Nouvelle Union populaire écologique et sociale

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Nouvelle Union populaire écologique et sociale
Image illustrative de l’article Nouvelle Union populaire écologique et sociale
Logo de la NUPES.

Élections concernées par l'alliance Législatives de 2022
Organisations politiques concernées La France insoumise
Pôle écologiste
Parti communiste français
Parti socialiste

Représentation à l'Assemblée nationale
68  /  577
Représentation au Sénat
87  /  348
Représentation au Parlement européen
18  /  79
Couleurs Violet, magenta, vert, jaune, orange et rouge

Site Web nupes2022.fr

La Nouvelle Union populaire écologique et sociale (abrégée NUPES), représentée sur le logotype officiel par la lettre grecque nu ν, est une coalition de partis politiques de gauche français.

Créée en amont de l'élection présidentielle française de 2022 sous le nom d'Union populaire (UP) afin de soutenir la candidature Jean-Luc Mélenchon portée par La France insoumise, la formation est par la suite étendue sous la forme d'une coalition à laquelle participent le Pôle écologiste (comprenant notamment Europe Écologie Les Verts), le Parti communiste français et le Parti socialiste afin de présenter des candidatures communes aux élections législatives de 2022.

Objectifs

Cette formation a pour objectif de regrouper les principales forces de gauche afin de présenter des candidatures communes pour les élections législatives de 2022.

Les participants se réunissent autour de plusieurs propositions communes dont :

  • la hausse du SMIC à 1 400  net ;
  • le retour de la retraite à 60 ans ;
  • le blocage des prix sur les produits de première nécessité ;
  • la planification écologique ;
  • l'instauration d'une VIe République[1] ;
  • une allocation d'autonomie pour les jeunes[2].

Cette coalition a l'ambition d'obtenir une majorité à l'Assemblée nationale afin d'imposer une cohabitation au président Emmanuel Macron[3], de faire nommer Jean-Luc Mélenchon comme Premier ministre[4] et appliquer un programme commun, largement basé sur « L'Avenir en commun », programme mis en avant par La France insoumise depuis les scrutins de 2017[réf. nécessaire].

Composition

L'accord de coalition rassemble actuellement La France insoumise et ses alliés (dont Révolution écologique pour le vivant[5]), le Parti ouvrier indépendant, le Pôle écologiste, incluant Europe Écologie Les Verts, Génération écologie, Génération.s et Les Nouveaux Démocrates[6],[2],[7], le Parti communiste français[8] et le Parti socialiste.

Composition de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale
Parti Abv. Idéologie Position Dirigeant(s)
Bloc de La France insoumise
Logo de La France insoumise
La France insoumise LFI Populisme de gauche
Écosocialisme
Gauche radicale à extrême gauche Adrien Quatennens
Logo du Partie de gauche
Parti de gauche PG Populisme de gauche
Écosocialisme
Gauche radicale à extrême gauche Jean-Christophe Sellin
Hélène Le Cacheux
Logo d'Ensemble
Ensemble ! E! Écosocialisme Gauche radicale Clémentine Autain
Myriam Martin
Logo du POI
Parti ouvrier indépendant POI Communisme Extrême gauche Direction collective
Logo de Révolution écologique pour le vivant
Révolution écologique pour le vivant REV Écosocialisme
Antispécisme
Gauche radicale Aymeric Caron
Bloc du Pôle écologiste
Logo d'Europe Écologie Les Verts
Europe Écologie Les Verts EELV Écologie politique Gauche radicale à centre gauche Julien Bayou
Logo de Génération.s
Génération.s G·s Socialisme démocratique
Écologie politique
Gauche Sophie Taillé-Polian
Benjamin Lucas
Logo de Génération écologie
Génération écologie GE Écologie politique Gauche Delphine Batho
Logo des Nouveaux Démocrates
Les Nouveaux Démocrates LND Social-démocratie
Écologie politique
Centre gauche à gauche Émilie Cariou
Aurélien Taché
Bloc de la Gauche démocrate et républicaine
Logo du Parti communiste français
Parti communiste français PCF Communisme Gauche radicale à gauche Fabien Roussel
Péyi-A Péyi-A Indépendantisme Gauche Jean-Philippe Nilor
Marcelin Nadeau
Pour La Réunion PLR Socialisme démocratique Gauche Huguette Bello
Logo d'Ensemble
Tavini huiraatira[9] Tavini Indépendantisme Gauche à centre gauche Oscar Temaru
Bloc du Groupe socialistes et apparentés
Logo du Parti socialiste
Parti socialiste PS Social-démocratie
Social-écologie
Gauche à centre gauche Olivier Faure

Symbole

Le , lors de sa première convention, la Nouvelle Union populaire écologique et sociale adopte officiellement la lettre grecque ν (nu, [nu]) comme symbole après l'avoir utilisé massivement la veille sur les médias sociaux. Ce choix est motivé par une ressemblance visuelle avec le V de la victoire et une proximité sonore avec les deux premières initiales de la NUPES[10].

