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Moulage, atelier de moulage-reparage de la manufacture nationale de Sèvres. Fermeture du moule.

Moulage[modifier | modifier le code]

Le moulage désigne à la fois une technique, une opération et par métonymie l'objet qui en résulte. Par la technique, il est un procédé de reproduction de formes en ronde-bosse ou en en relief saisies à l’aide d’un moule.[1] Par l'opération, il est l'action de prendre l'empreinte d'un objet qui servira ensuite de moule dans lequel sera placé un matériau et qui permettra le tirage ou la production en plusieurs exemplaires d'un modèle. Le tirage consiste donc à placer un matériau (liquide, pâte, poudre, feuille, plaque, paraison, préforme, pastille, etc.) dans un moule dont il prendra la forme. Ainsi, le moulage qualifie également l'objet obtenu après cette action.

Histoire[modifier | modifier le code]

La technique du moulage comme moyen de reproduction étant ancienne, son origine est controversée. Ainsi, plusieurs auteurs avancent leurs hypothèses sur la date de création de cette technique, créant un véritable mythe autour de ses origines. L’hypothèse que l’on retient le plus généralement est celle de l’auteur romain antique Pline l’Ancien (23-79) qui attribue l’invention du moulage au sculpteur grec du IVe siècle avant J.-C, Lysistrate de Sycione. Ce dernier aurait, le premier, moulé des visages humains dans du plâtre puis couler, dans les moules en creux ainsi obtenus, de la cire. Cependant, cette technique de reproduction pourrait être plus ancienne encore puisque le sculpteur britannique John W. Mills (1933-) détermine les origines du moulage à l’âge du Bronze tandis que l’égyptologue français, Pierre Montet (1885-1966), indique bien l’utilisation de « masques mortuaires en plâtre » dès le XXVIIIe siècle avant J.-C en Égypte. L’archéologue français, André Leroi-Gourhan (1911-1986), quant à lui, situe l’existence d’une technique grossière de moulages dès le début des cultures classiques du monde méditerranéen et de l’Extrême-Orient  et rejoint ainsi l’opinion de l’auteur romain du XVIe siècle, Giorgio Vasari (1511-1574), qui considère l’invention du moulage « plus ancienne que celle de fondre l’airain ».[2]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Il est attesté que le moulage comme technique de reproduction se généralise durant l’Antiquité, dans un but « essentiellement pratique »[3]. En effet, le moulage permet de répondre rapidement et de façon moins onéreuse à une demande croissante d’acquérir chez soi des œuvres et des bustes célèbres notamment pour décorer ses jardins.

Renaissance[modifier | modifier le code]

Cette technique de reproduction est reprise en Europe à la Renaissance notamment par les ateliers d’artistes, les cours royales européennes et les amateurs d’art fortunés. À une époque où l’Antiquité est perçue comme le berceau de l’idéal de beauté, on cherche à acquérir les œuvres antiques les plus célèbres mais faute de pouvoir obtenir les originaux, la technique du moulage apparaît comme la meilleure solution afin d’acquérir au moins leurs reproductions. Le cercle est d’abord restreint car l’exécution de moulages demande tout de même un matériel coûteux ainsi qu’un remarquable savoir-faire technique qu’il faut pouvoir financer. Pour contourner ce problème pécunier, les ateliers d’artistes réalisent des morceaux de statues généralement les têtes et les membres, ce qui ne les empêche pas de constituer les premiers des collections de moulages comme le démontre un certain Squarcione (1397-1468) qui fait exécuter des moulages à Padoue[4]. Ces moulages acquiert un nouvel usage servant d’ « exercice dans les ateliers »[5] afin de former tout bon artiste au goût classique.

XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

La multiplication d'initiatives utilisant le moulage comme outil didactique aboutit au XVIIe siècle à la reconnaissance des moulages comme base essentielle de l’enseignement théorique des Beaux-Arts et grâce à leur diffusion dans les collections d’académies, d’ateliers d’artistes et de particuliers, ils serviront d’aide à « la formation du goût classique de générations entières d’artistes et d’intellectuels en Europe »[6].

