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La Ligue des électeurs pour la conservation est fondée en 1969 par l'environnementaliste David Brower en tant qu'organisation à but non lucratif 501(c)(4). Elle est basée à Washington, D.C<ref name=":0">{{Lien web |langue=en |prénom=Reity |nom=O'Brien |titre=Nonprofit profile: League of Conservation Voters Inc. |url=http://publicintegrity.org/politics/nonprofit-profile-league-of-conservation-voters-inc/ |accès url=libre |site=[[Center for Public Integrity]] |date=2012-10-03 |consulté le=2024-05-18}}</ref>.

En 2012, elle dépense environ 11 millions de dollars en publicités politiques visant à influencer les élections fédérales, notamment en attaquant les candidats républicains opposés à la régulation environnementale. Entre 2002 et 2012, elle investit plus d'un million de dollars en lobbying<ref name=":0" />.

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En juin 2003, la Ligue des électeurs pour la conservation attribue la note « F » au président George W. Bush pour ses politiques environnementales, le qualifiant de président ayant le pire bilan environnemental de l'histoire des États-Unis. Selon leur rapport, l'administration Bush favoriserait systématiquement les intérêts industriels au détriment de la protection de l'environnement et de la santé publique. La Ligue critique le {{Lien|langue=en|trad=Clear Skies Act of 2003|fr=Clear Skies Act}} et la {{Lien|langue=en|trad=Healthy Forests Initiative|fr=Healthy Forests Initiative}}, les considérant comme des tentatives pour affaiblir les régulations environnementales existantes. De plus, elle dénonce le retrait des États-Unis du protocole de Kyoto et le manque de direction de Bush sur les questions environnementales internationales. L'administration Bush réfute ces accusations, les qualifiant de partisanes et affirmant que leurs politiques environnementales sont efficaces et coopératives<ref>{{Lien web |langue=en |auteur=J.R. Pegg |titre=League of Conservation Voters Slams Bush Record |url=https://web.archive.org/web/20150220081620/http://www.ens-newswire.com/ens/jun2003/2003-06-24-10.html |accès url=libre |site=Environment News Service |date=24 juin 2003 |consulté le=18 mai 2024}}</ref>.
En juin 2003, la Ligue des électeurs pour la conservation attribue la note « F » au président George W. Bush pour ses politiques environnementales, le qualifiant de président ayant le pire bilan environnemental de l'histoire des États-Unis. Selon leur rapport, l'administration Bush favoriserait systématiquement les intérêts industriels au détriment de la protection de l'environnement et de la santé publique. La Ligue critique le {{Lien|langue=en|trad=Clear Skies Act of 2003|fr=Clear Skies Act}} et la {{Lien|langue=en|trad=Healthy Forests Initiative|fr=Healthy Forests Initiative}}, les considérant comme des tentatives pour affaiblir les régulations environnementales existantes. De plus, elle dénonce le retrait des États-Unis du protocole de Kyoto et le manque de direction de Bush sur les questions environnementales internationales. L'administration Bush réfute ces accusations, les qualifiant de partisanes et affirmant que leurs politiques environnementales sont efficaces et coopératives<ref>{{Lien web |langue=en |auteur=J.R. Pegg |titre=League of Conservation Voters Slams Bush Record |url=https://web.archive.org/web/20150220081620/http://www.ens-newswire.com/ens/jun2003/2003-06-24-10.html |accès url=libre |site=Environment News Service |date=24 juin 2003 |consulté le=18 mai 2024}}</ref>.



Version du 18 mai 2024 à 03:54

La Ligue des électeurs pour la conservation est fondée en 1969 par l'environnementaliste David Brower en tant qu'organisation à but non lucratif 501(c)(4). Elle est basée à Washington, D.C[1].

En 2012, elle dépense environ 11 millions de dollars en publicités politiques visant à influencer les élections fédérales, notamment en attaquant les candidats républicains opposés à la régulation environnementale. Entre 2002 et 2012, elle investit plus d'un million de dollars en lobbying[1].

En 2012, ses dirigeants sont Gene Karpinski (président) et Navin Nayak (vice-président des campagnes)[1].

Selon le Center for Public Integrity, elle soutient principalement des candidats pro-environnementaux, en majorité démocrates, et dispose de plus de 30 affiliés étatiques[1].

En juin 2003, la Ligue des électeurs pour la conservation attribue la note « F » au président George W. Bush pour ses politiques environnementales, le qualifiant de président ayant le pire bilan environnemental de l'histoire des États-Unis. Selon leur rapport, l'administration Bush favoriserait systématiquement les intérêts industriels au détriment de la protection de l'environnement et de la santé publique. La Ligue critique le Clear Skies Act (en) et la Healthy Forests Initiative (en), les considérant comme des tentatives pour affaiblir les régulations environnementales existantes. De plus, elle dénonce le retrait des États-Unis du protocole de Kyoto et le manque de direction de Bush sur les questions environnementales internationales. L'administration Bush réfute ces accusations, les qualifiant de partisanes et affirmant que leurs politiques environnementales sont efficaces et coopératives[2].

Références

  1. a b c et d (en) Reity O'Brien, « Nonprofit profile: League of Conservation Voters Inc. » Accès libre, sur Center for Public Integrity, (consulté le )
  2. (en) J.R. Pegg, « League of Conservation Voters Slams Bush Record » Accès libre, sur Environment News Service, (consulté le )