Trouville-sur-Mer
Trouville-sur-Mer | |
Façades sur le bord de la Touques. | |
Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Lisieux |
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur Côte Fleurie |
Maire Mandat |
Christian Cardon 2014-2020 |
Code postal | 14360 |
Code commune | 14715 |
Démographie | |
Gentilé | Trouvillais |
Population municipale |
4 622 hab. (2021 ) |
Densité | 681 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 22′ 06″ nord, 0° 04′ 57″ est |
Altitude | Min. 0 m Max. 148 m |
Superficie | 6,79 km2 |
Élections | |
Départementales | Honfleur-Deauville |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.trouville.fr |
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Trouville-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en Normandie (anc. Basse-Normandie)[1],[2],[3], peuplée de 4 622 habitants[Note 1] (les Trouvillais).
Géographie
Trouville se situe à l'est du département du Calvados dans le pays d’Auge, à l'embouchure de la Touques, sur sa rive droite, en face de Deauville.
Quartiers de Trouville
- Hennequeville
- Les quais et la rue des Bains
- La rue de Paris : cette rue est le prolongement de la rue des Bains et mène à la plage. Elle est très utilisée par de nombreux vacanciers et abrite aujourd'hui quelques commerces. Cette rue était très vivante et empruntée par l'aristocratie parisienne avant la Première Guerre mondiale.
- L'Aguesseau, quartier de l'hôpital, du cimetière et de l'église Saint-Jean.
- Le quai Kennedy et l'ancienne route de Touques. ancien quartier du Quernet et de l'usine à gaz.
- Le parc d'Hautpoul et le Beauregard, quartiers résidentiels.
- La rue de l'église et les roches noires.
- La corniche.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme à finale latinisée Torouvilla en 1220 - 1223[4].
Albert Dauzat et Charles Rostaing, citant probablement Jean Adigard des Gautries, expliquent Trouville, ainsi que Trouville-Alliquerville (Seine-Maritime, Thorouvilla vers 1240) et Trouville-la-Haule (Eure, Turolvilla 1025), comme étant le « domaine rural » (cf. formations médiévales en -ville, appellatif issu du gallo-roman VILLA « grand domaine rural ») de Thorulfr, anthroponyme norrois[5].
François de Beaurepaire, quant à lui, préfère identifier dans les deux autres Trouville, un premier élément Turol- / T[h]orou- qui reflète l'évolution phonétique du nom de personne Turold, d'origine anglo-scandinave. Il inclut également Trouville (Calvados) dans cette série[6],[7].
Le premier anthroponyme Thorulfr ou plutôt ÞórulfR / Þorólfr est composé des éléments Thor, le dieu, et ulfr « loup », que l'on retrouve dans les patronymes en -ouf (et certains -ou(t)) de Normandie. ex. : ouf, Ingouf (variante Ygout), Gounouf (variante Gounout), Osouf (variante Auzou(t)), etc.
Le second, Turold est une variante (anglo-scandinave [?]) du vieux norrois Þórvaldr (autre forme Þóraldr) « Thor-dirigeant ». Cet ancien prénom, commun dans le duché de Normandie (cf. Turold), est devenu un patronyme fréquent en Normandie sous les formes Théroude, Touroude, Thouroude, Throude et Troude. On le retrouve de manière manifeste dans Thérouldeville (Seine-Maritime, Thourodi villa XIIe).
Les Trouville étant attestés par des formes anciennes latinisées du type Turolvilla ou Thorouvilla, cela rend complexe l'identification du second élément -ol / -ou du nom de personne; c'est-à-dire anciennement-ulfr ou -old.
Ainsi, Jean Renaud mentionne de surcroît le hameau de Trouville à Bois-d'Ennebourg qui serait attesté sous la forme Turulfi villa vers 1025[8]. Cette forme conforterait la première hypothèse dans certains cas.
En revanche, François de Beaurepaire identifie nettement Turold dans Trouville-la-Haule (Turoltvilla, forme supplémentaire transcrite à côté de Turolvilla de la charte de 1025)[9].
