Discussion:Particules en suspension

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Cet article comporte un lien vers l'article gravimétrie, mais les deux sens déjà définis pour le terme gravimétrie ne s'appliquent pas à la mesure des particules en suspension : on parle (1) de la méthode de mesure du champ gravitationnel et (2) des techniques de séparation des solides ; mais j'imagine que la mesure des particules en suspension doit se faire en recueillant ces particules et en pesant ce qu'on a recueilli. Il faudrait donc rajouter une troisième définition dans l'article "gravimétrie" ; quelqu'un se sent-il en mesure de le faire ? jamix 2 mai 2006 à 15:56 (CEST)[répondre]

J'ai rajouté une section "Mesures gravimétriques de poussières" dans l'article. Cordialement. P'tit.pimouss (discuter) 5 décembre 2013 à 23:18 (CET)[répondre]

Neutralité des légendes des photos[modifier le code]

Les légendes des photos ne sont pas des plus neutres, si quelqu'un a une idée pour améliorer ce point, qu'il n'hésite pas. The RedBurn (ϕ) 4 août 2008 à 15:47 (CEST)[répondre]

Neutralité de l'article dans le paragraphe enjeu de santé publique[modifier le code]

Le chauffage bois apparaissait comme unique contributeur de particules, j'ai rajouté les sources dérivées du pétrole (chaudière fioul et moteur voiture diesel). Avant d'accuser le chauffage bois, faire référence à une étude sérieuse montrant son impact environnemental comparé aux autres sources existantes... Aeldar

Le paragraphe sur le chauffage au bois comportait une source sérieuse et n'affirmait pas que ce mode de chauffage était le seul contributeur à la pollution particulaire, mais le contributeur principal, voire majoritaire pour les émissions de particules très fines PM1.0 et aussi pour les émissions de HAP, affirmation que vous auriez pu vérifier en cliquant sur le lien interne "Chauffage au bois" du paragraphe, qui renvoie à l'article "Bois énergie", puis en consultant le premier tableau dans la section "France métropolitaine" de cet article. En revanche, votre intervention (le 11 janvier 2012) n'était pas sourcée. Des contributeurs sont venus rectifier (sources sérieuses à l'appui) certaines de vos informations, parfois litigieuses. Par exemple, concernant les émissions de particules, vous placez le fioul sur un pied d'égalité avec le bois, alors que le CITEPA précise que la pollution particulaire du secteur résidentiel/tertiaire provient "de la combustion du bois et, dans une moindre mesure, du charbon et du fioul". Il faut absolument citer vos sources et consulter les sources, liens internes et externes des paragraphes, pour éviter tout jugement erroné sur leur contenu. Cordialement.P'tit.pimouss (discuter) 4 décembre 2013 à 15:59 (CET)[répondre]
Pour écarter toute équivoque, j’ai construit un tableau comparant les émissions de PM2.5, PM1.0 et HAP du bois énergie, des transports, du gazole, du fioul domestique, du charbon et du gaz naturel, d’après les dernières données du CITEPA, ainsi qu'un commentaire du CITEPA sur les émissions de benzène. Manifestement le bois énergie est le principal émetteur, voire majoritaire pour les PM2.5 et les HAP, de ces polluants, alors qu’il ne représente que 3 % de la consommation d’énergie finale en France métropolitaine. Cette disproportion est également signalée en Suisse par les Offices fédéraux de l’énergie et de l’environnement et, concernant les émissions de particules, même les installations automatiques sont visées (voir "Bois énergie", section "Suisse", ainsi que l’introduction dans la section "Pollution"). Cordialement. Esnos (discuter) 26 décembre 2013 à 10:50 (CET)[répondre]

Contribution du secteur aérien[modifier le code]

Je m'étonne de ne pas trouver de paragraphe sur la contribution du kérosène d'aviation brûlé dans la pollution aux PM (sauf quelques mots sur les contrails).

L'avenir est sombre puisque le trafic aérien devrait doubler dans les 20 ans à venir et que l'installation de filtres à particules (comme sur les moteurs de véhicules terrestres) n'est pas possible. La contribution du secteur aérien, en pourcentage, ne fait que progresser (passée de 4 à 6% en quelques années) : d'une part, parce que son trafic augmente, d'autre part, parce que des avancées techniques majeures ont été obtenues dans les autres secteurs, conduisant à la réduction de leurs émissions.

Les progrès promis par les constructeurs aéronautiques sont prévus pour dans ... 25 à 40 ans, s'ils se réalisent jamais !

Transport[modifier le code]

Il serait bien de faire apparaitre les proportions respectives de particules généré par la combustion, le freinage, l'usure des pneus, et ce pour des véhicules essence et diesel. Skiff (discuter) 2 juin 2014 à 07:31 (CEST)[répondre]

Je recopie ici un extrait trouvé sur autoactu.com [1] qui nesera plus en libre accès dans quelques jours "Une récente publication du centre commun de recherche européen (JCR) recense les résultats des quelques études portant sur les émissions issues de l’abrasion des pneumatiques et des plaquettes de frein. D’après cette littérature scientifique, sous l’effet de l’abrasion, les pneus des véhicules particuliers et utilitaires légers émettraient en moyenne 6,3 mg/km de PM10 et 0,3 mg/km de PM2,5. Pour les pneus poids lourds, ces chiffres montent à 40 mg/km de PM10 et à 2mg/km de PM 2,5. A titre de comparaison, un véhicule Diesel aux normes Euro 6 ne peut pas émettre plus de 5 mg/km de particules (PM) à l'échappement.". Il serait bien de retrouver étude du JCR. Skiff (discuter) 27 mai 2015 à 07:33 (CEST)[répondre]