Liste des pays du monde
Cet article recense les pays du monde, quel que soit leur statut : reconnus par l'ONU, par plusieurs autres pays ou auto-proclamés.
Pays listés
De nombreuses publications donnent une liste des pays du monde, mais elles n'utilisent pas toutes les mêmes critères pour inclure ou non un pays. Un critère courant mais flou est la reconnaissance du pays par la communauté internationale[1].
Lorsque Taïwan est inclus dans une liste, c'est souvent accompagné d'un avertissement sur le caractère non officiel de la liste[2] ou sur le fait que Taïwan n'est pas reconnu[3]. En effet, le statut de Taïwan est particulier du fait que la République populaire de Chine exige la reconnaissance du principe d'une seule Chine de la part des pays qui veulent avoir des rapports diplomatiques avec elle.
Les îles Cook et Niue, qui ont conclu un accord de libre association avec la Nouvelle-Zélande, apparaissent dans certaines listes de pays, mais pas toutes. Ces deux derniers pays peuvent se prévaloir de la clause « tous les États » définie par la convention de Vienne sur les relations diplomatiques de 1961. Lire à ce sujet l'article politique étrangère des îles Cook.
Les listes de pays contiennent parfois aussi une partie de la liste des dépendances et territoires à souveraineté spéciale, où figurent notamment les îles Cook et Niue.
Six pays sont reconnus par au moins un autre pays sans être reconnus par l'ONU : le Kosovo, la République arabe sahraouie démocratique, Taïwan, l'Abkhazie, l'Ossétie du Sud et la République turque de Chypre du Nord.
Enfin, certains territoires sont indépendants mais très peu ou pas reconnus, et généralement non listés. C'est par exemple le cas de la République moldave de Transnistrie ou de la République du Haut-Karabagh.
Nom de forme courte et longue
La plupart des pays ont deux noms : un nom de « forme courte » et un de « forme longue ».
La forme courte est le nom usuel, par exemple « Belgique ». Elle est la plus largement utilisée dans la vie courante ainsi que dans l'enseignement et la cartographie[1].
La forme longue donne généralement une indication sur la forme de gouvernement de l'État, par exemple « Royaume de Belgique ». Elle est utilisée dans les actes officiels des États : constitution, législation, traités, etc. Elle peut également être utilisée dans le titre des publications cartographiques[1]. Il se peut que la forme longue repose uniquement sur des fondements historiques. C'est le cas de la Suisse qui conserve le nom officiel de « Confédération suisse » bien qu'elle ait abandonné le statut de Confédération en 1848 pour devenir un État fédéral.
Quelques pays n'ont qu'une seule forme de nom, soit courte comme le Canada, soit longue comme la République dominicaine.
Évolution du nombre d'États dans le monde
Avant 1914
Le nombre d'États européens, qui s'élevait à plus de trois cents[réf. nécessaire] en 1789, était d'une soixantaine en 1815, au lendemain du congrès de Vienne. Après l'unification de l’Italie et de l’Allemagne, ce nombre était tombé à 19 en 1871 (20 avec la Turquie, qui contrôlait encore la majeure partie de la péninsule des Balkans). Il passa à 22 en 1878, lorsque le congrès de Berlin reconnut l'indépendance de la Roumanie, de la Serbie et du Monténégro. Après l'accession à l'indépendance de la Norvège (1905), de la Bulgarie (1908) et de l’Albanie (1912), l'Europe comptait 25 États indépendants en 1914, non compris le Saint-Siège, l'Ordre de Malte et le territoire neutre de Moresnet.
En Amérique, le nombre d’États s’élevait à 11 en 1825, à l'issue des guerres d'indépendance. Il connut ensuite quelques fluctuations avant de se stabiliser à 19 en 1865. Après l’accession à l’indépendance de Cuba (1902) et du Panama (1903), il était passé à 21 en 1914, compte non tenu des deux dominions britanniques du Canada (1867) et de Terre-Neuve (1907).
En Asie occidentale, la péninsule arabique était occupée par une multitude de pays, dont la plupart étaient plus ou moins vassaux de l’Angleterre ou de la Turquie. En Asie centrale, la Russie avait conquis les derniers khanats indépendants entre 1865 et 1876. L’Empire britannique des Indes, qui englobait la Birmanie depuis 1886 et le Baloutchistan depuis 1887, exerçait de fait son emprise sur l’Afghanistan, le Népal et le Bhoutan. En Indochine, la France avait établi sa domination sur l'Annam, le Cambodge et le Laos entre 1858 et 1893, tandis que les États malais étaient passés sous protectorat britannique entre 1874 et 1909. La « pacification » des Indes néerlandaises s’était achevée entre 1903 et 1908 avec l’annexion des derniers royaumes indépendants d’Aceh et de Bali. Enfin, après l’annexion de la Corée par le Japon en 1910, l’Asie ne comptait plus que cinq États officiellement indépendants : la Chine (qui devait faire face aux poussées séparatistes de la Mongolie et du Tibet[réf. nécessaire]), le Japon, la Perse, le Siam et la Turquie.
