Discussion:Nationalisme sportif

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Le sujet est le nationalisme sportif, pas le nationalisme ou même les dérives du nationalisme. Si on considère le nationalisme sportif comme une dérive du nationalisme, il faut argumenter. En fait, il me semble que c'est un nationalisme "spécial", qui ne s'exprime pas de la même manière que le nationalisme en cours dans l'État, même si l'État tente toujours une récupération, et même si l'État use du sport pour aviver le nationalisme, le faire renaître, ou l'entretenir. Le nationalisme sportif n'obéit pas tout à fait aux mêmes logiques et, s'il y a racisme, il ne s'exprime pas forcément envers les mêmes personnes ou pour les mêmes raisons.--Lauranne, Artiste Quand Même 18 mai 2010 à 14:04 (CEST)

Bonjour, en quoi le nationalisme sportif serait-il différent du nationalisme "normal" ? c'est cela qu'il faut expliquer avant tout.
Ne sommes nous pas simplement dans le cadre de l'expression du nationalisme par le biais de la pratique du sport ou utilisant le sport et son environnement comme vecteur ? Matpib (discuter) 18 mai 2010 à 16:41 (CEST)[répondre]
Il serait bon aussi que tu indiques que le paragraphe sur le racisme est une citation in extenso et non une phrase expliquée par la source que tu indiques (Quasimodo). Matpib (discuter) 18 mai 2010 à 16:50 (CEST)[répondre]
Je veux bien être gentil (si, si), mais faut pas pousser... Où exactement Lauranne a chopé cette ânerie : « En France, dans la première moitié du XXème siècle, l'imaginaire de "la décadence de la race française" contribue à fonder la nécessité de l'éducation physique et sportive à l'école et sert la mythologie nationale nationaliste. ». Pas chez Liotard, c'est sur... Winock, cité par Liotard, dit tout le contraire (nationalisme ouvert/fermé) : « Or, le nationalisme sportif se donne a priori comme un nationalisme ouvert – selon la dichotomie proposée par Michel Winock – "ouvert aux autres peuples, aux autres races, aux autres nations." » (p.27). L'EPS (et pas le sport...) mise ici en cause n'est pas franchement ma tasse de thé (guéguerre historiens Vs. stapsiens), mais quand même, je ne peux pas laisser passer ça. Et pour Liotard, quand il écrit (p.28) « Mais si le nationalisme sportif est bien ouvert sur les autres peuples et les autres races, c’est surtout par nécessité », il montre qu'il ne maitrise pas du tout ce sujet... "nécessité" ; allez dire ça à Jackie Robinson ou Viv Anderson... pffft Clio64 (d) 29 mai 2010 à 17:27 (CEST)[répondre]