Discussion utilisateur:Michel BUZE/tests/Graal

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Dans la poésie, Wolfram exprime le dédain pour la version non achevée de Chrétien de Troyes, et déclare que sa source était un poète appelé Kyot qui vivait en Provence. Quelques spécialistes croient que Wolfram a fait allusion à Guiot de Provins. Cependant, aucun des derniers travaux sur sa vie ne se relie aux thèmes de Parsival. Toutefois, d'autres croient que Kyot était simplement un dispositif littéraire inventé par Wolfram pour expliquer ses déviations de la version de Chrétien de Troyes. Sa version de la quête du Graal, Parsival, puis son Titurel donnent au mythe une sonorité ésotérique beaucoup plus prononcée que chez Chrétien de Troyes : le Graal est gardé par des Templiers, et il est réservé à seuls quelques « élus » de s'en approcher, élus liés par... une lignée commune. De nombreuses sociétés secrètes du XIXe siècle s'inspirèrent ou furent influencées par cette idée.

Michel BUZE 14 juin 2006 à 18:20 (CEST)[répondre]

à vérifier[modifier le code]

Le mot graal (dérivé du latin médiéval cratella, « vase ») désigne, en ancien français, une coupe ou un plat creux. Plus spécialement, le Graal est, dans la tradition médiévale, une mystérieuse coupe aux pouvoirs magiques, et l'objet d'une quête menée par les Chevaliers de la Table Ronde. La nature de cet objet légendaire, avatar christianisé du chaudron du Dagda de la mythologie celtique, a connu de nombreuses évolutions.

Je ne suis pas sûr que l'éthimologie se résume à cratella, il y a plusieurs hypothèses. D'autre part, le Graal n'a pas été décrit que comme une coupe, mais aussi une pierre, une tête baignant dans son sang, plus les interprétations allégoriques. Quand à avatar christianisé du chaudron du Dagda de la mythologie celtique en intro, je ne trouve pas ça terrible non plus, bien que ce soit assez juste, il faudrait détailler cette idée plus loin (voir le lien externe qui traite de la formation du mythe). Michel BUZE 2 mai 2006 à 20:53 (CEST)[répondre]

étymologie[modifier le code]

http://fr.wiktionary.org/wiki/graal :

   latin, crater emprunté au grec kratēr «grand vase». voir Cratère
   bas-latin, *cratalis, gradalis, gradalus, «sorte de vase».


Nom commun

graal /ɡʁa.al/ masculin (pluriel : gréaux)

  1. (Par extension) Objet de d'une quête personnelle à l'image de la quête du Graal dans la littérature du moyen âge.

http://perso.wanadoo.es/ricardo.cob/etimologias1.htm : en el diccionario de Mistral, como derivado del latín gradale y después del "Grasan", provenzal; "grian", marsellés; "grasal", lionés: "grial", lemosino; "grasans", románico; "gresal", catalán; "graal", francés, y "grial", galaico-castellano

notes[modifier le code]

On pourrait s'inspirer de ça : Chez Chrétien, c'est un vase, chez les continuateurs de Chrétien, une écuelle ou une coupe, dans la version cistercienne, un calice, chez Wolfram von Eschenbach, une pierre, dans la version galloise archaïque, un plateau portant une tête coupée. L'objet a été largement christianisé, mais son origine celtique païenne n'est pas douteuse.

Il a comme modèle, aussi bien en Irlande qu'au Pays de Galles, les chaudrons de résurrection, d'abondance et d'inspiration, des écuelles inépuisables, des fontaines de santé.


bloc-notes[modifier le code]

Commission parlementaire sur les sectes en France : Ordre du Graal ardent, Mouvement du Graal en France (site web : http://www.graal-france.net)

Le thème du Graal se retrouve également dans le Roi Pêcheur de Julien Gracq (1949), dans les romans de T.H. White "The Once and Future king" et "The Sword in the Stone", et chez Boris Vian "le Chevalier de neige" représenté par Jo Tréhard en 1945, à Caen et à Strasbourg dans une version "opér" sur un livret de Georges Delerue. Il faut encore mentionner l'ouvrage de l'académicien Pierre Benoit, Montsalvat, 1957, qui reprend la thématique de l'exode du graal présente chez Wolfram jointe à des références cathares. On retrouve ici le croisement littéraire cher aux écrivains médiévaux entre la femme inaccessible et la quête du saint vase.

