* Lucien Charrault, auteur de plusieurs ouvrages d'histoire locale, en fut le vicaire (1896) et le curé pendant 22 ans (d'octobre 1907 à octobre 1929). (article manquant)
* André Cornu : maire de la commune de 1815 à 1887, soit pendant 72 ans. C'est probablement le record de France de durée d'un mandat de maire.[réf. nécessaire] (181)
La peintre Rosa Bonheur (1822-1899) arriva pour la première fois dans la Nièvre à l'automne 1848, Rosa Bonheur qui n'avait alors que 26 ans, est déjà une peintre animalière confirmée. (190)
Elle se lie avec une des filles du châtelain du château de la cave de l'époque : Camille-François Mathieu et y passa plusieurs longs séjours jusqu'en 1852. « Mam'zelleRosa » comme l'appelaient les gens du pays, les séduisit vite par sa grâce, sa vivacité, sa simplicité et l'intérêt qu'elle portait au monde paysan. (328)
C'est son tableau «Labourage nivernais» datant de 1849 (exposé au Musée d'Orsay à Paris) qui lança sa carrière et rendit bientôt célèbre mondialement cette peintre des animaux et des hommes au travail. (211)
Biches eut un grand soldat : SEGUENEAU ou SEGUINOT, Capitaine du 7ème bataillon de la Nièvre ; puis chef de bataillon à la 85ème demi brigade de ligne, promu sur le champ de bataille par le générale en chef, qui était rien moins que BONAPARTE (250)
PRIEUR DE BICHES (16)
1146 : THOMAS, camérier, témoin à Biches d'une donation faite par SEGUIN de la TOURNELLE, seigneur de Guipy. Il est peut être en même temps que camérier de la Charité. (174)
1272 : Jean de CHAMPLEMY (24)
1339 : Hugues POLOSARD, chambrier de la Charité, prieur de Biches. Officiellement ces deux charges ne seront réunies qu'en 1350. (130)
1534 : Dom Guilaume du CHAILLON, le 7 mai, affranchit un serf à Brinay. En 1535, il est impliqué dans un procès. (115)
1568 : Dom Gilbert de THOURY (28)
1624 : Dom PASSALOGUE (Dom Jean Passelaigue) ami de J.P. CAMUS, évêque de Belley, qui le choisit pour lui succéder à son évêché en 1628, était alors abbé de N.D. de Hambie, prieur de Saint Victor de Nevers et de la Charité, vicaire général de l'Ordre de Cluny (271)
1629 : Jean ADELINE, François de LORON, seigneur de Brinay, lui rend hommage. (78)
1638 : Dom Jean d'ARCY, prieur, seigneur de Biches, le 8 septembre. Il l'est encore en 1643. Ensuite, il n'y a plus, semble t-il de prieur spécialement désigné pour Biches. (175)
1776 : Dom Philibert LORIN, prieur de la Charité, présent J.B.BALANDREAU à la cure de Biches. (96)
CURES DE BICHES (15)
1486 : Guillaume THOMAS (23)
1606 : Étienne JAUBERT, parrain d' Alluy (41)
1624-1659: Gaspard BOY (22)
1659-1676: Francis BOY (22)
1676-1686: Robert BERNARD (25)
1686 : Étienne de PARIS (24)
1690 : BOY, curé de Biches, le 28 mai (38)
1690 : Étienne LEPERE curé de Biches le 30 septembre, mort et enterré à Biches en 1694 (90)
1694-1717 : Gabriel MILLET ou MILLIET (37)
1717 : Charles MOTTET (21)
1718 : Henri SOUCHON : le 29 mai, part le 5 juin pour Commagny (62)
1720 : Charles GUYOT démissionne le 19 mai (43)
1721 : Jean ROC ou ROCH, assiste le 26 décembre 1724 à la sépulture de Tintury. Il lui succède à une date inconnue à Biches, son parent, François ROC mort en 1741. (171)
1741-1744 : François SILBON (28)
1744 : Guillaume POUGAULT dessert la cure de Biches pendant sa vacance, le 27 juin 1744 (87)
1767-1768 : FAYOL, son premier acte est du 3 mai 1767, se dernière signature du 28 novembre 1768. (98)
