« Marie-France Garaud » : différence entre les versions

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Sa carrière politique débute en 1961, où elle est attachée parlementaire au [[ministère de la Coopération]] jusqu'en 1962, puis chargée de mission auprès du [[Garde des Sceaux en France|garde des Sceaux]] [[Jean Foyer]] (moment où elle se lie d'amitié avec [[Simone Veil]]<ref name="PM">Marie-France Garaud, « "C'était ma plus vieille amie, nous avons tant ri ensemble" », ''[[Paris Match]]'', semaine du 6 au 12 juillet 2017, page 63.</ref>) jusqu'en [[1967]] puis enfin de 1967 à 1968 auprès de [[Georges Pompidou]], alors [[Premier ministre français|Premier ministre]].
Sa carrière politique débute en 1961, où elle est attachée parlementaire au [[ministère de la Coopération]] jusqu'en 1962, puis chargée de mission auprès du [[Garde des Sceaux en France|garde des Sceaux]] [[Jean Foyer]] (moment où elle se lie d'amitié avec [[Simone Veil]]<ref name="PM">Marie-France Garaud, « "C'était ma plus vieille amie, nous avons tant ri ensemble" », ''[[Paris Match]]'', semaine du 6 au 12 juillet 2017, page 63.</ref>) jusqu'en [[1967]] puis enfin de 1967 à 1968 auprès de [[Georges Pompidou]], alors [[Premier ministre français|Premier ministre]].


Lorsque Georges Pompidou est [[Élection présidentielle française de 1969|élu président de la République en 1969]], elle est nommée conseiller technique au [[Secrétariat général de la présidence de la République française|secrétariat général de la présidence de la République]] et occupera ce poste jusqu'au décès du président en 1974. Elle subira l'influence marquée de [[Georges Albertini]]. Elle fut ensuite conseiller référendaire (1974–1998), conseiller-maître (1998–1999) puis conseiller-maître honoraire (depuis 1999) à la [[Cour des comptes (France)|Cour des comptes]]. Après le décès de son mari, elle lui succède brièvement comme avocat au Conseil d'État et à la Cour de cassation<ref>[http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000592573 Voir sur ''legifrance.gouv.fr''.]</ref>{{,}}<ref>[http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000781088 Voir sur ''legifrance.gouv.fr''.]</ref>.
Lorsque Georges Pompidou est [[Élection présidentielle française de 1969|élu président de la République en 1969]], elle est nommée conseillère technique au [[Secrétariat général de la présidence de la République française|secrétariat général de la présidence de la République]] et occupera ce poste jusqu'au décès du président en 1974. Elle subira l'influence marquée de [[Georges Albertini]]. Elle fut ensuite conseillère référendaire (1974–1998), conseillère-maitresse (1998–1999) puis conseillère-maitresse honoraire (depuis 1999) à la [[Cour des comptes (France)|Cour des comptes]]. Après le décès de son mari, elle lui succède brièvement comme avocate au Conseil d'État et à la Cour de cassation<ref>[http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000592573 Voir sur ''legifrance.gouv.fr''.]</ref>{{,}}<ref>[http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000781088 Voir sur ''legifrance.gouv.fr''.]</ref>.


