Liste des pays du monde

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Planisphère
Planisphère selon The World Factbook de la CIA en 2015.

Cette page recense les pays du monde, quel que soit leur statut : reconnus par l'Organisation des Nations unies, par un ou plusieurs autres pays, ou auto-proclamés.

Dans la suite de l'article, les termes « pays » et « État » sont utilisés comme des synonymes. Cet article ne concerne pas les nations, comme l'Angleterre ; ni les États fédérés, comme les États américains, les Länder ou les cantons suisses.

Pays listés

De nombreuses publications donnent une liste des pays du monde, mais n'utilisent pas toutes les mêmes critères pour inclure ou non un pays. Un critère courant est la reconnaissance du pays par la communauté internationale[1],[2], notamment sa reconnaissance par l'Organisation des Nations unies qui compte 193 États membres et reconnaît de facto quatre autres États non-membres, dont deux avec le statut d'« observateur permanent » : le Vatican (observateur permanent depuis 1964)[note 1], l'État de Palestine (observateur permanent depuis 2012), et les Îles Cook et Niue, deux territoires insulaires en libre association avec la Nouvelle-Zélande[note 2].

Six pays sont reconnus par au moins un État membre de l'ONU sans être reconnus par cette dernière : le Kosovo, la République arabe sahraouie démocratique (Sahara occidental), Taïwan (ou République de Chine), l'Abkhazie, l'Ossétie du Sud-Alanie et la république turque de Chypre du Nord.

En outre, la république moldave du Dniestr (Transnistrie) n'est reconnue que par deux États non-membres : l'Ossétie du Sud-Alanie et la république d'Abkhazie. Un territoire indépendant de facto depuis 1990 n'est également reconnu par aucun pays : la république du Somaliland.

L'émirat islamique d'Afghanistan — bien qu'il ne soit reconnu par aucun État depuis la seconde prise de Kaboul par les talibans en 2021 — est de facto considéré par la communauté internationale comme le gouvernement officiel de l'Afghanistan.

Lorsque Taïwan est inclus dans une liste, c'est souvent accompagné d'un avertissement sur le caractère non officiel de la liste[note 3] ou sur le fait que Taïwan n'est pas reconnu[note 4]. En effet, le statut de Taïwan est particulier, du fait que la république populaire de Chine (RPC) exige la reconnaissance du principe d'une seule Chine de la part des pays qui veulent avoir des rapports diplomatiques avec elle.

États dont la souveraineté est contestée

  • États membres de l'ONU, non reconnus par au moins un autre État.
  • États non-membres de l'ONU reconnus par au moins un membre.
  • États reconnus uniquement par des États non-membres de l'ONU.
  • États reconnus par aucun autre État.

N'apparaissent ici que des États répondant aux critères de la convention de Montevideo de 1933 sur les droits et les devoirs des États.

États reconnus par l'ONU mais non reconnus par au moins un État

États non reconnus par l'ONU mais reconnus par au moins un membre de l'ONU

États reconnus par aucun État membre de l'ONU mais reconnus par au moins un État reconnu par un État membre de l’ONU

Autres États indépendants de fait

Ces territoires sont indépendants de facto mais ils ne sont reconnus indépendants ni par l’ONU, ni par aucun État membre de l’ONU, ni par aucun État reconnu par un État membre de l’ONU : la souveraineté sur les territoires contrôlés n’est reconnue que par eux-mêmes la plupart du temps ou par d’autres territoires dans la même configuration. Ils échappent largement au contrôle du pays qui exerce officiellement sa souveraineté et disposent d'une autonomie de fait avec leurs propres institutions et symboles.

Toponymie : noms de forme courte et longue

La plupart des pays ont deux noms : un nom de « forme courte » et un de « forme longue »[33].

La forme courte est le nom usuel, par exemple : « Belgique ». Elle est utilisée dans la vie courante, l'enseignement et la cartographie.