1768-1776 : Jean CORDILLOT (26)
1776-1793 : Jean Baptiste BALANDEAU (35)
1803-1808 : Nicolas BRANLARD, curé de Dienne à partir de 1808. La paroisse de Biches demeure sans titulaire jusqu'en 1824 puis elle est confiée à : (151)
1824 : BOURRE ou BOUHERET, curé de Brinay (42)
1827 : BOUCHERAT, curé de Limanton (35)
1827-1838 : curé de Brinay (27)
1838-1872 : Jacques GRANDJEAN, nommé le 1er janvier 1838, meurt en charge le 2 juin 1872 ; enterré au cimetière de Biches. La commune est desservie ensuite jusqu'au 1er octobre 1872 par l'abbé MOREL, curé de Brinay. (221)
1872-1899 : Pierre BETIAUX, résidant à Biches jusqu'en 1894, puis à Brinay, d'où il dessert les deux paroisses. Mort à Dion (Allier) le 9 juillet 1901. (156)
1899-1900 : Théophile GOURE : mort le 5 décembre 1900 à Biches. (66)
1901-1905 : CREUZET, loue un presbytère à Alluy en décembre 1906 ; transféré à Garchisy le 15 septembre 1907. La paroisse est alors divisée entre les curés d'Alluy et de Brinay. M. PERDRIAT, curé d'Alluy, dessert Biches en 1919. (237)
1919-1952 : François DEGUIN, installé le 6 avril 1919 ; mort à Biches à 72 ans. En 1947, intérim de R.P. RIBAILLIER de l'Oratoire. (136)
1952 : LAUVERGEON, curé de Brinay et de Biches. (48)
1958 : BROCART, curé de Brinay et de Biches (44)
OFFICIERS LAÏQUES DE BICHES (28)
- Juge de Biches : 1666 François PELLE. (40)
- Procureur d'office à la justice de Biches : 1694, François BERNARD. (71)
- Fermier du prioré 1673, Jean ROSSIGNOL. (42)
- Lieutenant du prioré : 1708-1733, François BERNARD. (55)
- Procureur fiscal de Biches : 1649, Léonard BERNARD le jeune. (63)
- 1724-1736, François BERNARD. (31)
- Greffier de Biches : 1624, Jehan JAUBERT. (43)
- Syndic de la paroisse : 17O7, Jean MARCEAU. (45)
- Procureur d'office de la Commanderie ; 1701, Jean BRET. (57)
- Fermier du revenu de la Commanderie : 1660, Paul PELLE. (57)
- Homme d'affaires de la Commanderie : 1771, Antoine DERVAL. (60)
- Greffier du prioré et de la Commanderie : 1714, Jean BERNARD. (64)
- Greffier et fermier de la Commanderie : 1736, Jean SAUTEREAU (62)
- Greffier de la Justice de la Commanderie : 1769, Jacques SEGUENEAU en 1787, qualifié alors de greffier des justices des Prieuré et Commanderie. (147)
- Procureur fiscal de la Commanderie et procureur fabricien : Jean ROSSIGNOL (76)
- Receveur et procureur général et spécial de la Commanderie 1781-1787, Jean Baptiste GONDIER de Chérigny. (111)
- 1788 : M. BONNEAU. (20)
- Lieutenant civil et criminel de la justice et gruerie de la Commanderie et du Prieuré : 3 avril 1734, Joseph REBREGUET. (122)
- Procureur d'office de la Commanderie : 1762, François REBREGUET (66)
* Le capitaine Julien (Pierre Henneguier de son vrai nom) et le colonel Jarry (André Rondenay), chefs de la Résistance, ont installé le poste de commandement du maquis Julien au château de La Chaume des Vaux, sous le signal de Montrecon, le 6 juin1944. (265)
* Le docteur Louis Michon (1892-1973) a habité cette même propriété. Un calvaire a été érigé au bord de la route à la mémoire de son épouse. (163)
* L'écrivain Romain Rolland (1866-1944)est enterré à Brèves. Sa tombe est visible le long de l'église entre les arbres. Sa famille avait une étude notariale dans le village. (191)