On a beaucoup glosé sur le rôle que [[Pierre Juillet]], chargé de mission auprès du président de la République, et elle-même eurent au cours des années 1970. Ainsi, tous les deux, qualifiés par la presse d’« éminences grises », conseillèrent d’abord [[Georges Pompidou]] à l'Élysée (1969–1974), puis prirent sous leur aile [[Jacques Chirac]], d’abord Premier ministre de [[Valéry Giscard d'Estaing]] (1974–1976), puis président du [[Rassemblement pour la République|RPR]], créé à la hussarde par [[Charles Pasqua]] et Jacques Chirac avant tout comme « machine » à faire élire un candidat à la présidence de la République. Lors de la campagne pour l'[[élection présidentielle française de 1974|élection présidentielle de 1974]], ils veulent empêcher [[Jacques Chaban-Delmas]], jugeant dangereux son projet de [[Nouvelle société]], et poussent [[Pierre Messmer]] à se présenter<ref>Guillaume Tabard, [http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2016/12/22/35003-20161222ARTFIG00208-presidentielle-1974-valery-giscard-d-estaing-conjugue-changement-et-continuite.php « Giscard conjugue changement et continuité »], ''[[Le Figaro]]'', vendredi 23 décembre 2016, page 4.</ref>. Marie-France Garaud et Pierre Juillet sont également réputés être les inspirateurs de l'[[Appel de Cochin]] (6 décembre 1978), bien que signé par Jacques Chirac.
On a beaucoup glosé sur le rôle que [[Pierre Juillet]], chargé de mission auprès du président de la République, et elle-même eurent au cours des années 1970. Ainsi, tous les deux, qualifiés par la presse d’« éminences grises », conseillèrent d’abord [[Georges Pompidou]] à l'Élysée (1969–1974), puis prirent sous leur aile [[Jacques Chirac]], d’abord Premier ministre de [[Valéry Giscard d'Estaing]] (1974–1976), puis président du [[Rassemblement pour la République|RPR]], créé à la hussarde par [[Charles Pasqua]] et Jacques Chirac avant tout comme « machine » à faire élire un candidat à la présidence de la République. Lors de la campagne pour l'[[élection présidentielle française de 1974|élection présidentielle de 1974]], ils veulent empêcher [[Jacques Chaban-Delmas]], jugeant dangereux son projet de [[Nouvelle société]], et poussent [[Pierre Messmer]] à se présenter<ref>Guillaume Tabard, [http://www.lefigaro.fr/elections/presidentielles/2016/12/22/35003-20161222ARTFIG00208-presidentielle-1974-valery-giscard-d-estaing-conjugue-changement-et-continuite.php « Giscard conjugue changement et continuité »], ''[[Le Figaro]]'', vendredi 23 décembre 2016, page 4.</ref>. Marie-France Garaud et Pierre Juillet sont également réputés être les inspirateurs de l'[[Appel de Cochin]] (6 décembre 1978), bien que signé par Jacques Chirac.
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Après l'échec relatif de la liste RPR aux [[Élections européennes de 1979 en France|élections européennes de 1979]], qui voit la liste gaulliste passer derrière celle de l'[[Union pour la démocratie française|UDF]], présidée par [[Simone Veil]], Marie-France Garaud et Pierre Juillet sont tous deux évincés par Jacques Chirac de son entourage, notamment par l'intervention de [[Bernadette Chirac]] les trouvant trop influents et révélant lors d'une interview dans le magazine ''Elle'' à propos de Marie-France Garaud : {{Citation|Elle me prenait pour une parfaite imbécile}}<ref>{{ouvrage|auteur=[[Anne Sinclair]]|titre=Deux ou trois choses que je sais d'eux|éditeur=Grasset|date=1997|passage=113|isbn=|lire en ligne=https://books.google.com/books?id=dRwRriL1AXQC&pg=PT79}}.</ref>. Cette version de l'éviction de Marie-France Garaud par Jacques Chirac est contestée par plusieurs autres témoins. Celle-ci quitte l'entourage de Jacques Chirac de son propre chef, doutant des capacités de ce dernier à assumer la fonction de président de la République<ref>[[Morvan Duhamel]], ''Entretiens confidentiels de Georges Albertini'', éditions Amalthée, 2013, {{p.|475}}.</ref>.
Après l'échec relatif de la liste RPR aux [[Élections européennes de 1979 en France|élections européennes de 1979]], qui voit la liste gaulliste passer derrière celle de l'[[Union pour la démocratie française|UDF]], présidée par [[Simone Veil]], Marie-France Garaud et Pierre Juillet sont tous deux évincés par Jacques Chirac de son entourage, notamment par l'intervention de [[Bernadette Chirac]] les trouvant trop influents et révélant lors d'une interview dans le magazine ''Elle'' à propos de Marie-France Garaud : {{Citation|Elle me prenait pour une parfaite imbécile}}<ref>{{ouvrage|auteur=[[Anne Sinclair]]|titre=Deux ou trois choses que je sais d'eux|éditeur=Grasset|date=1997|passage=113|isbn=|lire en ligne=https://books.google.com/books?id=dRwRriL1AXQC&pg=PT79}}.</ref>. Cette version de l'éviction de Marie-France Garaud par Jacques Chirac est contestée par plusieurs autres témoins. Celle-ci quitte l'entourage de Jacques Chirac de son propre chef, doutant des capacités de ce dernier à assumer la fonction de président de la République<ref>[[Morvan Duhamel]], ''Entretiens confidentiels de Georges Albertini'', éditions Amalthée, 2013, {{p.|475}}.</ref>.


