Discussion:Syndrome respiratoire aigu sévère

Le contenu de la page n’est pas pris en charge dans d’autres langues.
Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Autres discussions [liste]
  • Admissibilité
  • Neutralité
  • Droit d'auteur
  • Article de qualité
  • Bon article
  • Lumière sur
  • À faire
  • Archives
  • Commons

La page de statistiques des cas recensés par l'OMS donne un certain nombre de cas "recovered". Si je comprends bien, il s'agit de guérison. Quelqu'un pourrait confirmer/infirmer ? Le nombre total de cas ("cumulative") comprend-t-il les cas "recovered" et les morts ?
Il serait bon, je pense, d'indiquer ces chiffres qui nuancent le nombre de cas recencés (puisque plus de la moitié, si j'ai bien compris, seraient résolus).
iNyar 25 avr 2003 à 04:59 (CEST)

Oui il existe de nombreux cas de guerisons, surtout dans les pays "developpes". Les chiffres sont ceux des cas declares : les morts + les malades + les gueris. Aoineko

Je suis un peu perplexe par la mention "le nombre de cas référencés est faible" a la fin de l'article...quelqu'un a t-il suivi suffisamment l'épisode pour mettre a jour sérieusement cet article ?? Anthere


Finalement, l'épidémie a touché 8000 personnes et fait 800 victimes. C'est faible comprés aux millions de personnes qui décèdent de la grippe chaque année dans le monde!

Anne GOFFARD 22 décembre 2005 à 10:59 (CET)[répondre]

Théoriquement, le nombre de morts+le nombres de remis devrait être égale au nombre de cas...non ? ou alors des gens sont malades depuis 3 ans non-stop...?


Je ne comprends pas bien ta question... 8000 personnes touchées, 800 décès et les autres personnes sont guéries. Le Sras n'est pas une maladie chronique! --Anne GOFFARD 10 avril 2006 à 16:11 (CEST)[répondre]

Y-a un problème!![modifier le code]

Cet article traite de la pneumonie à SARS-CoV. Mais l'expression pneumonie atypique existait en médecine bien avant l'épidémie de SARS-CoV et ne désigne pas nécessairement une pmeumonie causée par cet agent. Staph

Page renommée ce jour ! Bloubéri (discuter) 25 novembre 2013 à 22:40 (CET)[répondre]

Dans le cas du SRAS, doit-on, veux-t-on, peux-t-on, pouvait-on parler de psychose et pourquoi ?[modifier le code]

Le mot psychose a été largement utilisé par les médias et d'autres pour décrire le fait que de nombreuses personnes à HongKong ont porté des masques, dans les aéroports notamment. Il est repris dans cet article. Or, dans le domaine médical et des Sciences humaines" ce mot et la notion de psychose évoquent une altération du « sens de la réalité » : idées délirantes, hallucinations.. Et dans le langage courant le mot a un sens nettement dévalorisant.
Objectivement, porter un masque par précaution dans ce type de situation n'était il pas l'attitude la plus normale et intelligente ? En quoi cet acte avait il un caractère psychotique.

D'autant que dans plusieurs pays asiatiques, le port du masque en zone polluée ou quand on est malade se faisait plus naturellement et facilement que dans les pays occidentaux.

--Lamiot 10 août 2006 à 09:59 (CEST)[répondre]

Bonjour, Le terme psychose placé dans ce paragraphe étant inapproprié, voire insultant dans ce contexte, je propose de le remplacer par "comportement préventif", sauf fourniture rapide de source fiable.

--Crataegus077 (discuter) 22 janvier 2020 à 05:53 (CET)[répondre]

A propos de la confusion du 1er cas chinois humain de H5N1 repéré et le SRAS[modifier le code]

Jeudi 10 aout 2006. "Le code génétique du virus du SRAS présentait des similitudes avec la souche H5N1 isolée en 2004 chez des volailles de plusieurs provinces chinoises, selon des experts", d'après Chine nouvelle. [1]
--Lamiot 10 août 2006 à 09:59 (CEST)[répondre]

article erroné[modifier le code]

pneumopathie atypique ou pneumonie atypique et sars ne sont pas du tout synonyme. cet article confond des choses très différente. Le sars est une cause et une forme de penumopathie atypique mais pas exclusive. heureusement que toutes les pneumopathies atypiques ne sont pas des sars. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 82.243.216.133 (discuter), le 26 avril 2007

