« Famille de Gaulle » : différence entre les versions

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== Origine de la famille ==
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L'origine et la filiation de la famille de Gaulle ont été notamment étudiées par [[Julien Philippe de Gaulle]] (1801-1883), historien et grand-père du [[Charles de Gaulle|général de Gaulle]], qui, dans ses travaux [[Généalogie|généalogiques]] sur sa famille<ref>La fondation Charles-de-Gaulle reprend, notamment, le fruit de ses travaux sur son site : http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php</ref>, faisait l'hypothèse d'une lointaine ascendance [[Noblesse|noble]] : un Richard de Gaulle tenait, en effet, le fief d'[[Elbeuf-en-Bray]] en Normandie en 1210 (et serait le premier du nom ''de Gaulle'') ; un Jehan de Gaulle, quant à lui, est cité comme le « tacticien » de la bataille d’[[Bataille d'Azincourt|Azincourt]] en 1415<ref>Michel Sementéry, ''les Présidents de la République et leur famille, éditions Christian, 1982.</ref>{{,}}<ref>https://books.google.be/books?id=heKIAQAAQBAJ&pg=PA1287&lpg=PA1287&dq=de+gaulle+azincourt&source=bl&ots=0KXmlat0z9&sig=TYo93pT-yhwoWtUUbVTj2PBhmI0&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiKkt6w9ajSAhUkJ8AKHeSMASkQ6AEIbDAS#v=onepage&q=de%20gaulle%20azincourt&f=false</ref>{{,}}<ref name="A3EKGI">Cf., également : [[Philippe de Gaulle]], Mémoires accessoires 1921-1946, Paris, Plon, 1997 {{ISBN|2-259-18586-X}}</ref>. Cependant la famille de Gaulle ne figure dans aucun nobiliaire<ref>Chérin et d'Hozier, ''Cabinet des titres'' ; [[Régis Valette]], ''Catalogue de la noblesse française subsistante au {{s-|XXI}}'' ; Seréville et Saint-Simon ; [[Philippe du Puy de Clinchamps]], etc.</ref>, et il n'existe aucune preuve à l'appui de ces prétentions<ref name="U1GFPI">[[Jean-Louis Beaucarnot]], ''De César à Sarkozy : Petite histoire des noms du pouvoir'', éditions J.C Lattès, 2007.</ref> ; de plus, c'est « vraisemblablement [...] sur l'amalgame entre deux personnages bien réels » que repose la « légende familiale » de ce Jehan de Gaulle, combattant à Azincourt, et "il est peu probable qu'il ait un lien quelconque avec le général"<ref>http://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/600-ans-d-azincourt-un-ancetre-du-general-de-gaulle-t-il-vraiment-participe-la-bataille-836617.html</ref>.
L'origine et la filiation de la famille de Gaulle ont été notamment étudiées par [[Julien Philippe de Gaulle]] (1801-1883), historien et grand-père du [[Charles de Gaulle|général de Gaulle]], qui, dans ses travaux [[Généalogie|généalogiques]] sur sa famille<ref>La fondation Charles-de-Gaulle reprend, notamment, le fruit de ses travaux sur son site : http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php</ref>, faisait l'hypothèse d'une lointaine ascendance [[Noblesse|noble]] : un Richard de Gaulle tenait, en effet, le fief d'[[Elbeuf-en-Bray]] en Normandie en 1210 (et serait le premier du nom ''de Gaulle'') ; un Jehan de Gaulle, quant à lui, est cité comme le « tacticien » de la bataille d’[[Bataille d'Azincourt|Azincourt]] en 1415<ref>Michel Sementéry, ''les Présidents de la République et leur famille, éditions Christian, 1982.