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Au XVIIIe siècle, les moulages gagnent une popularité telle que cette période est considérée comme le premier âge d’or des moulages. En effet, la demande croissante permet de professionnaliser les praticiens de cette technique jusqu’à devenir un véritable métier, celui de mouleur. Ce nouveau statut confirme la place du moulage dans les ateliers d’artistes et dans les collections comme véritable objet nécessaire à l’apprentissage et la diffusion du goût classique. Cette glorification est d’autant plus affirmée par le goût néo-classique qui se développe au XVIIIe siècle, prônant un retour d’un genre pur et noble dont la diffusion est permise grâce aux moulages.

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

La création de collections de moulages se poursuit au XIXe siècle et s’intensifie même par l’acquisition de moulages dans les milieux universitaire et muséal. Tout commence en Allemagne, lorsqu’est créé une gypsothèque à Bonn, en lien avec « l’institution de la nouvelle université de Rhénanie »[7] au début du XIXe siècle, qui met à profit le rôle pédagogique et documentaire des moulages au service de son enseignement. Le modèle de Bonn fait alors émerger de nombreuses autres collections de moulages dans les universités et musées d’Allemagne et ne tarde pas à gagner l’Europe entière, participant ainsi à ériger le véritable âge d’or des moulages. Il ne s’agit plus seulement de moulages d’œuvres antiques classiques mais également d’objets antiques locaux, dont la reproduction est révélateur d’un goût certain pour l’archéologie en Europe[8]. En effet, les collections de moulages adoptent de nouvelles lignes de conduite et s’enrichissent considérablement grâce à l’activité prolifique des archéologues de la seconde moitié du XIXe qui trouveront dans la technique du moulage un remarquable moyen de diffuser leurs découvertes, de les comparer ou de combler les manques d’une collection voire de les associer afin d’avoir une meilleure idée de l’original perdu ou altéré[9]. Ainsi son « exploitation à des fins muséographiques, pédagogiques ou scientifiques »[10] en fait un objet incontournable voire indispensable durant ce siècle.

XXe siècle[modifier | modifier le code]

La seconde moitié du XXe siècle vient, quant à elle, assombrir la période de faste que connurent les moulages un siècle auparavant et marquer de façon alarmante leur histoire. En effet, les moulages connurent un désintérêt total de la part des musées et du public à partir de cette période, dont l’appréciation d’une œuvre se base désormais « sur  la valeur d’échange, et la signature comme indice de la valeur d’échange symbolique »[11]. Marcello Barbanera évoque ainsi un dédain envers les moulages perçus « comme les épaves d’une archéologie dépassée et non conformes aux méthodes modernes »[12]. Cette désaffection envers les moulages peut donc s’expliquer par l’évolution du goût notamment en matière de muséographie où le moulage n’a plus sa place. Christine Lorre avance l’hypothèse que les musées se sont en partie désintéressés des moulages par égard pour le public ; un public transformé, élargi que nous appelons aujourd’hui le grand public et qui n’a plus rien à voir avec les petits cercles d’amateurs et de scientifiques qui fréquentaient les musées au XIXe siècle et que les conservateurs ne pensaient pas « tromper » en exposant des moulages pour combler l’absence d’œuvres originales[13]. Eckart Marchand l’explique notamment par le fait que le XXe siècle a forgé la perception réductrice des moulages à l’image de « copies mécaniques réalisées dans un matériau terne et bon marché, et qui étaient donc, de ce fait, délaissés ou retirés, voire détruits »[14]. Car la conséquence de ce désintérêt fut bien la négligence des moulages dans les réserves voire leur destruction.

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Ce n’est que depuis quelques années seulement que l’on se réintéresse aux moulages dont la question fascine parmi un petit cercle de scientifiques et d’historiens de l’art qui ne cesse d’augmenter au fil des années. Ce regain d’intérêt commence vers la fin des années 1980 à travers une série de colloques internationaux inaugurés en France, puis en Italie, et ainsi de suite en Angleterre, États-Unis, Pologne, Allemagne, etc. D’une part, ces colloques sensibilisent à la situation des moulages trop souvent négligée dans les réserves. Cela permet d’aménager ou réaménager des locaux adaptés, parfois même de sortir les moulages des réserves pour les exposer en salles ou en galeries[15]. D’autre part, ils réévaluent le moulage à travers des problématiques et des champs de recherches divers et variés comme l’histoire des collections de moulages, leurs fonctions au fil du temps, les problèmes de restauration ou encore les nouvelles découvertes scientifiques dans le domaine de la sculpture antique[16]. Ces colloques ont rapidement été suivis par des ouvrages et des thèses universitaires pluridisciplinaires qui tentent de couvrir le grand champ de recherche qu’offre les moulages malgré les lacunes qu’ont laissé les nombreuses destructions ou dégradations de cette seconde moitié du XXe siècle. Aujourd’hui, la technique du moulage est même réutilisée par les musées, pratiquée de façon différente grâce aux nouvelles technologies. Nous pouvons affirmer de désormais les moulages « sont devenus des éléments à part entière de l’histoire générale de l’art »[17].

