Un homme de passage

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Un homme de passage est une autofiction de Serge Doubrovsky, publiée en 2011 chez Grasset[1],[2],[3],[4],[5],[6],[7] et ayant obtenu le grand prix de littérature de la SGDL. Il y évoque notamment sa relation ambiguë avec Cécile Balavoine, alors une de ses élèves, laquelle lui répondra, sur le mode littéraire également, avec son roman Une fille de passage[8].

Édition[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (fr) « Serge Doubrovsky : "Écrire sur soi, c'est écrire sur les autres" », Le Point, 22 février 2011.
  2. (fr) Fabrice Thumerel, « Autour de Un homme de passage de Serge Doubrovsky », Autofiction.org, consulté le 2 janvier 2012.
  3. (fr) « Serge Doubrovsky : "Jai voulu faire sentir le XXe siècle" », Libération, 23 février 2011.
  4. (fr) Vincent Colonna, « Un homme de passage de Serge Doubrovsky », Le Magazine littéraire, 1er avril 2011.
  5. (fr) Isabelle Falconnier, « Serge Doubrovsky, passeur de vie et de mort », L'Hebdo, 26 janvier 2011.
  6. (fr) David Caviglioli, « Vieux "je" », Le Nouvel Observateur, 3 mars 2011.
  7. (fr) Michel Contat, « Serge Doubrovsky : un passant métaphysique se retourne sur sa vie », Le Monde des livres, 3 février 2011.
  8. Claire Devarrieux, « Cécile Balavoine, «Chair Serge» », Libération,‎ (lire en ligne)

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