</ref>{{,}}<ref>https://books.google.be/books?id=heKIAQAAQBAJ&pg=PA1287&lpg=PA1287&dq=de+gaulle+azincourt&source=bl&ots=0KXmlat0z9&sig=TYo93pT-yhwoWtUUbVTj2PBhmI0&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiKkt6w9ajSAhUkJ8AKHeSMASkQ6AEIbDAS#v=onepage&q=de%20gaulle%20azincourt&f=false</ref>{{,}}<ref name="A3EKGI">Cf., également : [[Philippe de Gaulle]], Mémoires accessoires 1921-1946, Paris, Plon, 1997 {{ISBN|2-259-18586-X}}</ref>. Cependant la famille de Gaulle ne figure dans aucun nobiliaire<ref>Chérin et d'Hozier, ''Cabinet des titres'' ; [[Régis Valette]], ''Catalogue de la noblesse française subsistante au {{s-|XXI}}'' ; Seréville et Saint-Simon ; [[Philippe du Puy de Clinchamps]], etc.</ref>, et il n'existe aucune preuve à l'appui de ces prétentions<ref name="U1GFPI">[[Jean-Louis Beaucarnot]], ''De César à Sarkozy : Petite histoire des noms du pouvoir'', éditions J.C Lattès, 2007.</ref> ; de plus, c'est « vraisemblablement [...] sur l'amalgame entre deux personnages bien réels » que repose la « légende familiale » de ce Jehan de Gaulle, combattant à Azincourt<ref>http://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/600-ans-d-azincourt-un-ancetre-du-general-de-gaulle-t-il-vraiment-participe-la-bataille-836617.html</ref>.
Les de Gaulle prirent pour [[Héraldique|armoiries]] : « ''Tiercé en fasce, d’argent, de gueules et d’azur, l’argent chargé de trois noix de Galles de gueules tigées et feuillées de sinople, l’azur chargé de trois trèfles d’or'' » <ref>Michel Sementéry, ''les Présidents de la République française et leur famille'', éditions Christian, 1982</ref>{{,}}<ref>https://lecanarddechaineblog.wordpress.com/tag/les-armoiries-de-la-famille-de-gaulle/</ref>{{,}}<ref>http://toutsurlheraldique.blogspot.co.uk/2014/05/le-general-charles-de-gaulle.html</ref>. Il s'agissait là en vérité d'une usurpation, fondée sur une [[homophonie]], des [[Héraldique|armes]] d'une famille (de) Gaul(l)e(s) éteinte, qui avait compté des capitaines-châtelains de [[Cuisery]] en [[Bourgogne]] aux {{sp-|XVI|et|XVII|s}}<ref name="Lecomte 2016">https://books.google.be/books?id=O5vaCwAAQBAJ&pg=PT217&lpg=PT217&dq=de+gaulles+cuisery&source=bl&ots=c7ofM_AT4F&sig=IYK4p4XI21kx6TM1YtnD3Uifnyk&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjkwsb4-ZjSAhXEBsAKHZLNDR04ChDoAQgcMAE#v=onepage&q=de%20gaulles%20cuisery&f=false</ref>{{,}}<ref>[[Blason (héraldique)|Blasonnées]] par [[Pierre Palliot]] et Louvan Géliot dans leur ''Traité de la science du blason'' (paru au {{s-|XVII}}), les armes de cette famille, sculptées sur une pierre du porche de l'église Notre-Dame de Cuisery, y sont toujours visibles ; en avril 1959, Charles de Gaulle, président de la République, fit un détour lors d'un de ses voyages officiels pour visiter l'église. (Cf. http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php)</ref> ; en