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Quelques semaines avant l'élection présidentielle française de 2017, il anticipe l'éventuelle victoire d'[[Emmanuel Macron]] comme une « revanche de la social-démocratie »<ref>[https://www.lemonde.fr/idees/article/2017/03/01/macron-la-troisieme-voie_5087367_3232.html Macron, la troisième voie], Arnaud Leparmentier, lemonde.fr, {{1er}} mars 2017.</ref>. Toutefois, avant l'élection, il pointe les failles de caractère d'Emmanuel Macron et la faiblesse de son équation budgétaire.<ref>{{Article|langue=fr|auteur1=Arnaud Leparmentier|titre=« Qu’il soit permis de poser quelques questions urticantes sur Macron »|périodique=Le Monde|date=2017-04-26|issn=https://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/04/26/qu-il-soit-permis-de-poser-quelques-questions-urticantes-sur-macron_5117529_4854003.html|lire en ligne=https://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/04/26/qu-il-soit-permis-de-poser-quelques-questions-urticantes-sur-macron_5117529_4854003.html|consulté le=2019-04-09|pages=}}</ref> |
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Version du 10 avril 2019 à 18:40
Naissance | |
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Nationalité | |
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Arnaud Leparmentier (né en 1967) est un journaliste français.
Il est correspondant du Monde à New York depuis 2017.
Biographie
Arnaud Leparmentier naît le à Paris.
Formation
Ancien élève du collège-lycée Ampère de Lyon (1978-1985) et du lycée privé Sainte-Geneviève de Versailles (1985-1987), il est diplômé de l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC, promotion 1990).
Carrière de journaliste
D'abord auditeur chez KPMG (1990) puis journaliste à Option finance (1992) et au Nouvel Économiste (1993), il arrive au Monde en 1995. Il est nommé correspondant en Allemagne (1997-2001) puis chef du bureau européen à Bruxelles (2001-2005). De 2005 à 2008, il est le chef du service politique du quotidien. Sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy, il est chargé du suivi de l’Élysée. À partir de 2012, il est directeur adjoint des rédactions puis directeur éditorial. Depuis l'été 2017, il est correspondant du journal à New York.
Il co-anime chaque dimanche Questions politiques de France Inter, ainsi que 28 minutes sur Arte chaque jeudi[réf. souhaitée]. Il tient une chronique sur France Inter le mercredi dans L'Édito, Un jour dans le monde.
Quelques semaines avant l'élection présidentielle française de 2017, il anticipe l'éventuelle victoire d'Emmanuel Macron comme une « revanche de la social-démocratie »[1]. Toutefois, avant l'élection, il pointe les failles de caractère d'Emmanuel Macron et la faiblesse de son équation budgétaire.[2]
Le journal L'Humanité lui reproche de considérer les salaires des travailleurs français trop élevés et de soutenir la réduction d'un tiers du SMIC à 691 euros[pertinence contestée]. Il est par ailleurs favorable à une plus grande libéralisation du marché du travail, qui permettrait de faciliter les licenciements[3].
Critiques
Social-libéral revendiqué, sa couverture négative de l'action du gouvernement grec d'Aléxis Tsípras après son élection[4] et pendant les négociations avec l'Eurogroupe pendant l'été 2015 font l'objet de vives critiques[5],[6]. Ses prises de positions répétées en faveur du Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (TAFTA) sur France inter, en l'absence de débats contradictoires, ont également fait l'objet de critiques quant à la qualité de l'information donnée sur ce sujet[7].
Au lendemain du vote du Brexit, le 24 juin 2016, il prédit la très grande difficulté d'une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, dans un article intitulé "Le Brexit n'aura pas lieu"[8]
Fiction
Arnaud Leparmentier joue son propre rôle dans la série télévisée Baron noir (2016), en interviewant, en compagnie de Jean-Pierre Elkabbach et de Michaël Darmon, dans son émission Le Grand Rendez-vous, le conseiller fictif du président de la République, Francis Laugier (incarné par Kad Merad).
Ouvrages
- Avec Stéphane Grand, Nicolas Sarkozy, les coulisses d'une défaite, Paris, L'Archipel, , 280 p. (ISBN 978-2-8098-0719-6, présentation en ligne).
- Ces Français, fossoyeurs de l'euro, Paris, Plon, coll. « Tribune libre », , 241 p. (ISBN 978-2-259-22008-8, présentation en ligne).
Prix
- Prix du livre européen 2013 (section essai), pour Ces Français, fossoyeurs de l'euro[9].
Références
- Macron, la troisième voie, Arnaud Leparmentier, lemonde.fr, 1er mars 2017.
- Arnaud Leparmentier, « « Qu’il soit permis de poser quelques questions urticantes sur Macron » », Le Monde, (ISSN https://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/04/26/qu-il-soit-permis-de-poser-quelques-questions-urticantes-sur-macron_5117529_4854003.html[à vérifier : ISSN invalide], lire en ligne, consulté le )
- « Le Monde a son chroniqueur esclavagiste », L'Humanité, (lire en ligne)
- Romaric Godin, « La bien triste Europe de monsieur Leparmentier », sur latribune.fr, (consulté le )
- « Grèce : la croisade d’Arnaud Leparmentier, vice-pape du Monde - Acrimed | Action Critique Médias », sur www.acrimed.org (consulté le )
- « Grèce : Twitter se déchaîne contre Leparmentier et Quatremer », sur Le Point, (consulté le ).
- « Arnaud Leparmentier chante les louanges du traité transatlantique sur France Inter », sur acrimed.org,
- Arnaud Leparmentier, « Le « Brexit » n’aura pas lieu », Le Monde, (ISSN https://www.lemonde.fr/idees/article/2016/06/25/le-brexit-n-aura-pas-lieu_4957905_3232.html[à vérifier : ISSN invalide], lire en ligne, consulté le )
- « Le Français Arnaud Leparmentier remporte le Prix du livre européen dans la catégorie essai », Parlement européen
Liens externes
- Naissance en octobre 1967
- Élève de l'École des hautes études commerciales de Paris
- Journaliste français du XXe siècle
- Journaliste français du XXIe siècle
- Collaborateur du Monde
- Collaborateur de France Inter
- Chroniqueur à la radio
- Animateur de radio français
- Animateur sur Europe 1
- Personnalité connue sous un pseudonyme
- Élève du lycée Sainte-Geneviève