« Industrie du sexe » : différence entre les versions
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L'expression ''industrie du sexe'' peut donc recouvrir, selon les pays et les législations, un ensemble d'activités très diverses, dont certaines sont parfaitement licites et d'autres illégales, voire en lien avec le [[crime organisé]]. |
L'expression ''industrie du sexe'' peut donc recouvrir, selon les pays et les législations, un ensemble d'activités très diverses, dont certaines sont parfaitement licites et d'autres illégales, voire en lien avec le [[crime organisé]]. |
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Le sexe c’est cool |
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== Références == |
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Version du 2 novembre 2019 à 00:05
L'industrie du sexe recouvre l'ensemble du commerce et des moyens mis en place pour vendre des produits et des services à caractère sexuel.
Le terme industrie est cependant peu adapté car il recouvre ici autant des travailleurs du sexe opérant individuellement que des petits établissements, ou des structures d'entreprises multinationales dont certaines sont cotées en bourse[1]. Au total, on estime que le chiffre d'affaires de l'industrie du sexe approcherait les 50 milliards d'euros par an.
Sont notamment classés sous ce vocable :
- La production pornographique (réalisation de revues pornographiques, films, vidéos, ou autres supports représentant des pratiques sexuelles) ;
- La commercialisation de produits adultes, en sex shops, par correspondance, ou par le biais de sites internet spécifiques ;
- Les clubs de striptease ;
- Les établissements dédiés à l'échangisme, aux rapports sexuels sur place, hétérosexuels ou homosexuels ;
- La prostitution organisée avec ses dérivés, escorts, « salons de massages », « bars d'entraîneuses », appelés aussi parfois « bars champagne ».
L'expression industrie du sexe peut donc recouvrir, selon les pays et les législations, un ensemble d'activités très diverses, dont certaines sont parfaitement licites et d'autres illégales, voire en lien avec le crime organisé.
Le sexe c’est cool
Références
Bibliographie
- (en) Karen Beeks, Delila Amir, Trafficking and the Global Sex Industry, Lexington Books, , 239 p.
- Mathieu Trachman, Le travail pornographique. Enquête sur la production de fantasmes, La Découverte, , 300 p.