Technique[modifier | modifier le code]

Objectif du moulage[modifier | modifier le code]

La technique du moulage vise à reproduire un objet le plus souvent en série plus ou moins importante.

Dans la coulée sous-pression, l'objet une fois solidifié peut être libéré (démoulage) sans détérioration du moule, et dans le moulage sable, on fabrique autant de moules que de pièces (cas de la fonderie au sable).

L’art du moulage[modifier | modifier le code]

Un moulage réussi demande beaucoup de réflexion et de goût. Avant toute opération, il faut étudier minutieusement les formes, en sentir les moindres détails. Avec un peu d'expérience, cette observation attentive du modèle alliée à un peu de pratique permet de déterminer le choix de la technique, et des produits à utiliser.

C’est principalement le travail du modeleur, qui d’après la pièce à réaliser, détermine les modèles à réaliser, les empreintes dans les moules, les noyaux ; le tout en tenant compte des impératifs de démoulage, de retrait de la matière. Le modeleur est celui qui dessine les outillages au bureau d’études, mais aussi celui qui réalise les modèles à l’atelier d’outillage.

Procédés de moulage[modifier | modifier le code]

La reproduction d’un objet résultant de la prise de son empreinte s’effectue selon deux procédés élémentaires de moulage que l’on emploie différemment selon l’objet reproduit : le moulage à creux-perdu et le moulage à bon creux.

Le moulage à creux-perdu[modifier | modifier le code]

Le moulage à creux-perdu nécessite la perte du moule lors de l’opération d’extraction dont est ainsi issu un unique tirage. Cette méthode est souvent utilisée pour les objets présentant un démoulage complexe (nombreuses contre-dépouilles, matériau fragile, gabarit important, formes complexes). De cette technique, peut résulter trois types de moulages à chaque fois unique par la disparition du moule : les épreuves originales, les moulages sur nature et les épreuves d’estampage.

  • Les épreuves originales sont des tirages pris sur un objet qui sera détruit au moment de la fabrication du moule, se substituant ainsi au modèle original.
  • Les moulages sur nature résultent de l’empreinte directe d’une partie d’un corps vivant ou mort (humain ou animal par exemple).
  • Enfin, les épreuves d’estampage sont des tirages issus d’un moule à creux-perdu en terre, en cire ou en mastic, façonné sur un modèle en matériau dur qui n’était pas originellement destinée à être reproduit (bois, marbre, etc.).

Le moulage à bon creux[modifier | modifier le code]

Contrairement aux moules à creux-perdus voués à disparaître, les moules à bon-creux sont réutilisables permettant d’obtenir plusieurs reproductions du modèle original. Tout comme le moulage à creux-perdu, cette technique permet d’éditer trois types de moulages : les épreuves de série, les épreuves de surmoulage et les épreuves d’édition.  

  • Les épreuves de série sont des tirages soit de moules à bon-creux estampés, soit pris directement sur un modèle original en terre crue ou cuite, ou en cire, soit sur une épreuve originale en plâtre, terre cuite, etc.
  • Les épreuves de surmoulage, elles, sont issues de surmoules qui furent conçues à partir soit d’un moulage sur nature, soit d’une épreuve originale ou encore d’une épreuve d’estampage.
  • Pour finir, les épreuves d’édition sont des tirages issus d’un moule à bon-creux pris soit sur un modèle original, soit une épreuve originale soit encore sur une épreuve d’estampage.