Il serait vain de vouloir dresser une nomenclature de tous les pays existant en Afrique avant la pénétration européenne. En revanche, après l’établissement du protectorat franco-espagnol sur le Maroc en 1912, le continent noir ne comptait plus que deux États souverains : l’Abyssinie (ou Éthiopie) et le Liberia. Il convient de mentionner le cas particulier de l’État indépendant du Congo, propriété personnelle du roi des Belges de 1885 à 1908, et celui de l’Union sud-africaine, constituée dès 1910 en tant que dominion britannique.
En Océanie, les derniers royaumes de quelque importance (Hawaii, Samoa, Tonga) avaient perdu leur indépendance entre 1889 et 1900. En revanche, l’Australie avait accédé au statut de dominion britannique en 1901, ainsi que la Nouvelle-Zélande en 1907.
De 1914 à 1945
En 1914, le nombre total d'États généralement reconnus comme indépendants s'élevait donc à 53, non compris les dominions britanniques (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Terre-Neuve, Union sud-africaine) et quelques pays au statut mal défini (Asir, Nejd, Yémen, Mongolie, Tibet) ou placés de fait sous protectorat britannique (Mascate et Oman, Afghanistan, Népal).
Ces 53 États se répartissaient comme suit :
- 2 en Afrique : Éthiopie, Liberia ;
- 21 en Amérique : Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Costa Rica, Cuba, Équateur, États-Unis, Guatemala, Haïti, Honduras, Mexique, Nicaragua, Panama, Paraguay, Pérou, République dominicaine, Salvador, Uruguay, Venezuela ;
- 5 en Asie : Chine, Japon, Perse, Siam, Turquie ;
- 25 en Europe : Albanie, Allemagne, Andorre, Autriche-Hongrie, Belgique, Bulgarie, Danemark, Espagne, France, Grèce, Italie, Liechtenstein, Luxembourg, Monaco, Monténégro, Norvège, Pays-Bas, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Russie, Saint-Marin, Serbie, Suède, Suisse.
À la fin de l'année 1932, le nombre d'États était passé à 77, répartis comme suit :
- 4 en Afrique : Égypte, Éthiopie, Liberia, Union sud-africaine ;
- 23 en Amérique : Argentine, Bolivie, Brésil, Canada, Chili, Colombie, Costa Rica, Cuba, Équateur, États-Unis, Guatemala, Haïti, Honduras, Mexique, Nicaragua, Panama, Paraguay, Pérou, République dominicaine, Salvador, Terre-Neuve, Uruguay, Venezuela ;
- 13 en Asie : Afghanistan, Arabie saoudite, Chine, Irak, Japon, Mandchoukouo, Mongolie, Népal, Perse, Siam, Tannou-Touva, Turquie, Yémen ;
- 35 en Europe : Albanie, Allemagne, Andorre, Autriche, Belgique, Bulgarie, Danemark, Dantzig, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Monaco, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Saint-Marin, Suède, Suisse, Tchécoslovaquie, URSS, Vatican, Yougoslavie ;
- 2 en Océanie : Australie, Nouvelle-Zélande.
Entre 1920 et 1937, 63 États (y compris l'Inde britannique) avaient adhéré à la Société des Nations (SDN), qui fut officiellement dissoute en 1946 pour laisser la place à l'Organisation des Nations unies (ONU).
Depuis 1945
À la fin de l'année 1945, le nombre d'États était retombé à 72, répartis comme suit :
- 4 en Afrique : Égypte, Éthiopie, Liberia, Union sud-africaine ;
- 22 en Amérique : Argentine, Bolivie, Brésil, Canada, Chili, Colombie, Costa Rica, Cuba, Équateur, États-Unis, Guatemala, Haïti, Honduras, Mexique, Nicaragua, Panama, Paraguay, Pérou, République dominicaine, Salvador, Uruguay, Venezuela ;
- 13 en Asie : Afghanistan, Arabie saoudite, Chine, Irak, Iran, Japon, Liban, Mongolie, Népal, Syrie, Thaïlande, Turquie, Yémen ;
- 31 en Europe : Albanie, Allemagne, Andorre, Autriche, Belgique, Bulgarie, Danemark, Espagne, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Liechtenstein, Luxembourg, Monaco, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Saint-Marin, Suède, Suisse, Tchécoslovaquie, URSS, Vatican, Yougoslavie ;
- 2 en Océanie : Australie, Nouvelle-Zélande.