effet, contrairement à ce que supposait [[Julien Philippe de Gaulle]] dans ses travaux<ref>Michel Sementéry faisait la même supposition dans son ouvrage ''les Présidents de la République française et leur famille'', éditions Christian, 1982</ref>{{,}}<ref>Voir aussi le site de la fondation Charles-de-Gaulle : http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php</ref>{{,}}<ref name="A3EKGI" />, il n'y a pas de lien entre ces Bourguignons anoblis en 1604 et les de Gaulle, descendants d'une famille [[Roturier|roturière]] originaire de [[Champagne (province)|Champagne]]<ref name="Lecomte 2016" />{{,}}<ref>Dictionnaire de la Vraie/Fausse noblesse, Tallandier, 2008</ref>{{,}}<ref name="U1GFPI" />.
Les de Gaulle prirent pour [[Héraldique|armoiries]] : « ''Tiercé en fasce, d’argent, de gueules et d’azur, l’argent chargé de trois noix de Galles de gueules tigées et feuillées de sinople, l’azur chargé de trois trèfles d’or'' » <ref>Michel Sementéry, ''les Présidents de la République française et leur famille'', éditions Christian, 1982</ref>{{,}}<ref>https://lecanarddechaineblog.wordpress.com/tag/les-armoiries-de-la-famille-de-gaulle/</ref>{{,}}<ref>http://toutsurlheraldique.blogspot.co.uk/2014/05/le-general-charles-de-gaulle.html</ref>. Il s'agissait là en vérité d'une usurpation, fondée sur une [[homophonie]], des [[Héraldique|armes]] d'une famille (de) Gaul(l)e(s) éteinte, qui avait compté des capitaines-châtelains de [[Cuisery]] en [[Bourgogne]] aux {{sp-|XVI|et|XVII|s}}<ref name="Lecomte 2016">https://books.google.be/books?id=O5vaCwAAQBAJ&pg=PT217&lpg=PT217&dq=de+gaulles+cuisery&source=bl&ots=c7ofM_AT4F&sig=IYK4p4XI21kx6TM1YtnD3Uifnyk&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjkwsb4-ZjSAhXEBsAKHZLNDR04ChDoAQgcMAE#v=onepage&q=de%20gaulles%20cuisery&f=false</ref>{{,}}<ref>[[Blason (héraldique)|Blasonnées]] par [[Pierre Palliot]] et Louvan Géliot dans leur ''Traité de la science du blason'' (paru au {{s-|XVII}}), les armes de cette famille, sculptées sur une pierre du porche de l'église Notre-Dame de Cuisery, y sont toujours visibles ; en avril 1959, Charles de Gaulle, président de la République, fit un détour lors d'un de ses voyages officiels pour visiter l'église. (Cf. http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php)</ref> ; en effet, contrairement à ce que supposait [[Julien Philippe de Gaulle]] dans ses travaux<ref>Michel Sementéry faisait la même supposition dans son ouvrage ''les Présidents de la République française et leur famille'', éditions Christian, 1982</ref>{{,}}<ref>Voir aussi le site de la fondation Charles-de-Gaulle : http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php</ref>{{,}}<ref name="A3EKGI" />, il n'y a pas de lien entre ces Bourguignons anoblis en 1604 et les de Gaulle, descendants d'une famille [[Roturier|roturière]] originaire de [[Champagne (province)|Champagne]]<ref name="Lecomte 2016" />{{,}}<ref>Dictionnaire de la Vraie/Fausse noblesse, Tallandier, 2008</ref>{{,}}<ref name="U1GFPI" />.