Tout prés de nous, nous voyons ce thème refleurir dans la littérature contemporaine: Michel Rio, Merlin, Barjavel, L'Enchanteur (1984), Jean-Pierre Le Dantec, Graal-Romance (1985), Florence Trystram, La nuit du motard (1986), Lancelot (1987), Marion Zimmer Bradley, La Dame du Lac, Les Brumes d'Avalon, Le Secret d'Avalon proches du légendaire celtique, Gilles Nadin, Le retour d'Avalon (1993), tandis que de nos jours les aventures du Graal connaissent à nouveau un immense succès dont témoigne une production intense notamment sur le plan cinématographique, de Richard Thorpe (1953) à Jerry Zucker (1995) en passant par Georges Bresson, Eric Rhomer, Les Monthy Pythons, Walt Disney, John Boorman, Syberberg et Steven Spielberg.

http://cena12arthur.metawiki.com/graal

nouvelles notes[modifier le code]

manichéisme

Bohort l'Essillié : Plus tard, Bohort, Galaad et Perceval découvrent le Saint-Graal et le transportent à Sarras (à rapprocher de Sarrasin) une mystérieuse île d'Orient où Galaad et Perceval mourront ; Bohort sera le seul des trois à en revenir

Talisman qui a appartenu à une divinité celtique, Bran, ou qui est lié “au renouvellement de la végétation et à la préservation de la vie”, le Roi Pêcheur ressemblant aux divinités telles Tammuz, Adonis et Altis

la royauté (la coupe), la fonction guerrière (les armes) et la paix, désignée par l’abondance (le joug et la charrue)

Scythes Scythie

Fin du IIIe siècle: Élaboration de la légende de la ' Pierre tombée du ciel '.

Origine Celte[modifier le code]

Le Chaudron de Dagda: qui nourrissait en abondance et guerissait les blessés, faisant même ressusciter les morts. La Pierre de Fâl qui criait à l'approche d'un futur Roi.

4 objets amenés par les Dieux de l'Autre Monde : Excalibur, La pierre de Fal Lial : pierre magique qui a la faculté de gémir lorsqu'un roi légitime l'approche. La Lance de Lug, le Chaudron de la Connaissance pierre de Fal Lial. Lance de Lug Chaudron de la Connaissance Chaudron de la Connaissance. Michel BUZE 14 juin 2006 à 20:27 (CEST)[répondre]

La Lance qui saigne: présente dans la procession du Graal (tailloir d'argent,lance qui saigne et graal), interprétée comme la lance du centurion Longin (qui perça le corps de Jésus sur la Croix) mais qui, pour Jean Markale, est vraissemblablement la Lance d'Assal des dieux irlandais.

Dans beaucoup de textes le Saint Graal est le sangréal ou sang royal désignant une lignée royale, initiatique, détentrice d'un secret.

A Vézelay, en 1146, saint Bernard prêche la seconde croisade.

  • 1208. Parzival de Wolfram von Eschenbach.
  • 1220. Lancelot en prose proprement dit, attribué à Gautier Map.
  • 1230. La Quête du saint Graal, attribuée à Gautier Map.
  • 1240. La Mort le roi Artu, attribué à Gautier Map.
  • 1330. Sir Percival of Galles, adaptation anglaise de Robert de Boron.
  • 1460. Le Morte D'arthur de Thomas Malory.

Laziriel (Lazare?) Titurel,Frimutel et Anfortas protecteurs du Graal sont les Templiers, et ses propriétaires sont tous membres d'une famille juive aux branches nombreuses et éparpillées. L'une des branches habite le château du Graal, Mansalvaesche (Montsalvat?) identifiable à celle de Montségur. Ce château est peuplé de: la gardienne Repausse de Schoye (Repause de Joie) et Anfortas, le Roi Pêcheur

=Da vinci code[modifier le code]

Développement dans le [[Da Vinci Code== :

Le Saint Graal serait un ensemble de documents prouvant que le Christ se serait marié avec Marie Madelaine. Le Saint Graal se serait d'abord trouvé sous les décombres du temple de Salomon. Puis les Templiers, pour leur malheur, l'auraient trouvé et ramené en Europe. L'Église catholique, qui défend la divinité du Christ, ne pouvant accepter qu'il se soit marié, aurait donc influençé Philippe le Bel pour qu'il massacre les Templiers, qui réussirent cependant à cacher le Saint Graal.