* Le sculpeur Alfred Pina acheta les carrières de pierres de Malvaux qui jadis servirent à la construction de l'église prieurale de La Charité-sur-Loire. Elles lui permirent d'alimenter ses nombreuses commandes de monuments aux morts. Dans les années soixante-dix, on pouvait encore voir sur le bord de la route une commande inachevée. Sculpteur et non entrepreneur, les difficultés lui font céder rapidement l'affaire à la société des carrières de Vergers devenue carrières de Champcelée. (511)
* Charles Loupot, affichiste des années 1920, s'installe en 1934 à Chevroches et réalisera notamment le coq du clocher de l'église communale. Aujourd'hui, il existe une collection de ses œuvres au Musée Romain Rolland à Clamecy. (article manquant)
* Maurice Étienne Legrand, connu sous le nom de Franc-Nohain (1872-1934), né à Corbigny, poète, humoriste et journaliste. Il est le père de Jean Nohain, animateur de télévision française, et de l'acteur Claude Dauphin. (270)
* La famille Dupin, qui a donné à la France de nombreux magistrats, administrateurs, hommes politiques et hommes de science sous l’Ancien Régime et au XIXe siècle, était installée à Donzy et à Varzy depuis le XVIe siècle. (252)
* L'abbé Jacques-François Baudiau (1809-1880) : historien du Morvan et auteur d'une Histoire d'Entrains, il fut curé doyen d'Entrains-sur-Nohain de 1876 à sa mort. (191)
* Château d'Épiry : Domicile de l'ingénieur (breveté Ingénieur du Roi à l'âge de 21 ans le ) Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707) (plus connu sous le nom de Maréchal de Vauban depuis 1703) et de sa femme et cousine Jeanne d'Osnay depuis leur mariage au château d'Epiry le jusqu'au printemps 1681 où ils habiteront l'imposant château féodal de Bazoches.<br />Ce domicile est celui des parents de la mariée ; Vauban n'y passera que peu de temps, étant toujours par monts et par vaux au service du Roi. (602)
* Émile Lombard (1853-1939) : né à Garchizy dans un milieu modeste, son instituteur Georges Bourrichon (1821-1886) le pousse à cultiver le don exceptionnel qu'il a pour le dessin. Il lui obtient l'aide de quelques notables de Garchizy, dont le comte de St Haignant, et le petit Emile peut alors continuer ses études à Nevers puis aux Beaux-Arts de Paris. Il est remarqué par Odilon Redon (1840-1916), il devient son assistant, puis il collabore à plusieurs projets avec pierre Puvis de Chavannes (1824-1898) dont les peintures murales du Panthéon et celles de l'escalier de la Sorbonne (1884).<br />En 1885, devenu l'ami de l'écrivain Laurent Tailhade (1854-1919), il rencontre par son intermédiaire, Madeleine Valiama, l'aieule de la célèbre physicienne, et qui tient un célèbre salon près de l'Opéra. Cette dernière va devenir son épouse en 1886. Ils auront 3 enfants: Eugène (directeur d'usine à Fourchambault), Paul (le musicien auteur de la "symphonie tunisienne") et Maria.<br />Jusqu'à la Première Guerre Mondiale, Emile Lombard deviendra un portraitiste réputé, jusqu'à tomber dans l'oubli lorsque le symbolisme sera passé de mode. Madeleine Lombard et Maria mourront en 1916 de la fameuse grippe espagnole.<br />Émile Lombard se suicide le 2 Septembre 1939 en apprenant que le monde sombre dans une nouvelle guerre. (1388)