À la même date, le nombre d'États membres des Nations unies s'élevait à 51, y compris la Biélorussie, l'Ukraine, l'Inde et les Philippines qui n'avaient pourtant pas encore accédé juridiquement à l'indépendance.
Par la suite, le nombre d'États indépendants n'a cessé d'augmenter, notamment sous l'effet de la décolonisation et de l'effondrement du bloc soviétique. Il est ainsi passé de 72 en 1945 à 197 en 2012, soit en moyenne près de deux nouveaux États par an :
- 88 en 1955 (5 en Afrique, 22 en Amérique, 27 en Asie, 32 en Europe et 2 en Océanie) dont 76 membres de l'ONU ;
- 156 en 1975 (48 en Afrique, 29 en Amérique, 39 en Asie, 33 en Europe et 7 en Océanie) dont 144 membres de l'ONU ;
- 197 reconnus par l'ONU en 2012 (54 en Afrique, 35 en Amérique, 49 en Asie, 44 en Europe et 14 en Océanie) dont 193 membres de l'ONU, qui reconnaît également le Vatican, les Îles Cook, Niue[note 1] et la Palestine comme « États non membres ». Les Îles Cook et Niue sont des États non-souverains, juridiquement des territoires dépendants en libre association avec la Nouvelle-Zélande, sous souveraineté néo-zélandaise. Le Vatican[note 2] et l'État de Palestine ont quant à eux le statut d'États observateurs à l'ONU.
Liste
Liste principale [note 3]
Cette liste comprend 195 États, les 193 États membres de l'Organisation des Nations unies plus les deux États observateurs non-membres (le Saint-Siège, représentant le Vatican[note 2], ainsi que la Palestine sont observateurs permanents à l'ONU).
A-B (32)
C-E (30)
F-J (28)
K-M (32)
N-R (27)
S (24)
T-Z (22)
Pays dont la souveraineté est contestée
Apparaissent ici les États non indépendants répondant aux critères de la Convention de Montevideo sur les droits et les devoirs des États de 1933.
Pays reconnus par au moins deux autres États
Ces pays sont reconnus, avec une souveraineté parfois limitée, par au moins deux États autres qu'eux-mêmes.
- Le Kosovo a proclamé unilatéralement son indépendance le , qui est reconnue par 96 pays à ce jour. Celle-ci est contestée entre autres par la Serbie, la Russie, la Chine ainsi que 5 États membres de l'Union européenne.
- La République arabe sahraouie démocratique : reconnue à ce jour par environ 32 pays, et contrôle environ 20 % du Sahara occidental.
- Taïwan : voir la République de Chine. Taïwan bénéficie d'une indépendance de facto mais qui n'est pas reconnue par la Chine et la plupart des pays de la communauté internationale qui ont peu à peu reconnu la « politique d'une seule Chine » voulue par la RP de Chine. Elle entretient des relations diplomatiques avec 23 États.
- L'Abkhazie : reconnue par la Russie[4], le Nicaragua[5], le Venezuela[6], Nauru[7], Vanuatu[8] et Tuvalu[9].
- L'Ossétie du Sud : reconnue par la Russie[10], le Nicaragua[11], le Venezuela[12], Nauru[13], Tuvalu[14] et le Vanuatu[15](voir Indépendance de l'Ossétie du Sud).
- L'Ordre de Malte est reconnu par les nations comme un sujet de droit international public[16]. Cependant c'est une souveraineté limitée et en matière religieuse, l'ordre est incardiné au Saint-Siège.
- La République moldave de Transnistrie, qui a fait sécession de la République de Moldavie en 1991 à la suite de l'effondrement de l'Union soviétique, est reconnue par trois États non-membres de l'ONU : Abkhazie, Ossétie du Sud et Haut-Karabagh[17].
- Le Haut-Karabagh, république sécessionniste de l'Azerbaïdjan, est reconnu par trois États non-membres de l'ONU : l'Abkhazie, l'Ossétie du Sud[18] et la Transnistrie[19].
Autres pays
Ces pays se sont déclarés États indépendants, ou sont indépendants de facto, mais ils n'ont jamais été reconnus comme tel par plus d'un pays, hormis eux-mêmes. Ils disposent souvent en revanche d'une autonomie de fait, avec leurs propres institutions et symboles ; ils échappent largement au contrôle du pays qui exerce officiellement sa souveraineté sur leur territoire.