Matériaux[modifier | modifier le code]

La première forme que prend le moulage fut celle à priori du plâtre, un matériau provenant principalement du gypse, une pierre minérale composée d’un sulfate de calcium bi-hydraté (Fayolle, 2001, p. 15), qui lui confère sa couleur blanchâtre si caractéristique. Aujourd’hui, son utilisation dans le but de concevoir un moulage fait presque l’objet d’un consensus social. Il est vrai que c’est ce matériau que l’on privilégie le plus jusqu’au début du XXe siècle, que ce soit pour la fabrication des moules ou des épreuves tirés de ces moules. Pourtant, il ne faut pas négliger l’utilisation d’autres matériaux comme la cire, la terre ou argile, le bois, le mastic et plus récemment les métaux et les composants plastiques.

Différents types de moulage[modifier | modifier le code]

Moulage en sable[modifier | modifier le code]

Technique très courante en fonderie, démoulage par destruction du moule. L'intérêt de cette technique est qu'elle permet de travailler avec un matériau réfractaire (le sable), et que le moule ne coûte pas cher à fabriquer.

Moulage en sable humide (ou moulage à vert)
le sable n'est pas mélangé à une résine quelconque, mais tient par son état d'humidité. Le moulage s'effectue soit, en horizontal, dans des châssis (cas le plus ancien et le plus fréquent), soit sous forme de mottes avec plan de joint vertical ; c'est le moulage en motte ou procédé Disamatic.
Moulage sable à durcissement thermique
le durcissement se fait soit dans l’empreinte ou hors empreinte.
Moulage sable à durcissement chimique
le durcissement se fait par réaction chimique, soit entre les composants (résines), soit par l’action d’un gaz:
le durcissement se fait par action directe et physique sur le sable comme le moulage sous vide ou procédé V-process.
Moulage à modèle perdu
les techniques les plus diffuses sont, pour la plus ancienne, celle du moulage à cire perdue et pour la plus moderne, le moulage à modèle en polystyrène connu sous le nom de procédé Lost Foam ou PMP.

Moulage métallique[modifier | modifier le code]

Le moule métallique est réutilisable plusieurs fois. Le démoulage est rendu possible par la différence de matière entre le moule et le métal coulé. Le moule subit toujours un poteyage avant introduction du métal en fusion.

Moulage par gravité
de pièces en aluminium (piston d’automobile).
Moulage à basse-pression
procédé semi-automatique pour la fabrication de pièces moulées de haute qualité, précises et homogènes, en petite et grande série. Le métal, aluminium en général, est introduit dans le moule par le bas sous une faible pression (0,2 à 2 bar).
Moulage sous-pression
de pièces en aluminium (industrie automobile, aéronautique) et en zamac, en matière plastique ou en caoutchouc (moulage par injection).

Moulage dans la couture[modifier | modifier le code]

Il s'agit du moulage (ou encore du toilisme). Il s'agit de créer un vêtement directement sur un mannequin de couture en posant le tissu sur le mannequin que l'on veut draper ou pour faire une forme ou un volume sur le vêtement

Procédés spéciaux de moulage[modifier | modifier le code]

Moulage avec inserts
un insert, souvent métallique, est posé dans le moule avant la coulée du métal et sera solidaire de la pièce finie.
Moulage avec refroidisseurs
pièces métalliques posées provisoirement dans le moule au moment de la coulée et qui ont pour but de refroidir rapidement le métal à l’endroit du contact et provoquer une trempe locale.
Moulage par centrifugation
le métal est coulé dans un moule en rotation rapide. Utilisé aussi pour fabriquer des composites (renfort plus résine).
Moulage bimétallique
s'obtient en coulant successivement deux alliages différents pour obtenir, en finale, une seule pièce à deux composants et ayant des caractéristiques différentes suivant l'endroit considéré.
Moulage en coulée continue
un procédé où le moule en graphite à extrémités ouvertes, est alimenté en métal en fusion qui se solidifie pour produire une barre, un tube ou un profilé quelconque.
Moulage en empreinte souple
l'apparition de moules souples (primitivement en gélatine, en caoutchouc, latex, élastomère et aujourd'hui surtout en silicone) permet une simplification notable dans la conception des moules, ainsi que l'obtention directe de formes qui auraient nécessité un usinage après moulage avec un moule rigide (formes en contre-dépouille en particulier).
Moulage par congélation
procédé qui consiste à lier les grains de sable par de la glace par injection d’azote ou de CO2 liquide.
Moulage par forgeage liquide
en moule métallique, plus communément connu sous le nom de squeeze-casting, s'applique aux alliages légers, avec une solidification sous une pression très élevée.

