Bow Low

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Bow Low
Pays d'origine Drapeau de la France France
Genre musical Rock indépendant
Années actives 2008–2016
Labels TFT Label, Because Editions
Site officiel www.bowlow.com
Composition du groupe
Anciens membres Nicolas Camus
Manuel Laisné
Gaspard Macé
Antoine Simoni
Cyrill Maudelonde
Olivier Legoupil
Charley Gibot
Johann Delaunay

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Bow Low est un groupe de rock indépendant français, originaire de L'Aigle, en Basse-Normandie. Ils font paraître un premier LP intitulé Rockelectricband en 2008, suivi d'un EP intitulé What? en 2011, puis un second LP, 30W 10W, en 2012. Leur musique est protéiforme et emprunte à la fois au rock, à la new wave et au lyrisme des bandes originales composées par Ennio Morricone.

Le 6 décembre 2012, le festival des Rencontres Trans Musicales programme Bow Low qu'il décrit comme un groupe « Inclassable, bordélique, visionnaire[1]. » Plusieurs festivals comme le Printemps de Bourges, Les Papillons de nuit, Musilac, Les Déferlantes ou encore le festival Beauregard programment Bow Low en 2013. En 2015, Bow Low compte trois albums et un EP. En 2016, les cinq membres annoncent la séparation du groupe en 2016, et la création d'un nouveau projet musical baptisé Cannibale.

Biographie[modifier | modifier le code]

Bow Low sort son premier album, intitulé Rockelectricband, en 2008 aux labels Daruma Productions et Anticraft. Un album influencé par la scène punk rock et post-punk. Le chant est tantôt anglais, tantôt français. Pour ce premier album, Henri-Jean Debon (réalisateur des clips de Noir Désir, Sinead 0′Connor, Luke, Dionysos…) réalise Take The Money[2] au sein du LCD videosystem. En 2011, Bow Low sort son EP What? Le groupe y fait référence à Ennio Morricone, notamment sur le premier titre 1000 Horses. Sur cet EP, les styles sont aussi variés que le rock, la new wave et la pop.

En octobre 2012, Bow Low sort un nouveau single Little River (extrait de son album 30W 10W)[3] qui sera choisi par Because Music et Les Inrockuptibles pour paraître sur la compilation Inrocks Lab (Because Music ; 2012)[4] à la suite du concours Inrocks Lab/Because Music. En novembre 2012, Bow Low sort son nouvel album 30W 10W (TFT Label/MVS) en partie financé par les internautes. 30W 10W est un album protéiforme et emprunte à la fois au rock, à la new wave et au lyrisme des bandes originales composées par Ennio Morricone. Les Inrockuptibles décrivent alors Bow Low comme un groupe « doué et indocile[5]. » Le 6 décembre 2012, le groupe est programmé au festival des Rencontres Trans Musicales. Le journal Libération lui consacre un article[6]. En 2013, Bow Low est programmé sur plusieurs festivals tels que : le Printemps de Bourges[7], les Artzimutés[8] ou encore le festival Papillons de Nuit.

En juillet 2013, Le festival Normand Beauregard programme Bow Low et parraine le groupe sur les festivals de Musilac et les Déferlantes de la même année. En octobre 2013, Bow Low est choisi par la SMAC[9], Le Big Band Café, et la Saison Musicale d'Hérouville St Clair, pour jouer son répertoire avec l'orchestre symphonique d'Hérouville St Clair à l'occasion des 20 ans du BBC[10].

En 2015, le groupe revient avec un deuxième album intitulé Summer Memories, qui marque un tournant artistique[11]. « On partage nos découvertes musicales et nous ne nous fermons aucune porte », explique le chanteur Nicolas[11]. L'album est publié aux labels Because Music et TFT Label[11]. Cette sortie s'accompagne des clips des morceaux Kabuki Dance et Love is Chemical[11]. Par la suite, le groupe est annoncé en concert au BBC lundi 8 juin, et place Reine-Mathilde pour la Fête de la musique, à Caen, le dimanche 21 juin 2015[11].

À la mi-2016, Bow Low annonce sur sa page Facebook sa séparation après trois albums et deux EP[12]. « [...] nous avons joué presque partout en France et quelques pays d’Europe. On a fait de superbes rencontres et on s’est bien marré ! Merci à tous pour votre soutien, en particulier à TFT Label[12]. » Au début de 2017, les cinq membres annoncent l'arrivée d'un nouveau projet baptisé Cannibale[13].

Membres[modifier | modifier le code]

Derniers membres[modifier | modifier le code]

Anciens membres[modifier | modifier le code]

Discographie[modifier | modifier le code]

2008 : Rockelectricband (sous Bow Low)
  1. Under Control
  2. Mephisto DIsco
  3. Prendre Ta Place
  4. Watch Your Step
  5. BCBG
  6. Death To The Monster
  7. Look Into The Eyes
  8. Give A Kiss
  9. Long Time
  10. Take The Money
  11. BO
2011 : What? (sous Bow Low)
  1. 1000 Horses
  2. Bela Lugosi
  3. William Kidd
  4. Write A Z
  5. Sympathy For You
2012 : 30W 10W (sous Bow Low)
  1. Little River
  2. Bird Of Prey
  3. Stars Fall
  4. Old Child
  5. 3.0
  6. Starving Chasm
  7. 1000 horses
  8. Pharaohs
  9. Write A Z
  10. I Am The Wave
  11. Sympathy For You
2015 : Summer Memories (sous Bow Low)
Attention
Le contenu de cet album n'est pas renseigné.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ « " Inclassable, bordélique, visionnaire " », sur lestrans.com (consulté le ).
  2. ↑ [vidéo] « BOW LOW "Take the money », sur Dailymotion (consulté le ).
  3. ↑ [vidéo] « Bow Low - Little River », sur YouTube (consulté le ).
  4. ↑ « Et le gagnant du concours inRocKs Lab Because est…] »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Inrocks Lab (consulté le ).
  5. ↑ « Bow Low, doué et indocile », sur Les Inrockuptibles (consulté le ).
  6. ↑ « France musicale de Rennes », sur Libération Next Musique (consulté le ).
  7. ↑ [vidéo] « Bow Low - Scène Pression Live au Printemps de Bourges 2013 », sur YouTube (consulté le ).
  8. ↑ [vidéo] « BOW LOW - Old Child - live aux art'zimutés », sur YouTube (consulté le ).
  9. ↑ « Scènes de musiques actuelles », sur mediatheque.cite-musique.fr (consulté le ).
  10. ↑ [vidéo] « BBC : Bow Low & l'Orchestre d'Hérouville », sur YouTube (consulté le ).
  11. ↑ a b c d et e « Musique à Caen. Bow Low revient avec un 2e album réussi », sur Ouest France, (consulté le ).
  12. ↑ a et b « Bow Low , c’est fini », sur rockmadeinfrance.com (consulté le ).
  13. ↑ « Musique. Le groupe Cannibale sort un premier album sauvage », sur Ouest France (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]

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