Version du 3 mars 2017 à 00:54

La famille de Gaulle désigne dans cet article la famille et l'ascendance du général Charles de Gaulle, président du Gouvernement provisoire de la République française du 3 juin 1944 au 20 janvier 1946, fondateur de la Ve République française et 18e président de la République de 1959 à 1969.

Origine du nom

« De Gaulle » serait, d'après Albert Dauzat, un nom d'origine flamande, calqué du néerlandais Van de Walle, « du Rempart » (nom d'origine : maison située près du rempart)[1].

Selon d'autres auteurs, le nom « de Gaulle » proviendrait du néerlandais « De Walle ». La plupart de ceux qui prêtent foi à cette étymologie pensent que ce mot signifie « (le) Gallois », mais en vieux néerlandais « De Walle ». signifie « la baleine » (actuellement « de walvis ») ou un gros poisson de mer comme un dauphin. Plusieurs familles Van de Walle portent d'ailleurs une baleine ou un dauphin dans leurs armes. Au reste, « le gallois », ou « le wallon » se dit en néerlandais « de Waal » (ou « de Wael ») avec un a long.[réf. nécessaire].

Cependant, s'il existe dans l'église Notre-Dame de la Chapelle (à Bruxelles) un monument commémoratif en souvenir de Marie de Gaule (édifié en 1647 par son époux Charles d'Hovyne), la généalogie de la famille de Gaulle ne montre aucun lien avec celle-ci ni une origine flamande. Charles de Gaulle est certes né à Lille, mais sa famille paternelle, devenue parisienne au XVIIIe siècle, était originaire de Châlons-en-Champagne[2].

Le patronyme « de Gaulle » semble, en fait, être issu d'une ancienne forme germanique : de walle signifiant le mur (d'enceinte), le rempart, où de = le et walle = mur, le w germanique ayant évolué en g[réf. nécessaire].

Le patronyme « de Gaulle » s'écrit toujours, par convention et par habitude, avec un « d » minuscule[3]. Suivant cet usage, et conformément aux conventions de la langue française relatives à l'usage de la particule onomastique, le mot « Gaulle » étant monosyllabique, le « de » se conserve même quand le nom n'est pas précédé du prénom ou d'un titre de civilité[4].

Origine de la famille

L'origine et la filiation de la famille de Gaulle ont été notamment étudiées par Julien Philippe de Gaulle (1801-1883), historien et grand-père du général de Gaulle, qui, dans ses travaux généalogiques sur sa famille[5], faisait l'hypothèse d'une lointaine ascendance noble : un Richard de Gaulle tenait, en effet, le fief d'Elbeuf-en-Bray en Normandie en 1210 (et serait le premier du nom de Gaulle) ; un Jehan de Gaulle, quant à lui, est cité comme le « tacticien » de la bataille d’Azincourt en 1415[6],[7],[8]. Cependant la famille de Gaulle ne figure dans aucun nobiliaire[9], et il n'existe aucune preuve à l'appui de ces prétentions[10] ; de plus, c'est « vraisemblablement [...] sur l'amalgame entre deux personnages bien réels » que repose la « légende familiale » de ce Jehan de Gaulle, combattant à Azincourt[11].

Les de Gaulle prirent pour armoiries : « Tiercé en fasce, d’argent, de gueules et d’azur, l’argent chargé de trois noix de Galles de gueules tigées et feuillées de sinople, l’azur chargé de trois trèfles d’or » [12],[13],[14]. Il s'agissait là en vérité d'une usurpation, fondée sur une homophonie, des armes d'une famille (de) Gaul(l)e(s) éteinte, qui avait compté des capitaines-châtelains de Cuisery en Bourgogne aux XVIe et XVIIe siècles[15],[16] ; en effet, contrairement à ce que supposait Julien Philippe de Gaulle dans ses travaux[17],[18],[8], il n'y a pas de lien entre ces Bourguignons anoblis en 1604 et les de Gaulle, descendants d'une famille roturière originaire de Champagne[15],[19],[10].

La filiation masculine suivie de la famille du Général ne commence qu'avec un certain Jehan Degaulle[20], dit « le Jeune » (11/01/1615 à Châlons-en-Champagne – 26/07/1672 à Châlons-en-Champagne), portefaix, facteur de grain, marchand à Châlons-en-Champagne, qu'on s'accorde à considérer aujourd'hui comme le fils probable d'un laboureur de Châlons-en-Champagne, Nicolas (17/02/1578 à Vauvillers – vers 1609), issu d'une modeste lignée de vignerons, laboureurs et marchands ayant pour auteur un Thébault (1475 – ?), et dont le nom fut orthographié indifféremment de Gaulle ou Degaulle[21].

Les descendants de Jehan Degaulle le Jeune s'enrichirent par le commerce, devenant de petits notables champenois : on relève, parmi eux, un juge consul et marguillier, un sergent puis archer royal en la maréchaussée de la généralité de Champagne, des huissiers, des religieux, etc.[22]

De Gaulle, de Châlons-en-Champagne, procureur au parlement de Paris (entré en charge en 1752, en remplacement de Pelée de Varenne), rue de la Mortellerie, d'après l'Almanach Royal de 1766, p. 291.