La forme longue donne généralement une indication sur la forme de gouvernement de l'État, par exemple « le royaume de Belgique ». Elle est utilisée dans les actes officiels des États : constitution, législation, traités, procès-verbaux, actes notariés etc. Elle est également utilisée dans les publications et discours formels. Il se peut que la forme longue repose uniquement sur des fondements historiques. C'est le cas de la Suisse qui conserve le nom officiel de « Confédération suisse » bien qu'elle ait abandonné le statut de confédération en 1848 pour devenir un État fédéral. Il arrive également qu'un nom de forme longue soit davantage usité que la forme courte dans la langue courante. Cela a notamment été le cas de la République tchèque, dont le nom sous forme courte, Tchéquie, est resté longtemps peu utilisé.

Quelques pays n'ont qu'une seule forme de nom, soit courte comme la Roumanie, soit longue comme la République dominicaine.

Liste des pays

Liste principale

En 2023, cette liste comprend les 197 États reconnus par l’Organisation des Nations unies : ses 193 États membres ; ses deux États observateurs permanents : le Vatican, représenté par le Saint-Siège[note 1], et l’État de Palestine ; deux États ni membres ni observateurs permanents mais membres à part entière de plusieurs agences spécialisées de l’ONU : les Îles Cook et Niue[note 2].

Pour les abréviations utilisées dans la liste suivante, consulter la section correspondante.

l’Afghanistan
l’Afrique du Sud
l’Albanie
l’Algérie
l’Allemagne
l’Andorre
l’Angola
Antigua-et-Barbuda
l’Arabie saoudite
l’Argentine
l’Arménie
l’Australie
l’Autriche
l’Azerbaïdjan
les Bahamas
Bahreïn
le Bangladesh
la Barbade
la Belgique
le Belize
le Bénin
le Bhoutan
le Bélarus
le Myanmar
la Bolivie
la Bosnie-Herzégovine
le Botswana
le Brésil
le Brunei
la Bulgarie
le Burkina Faso
le Burundi
le Cambodge
le Cameroun
le Canada
le Cap-Vert
la République centrafricaine
le Chili
la Chine
Chypre
la Colombie
les Comores
le Congo (Brazzaville)
le Congo
les Îles Cook
la Corée du Nord
la Corée du Sud
le Costa Rica
la Côte d'Ivoire
la Croatie
Cuba
le Danemark
Djibouti
la République dominicaine
la Dominique
l’Égypte
les Émirats arabes unis
l’Équateur
l’Érythrée
l’Espagne
l’Estonie
l’Eswatini
les États-Unis
l’Éthiopie
les Fidji
la Finlande
la France
le Gabon
la Gambie
la Géorgie
le Ghana
la Grèce
la Grenade
le Guatemala
la Guinée
la Guinée-Bissau
la Guinée équatoriale
le Guyana
Haïti
le Honduras
la Hongrie
l’Inde
l’Indonésie
l’Irak
l’Iran
l’Irlande
l’Islande
Israël
l’Italie
la Jamaïque
le Japon
la Jordanie
le Kazakstan
le Kenya
le Kirghizistan
les Kiribati
le Kuwait
le Laos
le Lesotho
la Lettonie
le Liban
le Libéria
la Libye
le Liechtenstein
la Lituanie
le Luxembourg
la Macédoine du Nord
Madagascar
la Malaisie
le Malawi
les Maldives
le Mali
Malte
le Maroc
les Marshall
Maurice
la Mauritanie
le Mexique
la Micronésie
la Moldavie
Monaco
la Mongolie
le Monténégro
le Mozambique
la Namibie
Nauru
le Népal
le Nicaragua
le Niger
le Nigéria
Niue
la Norvège
la Nouvelle-Zélande
l’Oman
l’Ouganda
l’Ouzbékistan
le Pakistan
les Palaos
la Palestine
le Panama
la Papouasie-Nouvelle-Guinée
le Paraguay
les Pays-Bas
le Pérou
les Philippines
la Pologne
le Portugal
le Qatar
la Roumanie
le Royaume-Uni
la Russie
le Rwanda
Saint-Kitts-et-Nevis
Sainte-Lucie
Saint-Marin
Saint-Vincent-et-les Grenadines
les Salomon
le Salvador
les Samoa
Sao Tomé-et-Principe
le Sénégal
la Serbie
les Seychelles
la Sierra Leone
Singapour
la Slovaquie
la Slovénie
la Somalie
le Soudan
le Soudan du Sud
Sri Lanka
la Suède
la Suisse
le Suriname
la Syrie
le Tadjikistan
la Tanzanie
le Tchad
la République tchèque
la Thaïlande
le Timor oriental
le Togo
les Tonga
Trinité-et-Tobago
la Tunisie
le Turkménistan
la Turquie
les Tuvalu
l’Ukraine
l’Uruguay
le Vanuatu
le Vatican
le Venezuela
le Viêt Nam
le Yémen
la Zambie
le Zimbabwe