Histoire
L'histoire de Trouville remonte au Moyen Âge. La ville était alors un petit port de pêche.
Cet ancien village de pêcheurs est devenu une destination touristique de Normandie, notamment prisée par les habitants de l'Île-de-France.
En 1847, la commune absorbe Hennequeville.
L'essor de la station balnéaire, qui a débuté au XIXe siècle avec la mode des bains de mer, est sûrement dû à sa fréquentation par un petit groupe de peintres :Charles Mozin[10] le « découvreur de Trouville » en 1825 [11],[12] , Paul Huet, A. G. Decamps et son élève Louis Godefroy Jadin, Eugène Isabey, Corot, dont le musée d'Orsay fournit au moins une preuve Trouville bateaux de pêche échoués dans le chenal et aussi Eugène Boudin. L'écrivain Alphonse Karr[13] a également contribué à sa renommée. Louis-Philippe aide également au lancement de Trouville qu'il oppose à Dieppe la légitimiste, et c'est de cette station qu'il tente de partir pour l'Angleterre lors de la révolution de 1848[14]. Gustave Flaubert y a rencontré Élisa Schlésinger durant l'été 1836. Surnommée la « reine des plages », cette villégiature de « grande bourse » selon un classement des guides Joanne est bientôt concurrencée par Deauville[15].
Alexandre Dumas en parle dans ses Mémoires[16] : « […] Arrivé au Havre, je me mis en quête d'un endroit où passer un mois ou six semaines ; je demandai un village, un coin, un trou, pourvu qu'il fût au bord de la mer ; on me nomma Sainte-Adresse et Trouville. […] et ayant appris que Trouville était encore plus isolé, plus perdu, plus solitaire que Sainte-Adresse, j'optai pour Trouville. […] Puis je me rappelai, comme on se rappelle un rêve, que mon bon ami Huet, le paysagiste, le peintre des marais et des grèves, m'avait parlé d'un charmant village au bord de la mer où il avait failli s'étrangler avec une arête de sole, et que ce village s'appelait Trouville. […] ll y avait au Havre infiniment plus d'occasions pour Rio de Janeiro, pour Sydney ou pour la côte de Coromandel qu'il n'y en avait pour Trouville. Trouville, comme latitude, était alors à peu près aussi ignoré que l'île de Robinson Crusoé ».
Jusqu'en 1926, Trouville-sur-Mer et son canton étaient rattachés à l'ancien arrondissement de Pont-l'Évêque, supprimé à cette date.
-
Affiche de la Compagnie de l'Ouest (1890).
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Affiche[17] pour le Casino de Trouville dans les années 1890.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].
En 2021, la commune comptait 4 622 habitants[Note 3], en diminution de 1,13 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
Activités principales
Le tourisme est la principale activité économique de la ville, avec un camping de 200 places, 14 hôtels, dont 4 trois étoiles, un casino Barrière (le 21e de France par le produit des jeux), employant 110 salariés, des restaurants, dont les brasseries du quai (50 salariés) et un centre de thalassothérapie[23].
Trouville conserve également une petite activité de pêche (25 à 30 chalutiers)[24].
Le BTP est représenté par les maçonneries Lambert (35 salariés) et Lemétayer (30 salariés), les revêtements Laîné (30 salariés) et les charpentes Santos (20 salariés)[23].
Tourisme
Trouville-sur-Mer est une station balnéaire très appréciée[réf. nécessaire], et notamment des Parisiens[réf. nécessaire] pour sa proximité (environ deux heures de route ou de train).
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Marché aux poissons.
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Plage de Trouville en automne.
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Le port vu du pont des Belges.
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Statue de Gustave Flaubert.