* Pierre Babaud de la Chaussade (né à Bellac le , mort à Paris le ), maître de forges, possède des forges et des bois en Nivernais depuis 1720. Il fait des forges royales de Guérigny une manufacture d'importance nationale et celles-ci le restent jusqu'à la première moitié du XXe siècle. Après leur acquisition par l'État peu après 1780, une ordonnance royale leur conserve le nom de « forges de la Chaussade », en signe de reconnaissance pour les services que Babaud a rendus à la France. (577)
* En 1972, Léone Corbier accède à la mairie. C'est une militante communiste et féministe qui ne fait aucun secret de son appartenance à la Franc-maçonnerie, organisation au sein de laquelle elle occupe d'ailleurs une position d'importance puisqu'elle participe de très près, en 1952, à la création de la Grande Loge Féminine de France. Dans un milieu tout à la fois rural et industriel, cette élection crée la surprise. En 1978, Léone Corbier choisit de ne pas se représenter. (542)
* Le sculpteur statuaire italien Alfred Pina s'y installa de 1922 à sa mort en 1966. Auteur du monument aux morts de Mesves, il est enterré dans le cimetière communal. (182)
* Henri Cadiou (1906-1989), né et mort à Paris. Artiste peintre ayant fréquenté Moulins-Engilbert de 1935 à 1988, où il peignit une partie importante de son œuvre. Sa sépulture se trouve à Moulins-Engilbert. (246)
* Louis Dauvergne (1828-1899), peintre, né au château de Vesvres à Rouy et décédé à Nevers, ou il habitait chez sa soeur 4 place de la République, depuis 1894. Il est inhumé dans le caveau familial à Montapas (article manquant)
* Baron de Vergennes : ministre des affaires étrangères sous Louis XVI. (73)
* Monsieur Ferrrand : Maître des Forges de La Vache nationalisées au XIXe siècle et Maire du village. (108)
* Le théologien dominicain Monseigneur Michel Louis Guérard des Lauriers (1898-1988) : établi sur ses vieux jours au Château de Mouchy en bordure de la forêt de Bertranges repose au cimetière de Raveau. (216)
* Étienne Geoffroy Saint Hilaire : né en 1868, petit fils d'Isidore Geoffroy Saint Hilaire, diplômé de l'institut agricole de Beauvais, il se fixa à Saint-Agnan en 1892 et devint maire de Saint-Agnan et député de la Nièvre en 1919. (286)
Né le 1er juillet 1863, cet ancien élève du Lycée de Nevers entra dans l'administration et séjourna quelque temps en Corse comme receveur à l'enregistrement. Il finit par en démissionner et « vint terminer sa vie dans son village natal, où sa muse originale, gracieuse et légère, qui ne dédaignait pas de tremper ses lèvres dans le bon petit vin de Segoule ou de Montsavault, lui inspira des poésies d'une saveur locale particulière et bien personnelle. », comme le décrit L.M Poussereau. (513)
Il mourut à Azy le 7 juin 1927. (32)
;L'économiste et sociologue Jean Fourastié (1907 - 1990) (62)
Cet ingénieur de l'Ecole Centrale des Arts et Manufactures, né à Saint-Benin, enseigna dans les plus hautes institutions économiques ; il a écrit des ouvrages incontournables pour qui s'intéresse à la société industrielle du XXe siècle ; voici les principaux, dont certains écrits avec sa fille Jacqueline : La réalité économique, Les 30 glorieuses, La comptabilité, Les conditions de l'esprit scientifique, Essai de morale prospective, Faillite de l'université ?, D'une France à une autre, Le grand espoir du XXe siècle, Pouvoir d'achat prix et salaires, Ce que je crois, Le rire – suite, Mémoires en forme de dialogue. (719)
;Le poète et historien Louis Mathieu Poussereau (1855 - 1931) (62)