Dépendances et territoires à souveraineté spéciale

Les dépendances et territoires à souveraineté spéciale sont des dépendances, possessions, territoires autonomes, collectivités et territoires d'outre-mer non souverains, y compris les Îles Cook et Niue reconnus comme États non-membres par l'ONU.

Certaines de ces dépendances, comme Gibraltar et la Nouvelle-Calédonie, sont sur la liste officielle des territoires à décoloniser selon l'ONU. Cette liste est elle-même contestée.

Territoires contestés

Cette section est fondée sur l'entrée Entities de la page Notes and Definitions du CIA World Factbook. Apparaissent ici les territoires sur lesquels la communauté internationale ne reconnaît la souveraineté d'aucun État indépendant (pour une liste de territoires contestés entre plusieurs pays, mais sur lesquels la souveraineté de l'un ou l'autre est généralement reconnue, voir la liste des territoires contestés ou occupés).

Évolution du nombre d'États dans le monde

Avant 1914

Nombre de pays, au de chaque année.
  • États reconnus (par l'ONU à partir de 1945).
  • Membres de l'ONU
  • Membres de la SdN.

Le nombre d'États souverains en Europe, qui s'élevait à plus de trois cents en 1789, était encore d'une soixantaine en 1815, au lendemain du congrès de Vienne. Après l'unification de l’Italie et de l’Allemagne, ce nombre était tombé à 19 en 1871 (20 avec la Turquie, qui contrôlait encore la majeure partie de la péninsule des Balkans). Il passa à 22 en 1878, lorsque le congrès de Berlin reconnut l'indépendance de la Roumanie, de la Serbie et du Monténégro. Après l'accession à l'indépendance de la Norvège (1905), de la Bulgarie (1908) et de l’Albanie (1912), l'Europe comptait 25 États indépendants en 1914, non compris le Saint-Siège et le territoire neutre de Moresnet.

En Amérique, le nombre d’États s’élevait à 11 en 1825, à l'issue des guerres d'indépendance. Il connut ensuite quelques fluctuations avant de se stabiliser à 19 en 1865. Après l’accession à l’indépendance de Cuba (1902) et du Panama (1903), il était passé à 21 en 1914, compte non tenu des deux dominions du Canada (1867) et de Terre-Neuve (1907).

