« Ali Boulala » : différence entre les versions
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En 2008, Ali Boulala a purgé une peine de deux ans de prison après un accident dans lequel il est reconnu coupable de l'homicide involontaire de [[Shane Cross]], un autre ''rider'' de chez Flip, dans un accident de moto à [[Melbourne]]<ref>{{Article |langue=en |url=http://www.news.com.au/dailytelegraph/story/0,22049,23596008-5005941,00.html |titre=World famous skateboarder Ali Boulala jailed |nom1=Hadfield |prénom1=Shelley |périodique=The Daily Telegraph (Australia) |date=25 avril 2008 |site=New South Wales |consulté le=25 décembre 2015}}</ref>. Il a été libéré le {{date-|13 mars 2010}}<ref>{{Lien web|langue = |titre = Ali Boulala est libre|url = http://www.beachbrother.com/2010/03/ali-boulala-est-libre/|site = BeachBrother.com|consulté le = 2015-12-25|date = 15 mars 2010}}</ref>. |
En 2008, Ali Boulala a purgé une peine de deux ans de prison après un accident dans lequel il est reconnu coupable de l'homicide involontaire de [[Shane Cross]], un autre ''rider'' de chez Flip, dans un accident de moto à [[Melbourne]]<ref>{{Article |langue=en |url=http://www.news.com.au/dailytelegraph/story/0,22049,23596008-5005941,00.html |titre=World famous skateboarder Ali Boulala jailed |nom1=Hadfield |prénom1=Shelley |périodique=The Daily Telegraph (Australia) |date=25 avril 2008 |site=New South Wales |consulté le=25 décembre 2015}}</ref>. Il a été libéré le {{date-|13 mars 2010}}<ref>{{Lien web|langue = |titre = Ali Boulala est libre|url = http://www.beachbrother.com/2010/03/ali-boulala-est-libre/|site = BeachBrother.com|consulté le = 2015-12-25|date = 15 mars 2010}}</ref>. |
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En 2021, le documentaire ''The Scars of Ali Boulala'' réalisé par Max Eriksson, retrace son parcours à partir d'images d'archives depuis ses débuts adolescents dans le milieu du skate-board<ref>{{Lien web |titre="The Scars of Ali Boulala" : l'histoire du skateur excentrique des années 2000 |url=https://www.lequipe.fr/Adrenaline/Skateboard/Actualites/-the-scars-of-ali-boulala-l-histoire-du-skateur-excentrique-des-annees-2000/1288486 |langue=fr |date=27 septembre 2021 |site=[[L'Equipe]] |consulté le=24 février 2023 |auteur=Charlène Dosio}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |titre=Ali Boulala est le symbole de mon passé d’ado toxico et sans repères |url=https://www.vice.com/fr/article/93bwy5/ali-boulala-skate-idole |langue=fr |date=12 novembre 2021 |site=Vice |consulté le=24 février 2023 |auteur=Quentin Damman}}.</ref>. |
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== Apparitions vidéographiques == |
== Apparitions vidéographiques == |
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Version du 24 février 2023 à 11:33
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Ali Boulala, né le à Stockholm (Suède) d'un père algérien et d'une mère finlandaise, est un skateboarder professionnel sponsorisé actuellement par Flip et Etnies. Il vit aujourd'hui à Stockholm, en Suède.
Il suit les traces d'Andrew Reynolds avec Jim Greco, Dustin Dollin, Erik Ellington et Matt Coan, ses compagnons du groupe de skateboarder Piss Drunx.
Il a participé à trois vidéos promotionnelles de l'entreprise Flip, Sorry, Really Sorry et Extremely Sorry où il tente en ollie un escalier de vingt-cinq marches qu'il popularise, le Lyon 25. Il apparaît également dans de nombreuses vidéos de Baker Skateboarding.
En 2008, Ali Boulala a purgé une peine de deux ans de prison après un accident dans lequel il est reconnu coupable de l'homicide involontaire de Shane Cross, un autre rider de chez Flip, dans un accident de moto à Melbourne[1]. Il a été libéré le [2].
En 2021, le documentaire The Scars of Ali Boulala réalisé par Max Eriksson, retrace son parcours à partir d'images d'archives depuis ses débuts adolescents dans le milieu du skate-board[3],[4].
Apparitions vidéographiques
- 1996 : Transworld Magazine - Uno
- 1997 : Transworld Magazine - Cinematographer
- 1998 : Church of Skatan - Wild in the Streets
- 1999 : Baker Skateboards - Bootleg
- 1999 : Big Brother Magazine - Boob
- 2009 : Baker Skateboards - Baker 3
- 2009 : Flip Skateboards - Extremely Sorry
Notes et références
- (en) Shelley Hadfield, « World famous skateboarder Ali Boulala jailed », The Daily Telegraph (Australia), (lire en ligne, consulté le )
- « Ali Boulala est libre », sur BeachBrother.com, (consulté le )
- Charlène Dosio, « "The Scars of Ali Boulala" : l'histoire du skateur excentrique des années 2000 », sur L'Equipe, (consulté le ).
- Quentin Damman, « Ali Boulala est le symbole de mon passé d’ado toxico et sans repères », sur Vice, (consulté le ).
Liens externes
- Ressources relatives au sport :