Page renommée ce jour ! Bloubéri (discuter) 25 novembre 2013 à 22:40 (CET)[répondre]

référence manquante[modifier le code]

J'ai indiqué "référence demandée" à la fin du 2ème paragraphe. La raison est que le lien indiqué avant (qui mène au site de l'[OMS]) aboutit à une page vide. Merci de corriger ceci à qui connaît une source vérifiable.Dtrake 22 juillet 2007 à 18:22 (CEST)[répondre]

Bonjour

Dans la partie traitement la référence est mal citée et inutilisable en l'état. Pierrangy 22 juin 2015 à 08:32 (CEST)[répondre]

Devenir du SRAS?[modifier le code]

Toutes les infos sur la "crise" du SRAS s'arrêtent en avril 2003 ou par là, d'après ce que j'ai vu. Mais alors qu'estdevenu ce nouveau coronavirus? Il n'a pas disparu entièrement, si? Il n'y a plus eu aucun cas depuis 2003? Aucune donnée? Alos qu'on n'a trouvé aucun traitement?

Kostia 8 août 2007 à 22:25 (CEST)[répondre]

Le Mexique n'est pas une industrie...[modifier le code]

"Certaines industries en ont toutefois profité dans une certaine mesure ; le Mexique, par exemple[...]" (en fin d'article) Il me sembe qu'une reformulation s'impose....

Grammaire[modifier le code]

Bonjour @Camille Hsta et @Do not follow, d’après le dictionnaire Larousse et le wictionnaire, "humain" est aussi un nom, cf https://fr.wiktionary.org/wiki/humain#Nom_commun --Crataegus077 (discuter) 29 janvier 2020 à 23:13 (CET)[répondre]

Ah, aussi ? Je l’ignorais, merci pour l’information Crataegus077. On peut remettre la version alors. Crdt --—d—n—f (discuter) 30 janvier 2020 à 06:50 (CET)[répondre]

Le premier est inutilement long (pas d'homonymie), inexact (il faudrait dire "lié à UN coronavirus") et guère plus précis puisque la COVID-19 est elle aussi liée à un coronavirus. Le second est consacré par l'usage, concernant l'épidémie de 2003.Df (discuter) 20 mars 2020 à 18:25 (CET)[répondre]

