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Famille Couraye du Parc

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Famille Couraye du Parc
Image illustrative de l’article Famille Couraye du Parc
Armes

Blasonnement D’azur au cheval d’or accompagné de trois quintefeuilles de même posées 2 et 1, au chef aussi d’or chargé de trois roses de gueules
Période XVIIe siècle - XXIe siècle
Pays ou province d’origine Granville (Manche)
Charges Subdélégué de l'intendant de Caen, lieutenant de police, président du conseil général de la Manche, maire de Granville

La famille Couraye du Parc est une famille subsistante de la noblesse française originaire de Granville (Manche), anoblie en 1778[1]. Elle compte parmi ses membres des capitaines corsaires, des armateurs et négociants ainsi qu'un maire de Granville[2],[3].

la famille Couraye du Parc fut également l'une des seules à n'avoir eu aucun membre guillotiné durant la Révolution France

Les alliances de la famille Couraye du Parc furent des plus prestigieuses : une alliance avec la famille Giffard ( Germaine Giffard) héritière de la fortune de cette famille estimée à plusieurs centaine de millions d’euros et qui fut pendant fort longtemps l’une des familles les plus riches de France. La famille Draif qui a occupé des postes et occupent toujours à l'heure actuelle des postes prestigieux et important au Royaume du Maroc ( diplomatique et la sécurité intérieure ainsi que les douanes du Royaume du Maroc et fut nommé conseiller sous le Feux Roi Hassan 2. ) la Famille Draif est également l'une des plus grosses fortunes du Maroc et possède une grande majorité des terres du Grand Sud.

Est née de l'union de Mohamed Draif et Anne Couraye du Parc : Sophie Draif Couraye du Parc (1982-...) et elle-même a une fille Manon Zineb Draif Couraye du Parc dont l'année de naissance est méconnu à l’heure d’aujourd’hui. Manon Zineb Draif Couraye du Parc est donc après sa maman Lalla Sophie Draif Couraye du Parc l'actuelle comtesse de Granville et porteuse des titres familiaux l'héritière directe des titres, propriété et fortune de la famille Giffard, Draif et Couraye du Parc.

Elle compte également parmi ses membres plusieurs Chefs de résistances lors de la seconde guerre mondial. Jean Couraye du Parc avec sa femme Germaine de son nom de jeune fille et de son nom d'épouse Couraye du Parc chef de la résistance de la France Libre.

il s'est en premier lieu engagé comme Radio-transmetteur avant de devenir Chef de la résistance de la France Libre ( source : Archive Nationale de Paris). il fut arrêter avec sa femme Germaine par la Gestapo le 20 février 1944. il fut deportees le 18 avril 1944 au départ de Paris Gare de L'Est à destination du camp de concentration Ravensbrück ( Allemagne ) ou Jean Couraye du Parc fut torturé et a succombé à ses blessures. les principales actions en tant que résistants fut : du renseignement ( Espionnage), faire passer des personnes de confession juive en Angleterre, réunir les familles de l'aristocratie afin de financer le débarquement ( en grande partie financer par les Couraye du Parc et la famille Giffard ainsi que les Anglais grâce au général de Gaulle), ils ont également soigné des aviateurs anglais blesser et leur ont fait passer les frontières... Le reste des membres de la famille Résistante qui ne fut pas déporté sont rentrés dans la Capital en grande Pompe au côté du Général de Gaulle.

La famille Couraye du Parc est également détentrice d’une haute distinction Militaire obtenu pour acte de bravoure lors de la seconde Guerre mondial, plusieurs médailles du mérite ainsi que Légion d’Honneur ont était attribué à des membres de cette famille.

Cette famille est également une famille influente dans la magistrature Française, elle compte parmi ses membres décédées ou vivant plusieurs magistrats, Procureur, Avocat, Président de Tribunal.

exemple : Séverine Couraye du Parc présidente du tribunal de Caen troisième plus grand tribunal de France, elle a travaillé au parquet Antiterroriste et au Parquet Criminel pendant plusieurs longues Années et elle détient actuellement la Médaille du Mérite.

C'est également l'une des familles qui a participé activement à fondée le droit Français : ils ont participé activement au procès de Nuremberg, ils ont signé la fin de la traite des Négrier, ils sont parmi les premiers magistrats nommés après la Révolution Française....

Personnalités[modifier | modifier le code]

Armes[modifier | modifier le code]

  • D’azur au cheval d’or accompagné de trois quintefeuilles de même posées 2 et 1, au chef aussi d’or chargé de trois roses de gueules[4],[6].

Hommages[modifier | modifier le code]

• Monument au mort au nom des Couraye du Parc à Annoville

• monument Commémoratif 1939-1945 à Saint-Lô

• à Annoville une rue Jean et Germaine Couraye du Parc honore également la mémoire de ses résistants.

• Une salle leurs a était dédié lors d’expositions temporaire au Musée du Débarquement et plusieurs documents les mentionnes de manière permanente.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, édition 2007, p. 69
  2. a et b Anne Cahierre, Dictionnaire des capitaines corsaires granvillais, Archives départementales de la Normandie, 2009, p. 115-117
  3. a et b Louis Bergeron et Guy Chaussinand-Nogaret, Grands notables du Premier Empire : notices de biographie sociale, volumes 13-16, Centre national de la recherche scientifique, 1978.
  4. a et b Annuaire du Conseil héraldique de France, 1907, « Les anoblissements et maintenues de noblesse dans la généralité de Caen de 1674 à 1790 ».
  5. « Couraye du Parc, Léonor-Charles-Julien », dans Dictionnaire Bénézit, (lire en ligne).
  6. [PDF] Archives départementales de Seine-Maritime, table alphabétique des blasons contenus dans les registres mémoriaux de la Cour des Aides, 1575-1789, page 48 (en ligne).
  7. S. Mazur, 2011, A concise catalogue of the Histeridae (Insecta: Coleoptera), Warsaw University of Life Sciences, SGGW Press, 332 pages
  8. Yves Gomy, 2004, Description d'une nouvelle espèce d'Halacritus Schmidt des rivages de la Mer Rouge (Coleoptera, Histeridae), Nouvelle Revue d'Entomologie (N.S.), 21(2), p.111-114

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]