Utilisateur:Baruch789/Brouillon

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{{Biographie|Camille|Gärtner]} {Infobox|biographie |Nom = Camille Gärtner |Photo = Camille Gartner photo.jpg |Légende = Biographie Mars 2010 |Langue= {français} |Date de naissance= 29 |Pays d'origine= Russie |Naturalisation = Britannique |Taille = 1,70 m |Université = (1987) |Mère = Anastasia Vladislav Gärtner |Epouse = Jennifer PERRY

•••Camille Gärtner••• né [[ le (29 août 1963) à <<Moscou>> est un artiste plasticien contemporain, entrepreneur, architecte, urbaniste, dessinateur satirique et auteur Russe naturalisé Britannique, diplômé de l’université Harvard en 1987.. Après des débuts comme architecte pour Zaha Hadid puis Norman Foster il fonde son cabinet d’architecture en 1993.

Histoire[modifier | modifier le code]

Discret et n’aimant pas trop être médiatisé, Camille Gartner est pourtant l’un des plus grands architectes au cours des années 2001-2005 mais aussi un homme qui protège farouchement sa vie privée ! Zoom sur ce personnage ambitieux au parcours atypique. Né le 29 août 1963 à Moscou, CAMILLE Gärtner est élevé par sa mère à qui il doit entre autres le patronyme d’origine Russe. Le petit Camille, esthète hors pair, passe ses journées à crayonner le moindre morceau de papier qu’il a sous la main et rêve déjà d’ouvrir une galerie d’art sur la lune et des hôtels en orbite autour du la terre. Anastasia Vladislav Gärtner, sa mère, architecte de profession s’est entièrement consacré à l’éducation de son fils. Refusant de prendre une gouvernante Camille l’accompagne lors de ses déplacements professionnels. D’un bout à l’autre du globe le jeune découvre la Chine, New York et l’Asie du Sud-Est, il visite plusieurs attrapes-touriste et apprend inévitablement du secteur d’activité de sa mère. Favorable à son développement artistique, elle lui ouvre un studio d’art et l’initie rapidement au piano ; véritable prodige, il n’a que 8 ans lorsqu’il donne son premier récital ; enfant il est très porté sur les activités intellectuelles et entretient amicalement des relations avec des personnes matures ; féru d’astrologie et lecteur assidu de l’encyclopédie, il s’ennuie profondément à l’école. Le bibliophile préfère participer à des débats politiques et enchaîner les tests de culture générale. Il prend goût à l’histoire, la géométrie, la philosophie et l’esthétique. Doté d’un charisme et d’une singularité exceptionnelle, le jeune fait l’unanimité au saint de son entourage qui décèle quelque chose de spécial chez lui. Très souvent invité aux soirées mondaines grâce à la réputation de sa mère. Cette femme aimante qui selon lui a réussi l’exploit de l’élever toute seul. Le bibliophile fait partie d’une catégorie de famille assez favorisées ; il affirma d’ailleurs plus tard que son milieu social l’a aidé dans son succès. Notamment l’invitation au bal d’une ancienne top modèle Allemande où il décroche un rôle important dans l’industrie du Textile et de la Mode. Une fois dans la résidence de Mme Waldorf, il fait l’habituelle tournée des présentations. C’est le seul moment animé de la soirée et au bout d’une heure, en ayant assez de l’ambiance peu festive, due à l’annonce de la mort d’une star du cinéma Hollywoodien appréciée de tous, l’adolescent décide de s’enfermer dans une pièce de la maison où il aperçoit une planche vierge sur un chevalet contenant des pinceaux et une palette de peinture. Fort alcoolisé l’esthète ne manque pas de cran, s’inspire de la vue, des orchidées noirs dans un vase en porcelaine et la couleur des draps en satin ; si bien qu’il représente extraordinairement une femme blonde, vêtue d’une robe blanche et vaporeuse, qui flotte autour d’elle. Cette femme dont on ne peut deviner l’âge a les bras en croix, les yeux fermés et le visage vers le ciel qui est d’un bleu profond, on distingue des vaguelettes. On ne peut savoir si c’est le ciel ou la mer, si la femme est humaine ou si elle est un ange ; autour d’elle, des motifs fleuris ont été dessinés en gris très clair, presque blanc. L’esthète associe fortuitement son art à la mode et le résultat est tout simplement magnifique. Autant vous dire qu’une voyeuse l’observe tandis qu’il libère sa créativité. Après avoir longuement contemplé son chef-d’œuvre, Mme Waldof s’approche et lui dit : « C’est tout simplement Irréaliste ! » il objecte en disant : «  Tout est une question d’entraînement et d’imagination. » Devant l’enthousiasme de celle-ci face à son œuvre, il comprend avec ravissement l’influence de son Talent. En 1977 Camille Gärtner affilie l’univers de la haute couture comme modéliste par l’intermédiaire de cette dernière. Il imagine alors de longues jupes vaporeuses, qui sont encore aujourd’hui des pièces phares de grandes maisons de couture. Cependant l’attrait du jeune dandy pour la mode n’éclipse pas son goût pour la peinture ; avec l’argent obtenu de ses collaborations avec les richissimes maisons de couture, il souhaite ouvrir une galerie mais sa mère veut qu’il poursuive un cursus scolaire en Architecture. Camille obtient un score spectaculaire de 1 540 sur 1 600 au <<Scholastic Assessment Test, un QCM>> généraliste de compréhension écrite et de mathématiques permettant l’admission aux universités. Il intègre la célèbre université d’Harvard à l’automne 1981 et démarre un cursus d’architecture.

