Frédérick Rapilly

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Frédéric Rapilly
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Frédérick Rapilly, né le à Vannes (Morbihan), est journaliste, grand reporter et écrivain français.

Biographie[modifier | modifier le code]

Après avoir passé un Bac D, Frédérick Rapilly obtient un DEA en droit communautaire à la faculté de droit de Rennes[1].

En parallèle, il est DJ. Accompagné du collectif 601 Chup's, il organise des soirées électro influencé par le son de Manchester. A Rennes, il participe au label Lord's Records (Off The Wall, Marc Saty...), côtoie la scène rock locale organise des concerts, un festival rock, et rejoint comme dessinateur le fanzine étudiant Labération[1].

A Rennes, il crée et anime sur la station Canal B l'émission Kumba-Wumba, .

En 1992, il est diplômé de l'Institut de journalisme Robert Schuman à Bruxelles[Quand ?], puis de l'IPJ à Paris[Quand ?].

Au début des années 1990, il fait un passage au bureau européen de France 3, travaille en Bretagne au Télégramme, puis à Ouest-France.Frédérick Rapilly collabore également avec plusieurs publications dont Neptune Yachting, France Dimanche, Tennis Magazine, Le Journal du dimanche, Playboy, Paris Match, avant de rejoindre Télé 7 jours en 1996 comme journaliste, puis rédacteur en chef adjoint[2].

Il collabore au magazine Hit & News, au webzine Urbuz (ex-Metromag), et à divers projets dont le lancement de Paris Match en version russe[1].

En 2008 et 2009, il anime la version française des MTV Europe Music Awards[1] avec la chanteuse China Moses.

En 2013, il participe comme chroniqueur au Débat des éditorialistes sur la chaîne Non Stop People.

Surfer, il cofonde avec Yves Armingaud au début des années 1990 la Breizh Surfing Association et effectué plusieurs surf-trips.

Frédérick Rapilly écrit des ouvrages sur des séries télé (Mentalist)[3], des livres sur les musiques rock, pop, électro et techno, plusieurs biographies et trois thrillers (Le Chant des âmes en 2011, Le Chant du Diable en 2012, Dragon Noir en 2018)[2].

Il est membre du collectif Pôle Hard.[réf. nécessaire]

{Frédérick Rapilly tient aussi depuis avril 2010 le blog Thrillermaniac sur lequel il chronique polars et thrillers, et interviewe des auteurs français et étrangers.

Il collabore aussi depuis 2020 à la revue Alibi, mook trimestriel consacré à l'univers du polar et aux faits divers, au fanzine Twice (ex Twice on Gothic), trimestriel consacré au rock et à la culture underground, ainsi qu'à la revue Fantask.

Il vit depuis 2014[Quand ?] à Montreuil, près de Paris.

Œuvres[modifier | modifier le code]

Anthologies[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Œuvres collectives[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Frédérick Rapilly », sur K Libre,
  2. a et b « Belle-Île-en-Mer. Frédérick Rapilly est venu en repérage pour écrire son livre », sur Ouest France,
  3. a et b Rédaction Le Figaro, « Les secrets du Mentalist dévoilés », sur Le Figaro TV Magazine,
  4. Nicolas Verry, « Manaudou sur le podium... en librairie ? », sur Livres hebdo,
  5. Rédaction, « Huit ouvrages autour de la musique » Accès payant, sur Le Monde,
  6. Nicolas Julliard, « A la recherche de Mark Hollis, l'absent aigu », sur RTS,
  7. Éric Bureau, « Mark Hollis, un génie sauvé de l’oubli » Accès payant, sur Le Parisien,
  8. Lucas Wils, « « Indochine : Dizzidence Rock’N’Roll » Une immersion dans la discographie du groupe de Nicola Sirkis », sur Melody TV,
  9. Clara Lemaire, « 15 beaux livres sur la musique », sur Rock & Folk,
  10. Cédric Rouquette, « Chronique livres », sur Magic, revue pop moderne,
  11. Robbie Ordell, « « New Order – Blue Monday » de Frédérick Rapilly : quand la légende est plus belle », sur Benzine,
  12. Denis Roulleau, « Fac 73 », Rolling Stone,‎ 17-23 mars 2023, p. 23
  13. Gérard Collard, « "Dragon noir" de Frédérick Rapilly éd. Critic / Mag' de la santé », sur France 5,

Liens externes[modifier | modifier le code]