Rodrigo Gómez García

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Rodrigo Gómez García
Illustration.
Fonctions
Député aux Cortes Generales

(3 ans, 10 mois et 20 jours)
Élection
Réélection
Circonscription Saragosse
Législature XIe, XIIe et XIIIe
Groupe politique Ciudadanos
Biographie
Nom de naissance Rodrigo Gómez García
Date de naissance (43 ans)
Lieu de naissance Teruel (Espagne)
Nationalité Espagnole
Parti politique Ciudadanos
Diplômé de Université Charles-III
Profession Avocat

Rodrigo Gómez García, né le à Teruel, est un homme politique espagnol membre de Ciudadanos.

Il est élu député de la circonscription de Saragosse lors des élections générales de .

Biographie[modifier | modifier le code]

Études et profession[modifier | modifier le code]

Il réalise ses études à l'université Charles-III de Madrid où il obtient une licence en droit et en économie. Possédant un master en médiation de l'université CEU Cardinal Herrera et un master en conseil juridique pour entreprises, il possède son propre cabinet d'avocat.

Candidat à la mairie de Teruel[modifier | modifier le code]

Il est investi en deuxième position sur la liste du nouveau parti centriste Ciudadanos dans la circonscription autonomique de Teruel lors des élections aragonaises de [1]. Avec un score de 7,20 %, seul le tête de liste Ramiro Domínguez est élu aux Cortes d'Aragon[2].

Dans le même temps, il est candidat à la mairie de Teruel et affronte notamment le maire conservateur sortant Manuel Blasco[3]. Au soir du scrutin, sa liste arrive en cinquième position en obtenant le soutien de 9,51 % des électeurs et deux mandats de conseillers municipaux[4]. Ces derniers s'abstiennent lors de la session d'investiture du maire et permettent la réélection de Manuel Blasco qui gouverne en minorité[5].

Député national[modifier | modifier le code]

En suivant, il participe aux primaires visant à désigner le candidat du parti en vue des élections générales du mois de . Choisi par les militants, il est investi dans la circonscription de Saragosse[6] et soutient que l'Aragon aura « représentation et voix » au Congrès des députés[7]. Il démissionne de son mandat municipal pour mener campagne[8]. Élu à la chambre basse des Cortes Generales grâce à l'appui de 17,82 % des votants, il intègre la commission de la Justice et celle des Pétitions. Il exerce les fonctions de porte-parole adjoint à la commission de l'Éducation et des Sports.

Il conserve son mandat parlementaire à la suite du scrutin législatif anticipé de consécutif à l'impossibilité de former un nouvel exécutif national[9]. Il est alors promu porte-parole titulaire à la commission de l'Éducation et à la commission de l'Économie, de l'Industrie et de la Compétitivité et acquiert le poste institutionnel de deuxième secrétaire de cette même commission.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (es) « Ciudadanos no hace hueco en sus listas electorales de Aragón a los ex de UPyD. », sur abc.es, (consulté le ).
  2. (es) « Resultados de las elecciones a las Cortes de Aragon de 2015. », sur juntaelectoralcentral.es, (consulté le ).
  3. (es) « Rodrigo Gómez García. », sur heraldo.es, (consulté le ).
  4. (es) « Resultados de las elecciones municipales de 2015 en Teruel. », sur mir.es, (consulté le ).
  5. (es) « Manuel Blasco, reelegido alcalde de Teruel con los votos del PP », sur heraldo.es, (consulté le )
  6. (es) « Rodrigo Gómez encabeza en Zaragoza la lista de Ciudadanos Aragón para el Congreso. », sur heraldo.es, (consulté le ).
  7. (es) « Rodrigo Gómez encabeza la lista de C's para el Congreso por Zaragoza. », sur europapress.es, (consulté le ).
  8. (es) « Rodrigo Gómez dimitirá como concejal de Ciudadanos en Teruel para ser cabeza de lista al Congreso por Zaragoza. », sur heraldo.es, (consulté le ).
  9. (es) Junte électorale centrale, « Candidaturas proclamadas para las elecciones al Congreso de los Diputados y al Senado, convocadas por Real Decreto 184/2016, de 3 de mayo. », sur BOE.es, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Fiche sur le site du Congrès des députés : XIe, XIIe et XIIIe législatures.