Médias
Plusieurs journaux [25] ont été publiés à Trouville-sur-Mer[26] :
- Journal de Trouville et de ses environs puis Journal de Trouville et de Deauville (1858-1868)
- La Plage (1859-1903)
- L'Avenir trouvillais (1867-1875)
- L'Avenir de Trouville et de Deauville (1876-1944)
- Le Progrès du littoral (1884-1887)
- Journal de Trouville-Deauville (1887-1888)
- La Dépêche trouvillaise (1893)
- Trouville Gazette (1893-1914)
- Paris-Trouville et Gazette des bains (1897)
- Le Sable (1902-1904)
- L'Impartial normand de Deauville et Trouville (1903-1904)
- Journal de Trouville (1905-1909)
- Trouville-Deauville (1907-1914)
- Le Réveil de Trouville-Deauville (1909-1940)
- La Dépêche de Trouville-Deauville (1914)
- Le Progrès de Trouville-Deauville (1916-1931)
- Trouville-Journal (1919-1931)
- Le Progrès du littoral (1924-1940)
- La Reine des plages (1927-1928)
- Le Courrier de Trouville (1928-1930)
- La Gazette sociale (1936-1939)
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Monuments historiques
La commune abrite cinq monuments historiques :
- L'Hôtel des Roches Noires d'Alphonse-Nicolas Crépinet. Ancien palace inauguré en 1866, dont le hall d'entrée fut décoré par Robert Mallet-Stevens. L'hôtel fut peint par Claude Monet en 1870 et fut le lieu de villégiature de Marcel Proust puis de Marguerite Duras. Inscrit par arrêté du 8 novembre 2000 [27]
- La villa Montebello (1865) de Jean-Louis Celinsky de Zaremba qui accueille désormais le musée de la ville. Inscrite par arrêté du 16 juillet 1987[28].
- La poissonnerie normande (1936), due aux architectes Maurice Vincent, Marcel Davy et Maurice Halley (gravement endommagée par un incendie le 24 septembre 2006), reconstruite à l'identique. Inscrite par arrêté du 14 septembre 1992[29].
- Le château d'Aguesseau, situé sur les hauteurs de la ville. Construit au XVIIe siècle à la demande de Robert de Nollent, seigneur de Trouville. Il a été profondément remanié en 1853 à la suite des travaux entrepris par le prince Murat. Inscrit par arrêté du 24 février 1995[30].
- Le bureau de poste (1929), dû à l'architecte Pierre Chirol. Inscrit par arrêté du 5 juillet 2010 [31]. Il a été fermé puis vendu aux promoteurs. Le bureau de poste de Trouville est aujourd'hui démantelé en appartements de luxe.
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Vu de la plage, l'Hôtel des Roches Noires en maçonnerie de briques rouges et beiges, avec ses deux ailes symétriques et ses fenêtres à la française[32].
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Le marché aux poissons.
Monuments sacrés
Trouville possède plusieurs églises :
- Église Notre-Dame-du-Bon-Secours,
- Église Notre-Dame-des-Victoires,
- Chapelle Saint-Jean,
- Église d'Hennequeville.
- La petite chapelle Notre-Dame-de-Pitié-de-Bon-Secours (ex-votos). Famille Croix/Pichon (rue de la Chapelle)
Autres édifices
- le Trouville-Palace ouvert en 1910, premier hôtel de cette époque à disposer d'un ascenseur et à équiper ses 200 chambres de sanitaires individuels[33].
- Les villas du bord de mer avec la promenade en planches.Dont la tour Malakoff (Charles Mozin)
- Le chalet Mozin
- L’hôtel de ville.
- Le casino sur le thème de la Louisiane, premier casino à thème d'Europe, construit en 1912 par Alexandre Durville, rénové et décoré par Jacques Garcia[34].
- La jetée promenade construite en bois.
Activité et manifestations
Culture
Trouville accueille chaque année depuis 2000 un festival de cinéma consacré aux courts-métrages "Off-Courts".
En juin 2016 a eu lieu la première édition du Festival international du film culte de Trouville-sur-Mer fondé par Karl Zéro[35].
Jumelages
Sports
- Voile : centre nautique de Trouville-Hennequeville (CNTH)[36].
- Football : AS Trouville-Deauville (ASTD).
- Cyclisme : Trouville a été ville-étape du Tour de France 1948.
- Surf : Ecole de surf Northshore[37]
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La plage et la côte.