Elle aurait dit à propos de lui : {{citation|Je pensais que Jacques Chirac était du marbre dont on fait les statues, il est en fait de la faïence dont on fait les bidets<ref>Voir ''Le Canard enchaîné'' du {{date-|2 décembre 1985}}.</ref>}}, allusion à Bernadette Chirac, artisan de son éviction et fille de Jean-Louis Chodron de Courcel, le directeur commercial des [[Émaux de Briare]]<ref>{{ouvrage|auteur=Patrick Girard|titre=Chirac: Petits meurtres en famille|éditeur=Grasset|date=2003|page=139|}}.</ref>.
Elle aurait dit à propos de lui : {{citation|Je pensais que Jacques Chirac était du marbre dont on fait les statues, il est en fait de la faïence dont on fait les bidets<ref>Voir ''Le Canard enchaîné'' du {{date-|2 décembre 1985}}.</ref>}}, allusion à Bernadette Chirac, artisanne de son éviction et fille de Jean-Louis Chodron de Courcel, le directeur commercial des [[Émaux de Briare]]<ref>{{ouvrage|auteur=Patrick Girard|titre=Chirac: Petits meurtres en famille|éditeur=Grasset|date=2003|page=139|}}.</ref>.


==== Élection présidentielle de 1981 ====
==== Élection présidentielle de 1981 ====
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== Dans la fiction ==
== Dans la fiction ==
* [[1982 à la télévision|1982]] : ''Parisgrad'', roman de politique-fiction de Jean Texel (pseudonyme de [[Paul Chantrel]]). {{commentaire|On la reconnaît dans le personnage du Premier ministre de la France (appelée dans le livre « Marie-Garance Ferraud ») qui, après l'invasion soviétique, est torturée à mort par l'occupant.}}
* [[1982 à la télévision|1982]] : ''Parisgrad'', roman de politique-fiction de Jean Texel (pseudonyme de [[Paul Chantrel]]). {{commentaire|On la reconnaît dans le personnage de la Première ministre de la France (appelée dans le livre « Marie-Garance Ferraud ») qui, après l'invasion soviétique, est torturée à mort par l'occupant.}}
* [[2011 à la télévision|2011]] : ''[[Mort d'un président]]'' de [[Pierre Aknine]], jouée par [[Florence Müller (actrice)|Florence Müller]].
* [[2011 à la télévision|2011]] : ''[[Mort d'un président]]'' de [[Pierre Aknine]], jouée par [[Florence Müller (actrice)|Florence Müller]].
* [[2013 à la télévision|2013]] : ''[[La Rupture (téléfilm)|La Rupture]]'', téléfilm de [[Laurent Heynemann]], jouée par [[Géraldine Pailhas]].
* [[2013 à la télévision|2013]] : ''[[La Rupture (téléfilm)|La Rupture]]'', téléfilm de [[Laurent Heynemann]], jouée par [[Géraldine Pailhas]].

Version du 7 décembre 2018 à 15:29

Marie-France Garaud
Illustration.
Fonctions
Députée européenne

(4 ans, 11 mois et 29 jours)
Élection 13 juin 1999
Législature 5e
Biographie
Nom de naissance Marie-Françoise Quintard[1]
Date de naissance (90 ans)
Lieu de naissance Poitiers (France)
Nationalité Française
Profession Avocate

Marie-France Garaud, née Marie-Françoise Quintard le à Poitiers (Vienne), est une femme politique française.