Élections législatives de 2022

Forte du score de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, La France Insoumise a pu s'attribuer un grand nombre de circonscriptions gagnables[11].

Répartitions des circonscriptions par parti et bloc[11],[12]
Parti ou composante Circonscriptions Proportion
Pôle La France insoumise et apparentés
(La France insoumise, Parti de gauche, Ensemble !, Parti ouvrier indépendant, Révolution écologique pour le vivant)
325 56,33 %
Pôle écologiste Europe Écologie Les Verts 80 13,86 %
Génération.s 9 1,56 %
Génération écologie 9 1,56 %
Les Nouveaux Démocrates 2 0,35 %
Total 100 17,33 %
Parti socialiste 70 12,13 %
Parti communiste français 50 8,67 %
Hors accord (outre-mer, Corse et 1re de la Côte-d'Or) 32 5,55 %
Total 577 100 %

Répartition par circonscription

Historique

Débuts

Logo de l'Union populaire lors de la campagne de La France insoumise pour l'élection présidentielle de 2022.

En , en vue de l'élection présidentielle française de 2022, Jean-Luc Mélenchon lance un nouveau mouvement, l'Union populaire[86]. En , il annonce la création d'un « Parlement de l'Union populaire » qui vise à rassembler des personnalités extérieures à La France insoumise afin de soutenir sa candidature et de préparer la refondation de la gauche. Cette structure est dirigée par Aurélie Trouvé qui quitte la présidence d'Attac pour assumer cette charge[87].

Dans le cadre des élections législatives de 2022, La France insoumise — force de gauche majoritaire de l'élection présidentielle — cherche à rassembler les principaux partis de gauche autour de la bannière de l'Union populaire. Des discussions sont notamment engagées avec Europe Écologie Les Verts, le Parti communiste français, le Parti socialiste. Le Nouveau Parti anticapitaliste annonce ne pas être parvenu à un accord mais soutenir les candidats qui seront d'une gauche de rupture[réf. souhaitée].

Cette coalition rappelle celle du Front populaire établie en 1936 ou encore celle du Programme commun adoptée en 1972[88].

Accords de coalition

Pôle écologiste

Le , Génération.s (membre du Pôle écologiste) et La France insoumise annoncent avoir trouvé un accord dans un communiqué commun[89].

De son côté, en vue d'un accord de coalition, Europe Écologie Les Verts (EÉLV) propose le remplacement de la dénomination Union populaire par celle d'« Union populaire et écologiste » ou celle de « Front populaire écologiste et social »[90]. Dans la nuit du au , un accord est conclu avec Europe Écologie Les Verts, sous la bannière commune de la « Nouvelle union populaire écologique et sociale »[91],[1],[92]. Le Mouvement des progressistes est le seul organe du Pôle écologiste a refuser l'alliance[93].

L'accord prévoit cent circonscriptions sur cinq cent soixante-dix-sept pour le Pôle écologiste, dont environ trente considérées comme gagnables. EÉLV visait les circonscriptions des villes gagnées aux municipales de 2020. Ils obtiennent celles de Bordeaux, de Strasbourg et de Lyon, ainsi que les troisième, cinquième, huitième et neuvième circonscriptions de Paris[94].

Parti communiste français

Le , le Parti communiste français (PCF) annonce rejoindre la Nouvelle Union populaire écologique et sociale, après validation de l'accord par le conseil national du parti avec 120 voix pour, 25 contre et 13 abstentions[95].

La France insoumise et le PCF publient un communiqué commun exposant un programme dans lequel, aux objectifs fixés par LFI et EELV, s'ajoutent des propositions des communistes comme la « renationalisation d'EDF, d'Engie, des autoroutes, des aéroports » ou la lutte contre l'évasion fiscale. La question du nucléaire n'est pas évoquée, celle-ci pouvant faire l'objet de débats à l'Assemblée nationale[96],[97].

Le PCF présentera des candidats dans cinquante-quatre circonscriptions, dont les onze de ses députés sortants et cinq autres jugées gagnables (Vierzon, Dax, Creil Nogent, Denain, Lens Avion)[98],[99],[97].