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La plage et le palace.
Personnalités liées à la commune
Naissances
- Marcel Brout (1887-1957), homme politique.
- Marcel Léger (1893-1972), homme politique (sénateur).
- Armand Tanton (1902-1982), inspecteur d'académie et historien régional.
- Bernard Villemot (1911-1989), affichiste.
- Monique Pelletier (née en 1926), femme politique.
- Louis Delamarre (1921-1981), ambassadeur de France assassiné au Liban.
- Colette Seghers (née en 1928), écrivaine.
- Pierre Lance (né en 1933), écrivain, philosophe.
- Gérard Levoyer (né en 1946), auteur et comédien.
- Gilles Geneviève (né en 1957), enseignant.
- Nadia Le Brun (née en 1971), journaliste et écrivaine.
- Pierre-Antoine Capton (1975), producteur de télévision
- Cédric Houssaye (né en 1979), athlète, sélectionné aux Jeux olympiques de 2012.
Décès
- Louis Joseph Marchand (1791-1876), 1er valet de Napoléon Ier.
- Michel Montané (1799-1875), homme politique.
- Charles Mozin (1806-1862), peintre. « Découvreur » de Trouville en 1825. Constructeur du chalet Mozin et de la tour Malakoff.
- Amaury Dréo (1829-1882), homme politique.
- Edgard de Maigret (1841-1910), amiral.
- Ernest Duvergier de Hauranne (1843-1877), journaliste et homme politique.
- Robert Demachy (1859-1936), banquier et photographe.
- Cécile Sorel (1873-1966), comédienne.
- Édouard Devernay (1889-1952), organiste compositeur.
- Savignac (1907-2002), affichiste. Il est inhumé au cimetière.
- Jean-Pierre Lazzerini (1957-2012), acteur[38].
Résidents
- Marcel Béalu (1908-1993), poète, écrivain y posséda un appartement.
- Amédée Buffet (1869-1933), peintre[39].
- Alexandre Dumas (1802-1870), écrivain, « découvreur » de Trouville.
- Gustave Flaubert (1821-1880), écrivain, y connut ses premières émotions sentimentales.
- Eugène Boudin (1824-1898), peintre, y séjourna souvent.
- Valerien Ostroga (1840-1889), photographe, y exerce de 1872 à 1889.
- Claude Monet (1840-1926), peintre, y séjourna souvent.
- Geneviève Halévy (Mme Straus) (1849-1926), se fit construire la villa "Le Clos des mûriers".
- Marcel Proust (1871-1922), écrivain, séjourna notamment à l'hôtel des Roches Noires.
- Marie-Renée Ucciani (1883-1963), peintre et sculptrice, vient peindre à Trouville-sur-Mer.
- Marguerite Duras (1914-1996), écrivaine, y posséda un appartement de 1963 à sa mort.
- René de Obaldia (né en 1918), dramaturge, y réside.
- Louis Pauwels (1920-1997), journaliste et écrivain, y possédait une résidence secondaire.
- Emmanuelle Riva (née en 1927), comédienne, y posséda un appartement.
- Jacques Rouffio (1928-2016), réalisateur de cinéma, y posséda une maison.
- Guylaine Guy (née en 1929), chanteuse et peintre, résidente principale depuis 1978.
- Annie Girardot (1931-2011), comédienne, propriétaire d'un appartement au Chalet Cordier[40].
- Jean-Paul Belmondo (né en 1933), acteur de cinéma, y possède une résidence secondaire.
- Johnny Hallyday (1943-2017), chanteur, y passa ses vacances dans sa jeunesse.
- Marie-Claire Pauwels (1945-2011), journaliste, y possédait une résidence secondaire.
- Patrick Rambaud (né en 1946), écrivain, résident secondaire.
- Gérard Depardieu (né en 1948), acteur de cinéma, y possède une maison.
- Bettina Rheims (née en 1952), photographe, y possède une maison avec son mari l'avocat Jean-Michel Darrois.