Quelques membres de la famille s'établirent au milieu du XVIIIe siècle à Paris et y occupèrent diverses charges mineures (non anoblissantes[23]). L'Almanach Royal de 1766 (p. 319) indique, parmi les « huissiers-priseurs » : « De Gaulle, rue et vis-à-vis Saint Severin », entré en charge en 1756[24]. Le même Almanach Royal indique également un de Gaulle parmi les procureurs au parlement de Paris, entré en charge en 1752[25] ; il s'agit de Jean-Baptiste de Gaulle (1720-1797), à ne pas confondre avec son fils et homonyme, Jean-Baptiste de Gaulle (1759-1832), avocat au parlement de Paris puis directeur des Postes militaires de la Grande Armée, arrière-grand-père du général de Gaulle.

Le fils de ce dernier, l'amiral de Gaulle, est aujourd'hui l'aîné de la famille de Gaulle.

Principaux membres de la famille de Gaulle et apparentés

Parmi les principaux membres de la famille de Gaulle, on trouve :

ainsi que :

Généalogie de la famille de Gaulle

Par commodité, de Gaulle est systématiquement orthographié en deux mots, bien que la particule ne fût pas toujours disjointe, notamment pendant la Révolution française.

La filiation n'est certaine qu'à partir de Jehan, dit « le Jeune » (11/01/1615 à Châlons-en-Champagne – 26/07/1672 à Châlons-en-Champagne)[21],[28].