En 1984 Londres organise sa 1ère Fashion Week dans un parking situé dans l’ouest de la ville. Avec le soutien du Vogue UK, le gouvernement britannique parraine l’événement, qui met en scène des stylistes émergents, comme <<John Galliano>> ou encore <<Betty Jackson>>. Conscient de son génie, la maison du célèbre tailleur Allemand lui ouvre ses portes et cette fois-ci comme égérie pour la ligne prêt à porter masculine. Après quoi il décide de se consacrer entièrement au monde de l’architecture et présenter de nombreux projets, 7 ans plus tard il quitte la Bannière Étoilée pour Londres où fait la connaissance d’une Architecte Irako-Britannique qui remarque immédiatement son talent et lui propose de travailler à son bureau. Après 4 ans de collaboration avec la Reine Des Courbes, le jeune architecte se sent prêt à commencer sa propre carrière et décide de travailler en Freelance. Le premier projet de Camille est réalisé en 1997 : il s’agit d’un hôtel au Moyen-Orient dans l’état du Koweït qui est devenu un véritable chef-d’œuvre. Subséquemment il devient l’un des architectes les plus sollicités au monde. Un titre qu’il assume honorablement car au tournant du siècle il est un architecte reconnu et réputé pour prendre de nombreux risques, cherchant toujours à prouver la richesse du monde car il ose accepter une créativité sans limites ; impliqué dans de nombreux projets, connu pour son architecture originale au service de l’imaginaire et de l’utopie, mais surtout pour sa collaboration avec Zaha Hadid qui est une figure majeure du déconstructivisme. En octobre 2005, le PREMIUM IMPÉRIAL lui est consacré par l’Association japonaise des beaux-arts notamment sa contribution remarquable pour le développement, la promotion et le progrès des arts où il raconte d’un humour distancié, son parcours, son engagement passionnel au service de l’architecture et ses rencontres avec les artistes du monde de la peinture et du théâtre qui ont nourri ses expériences de créateur. Camille Gärtner a revendiqué pour sa création l’importance primordiale des rencontres et compagnonnages successifs. Faisant également partie de ceux qui sont pour l’égalité des chances. Il considère que si tous les individus sont en situation de liberté financière grâce à un revenu de base universel, ils peuvent se consacrer à leurs projets et connaître également de belles réussites. Malgré toutes les chances qu’il a eues dans la vie, l’architecte n’a jamais eu la grosse tête. Il est même humble et reste renfermé.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Catégorie:Biographie Camille Gärtner