En Asie occidentale, la péninsule arabique était occupée par une multitude de tribus et de principautés, dont la plupart étaient plus ou moins vassales du Royaume-Uni ou de la Turquie. En Asie centrale, la Russie avait conquis les derniers khanats indépendants entre 1865 et 1876. L’empire britannique des Indes, qui englobait la Birmanie depuis 1886 et le Baloutchistan depuis 1887, exerçait de fait son emprise sur l’Afghanistan, le Népal et le Bhoutan. En Indochine, la France avait établi sa domination sur l'Annam (actuel Viêt Nam), le Cambodge et le Laos entre 1858 et 1893, tandis que les États malais étaient passés sous protectorat britannique entre 1874 et 1909. La « pacification » des Indes néerlandaises s’était achevée entre 1903 et 1908 avec l’annexion des derniers royaumes indépendants d’Aceh et de Bali. Enfin, après l’annexion de la Corée par le Japon en 1910, l’Asie ne comptait plus que cinq États officiellement indépendants : la Chine, le Japon, la Perse, le Siam et la Turquie. Plusieurs de ces pays étaient néanmoins sous protectorat de fait. En outre, la Mongolie le Tibet déclarèrent leur indépendance en 1911 et 1913, respectivement[34].

Cette section ne fournit pas de nomenclature de tous les royaumes existant en Afrique avant la pénétration européenne et leur nombre n’est donc pas encore documenté ici même. En revanche, après l’établissement du protectorat franco-espagnol sur le Maroc en 1912, le continent africain ne comptait plus que deux États souverains : l’empire d'Éthiopie et le Liberia. Il convient de mentionner le cas particulier de l’État indépendant du Congo, propriété personnelle du roi des Belges de 1885 à 1908, et celui de l’Union sud-africaine, constituée dès 1910 en tant que dominion britannique.

En Océanie, les derniers royaumes de quelque importance (Hawaii, Samoa, Tonga) avaient perdu leur indépendance entre 1889 et 1900. En revanche, l’Australie avait accédé au statut de dominion en 1901, ainsi que la Nouvelle-Zélande en 1907.

De 1914 à 1945

En 1914, le nombre total d'États généralement reconnus comme indépendants s'élevait donc à 53, non compris les dominions (Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Terre-Neuve, Union sud-africaine), qui ne deviendront pleinement souverains qu'en 1931, et quelques pays au statut mal défini (Asir, Nejd, Yémen, Mongolie, Tibet) ou placés de fait sous protectorat britannique (Mascate et Oman, Afghanistan, Népal).

Ces 53 États se répartissaient comme suit :

À la fin de l'année 1932, le nombre d'États était passé à 76 (ou 77 si l'on inclut le Mandchoukouo, non reconnu par la majorité des États) :

Entre 1920 et 1937, 63 États (y compris l'Inde britannique) avaient adhéré à la Société des Nations (SDN), qui fut officiellement dissoute en 1946 pour laisser la place à l'Organisation des Nations unies (ONU).

Depuis 1945

À la fin de l'année 1945, le nombre d'États était retombé à 72, répartis comme suit :

  • 4 en Afrique : Égypte, Éthiopie, Liberia, Union sud-africaine ;
  • 22 en Amérique : Argentine, Bolivie, Brésil, Canada, Chili, Colombie, Costa Rica, Cuba, Équateur, États-Unis, Guatemala, Haïti, Honduras, Mexique, Nicaragua, Panama, Paraguay, Pérou, République dominicaine, Salvador, Uruguay, Venezuela ;
  • 13 en Asie : Afghanistan, Arabie saoudite, Chine, Irak, Iran (Perse), Japon, Liban, Mongolie, Népal, Syrie, Thaïlande (Siam), Turquie, Yémen ;
  • 31 en Europe : Albanie, Allemagne, Andorre, Autriche, Belgique, Bulgarie, Danemark, Espagne, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Liechtenstein, Luxembourg, Monaco, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Royaume-Uni, Saint-Marin, Suède, Suisse, Tchécoslovaquie, URSS, Vatican, Yougoslavie (l'Allemagne et l'Autriche étant occupées par les Alliés) ;
  • 2 en Océanie : Australie, Nouvelle-Zélande.

À la même date, le nombre d'États membres des Nations unies s'élevait à 51, y compris la Biélorussie, l'Ukraine, l'Inde et les Philippines qui n'avaient pourtant pas encore accédé juridiquement à l'indépendance.