Quelques portraits

Modèle:Message galerie

Notes et références

  1. Albert Dauzat, Dictionnaire étymologique des noms de famille et prénoms de France, 1951.
  2. Cf. Philippe de Gaulle, De Gaulle mon père, Paris, Plon, 2004 ; Jean-Louis Beaucarnot, De César à Sarkozy : Petite histoire des noms du pouvoir, éditions J.C Lattès, 2007.
  3. Du bon usage des titres de noblesse et de la particule
  4. Mémento typographique, Ch. Gouriou, éditions du Cercle de la Librairie, §58.
  5. La fondation Charles-de-Gaulle reprend, notamment, le fruit de ses travaux sur son site : http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php
  6. Michel Sementéry, les Présidents de la République et leur famille, éditions Christian, 1982.
  7. https://books.google.be/books?id=heKIAQAAQBAJ&pg=PA1287&lpg=PA1287&dq=de+gaulle+azincourt&source=bl&ots=0KXmlat0z9&sig=TYo93pT-yhwoWtUUbVTj2PBhmI0&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiKkt6w9ajSAhUkJ8AKHeSMASkQ6AEIbDAS#v=onepage&q=de%20gaulle%20azincourt&f=false
  8. a et b Cf., également : Philippe de Gaulle, Mémoires accessoires 1921-1946, Paris, Plon, 1997 (ISBN 2-259-18586-X)
  9. Chérin et d'Hozier, Cabinet des titres ; Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante au XXIe siècle ; Seréville et Saint-Simon ; Philippe du Puy de Clinchamps, etc.
  10. a et b Jean-Louis Beaucarnot, De César à Sarkozy : Petite histoire des noms du pouvoir, éditions J.C Lattès, 2007.
  11. http://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/600-ans-d-azincourt-un-ancetre-du-general-de-gaulle-t-il-vraiment-participe-la-bataille-836617.html
  12. Michel Sementéry, les Présidents de la République française et leur famille, éditions Christian, 1982
  13. https://lecanarddechaineblog.wordpress.com/tag/les-armoiries-de-la-famille-de-gaulle/
  14. http://toutsurlheraldique.blogspot.co.uk/2014/05/le-general-charles-de-gaulle.html
  15. a et b https://books.google.be/books?id=O5vaCwAAQBAJ&pg=PT217&lpg=PT217&dq=de+gaulles+cuisery&source=bl&ots=c7ofM_AT4F&sig=IYK4p4XI21kx6TM1YtnD3Uifnyk&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjkwsb4-ZjSAhXEBsAKHZLNDR04ChDoAQgcMAE#v=onepage&q=de%20gaulles%20cuisery&f=false
  16. Blasonnées par Pierre Palliot et Louvan Géliot dans leur Traité de la science du blason (paru au XVIIe siècle), les armes de cette famille, sculptées sur une pierre du porche de l'église Notre-Dame de Cuisery, y sont toujours visibles ; en avril 1959, Charles de Gaulle, président de la République, fit un détour lors d'un de ses voyages officiels pour visiter l'église. (Cf. http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php)
  17. Michel Sementéry faisait la même supposition dans son ouvrage les Présidents de la République française et leur famille, éditions Christian, 1982
  18. Voir aussi le site de la fondation Charles-de-Gaulle : http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php
  19. Dictionnaire de la Vraie/Fausse noblesse, Tallandier, 2008
  20. AD 51, 4E 8420
  21. a et b Cf., sur l'ascendance probable de Jehan Degaulle le Jeune, Jean-Louis Beaucarnot, De César à Sarkozy : Petite histoire des noms du pouvoir, éditions J.C Lattès, 2007.
  22. Cf., sur la descendance de Jehan Degaulle le Jeune, Michel Sementéry, les Présidents de la République française et leur famille, éditions Christian, 1982.
  23. Contrairement à ce qu'on peut souvent lire (http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php), la famille de Gaulle ne fut pas anoblie par charge. Cf. Éric Chiaradia, L'Entourage du général de Gaulle : juin 58-avril 69, éditions Publibook, 2011. Sur les charges anoblissantes, lire Philippe du Puy de Clinchamps, La Noblesse, Puf, 1959, réédité en 1996.
  24. Voir aussi l'Almanach royal, 1789 (p. 418) : le même « De Gaulle, rue Saint Jacques, vis-à-vis celle de la Parcheminerie », toujours « huissier-commissaire-priseur ». Selon le Dictionnaire du Grand Siècle (sub verbo « Auxiliaires de Justice »), cette fonction consistait à pratiquer les ventes volontaires de biens meubles.
  25. Voir document ci-dessus reproduit et Almanach Royal de 1789-1790 : liste des Procureurs au Parlement de Paris (l'équivalent d'un avoué) : « De Gaulle, Cloître des Bernardins, de Châlons-en-Champagne » (entré en charge en 1752, en remplacement de Pelée de Varenne).