De 1969 à 1974, elle est, avec Pierre Juillet, une influente conseillère du président Georges Pompidou.

Soutien du jeune Jacques Chirac, elle est avec Pierre Juillet une éminence grise dans la fondation du Rassemblement pour la République (RPR) en 1976 et rédige en 1978 l'appel de Cochin contre la droite pro-européenne incarnée par l'Union pour la démocratie française (UDF). Mais ils sont tous deux évincés de l'entourage de Chirac après l'échec relatif du RPR aux élections européennes de 1979.

Candidate malheureuse à l'élection présidentielle française de 1981, à laquelle elle s'est présentée en dehors de l'investiture du RPR, Marie-France Garaud fonde en 1982 l'Institut international de géopolitique (IIG), qu'elle préside encore aujourd'hui. Elle est députée européenne, élue du Rassemblement pour la France et l'indépendance de l'Europe, de 1999 à 2004.

Biographie

Famille et formation

Fille de Marcel Quintard, avoué, Marie-France Garaud est diplômée d’études supérieures en droit privé, en droit public et en histoire du droit de l'université de Poitiers.

Elle se marie le avec Louis Garaud (né le et aujourd'hui décédé), avocat aux conseils, fils du juriste Marcel Garaud, originaire de L'Absie (Deux-Sèvres) et professeur à la faculté de droit de Poitiers.

Carrière politique

Conseillère de Georges Pompidou

Inscrite au barreau de Poitiers en 1957, elle est ensuite attachée juridique au ministère de la Marine de 1957 à 1960.

Sa carrière politique débute en 1961, où elle est attachée parlementaire au ministère de la Coopération jusqu'en 1962, puis chargée de mission auprès du garde des Sceaux Jean Foyer (moment où elle se lie d'amitié avec Simone Veil[2]) jusqu'en 1967 puis enfin de 1967 à 1968 auprès de Georges Pompidou, alors Premier ministre.

Lorsque Georges Pompidou est élu président de la République en 1969, elle est nommée conseillère technique au secrétariat général de la présidence de la République et occupera ce poste jusqu'au décès du président en 1974. Elle subira l'influence marquée de Georges Albertini. Elle fut ensuite conseillère référendaire (1974–1998), conseillère-maitresse (1998–1999) puis conseillère-maitresse honoraire (depuis 1999) à la Cour des comptes. Après le décès de son mari, elle lui succède brièvement comme avocate au Conseil d'État et à la Cour de cassation[3],[4].

On a beaucoup glosé sur le rôle que Pierre Juillet, chargé de mission auprès du président de la République, et elle-même eurent au cours des années 1970. Ainsi, tous les deux, qualifiés par la presse d’« éminences grises », conseillèrent d’abord Georges Pompidou à l'Élysée (1969–1974), puis prirent sous leur aile Jacques Chirac, d’abord Premier ministre de Valéry Giscard d'Estaing (1974–1976), puis président du RPR, créé à la hussarde par Charles Pasqua et Jacques Chirac avant tout comme « machine » à faire élire un candidat à la présidence de la République. Lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 1974, ils veulent empêcher Jacques Chaban-Delmas, jugeant dangereux son projet de Nouvelle société, et poussent Pierre Messmer à se présenter[5]. Marie-France Garaud et Pierre Juillet sont également réputés être les inspirateurs de l'Appel de Cochin (6 décembre 1978), bien que signé par Jacques Chirac.

Après l'échec relatif de la liste RPR aux élections européennes de 1979, qui voit la liste gaulliste passer derrière celle de l'UDF, présidée par Simone Veil, Marie-France Garaud et Pierre Juillet sont tous deux évincés par Jacques Chirac de son entourage, notamment par l'intervention de Bernadette Chirac les trouvant trop influents et révélant lors d'une interview dans le magazine Elle à propos de Marie-France Garaud : « Elle me prenait pour une parfaite imbécile »[6]. Cette version de l'éviction de Marie-France Garaud par Jacques Chirac est contestée par plusieurs autres témoins. Celle-ci quitte l'entourage de Jacques Chirac de son propre chef, doutant des capacités de ce dernier à assumer la fonction de président de la République[7].