Les ateliers de moulage[modifier | modifier le code]

L'atelier de moulage du musée du Cinquantenaire (Bruxelles).

Les moulages statuaires sont réalisés dans un atelier d'artiste ; Une pièce de travail de l'artiste, éventuellement aidé par ses élèves. On notera quelques exemples d’ateliers contemporains célèbres:

L’atelier Lorenzi
Fondée en 1871 par Michel Lorenzi, la maison Lorenzi est aujourd'hui animée par son arrière-petit-fils du même prénom qui perpétue la tradition du moulage tout en faisant évoluer ses techniques. À l’origine, les moulages étaient essentiellement réalisés en plâtre, tandis qu'aujourd'hui, la résine est le matériau le plus souvent employé. En 1994 Michel Lorenzi obtient du Ministère de la Culture, le titre de Maître d'art consacrant son excellence professionnelle, sa maîtrise des techniques de son art et ses compétences pédagogiques à transmettre son savoir. La maison Lorenzi fait partie des fournisseurs des établissements publics et écoles d'art de France.
Les ateliers Maestri Scultori
Maestri Scultori est une maison d’art fondée en 2001 par Omar Ricciardi, professeur de sculpture à la Faculté d'Art de l'Université nationale de Cuyo (Mendoza, Argentine). Maestri Scultori s’est spécialisé dans la copie de pièces antiques, grâce à la mise au point d’un Marbre de Carrare unique qui s'inscrit dans la continuité de l'enseignement traditionnel de la culture du stuc. Les Maestri Scultori font partie des fournisseurs des établissements publics de France et d'Europe tels que les musées du Capitole de Rome, et l'Académie des beaux-arts de Venise.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages[modifier | modifier le code]

  • BARTHE G. (dir.), 2001, Le plâtre : l’art et la matière, Paris, Éd. Créaphis, 381p.
  • BAUDRY M-T, 2000, Sculpture : méthode et vocabulaire, Paris, Éd. du Patrimoine/Imprimerie Nationale, 765p., (Principes d'analyse scientifique)
  • HASKELL F., PENNY N., 1999, Pour l'amour de l'Antique : la statuaire gréco-romaine et le goût européen, 1500-1900, Paris, Hachette Littératures, 259p., (Pluriel)
  • PRESSOUYRE L. (dir.), 2007, Le Musée des monuments français : Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris, Éd. Nicolas Chaudun/Cité de l’Architecture et du Patrimoine, 199p.
  • ROSIER P., 2001, La sculpture : méthodes et matériaux nouveaux, Paris, Éd. Dessain et Tolra, 64p

Articles[modifier | modifier le code]

  • BAKER M., FALSER M., LE NORMAND-ROMAIN A., MARCHAND E. et TOCHA V., 2019,  « Les moulages en plâtre au XXIe siècle », Perspective [En ligne], 2 | 2019, mis en ligne le 30 juin 2020, URL : http://journals.openedition.org/perspective/14242
  • BARBANERA M., 2000, « Les moulages des sculptures antiques au XIXème siècle : entre esthétisme et positivisme », in Les moulages de sculptures antiques et l'histoire de l'archéologie : actes du colloque international, Paris, 24 octobre 1997, Genève, Paris, Librairies Droz, Champion, pp. 57-73
  • GABORIT J-R., 1992, « Faut-il détruire les moulages », La Revue de l’art, n°95, p. 5-9
  • MORINIÈRE S., 2013, « Les gypsothèques universitaires, diffusion d’une Antiquité modèle », Anabases [En ligne], 18 | 2013, mis en ligne le 01 novembre 2016, URL : http:// anabases.revues.org/4360 ; DOI : 10.4000/anabases.4360
  • LAGRANGE M., MIANE F., 2011, « Le Musée archéologique de la faculté des lettres de Bordeaux (1886), In Situ [en ligne], n°17, mis en ligne le 29 novembre 2011, consulté le 20 mai 2020. URL : http://insitu.revues.org/920
  • LORRE C., 2001, « Les moulages en plâtre dans un musée d’archéologie. Le cas du musée des Antiquités nationales des origines jusqu’au début du XXème siècle », In BARTHE Georges (dir.), Le plâtre, l’art et la matière, Paris, Éd. Créaphis, 2001, p.148-153
  • PLANA-MALLART R., MALLET G, 2011, « Le projet de rénovation et de valorisation du Musée des moulages et les collections d’Art et d’Archéologie de l’Université Paul-Valéry Montpellier 3 », In Situ [En ligne], 17 | 2011, mis en ligne le 14 décembre 2011. URL : http://journals.openedition.org/insitu/880 ; DOI : https://doi.org/10.4000/insitu.880

