Elizabeth Cavendish-Bentick
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| Elizabeth Cavendish-Bentinck | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Membre des Quatre Cents | |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Livingston |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Newport, Rhode Island, USA |
| Date de décès | (à 88 ans) |
| Sépulture | Londres, Grande-Bretagne |
| Nationalité | Américaine |
| Père | Maturin Livingston |
| Mère | Ruth Baylies |
| Conjoint | William George Cavendish-Bentinck |
| Résidence | New York |
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Elizabeth Cavendish-Bentick (12 août 1855 - 04 novembre 1943), née Livingston, est une figure de la société new yorkaise pendant l'âge doré. Elle a épousé William George Cavendish-Bentinck, un député britannique[1],[2].
Jeunesse[modifier | modifier le code]
Elizabeth est née le 12 août 1855 à Newport, Rhode Island, aux Etats-Unis d'Amérique. Elle est la fille de Maturin Livingstone (1816-1888) et de Ruth Baylies (1827-1918), mariés en 1852[3]. Elizabeth a une sœur jumelle, Ruth Livingston, épouse d'Ogden Mills[2]
Vie personnelle[modifier | modifier le code]
Elle a épousé William George Cavendish-Bentick le 12 août 1880. Il s'agissait de l'un des mariages les plus prestigieux entre une américaine et un britannique, elle apporta lors de son union une dot de 1.5 million de dollars[4]. Son époux, William, est l'arrière petit-fils du Premier Ministre britannique William Cavendish-Bentick, troisième duc de Portland[5].
Elizabeth et William eurent deux filles :
- Marie Augusta Cavendish-Bentick (1881-1913), épouse en 1906 John Gorman Ford, Premier secrétaire de l'ambassade britannique à Rome[5].
- Ruth Evelyn Cavendish-Bentick (1883-1978), épouse en 1907 Walter Burns, issu d'une grande famille de banquiers américains[5].
Son mari est décédé en 1909, près de Windsor, elle lui survécut jusqu'au 04 novembre 1943, jour durant lequel elle décéda dans sa résidence londonienne du 5 Richmond Terrace, près de Whitehall[4].
Mondanité[modifier | modifier le code]
Elizabeth fut nommée sur la liste des Quatre Cents, une liste publiée par Ward McAllister dans le New York Times et qui était un index des 400 personnes les plus en vogues durant l'âge doré à New York. Elle avait pour but de présenter l'élite de la société newyorkaise et Elizabeth en faisait partie, notamment grâce à son mariage avec une grande famille britannique que sont les Cavendish-Bentick[6].
En 1904, alors qu'ils séjournaient au château de Highcliffe, en Angleterre, le couple hébergea le roi britannique Edward VII[4].
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (en-US) Special Cable to THE NEW YORK TIMES, « I G. CAVENDISH-BENTINCK DEAD.; Wife Was Elizabeth Livingston, Sister of Mrs. Ogden Mills. », The New York Times, (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
- Cuyler The Library of Congress, Genealogical and family history of southern New York and the Hudson River Valley : a record of the achievements of her people in the making of a commonwealth and the building of a nation, New York : Lewis Historical Pub. Co., (lire en ligne)
- « Elizabeth Livingston Cavendish-Bentinck... », sur fr.findagrave.com (consulté le )
- « Elizabeth Cavendish-Bentinck (1855-1943) - HouseHistree », sur househistree.com (consulté le )
- « Portland, Duke of (GB, 1716 - 1990) », sur www.cracroftspeerage.co.uk (consulté le )
- (en) Ward MacAllister, « The Four Hundred Ward McALLISTER's List », New York Times, (lire en ligne)
