« Léon Roger-Milès » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Marc-AntoineV (discuter | contributions)
m →‎Œuvres : Enorme travail !
Marc-AntoineV (discuter | contributions)
Ligne 12 : Ligne 12 :


Journaliste, il écrit dans ''[[Le Figaro|Le Figaro illustré]]'', ''[[L'Éclair (quotidien)|L'Eclair]]'', ''[[Le Temps (1861-1942)|Le Temps]]'', ''[[Le Courrier français]]'', ''[[le Soir]]'', ''[[Le Gaulois (France)|le Gaulois]]'', ''[[L'Événement (1872)|L'Evènement]]'', ''[[Efimerís ton Athinón|Le Journal d'Athènes]]'', ''[[Le Journal du grand monde]]'', ''[[La Semaine de Paris]]'', ''[[La Revue des Deux Mondes]]''<ref name="cths">{{Lien web |url=http://cths.fr/an/prosopo.php?id=106150 |titre='''ROGER Léon''' Octave Jean dit '''ROGER-MILÈS''' |éditeur=[[Comité des travaux historiques et scientifiques]], institut rattaché à l’[[École nationale des chartes]] |site=cths.fr |consulté le=11 juillet 2018 }}.</ref>, ''{{page h'|Cousin Pons|Le Cousin Pons}}'' (revue d'art)<ref>{{Lien web |url=http://musee-rodin.bibli.fr/index.php?lvl=author_see&id=2745 |titre=Documents disponibles écrits par Léon Roger-Milès (1859-1928) |site=[[musée Rodin|musee-rodin.bibli.fr]] |consulté le=11 juillet 2018 }}.</ref>.
Journaliste, il écrit dans ''[[Le Figaro|Le Figaro illustré]]'', ''[[L'Éclair (quotidien)|L'Eclair]]'', ''[[Le Temps (1861-1942)|Le Temps]]'', ''[[Le Courrier français]]'', ''[[le Soir]]'', ''[[Le Gaulois (France)|le Gaulois]]'', ''[[L'Événement (1872)|L'Evènement]]'', ''[[Efimerís ton Athinón|Le Journal d'Athènes]]'', ''[[Le Journal du grand monde]]'', ''[[La Semaine de Paris]]'', ''[[La Revue des Deux Mondes]]''<ref name="cths">{{Lien web |url=http://cths.fr/an/prosopo.php?id=106150 |titre='''ROGER Léon''' Octave Jean dit '''ROGER-MILÈS''' |éditeur=[[Comité des travaux historiques et scientifiques]], institut rattaché à l’[[École nationale des chartes]] |site=cths.fr |consulté le=11 juillet 2018 }}.</ref>, ''{{page h'|Cousin Pons|Le Cousin Pons}}'' (revue d'art)<ref>{{Lien web |url=http://musee-rodin.bibli.fr/index.php?lvl=author_see&id=2745 |titre=Documents disponibles écrits par Léon Roger-Milès (1859-1928) |site=[[musée Rodin|musee-rodin.bibli.fr]] |consulté le=11 juillet 2018 }}.</ref>.

Romancier et nouvelliste, il a produit des ouvrages illustrés de gravures.

Critique d'art réputé, il préfaça des dizaines de catalogues d'expositions et publia de nombreux essais sur des peintres anciens et modernes. En 1907, par exemple, il est l'un des premiers à reconnaître le génie novateur de [[Francis Picabia]]. En 1923, dans son essais ''Léonard de Vinci et les Jocondes'', il affirme que Léonard peignit au moins deux versions de la [[La Joconde|Mona Lisa]], dont l'une pour [[Francesco del Giocondo]], et une autre pour [[Julien de Médicis (1479-1516)|Julien de Médicis]]<ref>{{es}} Christian Gálvez, ''Gioconda descodificada: Retrato de la mujer del Renacimiento'', Aguilar, 2019, {{p.|195}}.</ref>.


== Extrait de sa bibliographie ==
== Extrait de sa bibliographie ==

Version du 18 août 2022 à 00:42

Léon Roger-Milès
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 68 ans)
AngoulêmeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Léon Octave Jean Roger[1]
Nationalité
Activités
Autres informations
Distinction
Archives conservées par
Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 8059-8060, 2 pièces, -)[2]Voir et modifier les données sur Wikidata

Léon Roger, dit Léon Roger-Milès ou simplement Roger-Milès[1], est un avocat, historien, poète, journaliste et critique d'art français, né le à Paris et mort le à Angoulême[3].

Biographie

Léon Roger-Milès est professeur au collège Rollin de 1879 à 1887. De 1887 à 1899, il est avocat à la cour d'appel.

À partir de 1878, il dirige également Le Parnasse et fonde la revue Le Monde poétique (1884-1888) dont il est directeur.

Journaliste, il écrit dans Le Figaro illustré, L'Eclair, Le Temps, Le Courrier français, le Soir, le Gaulois, L'Evènement, Le Journal d'Athènes, Le Journal du grand monde, La Semaine de Paris, La Revue des Deux Mondes[1], Le Cousin Pons (revue d'art)[4].

Romancier et nouvelliste, il a produit des ouvrages illustrés de gravures.

Critique d'art réputé, il préfaça des dizaines de catalogues d'expositions et publia de nombreux essais sur des peintres anciens et modernes. En 1907, par exemple, il est l'un des premiers à reconnaître le génie novateur de Francis Picabia. En 1923, dans son essais Léonard de Vinci et les Jocondes, il affirme que Léonard peignit au moins deux versions de la Mona Lisa, dont l'une pour Francesco del Giocondo, et une autre pour Julien de Médicis[5].

Extrait de sa bibliographie

Distinctions

Notes et références

  1. a b et c « ROGER Léon Octave Jean dit ROGER-MILÈS », sur cths.fr, Comité des travaux historiques et scientifiques, institut rattaché à l’École nationale des chartes (consulté le ).
  2. « https://archives.yvelines.fr/rechercher/archives-en-ligne/correspondances-du-musee-departemental-maurice-denis/correspondances-du-musee-maurice-denis », sous le nom ROGER-MILES Léon (consulté le )
  3. Jules Abel Comte, Jean de Foville, André Dezarrois, « Annonce de décès », La Revue de l'art ancien et moderne, vol. 54, no 297,‎ « mort à Angoulême le 9 mai dernier ; — de notre excellent confrère L. Roger-Milès ».
  4. « Documents disponibles écrits par Léon Roger-Milès (1859-1928) », sur musee-rodin.bibli.fr (consulté le ).
  5. (es) Christian Gálvez, Gioconda descodificada: Retrato de la mujer del Renacimiento, Aguilar, 2019, p. 195.
  6. « Gil Blas », sur Gallica, (consulté le )

Liens externes