Petite incohérence[modifier le code]

Je n'ai pas le temps de corriger, mais j'ai remarqué une petite incohérence entre les paragraphes Apparition littéraire et La quête du Graal aujourd'hui. Il faudrait les homogénéiser pour Le Seigneur des anneaux et Da Vinci Code : faire en sorte que ces 2 œuvres n'apparaissent qu'une seule fois dans l'article par exemple.--Herman 7 septembre 2005 à 14:36 (CEST)[répondre]

La quête du Graal aujourd'hui[modifier le code]

82.120.124.57 a ajouté : << Cependant, le Graal, au delà des appropriations religieuses ou corporatistes, demeure le mystère qu'il constitua dès qu'il se fit jour dans la conscience des hommes, vraisemblablement depuis toujours, prenant tel ou tel aspect selon l'entendement des sociétés. Il persiste, malgré toutes ses métamorphoses fantaisistes ou inspirées, à revenir inlassablement à son apparence primordiale, la pierre, matière minérale brute (non cristallisée, ce qui exclut donc une pierre précieuse comme l'émeraude ou le diamant)et "non taillée de main d'homme". >>
Qu'on parle d'une interprétation ésotérique du Graal, c'est normal. Qu'on en fasse la conclusion de l'article, ça me semble subjectif. Par exemple, que veut dire l'auteur de cette phrase : "le Graal persiste [...] à revenir inlassablement à son apparence primordiale, la pierre" ?
Ou que signifie "cela exclut donc une pierre précieuse comme l'émeraude ou le diamant" ?
Et je ne comprends pas le sens, soit trop profond pour moi, soit trop banal, de la phrase : "le Graal [...] demeure le mystère qu'il constitua dès qu'il se fit jour dans la conscience des hommes". En gros, le mystère reste un mystère.
Gwalarn 18 octobre 2005 à 12:01 (CEST)[répondre]

Pas d'explication sur la persistence du Graal à "revenir inlassablement" à son apparence "primordiale", la pierre ? Je retire cette exposé ésotérique non expliqué. Gwalarn 26 octobre 2005 à 19:52 (CEST)[répondre]

Un nouveau lien : http://www.marianotomatis.it/graal/graal.php?id=2&url=art_luoghi.php

Michel BUZE 20 décembre 2005 à 20:51 (CET)[répondre]

Traduction auto article italien[modifier le code]

Le terme graal elle désigne en français ancien une coupe ou un plat et probablement dérive du latin médiéval gradalis, avec signifié de 'vase '. En particulier en second lieu la tradition médiévale le Graal est la coupe contenant le sang de Jésus Christ utilisée dansle Dernier Dîner. Vraiment pour avoir ramassé le sang de Jésus, tel objet serait doué de mystérieux pouvoirs mystique- magiques. Dans autres cultures on identifie le même objet avec le même nom. Par exemple le Graal est associé au chaudron de la Dagda, une ancienne talisman de la civilisation celtica.

Je développe du légende du Graal a été tracé en détail des historiens culturels : elle serait un légende oral gotica, dérivée peut-être de quelques récits folkloriques prechrétiens et transcrite en forme de roman entre la fin du XII siècle et j'entame du XIII siècle. Les anciens récits sur le Graal auraient été axés sur la figure de Percival et ils se seraient ensuite tressés avec le cycle arturiano. Les romans du Graal furent originairement écrits en français et successivement traduits dans les autres langues européennes, sans ajoutée de nouveaux éléments.

Il fut seulement après que le cycle des romans du Graal se fut constitué que le Graal fut identifié avec la coupe du dernier dîner de Jésus Christ, en reliantl'etimologia des termes français san greal ("Saint Graal") et sang real ("sang réel"). Index

Antiquité[modifier le code]

Les origines du Graal peuvent être reconduites à des anciennes sagas celtiche autour à un héros voyageur qui se retrouve dans un "autre monde", sur un plan magique parallèle à les nôtre. Dans ces récits le Graal était simplement une plat ou coupe, comme l'inépuisable cornucopia gréco-romaine, présenté pour signifier la nature mystique de l'autre monde.