- Antoine de Caunes (né en 1953), animateur de télévision, acteur de cinéma, y possède une maison.
- Ségolène Royal (née en 1953), femme politique, a été conseillère municipale (PS) de 1983 à 1986.
- Christine Orban (née en 1954), écrivaine, y possède une résidence.
- Karl Zéro (né en 1961), animateur de télévision, y possède une maison.
- José Garcia (né en 1966), acteur de cinéma, y possède une résidence secondaire.
Trouville dans des œuvres conservées dans les collections publiques
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Charles Mozin, Le Quernet, musée de Trouville - Villa Montebello.
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Eugène Boudin, Laveuses au bord de la Touques (1884), Baden, Museum Langmatt. -
Claude Monet, Le Port de Trouville (1870), Musée des beaux-arts de Budapest.
Héraldique
Les armes de la commune de Trouville-sur-Mer se blasonnent ainsi : |
Notes et références
Notes
- Population municipale 2021.
- Né Leclercq est autorisé en 1867 à ajouter de Lannoy. On lui doit l'installation d'une promenade de planches sur la plage en 1867.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : Trouville-sur-Mer sur le site de l'Institut géographique national (archive Wikiwix).
- LOI no 2015-29 du 16 janvier 2015
- Ministère de l'Intérieur.
- Conseil Constitutionnel
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1978. p. 688a.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
- François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, p. 202.
- François de Beaurepaire, Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éditions Picard 1979. p. 158.
- Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie, OREP, 2009. p. 115.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- https://sites.google.com/site/mozincharleslouis/
- La Villa Montebello, musée de peinture de Trouville-sur-Mer, conserve 19 peintures, 28 dessins et 138 lithographies (inventaire 2017) de Charles Mozin dont : La Traversée du gué et L'Invincible gagnant le port 1855 don de madame veuve Mozin a la ville en 1868.
- Yves Bayard, Les Peintre de Trouville, 1820 - 1940 ou la trilogie de la villégiature, Trouville, Pierre Mardaga éditeur, Bruxelles.
- René Musset, « Alphonse Karr et Trouville », Annales de Normandie, 4e année, no 2, mai 1954.
- Marc Boyer, Histoire générale du tourisme du XVIe au XXIe siècle, Editions L'Harmattan, , p. 287
- Patrice Hamel, Dans l'Ouest Français, il était une fois, Editions L'Harmattan, , p. 135
- Michel Lévy Frères, 1869.
- https://gallica.bnf.fr/Search?ArianeWireIndex=index&p=1&lang=FR&f_typedoc=images&q=trouville&x=16&y=14
- Réélection 2014 : « Christian Cardon devant une opposition à deux têtes », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Trouville-sur-Mer », Trésor des régions.
- « Site communal - Poissonnerie et activité de la pêche » (consulté le ).
- http://archives.numerisees.calvados.fr/cg14v3/presse.php
- Jean Quellien et Christophe Mauboussin, Journaux de 1786 à 1944 , l'aventure de la presse écrite en Basse-Normandie, Cahiers du Temps, 1998. (ISBN 2911855132)
- Notice no PA14000023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00111769, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00111841, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00135503, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA14000098, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Emmanuelle Gallo, Les roches noires : Trouville-sur-Mer, Les Cahiers du temps, , 127 p..
- Jean Bayle, Ports et plages de "la Côte Fleurie", CinémAction-Corlet, , p. 63.
- Dominique Auzias, Jean-Paul Labourdette, Petit Futé Normandie, Nouvelles Editions de l'Université, , p. 196.
- Site web du Festival international du film culte de Trouville-sur-Mer
- http://www.cnth.org/v2_0_2/cnth.html
- http://www.trouvillesurmer.org/decouvrir-la-station/cote-plage/loisirs/237-ecole-de-surf-northshore
- « Le comédien Jean-Pierre Lazzerini est mort », Le Figaro, 3 septembre 2012.
- Auteur de La Messe à l'Abbaye de Saint-Arnould, Trouville, huile sur toile, château de Nemours.
- Ouest-France, 1er mars 2011.