Pellegrino Spaggiari

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Pellegrino Spaggiari
Naissance
Décès
1746 (55-56 ans)
Drapeau du Royaume de France Royaume de France
Nationalité
Activité
Mouvement
Père
Giovanni Spaggiari (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant

Pellegrino Spaggiari, dont le nom est aussi orthographié Pellegrino Spagiasi, né en 1680 à Reggio d'Émilie et mort en France en 1746, est un peintre, scénographe et décorateur italien baroque.

Biographie[modifier | modifier le code]

Pellegrino Spaggiari naît à Reggio d'Émilie en 1680 (ou vers 1690)[1],[2]. Il est le fils du peintre Giovanni Spaggiari. Il apprend les rudiments de l'art de son père, puis devient élève de Francesco Galli da Bibiena[3]. Il a travaillé dans des bâtiments religieux, comme en témoigne une peinture dans l'autel supérieur de l'église San Domenico (it) de Reggio[4]. Spaggiari était aussi actif en tant que scénographe et a notamment été actif au Teatro municipale de Reggio d'Émilie, avant d'être à Milan en 1728[1].

Il meurt en France vers 1746 ou en 1750[4],[1],[5]. Une voie du quartier Buco del Signore (it) de Reggio d'Émilie porte son nom.

Œuvres[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c (it) Carlo Govoni, « Spaggiari Pellegrino », sur Quadri Italiani, (consulté le ).
  2. Pigozzi 1984, p. 7.
  3. Spooner 1865, p. 912.
  4. a et b (en) « Spagiasi, Pellegrino or Spaggiari », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit Accès payant, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787).
  5. Daryl 1878, p. 206.
  6. Pigozzi 1984, p. 20.

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (en) Philippe Daryl, The Picture Amateurʼs Handbook, Londres, Crosby Lockwood, , 252 p. (lire en ligne) ;
  • (it) Marinella Pigozzi, Disegni di decorazione e di scenografia nelle collezioni pubbliche reggiane, Reggio d'Émilie, Commune de Reggio d'Émilie, , 108 p. (lire en ligne) ;
  • (en) Shearjashub Spooner, A Biographical History of the Fine Arts, vol. II, New York, J. W. Bouton, (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]