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Angie Sanclemente Valencia
Nom de naissance Sanclemente Valencia
Alias
Reine de la cocaïne
Naissance (45 ans)
Medellin, Drapeau de la Colombie Colombie
Activité principale
Auteur
Langue d’écriture Français


Angie Sanclemente Valencia[modifier | modifier le code]


Angie Sanclemente Valencia (née le 25 mai 1979) est une ancienne reine de beauté colombienne et mannequin de lingerie qui serait le chef de file de l'un des plus grands cartels de la drogue au monde.

Biographie[modifier | modifier le code]

Reine de beauté[modifier | modifier le code]

Angie Sanclemente Valencia considérée comme reine de beauté, a reçu plusieurs prix de concours de beauté.[1]

Elle a été sacrée Reine du café 2010 dans son pays, la Colombie.

Le passé de la demoiselle ne plaide cependant pas en sa faveur. Déjà lors de son élection au concours de Miss Café, alors qu'elle n'a que 20 ans, elle dit être célibataire pour pouvoir se présenter, ce qui s'avère faux. La belle doit rendre sa couronne.

En février 2011, Angie Sanclemente Valencia est la Reine du carnaval de Santa Cruz.

Mannequinat[modifier | modifier le code]

Angie Sanselmente Valencia est une mannequin de lingerie célèbre en Amérique du sud.

Trafic de drogue[modifier | modifier le code]

Angie Sanselmente Valencia joue un rôle majeur dans l'histoire du trafic de drogue. Elle aurait, selon la police argentine, utilisé son agence de mannequins pour organiser un réseau de trafic de cocaïne entre l'Amérique du Sud et l'Europe.

La particularité de son gang? Il n'est composé que de belles jeunes femmes..  

Arrestation[modifier | modifier le code]

Le cartel de narcotrafiquant dont appartenait Angie Saclamente Valencia l'aurait dénoncé le 13 décembre 2009.[2]

Une femme de 21 ans appelée "Ariel L" a été arrêtée avec une valise contenant 55 kg de cocaïne à l'aéroport international d'Ezeiza, Buenos Aires, Argentine.[3]

"Ariel L" lors de son arrestation n'a fait aucune tentative pour cacher la drogue qui se trouvait dans ses bagages.

Les autorités ont alors soupçonnées que celle-ci a été aidée par des employées de l'aéroport.

La police a pensé que "Ariel L" été persuadée que personne n'essaierait de l'arrêter.[4]

Une enquête a alors été ouverte pour trouver quels sont les employés de l'aéroport qui sont en collaboration avec le cartel de narcotrafiquant.

Après avoir interrogé "Ariel L", trois arrestations supplémentaires ont été effectuées.

Un mandat d'arrêt a alors été émis contre Angie Saclamente Valencia.[5]

Après plusieurs tentatives de recherches, les autorités pensaient qu'elle se trouvait sur le territoire argentin.

Celle-ci a fui un hôtel argentin dans lequel elle séjournait avec son chien, un poméranien.

En mars 2010, Interpol a émis un mandat d'arrêt international contre son arrestation.[6]

Angie Saclamente Valencia a finalement été arrêtée à Buenos Aires, en Argentine, le 26 mai 2010, alors qu'elle séjournait dans une auberge locale.[7]

La police a signalé qu'elle s'était enregistrée sous un faux nom et avait tenté de modifier son apparence en se teignant les cheveux en blond.

Elle a été initialement emprisonnée le 27 mai 2010 au "Centre fédéral de détention de Mujeres Unidad número 31" dans la ville d'Ezeiza, province de Buenos Aires, Argentine.[8]

En octobre de la même année, elle a été transférée à l’Instituto Correccional de Mujeres Unidad número 3 également à Ezeiza après avoir subi de violentes attaques.

Elle a été libérée de prison et renvoyée en Colombie, le 27 septembre 2013, après avoir purgé seulement la moitié de sa peine initiale de 6 ans et 8 mois de prison.

Il lui est interdit de retourner en Argentine.

Famille[modifier | modifier le code]

Angie a d'abord été marié lorsqu'elle avait 20 ans avec un homme appelé Alejandro. Elle le quitte rapidement pour créer son agence de mannequin.

Angie Sanclemente Valencia a ensuite une idylle avec un narcotrafiquant mexicain surnommé "El Monstruo" (le monstre), durant quelques années.

Elle possède comme animal de compagnie un poméranien.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « La Presse », sur lapresse.ca,
  2. (en) « BBC », sur bbc.com,
  3. (en) « CNN », sur cnn.com,
  4. « L'Express », sur lexpress.fr,
  5. « Atlantico », sur atlantico.fr,
  6. « Slate », sur slater.fr,
  7. (en) « Insight crime », sur insightcrime.org,
  8. (en) « Daily Telegraph », sur dailytelegraph.com,

Lien externe[modifier | modifier le code]

  1. (es) « Youtube », sur Youtube.fr, Vidéo,