Le légende du Saint Graal comme Calice du Dernier Dîner[modifier le code]

Pendantle Dernier Dîner Jésus nous prîmes le pain, il le cassa et dit : vous prenez et mangées, ceci est mon corps ; ensuite prises le calice et dit : vous en bu en tous, parce que celui-ci est mon sang de l'alliance versé pour tous en rémission des péchés. Le giorno après, Vendredi de Passion, Jésus fut crocifisso. Lorsque il fut déposé de la croix un de ses disciples, Giuseppe d'Arimatea, l'enveloppa dans un drap et il le porta dans la tomba de famille qu'on était de peu faite construire là près. Pendant que le corps de Jésus était lavé et préparé pour être enterré, quelques goutes de sang sortirent des blessée infertagli des centurione ; Giuseppe la ramassa dans la même coupe qui était servie pour les consacrazione du Dernier Dîner. Giuseppe laissa la Palestina et il se réfugia en Britannia avec le Saint Graal, où il resta pour cinq siècles, confié aux prêtres de l'église Aquae Sulis. Dans siècle à cause de l'avancé d'armées pagani on vous voulut le porter dans un lieu plus sûr. Donc un prêtre on incaricò de le porter à Rome de la Papa. Mais lorsque il arrivaà l'Île Comacina, à cause de l'invasion des Longobardi il fut forcé à s'arrêter. Au Saint Graal il fut donné mérite de la résistance réussie contre les Longobardi, et fut construite une église (sur l'île) dans son honneur. Avec la victoire des Longobardi on chercha donc à porter dans sauf le Saint Graal, en le cachant dans une place dispersée en Val Codera, dont on a perdu ses traces.


Le Graal et le roi Pêcheur[modifier le code]

Le récit du Roi Pêcheur concerne un roi boiteux dont blessée à la jambe il rend la terre stérile. Le héros (Gawain, Percival, ou Galahad) rencontre le roi pêcheur et est invité à une fête au château. Le Graal est encore présenté comme un plateau d'abondance mais elle est même une partie d'une série reliquie de mystiques, qui incluent même une lance qui suinte du sang (de certains interprétée comme la Lance de Longino) et une épée cassée. Le balai du reliquie est d'inciterle héros à poser des questions environ leur nature et donc casserl'incantesimo du roi je rends infirme et de la terre infructueuse, mais le héros invariablement échoue dans l'entreprise.


Le Graal et le légende arturiana[modifier le code]

L'histoire du Roi pêcheur et le Graal fut plus tard incorporé dans le cycle arturiano. En principe le récit du roi pêcheur fut un épisode inséré avant l'arrivée de Percival à Camelot, pour ensuite developer dans une explicite recherche du Graal de la part des douze cavaliers de la Tavola Ronde.

Les Canone du Graal[modifier le code]

Le Graal apparaît pour la première fois sous forme littéraire dans le Perceval ou le conte du Graal de Chrétien de Troyes (XII siècle). Après le Parzival of Wolfram von Eschenbach, pour lequel le Graal est une pierre magique, fut Robert de Boron, dans son Joseph d'Arimathie composé entre le 1170 et le 1212, qui ajoutèrent le détail qui le Graal serait la coupe employée dans le Dernier Dîner dans lequel Giuseppe d'Arimatea aurait ensuite ramassé les goutes de sang du Christ sur la croix, comme recompté du quelques apocryphes comme la Gesta de Pilati ou pseudo- Évangile de Nicodemo. Giuseppe il aurait ensuite porté la coupe nelle des Îles britanniques et là fondé la première église chrétienne. Les cristianizzazione du légende du Graal est poursuivies de Ces du saint- Graal, roman anonyme écrit vers le 1220, probablement d'un monaco, qui fait du Graal la Grâce divine.

Varies des cavaliers entreprirent la recherche du Graal en récits annexés au cycle arturiano. Quelques de ces récits ils présentent des cavaliers qu'ils se furent passés, comme Percival ou Galahad ; autres recomptent de cavaliers qui échouèrent dans l'entreprise pour leur impurità, comme Lancillotto.

Dans l'oeuvre de Wolfram, le Graal fut mis dans sauf dans le château de Munsalvaesche (mons salvationis) ou Montsalvat, confié à Titurel, au premier roi du Graal. Certains ont identifié le château avec le sanctuaire de Montserrat en Catalogna.

Le légende du Graal est rapporté même en récits populaires dontgallois, le Mabinogion est les plus vieux des manuscrits survivants (XIII siècle). Elle existe même une poema inglese Sir Percyvelle du XV siècle. En suite les légendes de roi Artù et du Graal furent reliés dans le XV siècle de Thomas Malory dans Les les Mortes d'Arthur (même appelé les Mortes Darthur) qu'il donna au corpus du légende sa forme classique.