Elle aurait dit à propos de lui : « Je pensais que Jacques Chirac était du marbre dont on fait les statues, il est en fait de la faïence dont on fait les bidets[8] », allusion à Bernadette Chirac, artisanne de son éviction et fille de Jean-Louis Chodron de Courcel, le directeur commercial des Émaux de Briare[9].

Élection présidentielle de 1981

En 1981, elle s'oppose fermement aux candidats de droite en lice pour la présidentielle (Valéry Giscard d'Estaing, Jacques Chirac ou encore Michel Debré) et décide de se présenter à cette élection. Michel Debré, ancien Premier ministre du général de Gaulle, se porte candidat sans l'appui du RPR, ce qui est le cas également pour Marie-France Garaud. Le 3 février 1981, le RPR exprime officiellement son soutien à Jacques Chirac.

Elle est considérée comme la candidate para-gaulliste de 1981. Sa campagne est dirigée par Pierre Arpaillange[10]. Créditée de peu de voix dans les sondages, elle obtient finalement 1,33 % des voix au premier tour de l'élection, soit 386 623 voix, arrivant avant-dernière du scrutin, devant Huguette Bouchardeau.

Après 1981

Elle fonde en 1982 et préside, depuis sa création, l'Institut international de géopolitique (IIG), qui publie la revue trimestrielle Géopolitique, qu'elle dirige encore aujourd'hui.

En 1992, dans le cadre du référendum organisé, elle fait campagne contre l'adoption du traité de Maastricht. Elle s'opposera de nouveau, treize ans plus tard, lors du référendum de 2005, au traité établissant une Constitution pour l'Europe. Entre-temps, en 1999, elle se fait élire députée européenne sur la liste RPFIE, menée par Charles Pasqua et Philippe de Villiers.

À l'occasion du second tour de l'élection présidentielle de 2017, elle apporte son soutien à Marine Le Pen, considérant que « manifestement, elle est la seule à avoir le tempérament pour rétablir la souveraineté de la France » et que, de son point de vue, elle a « le sens de l'État au point de préserver notre nation »[11].

Ouvrages

Dans la fiction

Références

  1. Michel Bracquart, Le vrai nom des stars, M.A. Éditions, (ISBN 2-86676-463-3), p. 154.
  2. Marie-France Garaud, « "C'était ma plus vieille amie, nous avons tant ri ensemble" », Paris Match, semaine du 6 au 12 juillet 2017, page 63.
  3. Voir sur legifrance.gouv.fr.
  4. Voir sur legifrance.gouv.fr.
  5. Guillaume Tabard, « Giscard conjugue changement et continuité », Le Figaro, vendredi 23 décembre 2016, page 4.
  6. Anne Sinclair, Deux ou trois choses que je sais d'eux, Grasset, (lire en ligne), p. 113.
  7. Morvan Duhamel, Entretiens confidentiels de Georges Albertini, éditions Amalthée, 2013, p. 475.
  8. Voir Le Canard enchaîné du .
  9. Patrick Girard, Chirac: Petits meurtres en famille, Grasset, , p. 139.
  10. Voir sur lemonde.fr.
  11. Emmanuel Galiero (auteur de l'interview) et Marie-France Garaud, « Marine Le Pen a le sens de l'État », lefigaro.fr,‎ (lire en ligne).

Voir aussi

Bibliographie

  • Raphaëlle Bacqué, « Marie-France Garaud, au bon souvenir de Jacques Chirac », Le Monde,‎ (lire en ligne).
    La prépublication, sur le site Lemonde.fr, est datée du 26 mai 2006.
  • Olivier Faye, « Marie-France Garaud  : la panthère grise de la République », Charles, no 6, 3 juillet 2013

Liens externes