Natif de Biches, dans le Bazois, il fut l'exemple même de l'autodidacte éclairé. Après avoir été simple employé, puis chef de service à la houillère de La Machine, A la fois : poète, historien, archéologue et peintre de talent (il fut l'élève d'Hector Honeteau de 1879 à 1890) il consacra sa vie à célébrer le Nivernais, ses traditions et ses talents à travers des ouvrages, des conférences, et des communications sur l'histoire et la sociologie de notre pays, qui font référence, aujourd'hui encore ! La liste de ses ouvrages ou études est trop longue pour l'énumérer ici. Ami de tous les peintres, sculpteurs ou poètes nivernais, il les a toujours soutenu et même guidé dans leur parcours artistique. Il publie un livre sur Rosa Bonheur en Nivernais en 1925 et organise une fête à sa mémoire dans l'allée du parc du Château de la Cave, à Beaumont Sardolles. En 1921, il se retire à Saint-Benin. A la suite d'une longue et douloureuse maladie, il s'éteignait à Azy le 24 décembre 1931, âgé de 76 ans et fut inhumé à La Machine. (1077)
Elle arriva pour la première fois dans la Nièvre à l'automne 1848. Elle n'avait alors que 26 ans, mais était déjà une peintre animalière confirmée. (155)
« Mam'zelleRosa » comme l'appelaient les gens du pays, les séduisit vite par sa grâce, sa vivacité, sa simplicité et l'intérêt qu'elle portait au monde paysan. (167)
C'est son tableau « Labourage nivernais » datant de 1849 (exposé au Musée d'Orsay à Paris) qui lança sa carrière et rendit bientôt célèbre mondialement cette peintre des animaux et des hommes au travail, dont même le Bulletin paroissial de St-Benin vanta les mérites en 1973. (291)
Un musée lui fut dédié au Château de Fontainebleau en 1920, et ses œuvres furent sculptées ou lithographiées par de nombreux artistes connus. Une plaque, rappelant que Rosa Bonheur y descendait de diligence lors de ses séjours, fut apposée en 1929 sur l'ancien relais de Poste de Maison Rouge, à l'initiative de son grand spécialiste local : Louis-Mathieu Poussereau ; elle disparut lors de la démolition du bâtiment en 1970. (438)
;Le général Alexandre Alphonse Potelleret (1835-1915) (55)
Alexandre Alphonse Potelleret naquit le 3 septembre 1835 à Saint-Benin-d'Azy. Après une carrière dans la gendarmerie, il est nommé général de brigade en 1894. Un an plus tard il devient Président du comité technique de la gendarmerie. Il meurt le 23 mars 1915 à la Ferté-sous-Jouarre. (299)
* Deux médiévistes réputés, le philologue Robert Bossuat (1888-1968), membre de l'Institut, et son frère l'historien André Bossuat (1892-1967), sont issus d'une famille de meuniers installés depuis le début du XIXe siècle dans les trois moulins de la commune. (296)
*Louis-Joseph de Thoury est né le à Sanizy (actuelle commune de Saint-Saulge) et est mort le à Saint-Saulge, ce fut le premier des Thoury qui vécu à Saint-Saulge, la famille ayant fui la Révolution française fut contrainte de quitter son fief de Sanizy. Il fut nommé maire de Saint-Saulge et chevalier de Malte de minorité le . Et il construisit sous le Second Empire le château de Saint-Pierre-la-Chapelle sur la commune de Saint-Saulge. (533)
*Eugène Joseph Charles de Thoury est né le à Saint-Saulge et est mort le au château de Saint-Pierre-la-Chapelle à Saint-Saulge. Il fut élu maire de Saint-Saulge et a offert à l'église de Saint-Saulge deux vitraux (du chœur) sur la demande de son épouse la comtesse Marie-Antoinette Aymé des Roches de Noyant ; d'ailleurs, les doubles armoiries Thoury/Noyant figurent sur le vitrail de gauche (dans le chœur). Il est le fils de Joseph Louis de Thoury. (515)