Les lieux du Graal=[modifier le code]

Déjà dans le Moyen âge ils existent des témoignages relatifs au lieu où il serait conservé le Graal. Plus importants ils sont :

1. La source plus ancienne sur la coupe du Dernier Dîner parle d'un calice d'argent à deux manici qui était enfermé dans un reliquiario d'une chapelle voisin Gerusalemme entre la basilique de la Golgotha et le Martyre. Ce Graal apparaît seulement dans le récit d'Arculfo, des pèlerin anglo-sassone du VII siècle, qui l'aurait vu et même touché. Celui-ci est le seul témoignage qui le calice était conservé en Terre Sainte.

2. Une autre source de la fin du XIII siècle parle d'une copie du Graal à Costantinopoli. Le témoignage se trouve dans le roman allemand du XIII siècle Titurel le jeune. Ce Graal aurait été trafugato de l'église du Bucoleon pendant la quatrième croisade et portée de Constantinopoli à Troyes de Garnier de Trainel, décime évêque de Troyes, dans le 1204. Il est rappellé là ancre dans le 1610, mais il serait scomparso pendant la Révolution française.

3. Des deux calices des survivants jusqu'à aujourd'hui et crus être le Graal, se trouve à Genova, dans le cattedrale san de Lorenzo. La coupe hexagonale genovese est connue comme la SACRO CATINO sacrée cuvette. Le calice est de verre égyptien vert et la tradition veut que soit étée sculptée dans un émeraude. Elle fut portée à Paris après la conquête napoleonicade l'Italie et tourna cassée. Ses origine est incertaine ; selon Guglielmo de Tir, qui écrit vers le 1170, il fut trouvé dans la mosquée à Césarienne dans le 1101. Selon une autre version d'une chronique espagnole il fut trouvé lorsque Alfonso VII de Castille nous prîmes Almeria aux Mori dans le 1147 avec l'aide genovese ; ceux en change auraient voulu seulement cet objet du pillage d'Almeria. L'identification de la sacrée cuvette avec le Graal n'est pas de toute façon tarde, vu que il se trouve dans la chronique de Genova écrit de Jacopo de Varagine, à la fin du XIII siècle.

4. L'autre calice identifié avec le Graal est le saint calice une coupe d'agate dans le cattedrale de Valencia. Elle est poste sur supporte médiéval et la de base est formée d'une coupe versée de calcédoine. Sur il y a une inscription arabe. La première référence certaine au calice espagnol est du 1399, lorsque il fut donné du monastero de San Juan de la Peña au roi Martino d'Aragona en èchange d'une couped'or. Selon le légende le calice de Valencia aurait été porté à Rome de San Pietro.

En temps modernes elle vous a été une florissant spéculation sur le lieu où il pourrait être gardé le Graal et ont été faites des diverses hypothèses :

1. Castel des Monte 2. Château de Gisors: où ils l'auraient porté les Cavaliers templari templiers 3. Takht-e Suleiman : un déesses principales centres del culte zoroastriano 4. Cathédrale des Tricheurs, sur dont portale on trouve une image de Roi Artùr 5. Chapelle de Rosslyn en Scozia Rosslyn Chapel 6. Glastonbury, où il aurait été porté de Giuseppe d'Arimatea 7. Oak Island aux Etats Unis 8. Château de Montségur, où ils l'auraient gardé les Catari 9. Église de Rennes-le-Château en France 10. Dispersé en val Codera (Lombardie) 11. Enterré dans un profond puits dans les alentours d'Aquilée (Aquileia)

Interpretazioni modernes[modifier le code]

Une des théories récentes qui ont fait bruit est cette avancé de Baigent, de Leigh et de Lincoln, dans leurs The Holy Blood and the Holy Grail (le mystère du Graal, 1982). Les écrivains ont avancé l'hypothèse qu'en réalité le Graal ne soit pas un objet mais la ligne de sang du stirpe des descendants de Jésus Christ. En partant des similitudine etimologica de San Graal et sang de real, affirment que Jésus aurait épousé Marie Maddalena, et avec elle aurait eue des fils, les descendants desquels seraient la dynastie des Merovingi.