- La République turque de Chypre du Nord : a fait sécession de Chypre depuis le , mais n'est reconnue que par la Turquie qui y maintient une force militaire (voir Partition de Chypre).
- L'Azad Cachemire (ou Cachemire libre) est théoriquement considéré par le Pakistan comme un État souverain.
- Le Somaliland : voir Somalie.
- Le Pount, dont on dit parfois qu'il est sécessionniste, n'a jamais déclaré son indépendance vis-à-vis de la Somalie ; il est toutefois indépendant de facto[réf. nécessaire].
- l'État indépendant de l'Azawad, qui a proclamé son indépendance du Mali le mais n'est reconnu par aucun pays.
Dépendances et territoires à souveraineté spéciale
La liste des dépendances et territoires à souveraineté spéciale donne une liste complète des dépendances, possessions, territoires autonomes, collectivités et territoires d'outre-mer non souverains, y compris les Îles Cook et Nioué reconnus comme États non-membres par l'ONU.
Territoires contestés
Cette section est fondée sur l'entrée Entities de la page Notes and Definitions du CIA World Factbook. Apparaissent ici les territoires sur lesquels la communauté internationale ne reconnaît la souveraineté d'aucun État indépendant (pour une liste de territoires contestés entre plusieurs pays, mais sur lesquels la souveraineté de l'un ou l'autre est généralement reconnue, voir la liste des territoires contestés ou occupés).
- L'Antarctique, régi internationalement par le Traité de l'Antarctique ;
- Les îles Paracels et les îles Spratleys, revendiquées par la Chine, Taïwan et le Viêt Nam ;
- Le Sahara occidental (RASD), en grande partie (80 %) contrôlé par le Maroc qui le considère comme une de ses provinces.
Carte
Notes et références
Notes
- Les îles Cook et Niue ont en effet un statut juridique unique au monde, celui d'« États en auto-gouvernance » (« self-governing state »), librement associés à la Nouvelle-Zélande. Cette dernière n'y conserve qu'une seule fonction régalienne, à savoir la défense (mais pas la politique étrangère). Les îles Cook et Niue partagent également une citoyenneté commune avec l'ancienne puissance de tutelle ((en) REGION: Cook Islands puts New Zealand citizenship first, Pacific Magazine, 14 juin 2001). Les Îles Cook ont été reconnues comme indépendantes dans leurs affaires étrangères et se sont vues attribuer le statut d'« État non-membre » en 1992 puis il en a été de même pour Niue en 1994(UN THE WORLD TODAY (PDF) and Repertory of Practice of United Nations Organs Supplement No. 8; page 10 (PDF)).
- C'est le Saint Siège (l'évêché de Rome, propriétaire et résidant du Vatican) qui est représenté à l'ONU, et non le Vatican (l'État qui administre ce petit territoire). Même si leur chef est le même, leurs passeports sont différents.
Les dénominations des pays de la table viennent toutes des documents suivants :
- Commission nationale de toponymie (CNT) du gouvernement français, instituée auprès du Conseil national de l'information géographique (CNIG) :
- Pays et villes du monde (13 avril 2010)
- Code de rédaction interinstitutionnel, annexe A5, Liste des États (au 15 mars 2008), par l'Office des publications officielles des Communautés européennes (UE)
- Liste alphabétique des pays membres de l'Organisation internationale du travail et Alphabetical list of other countries, territories and areas (OIT)
- Code officiel géographique 2005, Liste des pays et territoires étrangers, par l'Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) en France
- Le Petit Robert des noms propres (PR) — édition 2006 (ISBN 978-2-84902-067-8) et Le Robert encyclopédique des noms propres 2008 (RE) - édition 2007 (ISBN 978-2-84902-228-3) notamment
- Nomenclatures : États et territoires, Office fédéral de la statistique de la Suisse, 2010 (SS)
- Noms et codets de pays et de dépendances, en français et en anglais, Institut de la statistique, Québec, 2009 (SQ)
Lorsque les dénominations diffèrent, chaque dénomination est suivie de l'abréviation de la source qui la donne (IGN, UE, OIT, INSEE, SQ, SS, PR, RE).