* Louis Dauvergne, (1828-1899) né au Château de Vesvres à Rouy, peintre qui demeura dans la commune de 1861 à 1894,décéda à Nevers et fut inhumé dans le caveau de famille à Montapas (224)
*Robert de Thoury (né le à Clermont-Ferrand et mort le au Château de Mathas) est issu de la grande famille des Thoury, il fut conseiller général de la Nièvre et élu maire de Saint-Saulge le . Il est le fils de Eugène Joseph Charles de Thoury. (326)
* Le médecin résistant docteur Louis HELION, fusillé en 1944, a été remplacé à Saint-Saulge -F 58- par le docteur Salomon BASKIN (1902 - 1978) dont l'épouse Ratnieva BASKIN née à Kovel en Ukraine (1903 - 1942) et leurs deux enfants nés à Nancy -F 54- Jacqueline (1932 - 1942) et Michel BASKIN (1937 - 1942) ont été déportés fin août 1942 en partance de Bordeaux -F 33- décédés à leur arrivée à Auschwitz -P... (462)
*François d’Estut, seigneur de Tracy, acquéreur en 1626 de certaines rentes sur la terre de Veaugues. (108)
* Le , le chanteur Sacha Distel est victime d'un accident sur la route nationale 7, dans la traversée du hameau de Maltaverne dont la vitesse limite est de 50km/h, à bord d'une Porsche avec l'actrice Chantal Nobel, alors héroïne d'un feuilleton télé à succès Châteauvallon. La voiture, propriété de l'actrice, conduite par le chanteur, se dirigeant de nuit vers le Sud, quitta la route juste après le virage à gauche à la sortie du hameau et heurta à pleine vitesse un poteau électrique en ciment sur le côté gauche de la route. Le choc effroyable eut lieu sur le flanc droit de la voiture, Chantal Nobel, grièvement blessée en ressort handicapée à vie; le conducteur, légèrement blessé, sera condamné à un an de prison avec sursis pour blessures involontaires. (870)
Cette ville de Chalais (Charente) fut le berceau de la famille de Talleyrand-Périgord de 1277 à 1883, et ceci lorsque l'unique héritière Agnès, fille d'Olivier, seigneur de Chalais, épousa en 1277 Hélie de Talleyrand, seigneur de Grignols (Dordogne). (321)
Signalons que le château de Chalais, aux mains des Gascons alliés aux Anglais, fut pris par Jacques (le premier) de Chabannes fin juin 1453, en route vers la Bataille de Castillon qui marqua la fin de la guerre de Cent Ans. (234)
* Guillaume Tollet (né à Moulins-Engilbert en 1735, mort en 1805), curé du village de Vandenesse puis élu évêque constitutionnel de la Nièvre en 1791 et qui y restera jusqu'au Concordat de 1801 où le diocèse de Nevers fut rattaché (jusqu’en 1823) à celui d’Autun nouvellement créé, et élu aussi Président du Directoire (Conseil Général) de la Nièvre en 1792. (408)
* La famille Dupin, qui a donné à la France de nombreux magistrats, administrateurs, hommes politiques et hommes de science sous l'Ancien Régime et au XIXe siècle, était originaire de Donzy et de Varzy, dont: (230)
* L'Abbé Alexandre de Plater est inhumé dans le cimetière de Verneuil. Il est l'auteur du livre D'un château de Courlande à un presbytère nivernais (éditions Subervie, 1959). Témoin de la Révolution russe, prêtre à Varsovie notamment dans le ghetto juif, c'est une vie hors du commun. Ce livre est une traversée du siècle. (374)
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