Le Graal dans la littérature et dans le cinéma[modifier le code]

  • Parsifal, oeuvre de Richard Wagner, 1882
Monty Python et le Sacré Graal (Monty Python and the Holy Grail), le film de 1975
  • Excalibur, film de John Boorman de 1981
  • Indiana Jones et la dernière croisade (Indiana Jones and the Last Crusade), film de Steven Spielberg, 1989
  • Le code de Tu vaincs (The De Vaincs des Queues), roman de Dan Brown, 2003, qui soutient l'hypothèse de Baigent, de Leigh et de Lincoln


Sources[modifier le code]

  • Walter - Poirion (et), les Livre du Graal. Tomes I, Joseph d'Arimathie - Merlin - Les Premiers Faits du roi Arthur, Paris 2001 (ISBN 2070113426)
  • Chrétien de Troyes, les Conte de Graal or Perceval, Cambridge, N.J., 1982
  • Wolfram von Eschenbach, "Parzival", Stuttgart 1999 (ISBN 3150074517)


Bibliographie[modifier le code]

  • Baigent - Leigh - Lincoln, le Saint Graal, Milan 1994 (ISBN 8804386096)
  • Ferrari - Zatterini (et), Atlas du Graal, Milan 1997 (ISBN 8880730339)
  • Règle L. Goodrich, le Saint Graal, Milan 1996 (ISBN 8818880489)
  • Graham Hancock, le mystère du Sacré Graal, la Ferme Monferrato 1999 (ISBN 8838443572)
  • Graham Phillips, la recherche du Saint Graal, Milan 1998 (ISBN 8878248908)
  • Andrew Sinclair, l'aventure du Graal, Milan 1997 (ISBN 880443046X)

Michel BUZE 12 décembre 2005 à 21:23 (CET)[répondre]

Article interessant[modifier le code]

http://google.fr/search?q=cache:FFXM-VJI8qIJ:www.rencontre-kherialogie.com/index.php

Jean Philippe Camus, Doctorant en Histoire Médiévale à l’UNSA

La pensée médiévale considérait que tout fait tangible du monde réel renfermait des symboles et dissimulait un secret d’ordre spirituel. La légende du Graal s’inscrit parfaitement dans cette conception. Pour Denys l’Aéropagite : « Le calice par sa rondeur et son large évasement, est le symbole de la Providence qui embrasse indistinctement toutes les créatures dans sa sollicitude, et qui n’a ni commencement ni fin. »[1] Le mot Graal qui fut employé pour la première fois par Chrestien de Troyes était un nom connu à son époque. Bien que l’étymologie de ce nom demeure incertaine, certains l’ont rapproché du mot grec cratère, on peut affirmer que généralement, les mots dérivant de Graal désignent des récipients à ouverture large. Le Graal s’inscrit dans la catégorie des objets nourriciers renfermant des vertus de fertilité et de jeunesse éternelle comme le chaudron de Ceridwen, déesse de la poésie chez les Bretons, la corne d'abondance de Bran ou encore la coupe de Djemchid, roi mythique de la Perse. Les éléments composant la légende du Graal plongent leurs racines dans les traditions indo-européeennes. Il n’est donc pas surprenant d’en voir la résurgence dans les contes médiévaux.


Présence des vases sacrés dans l’Histoire

D’après la tradition chrétienne, le Graal serait le calice qui servit à la Cène et dans lequel Joseph d’Arimathie recueillit le sang et l’eau qui s’écoulaient de la blessure occasionnée par la lance du centurion romain Longinus venue percer les flancs du Christ lors de sa Passion. Pour Robert de Boron, chroniqueur médiéval, le Graal aurait ensuite été transporté par Joseph d’Arimathie et Nicomède en Angleterre. Faut-il y voir au niveau symbolique, la preuve d’un lien certain entre la sagesse celtique et le Christianisme naissant ? Dans tous les cas, la tradition celtique ne disparut pas totalement et rapidement lors de l’évangélisation de la Gaule et de la Grande Bretagne, des foyers résistèrent pendant plusieurs siècles. Ainsi l’Irlande, le pays de Galles, le Cornwall, l’Ecosse mais aussi l’Armorique conservèrent pendant longtemps un certain nombre de traditions : fixation de la date de Pâques, tonsure, certaines coutumes liturgiques. De plus, les poètes, descendants directs des anciens bardes, qui s’étaient ralliés au Christianisme, véhiculèrent toute une tradition celtique mythologique et merveilleuse. L’un des genres littéraires les plus célèbres d’Irlande était celui des imrama, récits de voyages fantastiques peuplés de monstres et d’autres trésors secrets où les voyageurs étaient à la recherche d’une pénitence imposée ou volontaire. La littérature irlandaise est relativement bien connue mais aucun texte n’a servi de base à l’élaboration des récits sur le Graal. De l’avis même du professeur Kenneth Jackson de l’Université d’Edimbourg, l’origine exclusivement celtique des romans du Graal est loin d’être prouvée car de nombreux thèmes ( la coupe, la lance ou encore la montagne par exemple ) se retrouvent dans d’autres mythologies.