Parti socialiste

Après avoir été initialement écarté des pourparlers avec La France insoumise, le Parti socialiste rejoint les négociations le [100]. Pierre Jouvet, négociateur pour le Parti socialiste explique : « On ne va pas régler tous les points en l'espace de quelques heures, alors que depuis dix ans on ne se parlait plus ». Manuel Bompard, négociateur pour La France insoumise, explique quant à lui que les négociations sont longues et difficiles[101] « sur le fond et sur les circonscriptions »[102].

Le , le Parti socialiste et La France insoumise annoncent avoir trouvé un accord sur une liste de soixante-dix circonscriptions de métropole et des Français de l’étranger (les circonscriptions corses et d'outre-mer n'étant pas inclues dans l'accord) qui sera soumise à la validation du conseil national. Les deux partis publient un communiqué commun. Il présente la liste des objectifs et points d'accord et détaille aussi (dans un long quatrième point) les divergences et convergences quant aux questions européennes et internationales — ce point étant un des points sur lesquels les divergences étaient les plus fortes[103].

Dans la nuit du au , l'accord est approuvé par le conseil national du parti à 167 voix pour (62 %), 101 contre (38 %) et 23 abstentions[104].

Au cours des débats du Conseil national, de nombreux cadres du parti s'expriment en faveur de l'accord. Laurent Baumel, qui était parmi les négociateurs, invoque le sens de l’histoire : « Allons nous redevenir le grand PS d’autrefois ? Celui que le gens aimaient ? Aucun d’entre nous n’a adhéré au PS pour appartenir à un groupuscule. A travers ce vote nous avons le choix entre la fin d’une histoire et le début d’une histoire. » Olivier Faure, premier secrétaire, explique que « Ce vote dit à quel espace politique nous appartenons. Il y a un doute dans l’opinion publique qui s’exprimait de manière régulière depuis 5 ans (…) Les Français nous ont abandonné parce qu'ils pensaient que nous n'avions plus rien à changer ».

À l'inverse, certaines personnalités, minoritaires, font part de leur dissidence : Hélène Geoffroy fustige l'accord qui, selon elle, n'apporterait pas plus de députés socialistes que sans accord et déplore la nécessité de repentance formulée selon elle par LFI à l'égard du PS. Le dissident François Kalfon tente de faire applaudir le fait que Bernard Cazeneuve ait quitté le parti, en s'interrogeant du sort qui est réservé à Carole Delga, qui compte présenter des candidatures dissidentes en Occitanie. Patrick Mennucci demande à ce que les adhérents soient consultés au sein d'une convention, en déposant une motion, laquelle est rejetée.

Refus de la coalition

Certains partis ont refusé de rejoindre la coalition Nouvelle Union populaire écologique et sociale.

Lutte ouvrière

Le , le parti trotskiste Lutte ouvrière (LO) fait savoir qu'il n'entend pas « cautionner » la démarche initiée par La France insoumise, assimilée à « une opération de rafistolage du réformisme » de gauche. Se voulant « totalement indépendant des directions réformistes », le parti s'oppose à tout projet de gouvernement et dénonce « le piège du système politique bourgeois qui consiste à substituer le combat électoral au combat de classe[100]. »

Parti radical de gauche

Le , le Parti radical de gauche (PRG) annonce son refus de s'associer aux négociations en cours, après un vote interne à 90,5 % en faveur de candidatures indépendantes pour les élections législatives[105]. Le PRG évoque des désaccords « considérables » avec La France insoumise, notamment en ce qui concerne la sortie du nucléaire et la désobéissance aux traités européens[106]. Le parti dit préférer son « indépendance » et ses « valeurs » à « des arrangements » et des « reniements profonds », quitte à mettre son avenir « en danger »[100].

Nouveau Parti anticapitaliste

Le 5 mai, après plusieurs jours de négociations, le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) annonce qu'il ne rejoindra pas la coalition. Le NPA estime ne pas pouvoir signer « un tel accord incluant le Parti socialiste »[107]. Le NPA, qui avait estimé « important de participer à cette dynamique d'union », évoque des discussions qui lui ont permis de trouver des accords sur certaines mesures, mais déplore qu'au « fur et à mesure des discussions avec les autres forces politiques, l'équilibre politique de la coalition s'est modifié progressivement, atténuant le caractère de rupture avec les politiques libérales qui faisait sa force »[108].

Selon le NPA, aucune circonscription n'a été proposée à Philippe Poutou (y compris en Gironde), alors que « de nombreux militants de gauche espéraient "voir Philippe Poutou à l’Assemblée" »[108].

