Utilisateur:Bexandre2002/Boîte à idées
Makẑënlânđ[modifier | modifier le code]
| Durée | Environ 30½ minutes |
|---|---|
| Genre | Blast, rock progressif, dystopie psychédélique |
Makẑënlânđ est un album-concept de blast progressif expérimental écrit par Everybody Loves the Machine, et rendant hommage au zeuhl en créant une langue fictive qui suit tout l'album.
Pistes[modifier | modifier le code]
- Ẑtorë dùl Makẑënlânđ ën T. 280¼ I
- 9⅝ minutes, Story of Machineland, Tempo: 70 I
- Ùrùgkaẑ Mùwmùnẑi ën ⅞
- 7⅔ minutes, Organ-Centered Movements in ⅞
- Žonat dùl Brešvarẑ
- 6¼ minutes, Sonata for the Frightened
- Ẑtorë dùl Makẑënlânđ ën T. 280¼ II
- 8¾ minutes, Story of Machineland, Tempo: 70 II
The Elevator (film)[modifier | modifier le code]
| Titre québécois | Un Ascenseur Sans Fin |
|---|---|
| Réalisation | Alexandre Bali |
| Pays de production |
 Angleterre.svg){kind=small} Irlande du Nord |
| Genre | Dystopie, anticipation |
| Durée | 156 minutes |
| Sortie | 2040 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
The Elevator, ou Un Ascenseur Sans Fin au Québec, est un film d'anticipation dystopique réalisé et scénarisé par le cinéaste et musicien français Alexandre Bali et tourné en Angleterre.
Synopsis[modifier | modifier le code]
Le film est composée de deux parties. La première se passe entre 4712 et 4756, dans un monde similaire quasiment en tout point de celle du XXIème siècle, deux personnes ont le projet de construire un énorme ascenseur spatial au beau milieu de la campagne irlandaise: Kohen Hopkins et Corey Wood, deux australiens qui ont changé d'identité lorsqu'ils se sont réfugiés en Angleterre après un braquage de banque qui a mal tourné. La deuxième partie, elle, suit l'histoire d'un habitant de l'un des habitats aménagés autour l'ascenseur, qui découvre qu'il est à l'intérieur d'une sorte de dictature propagandiste organisée par le gouvernement britannique et décide de se révolter, et tombera dans la clandestinité pour survivre.
Inspirations[modifier | modifier le code]
Dans la première partie du film, on retrouve deux gimmicks empruntées de deux réalisateurs célèbres: la narration non linéaire est ici héritée de la plupart des films de Quentin Tarantino (Reservoir Dogs, Pulp Fiction, Kill Bill...), et l'utilisation de musique classique en tant que bande originale du film vient de Stanley Kubrick (Shining, 2001, l'Odyssée de l'espace...). La deuxième partie, elle, inverse les rôles: Stanley Kubrick inspire cette fois-ci la photographie et le scénario, tandis que les musiques se rapprochent de celles qu'utilisent Tarantino dans Pulp Fiction, par exemple (du rock et de la surf music entraînante, qui, nota bene, est composée par Alexandre lui-même, par soucis de budget). En dehors de cela, le film utilise les mêmes formats et le même son que dans Shining de Stanley Kubrick pour donner un effet vintage au film.
Fiche technique[modifier | modifier le code]
- Titre original : The Elevator
- Titre français : The Elevator
- Réalisation : Alexandre Bali
- Scénario : Alexandre Bali
- Musiques :
- Montage : Alexandre Bali
- Pays d'origine :
Angleterre - Langue originale : Anglais
- Format : Couleur – Numérique – 1.37:1, 16:9 — stéréo
- Budget : £90,000.00
- Genre : Dystopie, anticipation
The Deaf and the Dead[modifier | modifier le code]
| Titre québécois | Le Sourd et le Mort |
|---|---|
| Réalisation | Alexandre Bali |
| Pays de production |
Angleterre |
| Genre | Épouvante, noir-like |
| Durée | 113 minutes |
| Sortie | 2046 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
The Deaf and the Dead, ou Le Sourd et le Mort au Québec, est un film d'horreur psychologique réalisé par Alexandre Bali.