La tradition de la coupe se retrouve en effet dans toutes les mythologies et toutes les religions. En Orient, le vase pouvait symboliser la sagesse et le salut. Les Chaldéens (Chaldéen) parlaient d’un vase d’où s’échappait l’arbre de vie et la coupe de Djemschid (Djemchid) en Perse, signifiait le salut et l’abondance. Les vases sacrés symbolisaient l’organe féminin. On retrouve cette notion dans le vase cosmogonique de Platon, la coupe d’Hermès et de Salomon, l’urne des anciens cultes à mystère. Les Parses (Parse) possédaient un vase pyrogène tandis que les Egyptiens figuraient Serapis avec un vase sur la tête nommé gardal.

Dans les récits mythiques, la coupe représentait la partie féminine de la génération et la lance, l’organe masculin, symbole qui ne se retrouve pas exclusivement dans les histoires celtiques. Ainsi, chez les Grecs, la lance d’Achille avait le pouvoir de guérir les blessures dont elle était à l’origine.


Dans le symbolisme traditionnel, la lance figure la force cosmique et l’axe du monde, comparable à la montagne dont le sommet représente le point sacré où Dieu descend et rencontre l’homme qui monte. Ce thème de la montagne sacré est présent dans toutes les traditions et chaque peuple à la sienne : l’Himalaya, le Fouziyama, l’Olympe, le Sinaï, l’Aboy en Iran. Dans toutes les traditions, le vase représente l’univers, la lumière, la féminité. C’est la mère qui contient l’enfant, la Vierge engendrant le Christ, le corps qui contient l’âme. Le vase est l’endroit où se passe toute action. « Le Graal figurativement est le calice avec l’hostie, le vin, la chair et le sang du Christ ; mystiquement c’est l’homme quand il est devenu le vaisseau où se déverse l’Esprit Saint ; hermétiquement, c’est la substance parfaite, la pierre philosophale qui dispense la quintessence de la vie. »[2]

L’histoire du Graal fit son apparition à la fin du XIIe siècle, à une époque de croisade donc de contacts, certes souvent violents, entre l’Occident et l’Orient. Trois romans chrétiens sont à l’origine de la légende : « Perceval Li Gallois » ou « conte del Graal » écrit vers 1180 par Chrestien de Troyes, « l’Estoire dou Graal » de Robert de Boron, rédigé quelques années après et « Parzival » de Wolgram von Eschenbach, composé entre les années 1200 et 1205.


Chrestien de Troyes


L’auteur du premier roman sur le Graal est né à Troyes dans les années 1140 et vécut à la Cour des comtes de Champagne. Clerc cultivé, il fit une carrière d’écrivain entre 1160 et environ 1185 où ses écrits s’inspiraient de la foi chrétienne et des idées de la féodalité. On y parlait de chevalerie, d’amour et de courtoisie. «  Le problème reste à l’intérieur du monde de la chevalerie ; c’est celui de l’intégration dans la vie chevaleresque d’aventure et d’amour, des devoirs individuels envers Dieu, maître suprême du chevalier. »[3] D’après Chrestien, le sujet de Perceval lui aurait été suggéré par un livre appartenant à Philippe de Flandre, comte d’Alsace dont le père Thierry d’Alsace, s’était croisé sous l’influence de saint Bernard. On suppose que c’est dans une ville de Flandre que Chrestien a composé son œuvre. L’histoire de Perceval est mystérieuse. Il vit avec sa mère dans la forêt et connaît le langage des animaux et des oiseaux donc des esprits. Un jour, apercevant les chevaliers du roi Arthur, il décide de les suivre, abandonnant sa mère qui meurt en le voyant s’éloigner. Perceval va alors commencer une longue suite d’exploits. Il délivre la princesse Blanchefleur qui s’unira à lui. Il combat le chevalier Vermeil tenant à la main une coupe d’or rouge et donc les armes, le destrier et les cheveux sont de la même couleur. Enfin, il fait la connaissance du Roi Pêcheur, impuissant, dont le pays reste stérile en raison de sa maladie qui lui donnera une épée au pommeau d’or en lui déclarant : « Cette épée vous était réservée et destinée. » Lors d’un repas,

Perceval assiste à une étrange procession où un valet porte une lance dont la pointe laisse couler des gouttes de sang suivi de serviteurs portant des torches et d’une dame tenant un plat d’argent. Une jeune femme rayonnante et présentant le Graal, ferme le cortège. Perceval ne posera aucune question, non encore assez initié pour comprendre le sens du Graal. Pourquoi la lance saigne-t-elle ? Que fait-on du Graal et à qui le mène-t-on ?