Par la suite, le nombre d'États indépendants n'a cessé d'augmenter, notamment sous l'effet de la décolonisation et de l'effondrement du bloc soviétique. Il est ainsi passé de 72 en 1945 à 197 en 2012 (date de la reconnaissance de l'État de Palestine comme « État non membre » de l'ONU) :

  • 88 en 1955 (5 en Afrique, 22 en Amérique, 27 en Asie, 32 en Europe et 2 en Océanie) dont 76 membres de l'ONU ;
  • 156 en 1975 (48 en Afrique, 29 en Amérique, 39 en Asie, 33 en Europe et 7 en Océanie) dont 144 membres de l'ONU ;
  • 197 reconnus par l'ONU en 2012 (54 en Afrique, 35 en Amérique, 47 en Asie, 45 en Europe et 16 en Océanie) dont 193 membres de cette organisation, qui reconnaît également les Îles Cook, Niue[note 2], l'État de Palestine et le Vatican comme « États non membres ». Les Îles Cook et Niue sont des États en libre association avec la Nouvelle-Zélande. Le Vatican[note 1] et l'État de Palestine ont quant à eux le statut d'États observateurs à l'ONU.

Notes et références

Notes

  1. a b et c C'est le Saint-Siège (l'évêché de Rome, propriétaire et résidant du Vatican) qui est représenté à l'ONU, et non le Vatican (l'État qui administre ce petit territoire). Même si leur chef est le même, leurs passeports sont différents.
  2. a b et c Les Îles Cook et Niue ont un statut juridique unique au monde, celui d'« États en auto-gouvernance » (self-governing state), librement associés à la Nouvelle-Zélande. Cette dernière n'y conserve qu'une seule fonction régalienne, à savoir la défense (mais pas la politique étrangère). Les Îles Cook et Niue partagent également une citoyenneté commune avec l'ancienne puissance de tutelle[3]. Les Îles Cook ont été reconnues comme indépendantes dans leurs affaires étrangères et se sont vu attribuer le statut d'« État non-membre » en 1992 par l’Organisation des Nations unies, puis il en a été de même pour Niue en 1994[4],[5].
    Ces deux derniers pays peuvent se prévaloir de la clause « tous les États » définie par la convention de Vienne sur les relations diplomatiques de 1961[6].
  3. Le « Code de rédaction interinstitutionnel, annexe A5, Liste des États (au 5 février 2022) » de Office des publications officielles des Communautés européennes indique : « Cette liste n'est pas une prise de position officielle des services rédactionnels du présent ouvrage sur le statut juridique ou politique des entités mentionnées ».
  4. La « Liste des dénominations d'États » du département fédéral suisse des Affaires étrangères indique à propos de la république de Chine : « N'est pas reconnue par le Conseil fédéral ».