Je soutiens ta demande de renommage avec toutefois une réserve. Ne faut-il pas rappeler la date (2003) ? Car le terme Syndrome respiratoire aigu sévère est plus générique : en effet le virus de la Covid-19 s'appelle le SARS-CoV-2 ce qui revient à présenter la pandémie en cours comme un nouvel épisode de SRAS, faisant ainsi de ce sigle un terme générique (déposé par A1AA1A ici)
ce n'est pas faux mais personne ne parle de SRAS-2 pour la Covid-19, alors que le SRAS continue à désigner sans équivoque l'épisode de 2002-2004, lié au SARS-CoV. Si ça vient à changer d'ici quelques années il sera temps d'aviser— Df (discuter) 23 mars 2020 à 15:59 (CET)[répondre]
[avis déposé sur Wikipédia:Demande de renommage] A mon avis, ce n'est pas parce qu'il n'y a pas d'homonymie que le premier titre est inutilement long. "Le titre idéal d'un article permet d'identifier immédiatement et précisément le sujet". Si l'article ne concerne que les coronavirus, il me semble mieux de l'indiquer. Cela va éviter au lecteur de parcourir l'article pour s'apercevoir qu'il ne traite que d'une facette, non ? -- Laurent N. [D] 23 mars 2020 à 20:44 (CET)[répondre]
Je pense que SRAS comme Syndrome respiratoire aigu sévère permettent à tous ceux qui sont plus ou moins au courant du sujet de l'identifier précisément. Pour les autres, "lié au coronavirus" ne les aidera pas, bien au contraire depuis la popularité récente du terme qui risquerait de le faire confondre avec la Covid-19...Df (discuter) 23 mars 2020 à 23:02 (CET)[répondre]
J'avais juste émis un avis de béotien qui a peu de valeur. On va laisser cette discussion ouverte quelques jours et s'il n'y a pas d'opposition, j'effectuerai le renommage. N'hésitez pas à me relancer du coup. -- Laurent N. [D] 24 mars 2020 à 11:46 (CET)[répondre]
Pour : Wikipédia:Conventions sur les titres => "court : il a la longueur minimale pour distinguer précisément le sujet de celui des autres articles". Tarte 26 mars 2020 à 03:43 (CET)[répondre]
Je maintiens ma demande de préciser la date : Syndrome respiratoire aigu sévère de 2003. Ce sera plus explicite sans être beaucoup plus lourd. --A1AA1A (discuter) 26 mars 2020 à 21:51 (CET)[répondre]
Pour le renommage en Syndrome respiratoire aigu sévère, c'est le nom consacré par l'usage. --François C. (discuter) 27 mars 2020 à 23:43 (CET)[répondre]
Notification Df : je pense que tu peux procéder au renommage, si tu le souhaites. --François C. (discuter) 30 mars 2020 à 13:19 (CEST)[répondre]
j'voudrais bien, mais j'peux point ;-) Notification Laurent_Nguyen : peut-être ? --Df (discuter) 30 mars 2020 à 15:31 (CEST)[répondre]
@ A1AA1A : Syndrome respiratoire aigu sévère de 2003 n'est pas la solution. Le présent article concerne le SRAS (maladie), pas l'épidémie (Épidémie de maladie à coronavirus de 2002-2004). Elle est apparue en 2002, pas en 2003. On pourrait l'appeler maladie à coronavirus 2002 ou Covid-02, par analogie avec la maladie Covid-19, sauf que personne ne l'appelle comme ça à ma connaissance... alors que Covid-19 est le nom officiel donné par l'OMS et que celle-ci n'a pas changé le nom du SARS (cf https://www.who.int/csr/sars/en/) quand le MERS et la Covid-19 (qu'on peut considérer comme d'autres sras) sont apparus --Df (discuter) 30 mars 2020 à 15:41 (CEST)[répondre]
Je n'aime pas l'ambigüité. C'est normal que les pages de 2003 ne parlent que de SRAS et c'est un fait que la maladie n'a pas été renommée depuis. C'est aussi un fait que la Covid-19 est présentée comme un nouvel épisode avec une variante du coronavirus officiellement appelée SARS-CoV-2. De ce fait la notion de « syndrome respiratoire aigu sévère » (comme son nom l'indique) est un phénomène non spécifique à telle ou telle souche de coronavirus virulent. La page Coronavirus lié au syndrome respiratoire aigu sévère le rappelle clairement. La page anglaise Severe acute respiratory syndrome met bien en garde pour rappeler qu'on parle de l'épisode 2002-2003. Je ne demande pas qu'on renomme la maladie mais simplement que quand quelqu'un cherche la page, il soit prévenu de son contenu, général ou spécifique à l’épisode 2002-2004. Je verrais bien Syndrome respiratoire aigu sévère (2003) car elle a été nommée ainsi en 2003, ou (2002-2004) ou (maladie de 2002-2004) si tu veux insister sur le fait qu'on parle de la maladie. --A1AA1A (discuter) 30 mars 2020 à 16:50 (CEST)[répondre]
Bonjour. Il est effectivement souhaitable que le titre long de SRAS soit la forme la plus habituelle, soit « syndrome respiratoire aigu sévère » (comme dans la version anglaise de l'article). 144.85.245.100 (discuter) 30 mars 2020 à 20:06 (CEST).[répondre]
@--A1AA1A : si la logique était respectée, vu que SARS-CoV est le virus du SRAS, la maladie causée par le SARS-CoV-2 devrait s'appeler SRAS-2, manque de pot ça s'appelle Covid-19, il faut bien faire avec...--Df (discuter) 30 mars 2020 à 22:03 (CEST)[répondre]
Df Certes dans un monde parfait on aurait SARS-2003 et SARS-2019 (ou SARS-1 / SAR-2) mais tout cela n'enlève rien au fait que s'il y a un coronavirus (1) du syndrome respiratoire aigu sévère et un coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère c'est bien que la notion de syndrome respiratoire aigu sévère est liée à l'espèce SARSr-CoV et non limitée à telle ou telle souche de SAR-CoV-i. Le fait que le premier épisode n'ait pas de n° d'indice (car c'était le seul à l'époque) et que son nom n'ait pas été précisé depuis, crée de facto une ambigüité qu'il nous faut compenser. C'est un pb de logique : à chaque fois — et c'est fréquent — que tu as un Toto (seul au monde) suivi d'un Toto-2, tu ne sais plus quand on parle de Toto si on parle du 1er ou de l'ensemble de la série ; en automobile, qd il y a une Mégane II, on n'hésite pas à présenter la 1re comme la Mégane I. --A1AA1A (discuter) 1 avril 2020 à 16:13 (CEST)[répondre]
Oui il y a un coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère, mais il n'y a pas de syndrome respiratoire aigu sévère 2 parce que personne n'emploie ce terme, et ce n'est pas à Wikipédia de l'imposer. Pour revenir à nos moutons, à défaut d'être parfait, Syndrome respiratoire aigu sévère représente un progrès par rapport au titre actuel Syndrome respiratoire aigu sévère lié au coronavirus, ce que personne ici n'a contesté, et si administrateur passe par là, qu'il se sente libre de procéder au renommage. Merci à Utilisateur:Kvardek du--Df (discuter) 1 avril 2020 à 17:38 (CEST)[répondre]
Dialogue de sourds. --A1AA1A (discuter) 1 avril 2020 à 19:50 (CEST)[répondre]