L'INSEE n'indique pas les minuscules et majuscules. Le Petit Robert des noms propres utilise généralement une minuscule sur les mots « république », lorsque c'est la seule différence, elle est indiquée par (PRm).- Commission nationale de toponymie (CNT) du gouvernement français, instituée auprès du Conseil national de l'information géographique (CNIG) :
Références
- Pays et capitales du monde au 1er janvier 2006, Commission de toponymie de l'Institut géographique national (IGN)
- Le Code de rédaction interinstitutionnel, annexe A5, Liste des États (au 9.3.2005) de Office des publications officielles des Communautés européennes indique : « Cette liste n'est pas une prise de position officielle des services rédactionnels du présent ouvrage sur le statut juridique ou politique des entités mentionnées.»
- La Liste des dénominations d'États du département fédéral suisse des Affaires étrangères indique à propos de la République de Chine : « N'est pas reconnue par le Conseil fédéral »
- « La Russie reconnaît l'indépendance sud-ossète et abkhaze », Le Point, 26 août 2008.
- «Nicaragua: le président Ortega reconnaît l'Ossétie du Sud et l'Abkhazie », Le Point, 3 septembre 2008.
- "Ossétie-Abkhazie: Caracas contribuera à élargir la reconnaissance (Chavez), RIA Novosti, 10 septembre 2009.
- «L'île de Nauru reconnaît l'Abkhazie», Le Journal du dimanche, 15 décembre 2009
- (en) Minister says oil an issue over non recognition of Abkhazia, Vanuatu Daily Post, 14 juillet 2011.
- http://www.liberation.fr/monde/01012361592-le-tuvalu-reconnait-l-abkhazie-et-l-ossetie-du-sud
- Moscou reconnaît l'Ossétie du Sud et l'Abkhazie, Le Figaro, 26 août 2008.
- Le Nicaragua reconnaît l'Ossétie, Le Figaro, 3 septembre 2008.
- Le Venezuela reconnaît l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, RIA Novosti, 10 septembre 2009.
- L'Ossétie du Sud et Nauru établissent des relations diplomatiques RIA Novosti, 16 décembre 2009.
- http://www.liberation.fr/monde/01012361592-le-tuvalu-reconnait-l-abkhazie-et-l-ossetie-du-sud
- http://en.rian.ru/world/20110531/164348947.html
- Jonathan Riley-Smith, The Atlas of the Crusades, « Facts on File », Oxford, 1991, p. 170.
- « In detail: The foreign policy of Pridnestrovie », Pridnestrovie.net (consulté le )
- (ru) « Об Абхазии », sur http://www.abhazia.info/ (consulté le ).
- (ru) « Игорь Смирнов считает, что Молдова должна признать Приднестровье и начать переговоры о построении двусторонних отношений », sur http://www.moldova.ru/, (consulté le ).
Références toponymiques
- Pays indépendants et capitales : Pays et villes du monde (mis à jour le 13 avril 2010), site internet du CNIG, Toponymie, les toponymes in Toponymes du monde, Commission nationale de toponymie (France), 1er janvier 2007 : première mise en application des recommandations du Conseil national de l'information géographique (CNIG) sur l'exonymie, c'est-à-dire le traitement en français des toponymes et des noms d'habitants des pays étrangers.
- Liste des Pays et Capitales du Monde au 1er janvier 2006, par la Commission de toponymie de l'Institut géographique national (IGN)
- « List of country names (Draft version) »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), United Nations Group of Experts on Geographical Names, 23e session
- États membres de l'Organisation des Nations unies
- Liste des États, par l'Office des publications de l'Union européenne
- « règlement (CE) no 1833/2006 de la Commission du 13 décembre 2006 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), la liste des pays et territoires publiée par l'Union européenne pour les statistiques du commerce extérieur de la Communauté européenne et de ses États membres
- Liste des noms des pays du monde, Ministère français de la culture.
- Ministère français des affaires étrangères
- Nomenclatures : États et territoires, Office fédéral de la statistique de la Suisse.
- Geobel 2009, Nomenclatures des pays, Service public fédéral belge économie, PME, classes moyennes et énergie
- Geonames – Dénominations dans toutes les langues
- Union postale universelle – Pays membres
- Organisation internationale de normalisation
Annexes
Articles connexes
- Monde (univers)
- Listes de pays
- Liste des dépendances et territoires à souveraineté spéciale
- Liste d'entités territoriales autonomes
- Liste des territoires non-autonomes selon l'ONU
- Liste de territoires contestés
- Liste des États non reconnus internationalement
- Liste des capitales du monde
- Liste des chefs de l'exécutif par État en 2011
- Liste des dirigeants actuels
- Liste des principaux dirigeants locaux
- Liste de gentilés
- Liste de périphrases désignant des pays
- Liste des États membres des Nations unies
- Liste de micronations
- ISO 3166-1
Liens externes