Discussion:Palais du Potala

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Palais du Potala, art chinois ?[modifier le code]

Le palais du Potala est repris sur la palette "art chinois". Même si le Tibet a été annexé par la Chine, ce palais peut-il être considéré comme "art chinois" ? Dans l'hypothèse où la Chine annexerait la France, la tour Eiffel serait donc de l'art chinois... — Jacques (me laisser un message) 28 février 2021 à 19:13 (CET)[répondre]

Effectivement sans grand rapport... J'ai supprimé cette incongruité. Langladure (discuter) 28 février 2021 à 22:57 (CET)[répondre]
Je ne sais pas si l'on peut inclure le Potala dans la palette « art chinois » mais je me rappelle avoir lu qu'il y a des éléments architecturaux ou décoratifs dénotant une influence chinoise et même que des maîtres-artisans chinois avaient été envoyés par l'empereur chinois Kangxi (1662-1722). Mais peut-être qu'une palette « art chinois incongru » pourrait accueillir le Potala. --Elnon (discuter) 1 mars 2021 à 13:16 (CET)[répondre]

La cérémonie du Tsomchö Sertreng et les grands thangkas[modifier le code]

La cérémonie de 1994 intervient trois siècles après l'institution de la commémoration en 1694. Je suppose donc qu'elle a eu lieu exceptionnellemnt pour fêter le tricentenaire (1694-1994). --Elnon (discuter) 9 mars 2021 à 17:33 (CET)[répondre]

Si c'était le cas, le rituel aurait dû avoir lieu le 10 avril ou le 24 avril, et non en été. --Rédacteur Tibet (discuter) 9 mars 2021 à 18:03 (CET)[répondre]
La quasi-coïncidence est quand même troublante... --Elnon (discuter) 9 mars 2021 à 19:26 (CET)[répondre]
Contrairement à votre interprétation du texte de Woeser [1], il y a plus de chance que le but était touristique, et que l'effort a cessé du fait de la réaction des Tibétains (les « fidèles »).--Rédacteur Tibet (discuter) 10 mars 2021 à 09:49 (CET)[répondre]
Quel que soit le but recherché dans la suspension de ces grands thangkas sur le mur blanc du Potala, le fait est que ce sont les habitants de Lhassa et les pèlerins qui en ont profité ; pour ce qui est des touristes, je doute qu'il y en ait eu beaucoup en 1994 (en fait 28 000), la région est à peine sortie des violences de la période 1987-1993 visant les non-Tibétains. La découverte éventuelle de nouvelles sources nous donnera peut-être le fin mot de l'histoire. --Elnon (discuter) 10 mars 2021 à 10:43 (CET)[répondre]
Si vous parlez de cette période, les sources évoquent : « quelque cent cinquante manifestations pacifiques qui ont été réprimées par la force au Tibet entre 1987 et 1996 » (Le Tibet est-il chinois ?, Anne-Marie Blondeau, Katia Buffetrille, 2002, p. 379), donc on y était encore. --Rédacteur Tibet (discuter) 10 mars 2021 à 11:13 (CET)[répondre]
J'envisageais essentiellement des sources non engagées politiquement, qui traiteraient des grands thangkas du Potala et des circonstances de leur exposition en 1994. En tout cas, merci de m'avoir donné votre avis. --Elnon (discuter) 10 mars 2021 à 11:49 (CET)[répondre]
Le passage cité est de Robert Barnett. Ces auteurs sont des tibétologues. Je ne vois aucune source qui soutienne vos affirmations (dans cette discussion). --Rédacteur Tibet (discuter) 10 mars 2021 à 12:15 (CET)[répondre]
Aucun pays n'a reconnu le Tibet « indépendant de facto »(1912-1951) et aucun pays n'a reconnu le gouvernement tibétain en exil depuis 1959, en d'autres termes aucun pays n'a déclaré que le Tibet n'était pas chinois. Avec un titre comme Le Tibet est-il chinois ?, on est bien dans l'engagement politique. --Elnon (discuter) 10 mars 2021 à 21:54 (CET)[répondre]
Le choix du titre est expliqué en 4e de couverture. Extrait : « Pour la première fois, des chercheurs du monde entier se sont réunis pour donner au lecteur une connaissance aussi exacte et pondérée que possible du Tibet. Symbole en Occident d'une prestigieuse tradition spirituelle "orientale", ce pays est aussi, depuis la "libération pacifique" chinoise dans les année, 50, l'objet de polémiques, de propagande et contre-propagande, entre Chinois, Tibétains en exil, Tibétains du Tibet et Occidentaux. Tout en reconnaissant dans son titre, Le Tibet est-il chinois ?, l'enjeu essentiel de ces affrontements, cet ouvrage ne cède à aucun parti pris et recherche seulement l'objectivité. La genèse de l'ouvrage est liée à une réaction de spécialistes occidentaux à la publication, en 1988 d'un pamphlet chinois intitulé Le Tibet, cent questions et réponses. » (...). --Rédacteur Tibet (discuter) 11 mars 2021 à 11:52 (CET)[répondre]
C'est de la pub éditoriale, de l'auto-promotion. Et ça nous éloigne du Potala, qui est le sujet de la page. --Elnon (discuter) 11 mars 2021 à 13:47 (CET)[répondre]