Un article comportant de nombreuses erreurs historiques ; voir de la ré-écriture[modifier le code]

La médaille d'honneur pour acte de courage et de dévouement est décernée par le ministre de l'Intérieur français Nicolas Sarkozy aux membres du personnel de l'hôpital (Franco-Vietnamien de Hanoï) le 26 mai 2003.

Les phrases : " Les épidémies qui ont suivi sont restées limitées à des groupes familiaux résidant dans des zones de forte densité de population, à des hôtels (Hong Kong) ou à des hôpitaux (Hanoï, Toronto)." sont particulièrement douteuses. Et aucune mention du docteur Carlo Urbani. Pourtant il semblerait que l'OMS n'ait pas reçu le message des autorités sanitaires chinoises. Ce que nous savons de cette épidémie : Un médecin de Chine centrale est venu visiter sa famille à Hong Kong. Il a toussé dans l'ascenseur et contaminé Johnny Chen, un homme d'affaires américain d'origine chinoise. Notez que pour nous, il est le Patient zéro du SRAS - bizaremement oublié dans l'article. Celui ci, alors qu'il rentrait dans son pays a été atteint d'une fièvre fulgurante au point que l'avion a du se poser en urgence à Hanoi. Le patient a été transférer en urgence à Hôpital français de Hanoï. Le dit hôpital a appelé le docteur Carlo Urbani, un médecin italien, qui a pour la première fois au monde identifié une nouvelle maladie, le SRAS, et averti averti l'OMS. D’ailleurs dans l'article, on voit la photo du certificat de Médaille d'honneur pour acte de courage et de dévouement décernée par Nicolas Sarkozy alors ministre de l'Intérieur français aux membres du personnel de l'hôpital le 26 mai 2003. Bien sûr, Sarkozi ne peut pas décerner de médaille à Urbani qui est italien. Carlo Urbani né le à Castelplanio en Italie et mort le à Bangkok en Thaïlande, est un médecin italien et le premier à identifier le SRAS (Syndrome respiratoire aigu sévère) comme étant une maladie nouvelle et contagieuse. Son avertissement précoce à l'OMS a permis une réponse massive et rapide qui a probablement permis de sauver des millions de vies. Carlo Urbani a ensuite été infecté par le SRAS et en est mort.

