Amazap II d’Ibérie, aussi nommé Amazasp II (en géorgien : ამაზასპ II ; mort en 186/189), est le dix-huitième souverain du royaume d’Ibérie, régnant d’après les sources de 182/185 à 186/189. Roi dont les origines sont discutées, il doit durant son règne affronter les envahisseurs alains tout en s’alignant sur la Parthie, abandonnant ainsi la politique pro-romaine de ses prédécesseurs. Ce changement de politique cause son renversement par les forces réactionnaires et pro-romaines d’Ibérie après quatre années de règne. Amazap II est le dernier roi d’Ibérie de la dynastie artaxiade.
Entre 2014 et 2018, les investissements directs étrangers ont baissé de 1 813 à 1 265 millions de dollars.
En 2018, ces investissements provenaient principalement d'Azerbaïdjan (19,5%), des Pays-Bas (16,7%), de Grande-Bretagne (14,1%), des États-Unis (8,1%), de Chine (5,9%), de Panama (5,8%), de Russie (5,5%), de Turquie et du Luxembourg (3,9%)
Georgian Manganese obtient un accord avec une partie de ses 3 000 employés en grêve depuis le 23 avril, incluant une augmentation de salaire de 250 GEL.
un affrontement se déroule entre membres de l'Église orthodoxe géorgienne dans la ville de Martvili, où le nouvel évêque Stéphane est accusé de vouloir vendre les domaines historiques de Salkhino (photo) à un entrepreneur. Plusieurs blessés aggravent la crise au sein de l'Église.
24 avril : Artchil Talakvadzé démissionne comme président du Parlement de Géorgie. Le député Kakha Koutchava (RG) est élu pour le remplacé.
23 avril : Chalva Lomidzé est nommé comme directeur du Service d'Intelligence de Géorgie après plus d'un an de service par intérim.
22 avril : le procureur général accorde le statut de victime à Afghan Moukhtarli, un journaliste-dissident azéri enlevé de son exil en Géorgie en 2017 avant de faire surface dans une prison à Bakou qui accuse les autorités géorgiennes d'avoir contribué à sa disparition.
21 avril : l'ONG Georgia Democracy Initiative porte pleinte auprès de la CEDH contre le gouvernement géorgien au sujet de l'« affaire des cartographes », le procès engagé par le ministère des Affaires intérieures contre deux anciens dignitaires diplomatiques géorgiens accusés d'avoir cédé illégalement des terres à l'Azerbaïdjan en 2006 lors de négociations pour la démarcation des frontières.
20 avril : Charles Michel visite la Géorgie pour la seconde fois depuis le début de l'année pour confirmer la signature des Accords du 19 avril entre les partis politiques géorgiens.
19 avril : sept partis politiques parlementaires signent l'« Accord de Charles Michel » suivant un appel à l'action de la présidente Salomé Zourabichvili, qui promet de signer un acte de clémence pour l'activiste Guiorgui Rouroua. La signature se déroule au Palais des Orbeliani avec la présence des médiateurs européens et américains, de la présidente Zourabichvili et la présence virtuelle de Charles Michel, qui déclare la fin de la crise politique géorgienne qui a débutée en juin 2019. Le MNU, le plus large parti d'opposition, refuse de signer l'accord.
18 avril : le président Charles Michel du Conseil européen propose un nouvel accord entre les forces politiques géorgiennes pour surmonter la crise nationale, envisageant la libération de Nika Melia (dirigeant du MNU en prison pour avoir violer ses conditions d'arrêt à domicile) et de Guiorgui Rouroua (activiste d'opposition en prison pour port d'arme illégal), une promesse vers des réformes judiciaires et éléctorales, une amnistie pour les emprisonnés des manifestations du 20 juin 2019, ainsi que de nouvelles éléctions parlementaires dans le cas où le RG remporte moin de 43 % aux éléctions municipales d'octobre.
Le 24 juin1992, la paix fut déclarée entre la République de Géorgie et sa république séparatiste d'Ossétie du Sud. La guerre avait été déclarée le 5 janvier1991 par le nouveau président Zviad Gamsakhourdia. Cette guerre fut très sanglante et causa la mort de 2 000 Géorgiens et 200 Sud-Ossètes. La première Guerre d'Ossétie du Sud provoqua la division de la Géorgie entre zones contrôllées par les Sud-Ossètes et les Géorgiens. L'Ossétie du Sud déclara son indépendance suite à la fin de la guerre mais ne fut reconnue par aucun pays de la Communauté indépendante, jusqu'à la guerre d'Ossétie du Sud de 2008.