Références

  1. Commission de toponymie de l'Institut géographique national (IGN), « Pays et capitales du monde : Pays indépendants au  » [archive du ] [PDF] (consulté le ).
  2. L'ONU n'est pas habilitée de reconnaître un État. Cette prérogative étant exclusivement étatique. https://www.un.org/fr/about-us/about-un-membership#:~:text=L%27ONU%20n%27%C3%A9tant%20ni,un%20%C3%89tat%20ou%20un%20gouvernement.
  3. (en) « REGION: Cook Islands puts New Zealand citizenship first », Pacific Magazine (en),‎ (lire en ligne)
  4. « UN THE WORLD TODAY »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF]
  5. (en) « Repertory of Practice of United Nations Organs Supplement No. 8 » [PDF], p. 10
  6. « Précis de la pratique du secrétaire général en tant que dépositaire de traités multilatéraux »
  7. « Nilufer Bakhtiyar: "For Azerbaijan Pakistan does not recognize Armenia as a country" », sur today.az (consulté le )
  8. « Constitution of the People's Republic of China », International Human Rights Treaties and Documents Database (consulté le )
  9. CIA World Factbook, « Chypre », Central Intelligence Agency, (consulté le )
  10. « Cyprus exists without Turkey's recognition: president »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), XINHUA, (consulté le )
  11. (en) Sait Akşit et Costas Melakopides, The influence of Turkish military forces on political agenda-setting in Turkey, analised on the basis of the Cyprus question : Foreign affairs, Graham Avery, , 15 p. (lire en ligne).
  12. Government of Israel, « Déclaration d'indépendance d'Israël »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), université Yale, (consulté le ).
  13. Reply, « Testimony Testifying Against Israel », sur mythsandfacts.org, Mythsandfacts.org (consulté le )
  14. « Khartoum Resolution »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Council on Foreign Relations.
  15. (en) L.K Singh, Foreign Exchange Management and Air Ticketing, Gyan Publishing House, , 342 p. (ISBN 978-81-8205-474-5, lire en ligne), p. 254.
  16. Government of Israel, « Israel's Diplomatic Missions Abroad: Status of relations », Ministry of Foreign Affairs (consulté le ).
  17. « Treaty on Basic Relations between Japan and the Republic of Korea » (consulté le )
  18. (en) « Declaration of Independence », Time,‎ (lire en ligne, consulté le )
  19. Scofield, David, « Seoul's double-talk on reunification », Asia Times, (consulté le )
  20. US Library of Congress, « World War II and Korea », Country Studies, (consulté le ).
  21. Sterngold, James, « China, Backing North Korea, Quits Armistice Commission », The New York Times, (consulté le ).
  22. « La Barbade, 32e État à ne plus reconnaître la République arabe sahraouie démocratique », Jeune Afrique, (consulté le ).
  23. a et b AFP, « Le Venezuela reconnaît l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur France 24, .
  24. a et b Marie Jégo, « Nauru, nouvel allié chèrement payé », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  26. AFP, « Le Nicaragua reconnaît l'Ossétie », Le Figaro, (consulté le ).
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  29. « Le Somaliland, État hors normes non reconnu comme un pays souverain, a su construire la paix », sur France Info, (consulté le )
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  31. « Somalie : qui sont les Shebab ? », sur TV5 Monde, (consulté le )
  32. « RCA : « L'État du Logone », une menace nationale et régionale « à prendre au sérieux » (experts) », sur aa.com.tr (consulté le ).
  33. CNT/CNIG 2019
  34. Aymon Baud, Philippe Forêt et Svetlana Gorshenina, La Haute-Asie telle qu'ils l'ont vue : explorateurs et scientifiques de 1820 à 1940, , 144 p. (ISBN 9782880862992, lire en ligne), p. 114.

Références toponymiques utilisées

Les dénominations de la liste principale des pays proviennent des documents suivants :

N.B. :

  1. Uniquement lorsque les dénominations diffèrent, chaque dénomination (ou uniquement la dénomination qui fait exception) est suivie de l'abréviation de la source qui la donne (CNT, L, OIT, ONU, PR, SQ, SS, UE).
  2. Certains organismes utilisent plusieurs dénominations différentes pour la même entité, dans ce cas-là, l’abréviation suit chaque dénomination utilisée.
  3. Le Petit Robert des noms propres utilise généralement une minuscule sur les mots « république » ; de la même manière Larousse utilise la plupart du temps la minuscule pour « royaume ». Lorsque c'est la seule différence, elle est indiquée par un « m » suivant l’abréviation : « Lm » ou « PRm ».
  4. Certains organismes utilisent, dans leurs nomenclatures, une partie du nom est entre parenthèses ; lorsque c’est la seule différence, elle est indiquée par un « p » suivant l’abréviation (ONUp par exemple).
  5. Les articles devant le nom des entités ne sont pas donnés par l’Institut de la statistique du Québec ni par l’Office fédéral de la statistique de la Suisse.

Autres références toponymiques

Annexes

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Articles connexes