L'identification du SRAS[modifier le code]

En 2003, il travaille sous l'autorité de Pascale Brudon, représentante de l’OMS au Viêtnam, et est le premier, dès le 3 mars, à identifier la dangerosité du Syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)[1]. Il se rend à l'hôpital français de Hanoï[1] pour examiner un patient, Johnny Chen, un homme d'affaires américain malade de ce que les médecins pensent être une mauvaise grippe. Urbani réalise alors que Chen n'était pas atteint de la grippe, mais probablement d'une maladie nouvelle et très contagieuse. Il avertit immédiatement l'OMS, qui déclenche en retour une réponse très efficace. Il convainc également le ministère de la santé vietnamien de commencer à isoler les patients et à dépister les voyageurs, ce qui permet de ralentir le rythme de l'épidémie.

L'Organisation mondiale de la santé a reconnu que le docteur Urbani a probablement sauvé un grand nombre de vies grâce à sa détection précoce du SRAS[2].

Lors de son contact avec des patients infectés par le SRAS, le docteur Urbani a été infecté lui-même par le virus. Le , alors qu'il s'envolait pour une conférence à Bangkok, Thaïlande, il s'est senti fiévreux. Transporté à l'hôpital de Bangkok dans une chambre d'isolement de fortune, il ne put ensuite parler à sa femme que par l'intermédiaire d'un interphone. Ses poumons étant atteints, il fut placé sous respirateur artificiel. Dans ses derniers moments, il demanda à un prêtre de lui administrer les derniers sacrements, et déclara qu'il voulait que ses poumons soient donnés à la science.

Après 18 jours de soins intensifs, Carlo Urbani est décédé le [1]. De nombreux hommages lui sont rendus au Vietnam et ailleurs dans le monde[1].

Carrière[modifier le code]

Carlo Urbani a reçu son diplôme de docteur en médecine de l'Université polytechnique des Marches et a travaillé un temps comme médecin généraliste avant de commencer une carrière dans le domaine des maladies infectieuses. Il a été président de la section italienne de Médecins sans frontières et à ce titre a été l'une des personnes qui ont accepté en 1999 le Prix Nobel, au nom de cette organisation. Il a été employé par l'Organisation mondiale de la santé et basé à Hanoï, Viêt Nam, où il a principalement travaillé à la lutte contre les maladies parasitaires, mais était plus généralement expert en maladies infectieuses.

Sa vie et ses expériences professionnelles ont été racontées par :