  26. Notice biographique
  27. Témoignage chrétien, article du 16 avril 2012
  28. Cf., sur la généalogie descendante de Jehan Degaulle le Jeune, Michel Sementéry, les Présidents de la République et leur famille, éditions Christian, 1982.
  29. http://chatry.pagesperso-orange.fr/dcy501_f.htm
  30. http://gw5.geneanet.org/touvet?lang=fr&pz=cedric&nz=touvet&ocz=0&m=D&p=nicolas&n=de+gaulle&t=L&sosab=10&alwsurn=yes&color=&v=13
  31. http://gw5.geneanet.org/soisic31?lang=fr&m=D&p=thibault&n=degaulle&t=L&sosab=10&color=&v=13
  32. http://gw1.geneanet.org/fgringo?lang=fr&pz=francois+benoit+marie&nz=grinda&ocz=0&m=D&p=thibault&n=de+gaulle&t=L&sosab=10&color=&v=15
  33. http://gw0.geneanet.org/alphami?lang=fr&m=N&v=DE%20GAULLE
  34. http://gw0.geneanet.org/amillien?lang=fr&pz=alexandrine+andree&nz=millien&ocz=0&m=D&p=thiebault&n=de+gaulle&t=L&sosab=10&color=&v=17
  35. http://gw1.geneanet.org/houot?lang=fr&m=N&v=de%20GAULLE
  36. http://gw5.geneanet.org/sance18?lang=fr&m=N&v=DEGAULLE%20%28de%20Gaulle%29
  37. http://gw1.geneanet.org/gerardlpdupon?lang=fr&m=N&v=DE%20GAULLE
  38. http://gw4.geneanet.org/ptexier?lang=fr&m=N&v=de%20GAULLE
  39. Almanach Royal, 1766, p. 291 : « 1752, De Gaulle, rue de la Mortellerie, de Châlons-en-Champagne. »
  40. Fille de Louis Hue et de Louise Charlotte Delair (????-1737).
  41. Fille de Pierre Gaussen (1736-????), commis vérificateur du roi, et de Marie Anne Geneviève Barbier (1733-????).
  42. Fils de Jean Joseph Xavier Bidauld, peintre paysagiste, membre de l'Académie des Beaux-Arts.
  43. Fils de François Lami et de Louise Hélène Heim.
  44. Charles Sedelmeyer (30/04/1837 à Vienne – 09/08/1925 à Paris), marchand de tableaux et éditeur d'art.
  45. Fils d'Olivier Marie Sainsère (09/09/1852 à Bar-le-Duc – 07/09/1923 à Paris), homme politique, secrétaire général de la présidence de la République et conseiller d'État, et d'Anne Marie Henry.
  46. Fille de Paul Gers, banquier (banque Gers).
  47. Fille de Charles Louis Maillot (18/06/1781-26/01/1855 à Lille), contrôleur des tabacs, et de Marie Joséphine Jacqueline Hermel (15/06/1789-19/12/1841 à Lille).
  48. Fille de Jules Émile Maillot (09/02/1819 à Lille – 25/01/1891 à Lille), industriel textile fabricant de tulle (lui-même petit-fils par sa mère de Louis Kolb, luthérien, ancien sergent major de la garde suisse de Louis XVI, et de Marie Nicot, qu'on a présenté comme une descendante de Jean Nicot), et de Julia Marie Léonie Delannoy (26/02/1835 à Lille – 18/06/1912), négociante (elle-même fille du bâtonnier Delannoy et issue par sa mère d'un rameau bâtard du noble clan irlandais MacCartan (en), qu'une tradition fait descendre du dixième roi élu d'Ulster Rodricus le Grand au IIIe siècle, allié à une famille écossaise et protestante, les Fleming Ce lien renvoie vers une page d'homonymie). Cf. http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/analyses/la-famille-de-gaulle.php et http://www.charles-de-gaulle.org/pages/l-homme/dossiers-thematiques/1890-1940-la-genese/jeunesse-et-formation/documents/la-genealogie-du-general-de-gaulle.php
  49. Fille de Pierre Gourdon, écrivain.
  50. Frédérique Neau-Dufour, Geneviève de Gaulle-Anthonioz : l'autre De Gaulle, 2004, page 69.
  51. Fille de Jacques Vendroux, président du conseil d'administration d'une biscuiterie, et de Marguerite Forest.
  52. Fils d'Henri de Boissieu, comte de Boissieu, et de Marguerite Froger de Mauny.
  53. Jules de Gaulle a été président de la Société entomologique de France en 1912.

Bibliographie

  • Jean Lacouture, De Gaulle, (3 volumes) : 1 — Le Rebelle (1890-1944), 2 — Le Politique (1944-1959), 3 — Le Souverain (1959-1970), Paris, Le Seuil, 1984, 1985 et 1986. Paris, Points Histoire, 1990.
  • Damon Mayaffre, Le Discours présidentiel sous la Ve République. Chirac, Mitterrand, Giscard, Pompidou, de Gaulle, Paris, Presses de Sciences Po, , 384 p. (ISBN 2724612442)
  • J. Valynseele et N. Dreneau, La parentèle de Charles et Yvonne de Gaulle,
  • André Delavenne, Bourgeoisie ancienne
  • Bottin mondain (édition 2009)

Articles connexes

Liens externes