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« Silentbloc » : différence entre les versions

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C'est une invention Belge par le petit fils d'un imprimeur de la ville de Huy.
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== Notes et références ==
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{{Références}}Utilisation et bénéfices des silenblocs en polyuréthane dans l'industrie automobile, [https://polygarage.eu/fr/12-alfa-romeo Site spécialiste du silentbloc]{{Portail|génie mécanique}}
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[[Catégorie:Dispositif mécanique]]
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Version du 9 juin 2023 à 19:15

Un silent bloc de Fiat 500 R.

Silentbloc: C'est une invention Belge (Huy) du petit-fils de l'industriel François Thiry, patron d'une société fabriquant des machines destinées à l'imprimerie, Léon Thiry a inventé le silentbloc dont le brevet a été déposé[1] par la société française Paulstra désignant un support anti-vibratoire. Cette pièce est constituée d'un matériau souple permettant d'absorber les chocs et vibrations entre des organes mécaniques, d'en améliorer la longévité et de réduire les nuisances sonores. Selon sa fonction dans la liaison, elle sera nommée génériquement suspension élastique, transmission élastique ou articulation élastique.

Le terme est passé dans le langage courant[2] et les orthographes pour la dénomination d'éléments amortisseurs souples sont variées, comme « silent bloc[3] », « silent block », ou « cylindre bloc » par attraction phonétique.

Dans une voiture, les silentblocs assurent la jonction entre le châssis et les triangles de suspension. Ils atténuent et adoucissent les chocs transmis de la carrosserie à l'intérieur de la voiture[4]. Ils constituent un élément à contrôler[5] dès que le véhicule atteint 80 000 kilomètres pour des raisons de sécurité. Il peut également servir à insonoriser le fonctionnement d'un moteur en l'isolant de l'armature métallique qui le maintient ; ou encore à fixer une ligne d'échappement, pour absorber les vibrations de cette dernière.

Il peut être en caoutchouc, en matière plastique ou d'autres matériaux répondant à des critères d'élasticité et d'amortissement des impulsions qu'ils reçoivent.

Il est généralement utilisé en compression : plusieurs éléments supportent le poids de la partie en mouvement, en sandwich avec la structure porteuse. Un système de fixation métallique peut éventuellement être ajouté pour empêcher la partie mécanique de sortir de son logement, mais dans ce cas, il est nécessaire de le coupler avec un ressort.

Articles connexes

Notes et références

  1. « Articulations élastiques simples », Paulstra SNC.
  2. « Définitions : Silentbloc », Éditions Larousse.
  3. Aura Industrie, « Silent bloc et plots antivibratoires », sur silent-bloc.eu.
  4. « Silentbloc », sur polypro.com.ua.
  5. « Comment contrôler les suspensions de votre véhicule ? », sur entretien-automobile.com, (consulté le ).

Utilisation et bénéfices des silenblocs en polyuréthane dans l'industrie automobile, Site spécialiste du silentbloc