  • Marco Albonico et Lorenzo Savioli (d'anciens collègues de l'OMS) dans le livre Le malattie dimenticate (« Les maladies négligées ») publié par Feltrinelli en 2004.
  • La journaliste Lucia Bellaspiga, dans le livre Carlo Urbani - il primo medico contro la SARS (« Le premier médecin contre le SRAS ») publié par Ancora en 2005. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Thanto19 (discuter), le 3 août 2021 à 01:14 (CEST)[répondre]
Je comprend maintenant que l'article zappe l'histoire de la maladie qui a été transférée dans l'article Épidémie de SRAS de 2002-2004 alors que l'habitude de WP est un résumé de l'histoire avec un lien sur l'article détaillé. On ne comprend pas pourquoi la 1ere section est au sujet l'agent pathogène. On ne comprend pas non plus pourquoi cette section se félicite de la rapidité à laquelle le virus a été identifié par les 11 laboratoires commissionnés par l'OMS sans donner de dates ni expliquer pourquoi l'OMS lance cette recherche seulement le 12 mars. La comparaison avec la durée d'identification du VIH en 1980 est déplacée. Un article sans un minimum d'histoire est inacceptable. Notez que dans le "saucissonnage" de l'article, la photo de la "médaille d'honneur pour acte de courage et de dévouement" décernée aux membres du personnel de l'hôpital franco-vietnamien par Nicolas Sarkozy alors ministre de l'Intérieur est restée là, rendant l'article encore moins compréhensible d'autant que cet hôpital n'est même plus cité dans l'article. Notez aussi qu'en plus du médecin italien et de 7 soignants vietnamiens, le Dr Jacques-Yves Ketelers, un cardiologue français, est mort pour cette recherche qui permis à l'OMS de déclenché l'alerte du 12 mars 2003. Donc j'ai complété un peu la légende de la photo. A part le rétablissement d'un minimum d'histoire, il reste les 3 questions suivantes : 1) Comment ce fait-il que l'article sur le docteur Carlo Urbani le désigne comme le 1er médecin ayant signalé le SRAS à l'OMS alors qu'il n'est même pas mentionné dans l'article ? La source, c'est l'OMS elle même,(WHO en anglais) qui écrit le 29 Mars 2003 - Dr. Carlo Urbani died today of Severe Acute Respiratory Syndrome (SARS). Dr. Urbani worked in public health programmes in Cambodia, Laos and Viet Nam. ... Dr. Urbani was the first World Health Organization (WHO) officer to identify the outbreak of this new disease, in an American businessman who had been admitted to a hospital in Hanoi. 2) Carlo Urbani expert de l'OMS est mort du SRAS le 29 mars 2003 après 18 jours de soins intensifs donc les dates dans l'article sont incohérentes. 3) Dans les sources de l'article sur Hôpital français de Hanoï (il s'appelle ainsi dans WP mais il est plutôt nommé franco-vietnamien) il y a cet article du journal Le Monde : Article |url=https://www.lemonde.fr/planete/article/2003/05/03/le-sras-histoire-d-un-tueur-en-serie_318884_3244.html |titre=Le SRAS, histoire d'un tueur en série |périodique=Le Monde |date=3 mai 2003 (mis à jour le 02 mai 2008) |auteur1=Paul Benkimoun |auteur2=Sandrine Blanchard |citation=Le 21 février 2003, le docteur Liu arrive à Hongkong en provenance de Canton, pour un mariage. Il tousse... et mourra le 4 mars. Il a contaminé au moins douze personnes (plus d'une vingtaine) et est le patient zéro hors de Chine continentale. Les experts de l'OMS arrivent à Pékin, mais ne sont pas autorisés à aller dans la province de Canton. Une interdiction qui va faire perdre de précieux jours dans la lutte contre la maladie. Le 26 février, Johnny Chen, 48 ans, un businessman sino-américain est placé sous assistance respiratoire à l'Hôpital français d'Hanoï. Il avait croisé le docteur Liu à Hongkong. L'hôpital appel le Docteur Carlo Urbani, un italien membre de l'OMS basé au Vietnam. Il faut atendre le 10 mars pour que les autorités chinoises demandent l'aide de l'OMS pour tenter de découvrir les causes de l'épidémie. Le 12 mars, l'OMS lance une alerte internationale sur "'"une forme grave et atypique de pneumonie au Vietnam, à Hongkong et dans la province de Canton"' Thanto19 (discuter) 3 août 2021 à 07:52 (CEST)[répondre]