Le lendemain, Perceval rencontre une parente en larmes, un chevalier mort sur ses genoux. La jeune fille lui reproche son échec. Il aperçoit alors trois gouttes de sang sur la neige provenant d’une oie blessée par un faucon qui lui font penser à la lance et à sa femme, Blanchefleur.

Pour conquérir le Graal, il convient en premier lieu d’en connaître le sens christique en identifiant le sang s’écoulant de la lance avec le sang versé par le Christ pour le rachat du genre humain, donnant la force de dominer les passions égoïstes. Pendant cinq ans, Perceval va douter et être en contact avec le mal. Un Vendredi Saint, il arrivera à la cabane d’un ermite qui l’absoudra de ses fautes et lui expliquera ses erreurs tout en lui donnant de précieux conseils et des révélations sur « bien des noms de Notre seigneur et parmi eux les plus grands que nommer ne doit bouche d’homme, si ce n’est en péril de mort » . Nous pouvons noter que cette notion d’invocation des noms divins ne peut être que d’origine judaïque. La seconde exigence pour conquérir le Graal est de transformer l’amour féminin en amour divin. C’est exactement la voie spirituelle que prendront certains troubadours de cette époque abandonnant les charmes du siècle pour la rigueur de la règle monastique. La dernière condition pour mériter le Graal est de vivre l’expérience de la mort. Perceval l’a fait à quatre reprises, avec sa mère, le chevalier Vermeil, avec sa parente et des chevaliers qu’il croise dans une forêt où il chasse un Vendredi Saint. Michel BUZE 27 décembre 2005 à 23:15 (CET)[répondre]

Lien interessant[modifier le code]

http://www.er.uqam.ca/nobel/religio/no14/bertin.html

Le saint graal ou le fils de jesus[modifier le code]

Bonjour à tous,

Je suis surprise de ne pas avoir trouvée dans les multiples explications de ce qu'est le graal la version suivante:

D'aprés certains theologiens , le saint graal voudrait dire sang royal, ce qui laisse penser que le saint graal n'est autre que le fils du christ qu'il aurait eu avec Marie madeleine. Info ou Intox?

eden.

En fait selon certain, le nom saint graal serait une déformation du vrai terme. En ancien français, le saint graal s'écrit san graal, qui viendrait de sang raal (sang véritable ou sang royal) La vrai question est de savoir si c'est la première(religieuse) ou deuxième traduction(contestataire) qui soit la réelle.

Mythos.

Il en est quiestion dans la version actuelle de l'article: "Saint-Graal serait en l'occurrence une déformation de Sangréal signifiant « sang royal »"" (d'ailleurs ça devrait plutôt s'écrire en deux mots ?) Y a-t-il une explication au fait que le nom du Saint-Graal viendrait alors d'une expression française (théorie du voyage de Marie-Madeleine vers la France ?) Depuis quand existe l'expression "Saint Graal" (à comparer avec l'histoire de la langue française pour savoir quand et où ce jeu de mots était possible) ? "Sang réal" a-t-il une signification en dehors de cette étymologie posible de Sain Graal ? (je pose la question en vue d'une redirection) Apokrif 14 juillet 2006 à 19:06 (CEST)[répondre]

Templiers[modifier le code]

Il faudrait ajouter une phrase du style : Certains voient dans Chevaliers de la Table Ronde une allusion aux Templiers, et dans le Graal une allusion au Trésor des Templiers.



Une des images Wikisource-logo.png s'affiche en transparence sur un §...

Genealogie[modifier le code]

http://www.jesus-kashmir-tomb.com/GeneaologyA.html des Marets Demarest

The sons were Jesus Jr. and Josephus Josephes Josephès The daughter was Tamar/Demara/Tamara

3. Josue

4. Ammin’adab ~ Eurgen Ammin'adab Amminadab Aminadab

5. Catheloys (Castellors)

6. Manael

7. Titurel 8. Boaz (Anfortas)

9. Frotmund (Frimutel)

10. King Faramund (Pharamond) Faramond Sicambrian Chief Marcomer

About

this time Arthurian associations with the Holy Grail and Sangreal (the Royal Blood of Judah) were being laid down.

12. Meroveus