui reste un des axes importants de développement de la Société PCAS.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. "Plus que de la chimie"
  2. Rapport annuel 2013
  3. Pour l'ensemble du chapitre sur l'histoire : ouvrage PCAS "PCAS, 50 ans d'histoire : un demi-siècle d'aventure humaine et industrielle" (2012)
  4. Recherche et développement
  5. "Chimie & Pharma Hebdo" du 8 octobre 2010 : "PCAS détient la totalité de Protéus"
  6. "PCAS, 50 ans d'histoire - Un demi-siècle d'aventure humaine et industrielle", novembre 2012
  7. Communiqué PCAS - Dynaction du 26 juin 2013
  8. Rapport annuel 2013
  9. Current Good Manufacturing Pratices (normes américaines édictées par la Food and Drug Administration - FDA -, indispensables pour exporter un principe actif aux Etats-Unis)
  10. Rapport de gestion 2013
  11. Rapport annuel 2013
  12. Contrats à durée indéterminée
  13. Contrats à durée déterminée
  14. Rapport de gestion 2013
  15. Produits développés par PCAS, qui peut donc en assurer librement la production, la commercialisation et la gestion des droits de propriété intellectuelle éventuellement attachés
  16. Rapport annuel 2013
  17. Produit chimique utilisé comme matière première dans une étape de synthèse ultérieure
  18. Recyclage des pneus usagés
  19. Commissariat à l'énergie atomique
  20. Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie
  21. Communiqué commun des partenaires du projet du 28 janvier 2014
  22. Rapport annuel 2013
  23. Rapport de gestion 2013
  24. Rapport de gestion 2013
  25. "Chimie & Pharma Hebdo" du 15 février 2014 : "PCAS investit dans deux filiales innovantes"


Bibliographie[modifier | modifier le code]

PCAS, 50 ans d'histoire : un demi-siècle d'aventure humaine et industrielle, 2012

Liens externes[modifier | modifier le code]