Je viens de m'apercevoir que l'Histoire était camouflée dans 2 mini sous-sections mensongères de la toute dernière section : "Épidémiologie", elle même mensongère. Notez que l'article SARS en anglais n'a pas été saucissonné. Les contres vérités de cette section m'ont tellement mise en colère que je n'avais pas lue les dernières lignes des sous-section alors que c'est de pire en pire : Ça commence dans la section "Épidémiologie" : Le SRAS n'est pas identifié en février mais le 15 mars quand l'OMS donne ce nom à cette maladie après avoir été alerté par le Docteur Carlo Urbani vers le 5 mars. Il y a détournement de la source sarsreference/timeline. Vers le 5 mars, le docteur Carlo Urbani (mystérieusement disparu de cet article saucissonné), médecin de l'OMS, a diagnostiqué "une forme grave et bizarre de grippe aviaire" sur un patient américain d'origine chinoise en provenance de Hong Kong, arrivé à Hanoi (Vietnam) le 26 février. A Hong Kong il avait été contaminé par le docteur Liu arrivé Guangdong, anciennement Canton, en Chine continentale. 2) Les phrases « Les épidémies qui ont suivi sont restées limitées à des groupes familiaux résidant dans des zones de forte densité de population, à des hôtels (Hong Kong) ou à des hôpitaux (Hanoï, Toronto). Cette extension limitée est un argument en faveur de la faible transmissibilité du virus. » sont particulièrement inexactes. : Un seul le patient zéro numéro 2, le patient zéro de la péninsule, le docteur Liu a joué le rôle involontaire de superinfecteur du SRAS: 23 autres clients de l'hôtel Metropole développent le SRAS, dont sept au même étage que lui. On estime qu'environ 80% des cas de Hong Kong sont dus à ce patient zéro[3]. Le 26 février, un 3ème superinfecteur encore plus innocent, qui pour son malheur avait croisé, dans son hôtel à Hong Kong, le Docteur Liu, amène le virus à Hanoï, au Viêt Nam, devenant ainsi le patient zéro (le numéro 3, patient zéro hors DES Chine(s)). Il est admis à l'Hôpital français de Hanoi le , où il devient le nouveau superinfecteur et contamine au moins 38 membres du personnel. Il est évacué à Hong Kong où il meurt le [3]. Un spécialiste des maladies infectieuses appartenant à l'OMS, Carlo Urbani, examine ce patient et observe la très grande contagiosité, la nouveauté et la dangerosité de la maladie. Notez la totale contradiction avec l'article ! Il est lui-même infecté et meurt le [3]. Cependant, avant, il a avertit sa hiérarchie à l'OMS qui déclenche en retour une réponse très efficace le 12 mars. D. Urbani a convaincu la direction de l’hôpital français de Hanoi de mettre tout l’hôpital en quarantaine stricte : Les soignants qui sont dehors ne peuvent plus rentrer, soignants et patients dedans ne peuvent pas sortir. Il convainc également le ministère de la santé vietnamien de commencer à isoler les patients et à dépister les voyageurs, ce qui permet de ralentir le rythme de l'épidémie. Le 29 mars, l'OMS a reconnu que le docteur Urbani a probablement sauvé un grand nombre de vies grâce à sa détection précoce du SRAS[4]. Nota, cette page de l'OMS a disparue mais il reste l'archive WP. La suite me parait vraie mais comme le début est un tissus de "non-véritées... Maintenant passons aux 2 sous-sections, soit-disant historiques : On ne mentionne pas le docteur Urbani. {{citation|Le 10 février, les autorités chinoises informent l'OMS d'une épidémie locale à Guangdong en Chine OUI MAIS elles interdisent aux experts de l'OMS l’accès à cette province car le problème est en passe d'être résolu.. L'alerte n'est donc pas prise en compte. De plus, elles n'informent pas les autres provinces de Chine et encore moins Hong Kong. Tout ceci a été évaqué dans le sous article Épidémie de SRAS de 2002-2004 où on peut lire :« Au début de l'épidémie, le gouvernement chinois freine les organes de presse quand ils veulent traiter du SRAS, retarde la notification à l'OMS, et n'informe pas les citoyens chinois en dehors de ceux de la province du Guangdong, d'où la maladie serait originaire. Une équipe de l'OMS envoyée à Pékin n'est pas autorisée à visiter la province du Guangdong avant plusieurs semaines, entrainant des critiques internationales qui ont conduit à un léger changement de politique gouvernementale début avril ». Par contre d'après l'article principal : « Le premier patient atteint du syndrome respiratoire aigu sévère est un fermier du district de Shunde, dans le comté de Foshan, identifié le . »  ; c'est de l' Après-coup qui me gêne beaucoup ! Par exemple, vous pouvez diagnostiquer un empoisonnement au mercure sur une personne décédée il y a plus de 200 ans. Donc son médecin connaissait la toxicité du mercure ? Non ! C'est peut-être même son médecin de l'époque qui lui donnait un traitement mortel ! Le marchand de poisson de Canton est le premier patient connu du SARS mais on l'a su 1 ans après ! Thanto19 (discuter) 5 août 2021 à 12:35 (CEST)[répondre]
  1. a b c et d Joseph Confavreux, «Les leçons du Sras n’ont pas été tirées», sur Mediapart (consulté le )
  2. http://www.who.int/mediacentre/news/notes/2003/np6/en/ WHO Media Centre, « Dr. Carlo Urbani of the World Health Organization dies of SARS », 29 March 2003, consulté le 14/11/2011
  3. a b et c Khan, Ali S. & Patrick, William. (2016). “The Next Pandemic.” New York: PublicAffairs.
  4. http://www.who.int/mediacentre/news/notes/2003/np6/en/ WHO Media Centre, « Dr. Carlo Urbani of the World Health Organization dies of SARS », 29 March 2003, consulté le 14/11/2011