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Mouler[modifier | modifier le code]

Autres techniques :[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Marie-Thérèse Baudry, Sculpture : méthode et vocabulaire, Paris, Éd. du Patrimoine/Imprimerie Nationale, , 765 p., p.103
  2. Marie-Thérèse Baudry, Sculpture : méthode et vocabulaire, Paris, Éd. du Patrimoine/Imprimerie Nationale, , 765 p., p.103-104
  3. Marcello Barbanera, « Les moulages des sculptures antiques au XIXème siècle : entre esthétisme et positivisme », Les moulages de sculptures antiques et l'histoire de l'archéologie : actes du colloque international, Paris, 24 octobre 1997,‎ , pp. 57-73
  4. Haskell et Penny, Pour l'amour de l'Antique : la statuaire gréco-romaine et le goût européen, 1500-1900, Paris, Hachette Littératures, , 259 p., p. 4
  5. Marcello Barbanera, « Les moulages des sculptures antiques au XIXème siècle : entre esthétisme et positivisme », Les moulages de sculptures antiques et l'histoire de l'archéologie : actes du colloque international, Paris, 24 octobre 1997,‎ , p. 57
  6. Marcello Barbanera, « Les moulages des sculptures antiques au XIXème siècle : entre esthétisme et positivisme », Les moulages de sculptures antiques et l'histoire de l'archéologie : actes du colloque international, Paris, 24 octobre 1997,‎ , p. 58
  7. Marcello Barbanera, « Les moulages des sculptures antiques au XIXème siècle : entre esthétisme et positivisme », Les moulages de sculptures antiques et l'histoire de l'archéologie : actes du colloque international, Paris, 24 octobre 1997,‎ , p. 60
  8. Clotilde Proust, « Les ateliers du Musée des Antiquités nationales. Aux origines de la restauration en archéologie », Antiquité nationales,‎ 2016/2017, pp. 1-2
  9. Haskell et Penny, Pour l'amour de l'Antique : la statuaire gréco-romaine et le goût européen, 1500-1900, Paris, Hachette Littératures, , 259 p., p. 165
  10. Léon Pressouyre, Le Musée des monuments français : Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris, Éd. Nicolas Chaudun/Cité de l’Architecture et du Patrimoine, , 199 p., p. 18
  11. Laëtitia Antonioni, « La fragilité immatérielle comme paramètre de la conservation préventive : l’exemple de la collection de moulages du musée des Monuments français », In Situ,‎ , p. 5 (lire en ligne)
  12. Marcello Barbanera, « Les moulages des sculptures antiques au XIXème siècle : entre esthétisme et positivisme », Les moulages de sculptures antiques et l'histoire de l'archéologie : actes du colloque international, Paris, 24 octobre 1997,‎ , p. 57
  13. Christine Lorre, « Les moulages en plâtre dans un musée d’archéologie. Le cas du musée des Antiquités nationales des origines jusqu’au début du XXème siècle », Le plâtre, l’art et la matière,‎ , p. 151
  14. Eckart Marchand, « Les moulages en plâtre au XXIe siècle », Perspective,‎ , p. 25 (ISSN 2269-7721, lire en ligne)
  15. Eckart Marchand, « Les moulages en plâtre au XXIe siècle », Perspective,‎ , p. 25 (ISSN 2269-7721, lire en ligne)
  16. Marcello Barbanera, « Les moulages des sculptures antiques au XIXème siècle : entre esthétisme et positivisme », Les moulages de sculptures antiques et l'histoire de l'archéologie : actes du colloque international, Paris, 24 octobre 1997,‎ , p. 57
  17. Eckart Marchand, « Les moulages en plâtre au XXIe siècle », Perspective,‎ , p. 25 (ISSN 2269-7721, lire en ligne)