Synopsis[modifier | modifier le code]
En 1969, Nicholas Moravia, un directeur d'asile né en 1901, reçoit un nouveau patient, Channing Jeffers, né en 1934, atteint d'un trouble de la personnalité. Ce dernier étant beaucoup plus étrange que les autres atteint de cette maladie, Moravia s'y intéresse de plus près et cherche durement ce qui a déclenché ce trouble mental. Malheureusement, le temps une nuit, les patients s'échappent tous de l'asile, sans aucune exception, ce qui engendre des tas de meurtres et sème la panique partout en Angleterre, en août 1969. Moravia, toujours aussi intrigué, veut parler coûte que coûte à Jeffers pour essayer de lui parler de l'origine de sa pathologie mentale. Moravia, désespéré et menacé de partir à la retraite, ne trouvera pas d'autre moyen que de rejoindre les fous en massacrant de pauvres innocents à contrecœur.
Fiche technique[modifier | modifier le code]
- Titre original : The Deaf and the Dead
- Titre français : The Deaf and the Dead
- Réalisation : Alexandre Bali
- Scénario : Alexandre Bali
- Musiques :
- Leadbelly
- Jimi Hendrix
- Mildred Bailey
- Lover, Come Back to Me
- Albert Ammons
- Chicago in Mind
- Ivie Anderson
- Killing Myself
- Montage : Alexandre Bali
- Pays d'origine : Angleterre
- Langue originale : Anglais
- Format : Couleur – Numérique – 16:9 — stéréo
- Budget : £110,000.00
- Genre : Épouvante
The Wound[modifier | modifier le code]
| Titre québécois | La Plaie |
|---|---|
| Réalisation | Alexandre Bali |
| Pays de production |
Angleterre |
| Genre | Anticipation, action |
| Durée | 135 minutes |
| Sortie | 2054 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
The Wound, ou La Plaie au Québec, est un film d'anticipation et d'action sorti le 8 juin 2054.
Synopsis[modifier | modifier le code]
Le film commence le 9 juin 2149 (en référence à 1984, sorti le 9 juin 1949), dans un monde où le gouvernement baisse énormément en popularité et où des équipes de trafiquants de drogue, de meurtriers et autres se battent en massacrant au passage des milliers de civils lors de chaque conflit, le personnage principal de l'histoire, Daniel Smith, un baron de la drogue, est laissé pour mort par ses amis. Retrouvé par un passant, ce dernier appelle une ambulance qui ne tardera pas à arriver. Reconnu par le personnel, une infirmière prendra la décision d'appeler la police. Alors que les policiers arrivent sur les lieux, Daniel se réveille, et est traîné par ces derniers jusqu'en prison. Sans procès, celui-ci est jeté dans une cellule, présumément à vie. Pour sortir, Daniel fait exprès de se lier d'amitié avec les gardes, qui le laisseront sortir au bout de deux années. Après sa sortie de prison, Daniel n'a plus qu'une idée en tête: se venger violemment de ses amis l'ayant pris en traître.
Nota bene[modifier | modifier le code]
- Pour le scénario du film, Alexandre s'est inspiré en même temps d'Orange Mécanique (Stanley Kubrick), de Kill Bill (Quentin Tarantino), de Scarface (Brian De Palma) et même de Pokémon (Satoshi Tajiri).
Fiche technique[modifier | modifier le code]
- Titre original : The Wound
- Titre français : The Wound
- Réalisation : Alexandre Bali
- Scénario : Alexandre Bali
- Musiques :
- John Lennon
- Bill Haley
- Janis Joplin
- Piece of my Heart
- Patrick Cowley
- I Got a Line on You
- Montage : Alexandre Bali
- Pays d'origine : Angleterre
- Langue originale : Anglais
- Format : Couleur – Numérique – 16:9 — stéréo
- Budget : £145,000.00
- Genre : Anticipation, action