Réactions dans le monde politique

À gauche

Place publique

Raphaël Glucksmann annonce son soutien à cette union de la gauche, avançant qu'il veut à tout prix éviter une prolifération des candidatures RN à l'Assemblée Nationale et l'opposition RN - LREM. Il précise qu'il possède des désaccords « immenses » sur des sujets « plus qu'essentiels » avec LFI, mais fera « tout pour que le maximum de voix solidaires, humanistes et écologistes puissent se faire entendre dès cet été à l’Assemblée », bien qu'il ne « chanter[a] pas “Mélenchon premier ministre” chaque matin »[109].

Au sein du Parti socialiste

Approbations

Benoît Hamon évoque sur Twitter : « une sacrément bonne nouvelle[101]. » Le vice-président de l'Association des maires de France (AMF), André Laignel, encourage une union entre le Parti socialiste et les autres forces de gauche, signalant qu'« il est clair que si la gauche n'est pas unie, elle va à la défaite », mais nuançant le fait que les partis traditionnels (PS et EÉLV) représentent un plus grand ancrage local que le présupposent leurs scores respectifs à l'élection présidentielle de 2022[réf. nécessaire][110]. Ségolène Royal, s'est dite favorable à cette démarche d'union, ayant déjà reconnu l'hégémonie de LFI à gauche, elle avait reproché la désunion de la gauche au moment de la présidentielle, arguant qu'il s'agissait d'un « manque de responsabilité ». Elle avait d'ailleurs appelé à voter utile pour Jean-Luc Mélenchon[111],[112]. Lionel Jospin se positionne en faveur de l'accord mais souhaite l'investiture dans la 15ème circonscription de Paris de la députée socialiste sortante Lamia El Aaraje[113]. Stéphane Troussel condamne fermement la désunion et appelle à l'accord : ne pas trouver d'accord serait selon lui un « contresens ».

De nombreux maires réclament et soutiennent également cette démarche d'union[114]. Johanna Rolland protestait contre l'échec de la gauche — et donc de LFI — à la présidentielle, du fait de l'échec d'union de sa famille politique[115].. Sept maires socialistes de grandes villes publient une tribune, exprimant être favorables à une union tout en réaffirmant un « attachement profond à l'idée et à la construction européennes » : Nathalie Appéré ; Benoît Payan ; Olivier Bianchi ; Mathieu Klein ; Nicolas Mayer-Rossignol ; Cédric Van Styvendael et Benoît Arrivé (Cherbourg-en-Cotentin)[116]. Martine Aubry « appelle les socialistes à valider cette proposition d'accord », tout en notant qu'il « ne correspond pourtant pas en tout point à [ses] convictions profondes »[117]. Ce soutien à l'union va à l'encontre des positions de multiples ténors et figures historiques du parti[118].

De nombreuses personnalités approuvent l'union lors du Conseil national du Parti socialiste, notamment Corinne Narassiguin[119], Laurence Rossignol[120] ou Christophe Clergeau[réf. souhaitée].

Désapprobations

Actuellement[Quand ?], les désapprobations et dissensions sont minoritaires, selon Le Monde, et sont le fait de personnalités politiques de courants plus anciens du Parti socialiste (PS), notamment d'anciens proches de François Hollande, couramment appelés les « Éléphants du Parti socialiste » ; il y a aussi la ligne de centre-gauche, portée par un certain succès régional face à LFI et représentée par Carole Delga et Anne Hidalgo, selon le journal de référence Le Monde[121]. Ces dissensions sont souvent appelées par la presse les « nouveaux frondeurs », selon Sud-Ouest ainsi que Libération, presse de référence[122]. C'est d'ailleurs une expression reprise par Stéphane Le Foll lui-même.

Lors du début des négociations avec le PS, François Hollande évoque le risque de l'« effacement » de son parti. Il juge que l'accord est « inacceptable » et qu'il « met en cause des principes mêmes qui sont des fondements de l'engagement socialiste »[123]. Jean-Luc Mélenchon lui répond en disant que l'ancien président est « totalement has been » et ajoute qu'« alors que le train de l'histoire passe, il reste à quai »[124].

Le journal La Lettre A révèle que la maire de Paris Anne Hidalgo chercherait à écarter l'union aux élections législatives avec LFI, en constituant une union avec les partis de sa majorité municipale, c'est-à-dire avec le PS, EÉLV et le PCF au sein des circonscriptions de Paris[125].

Bernard Cazeneuve annonce qu'il quittera le PS en cas d'accord avec LFI[126]. Suite à l'accord entre le PS et LFI, il annonce quitter le Parti socialiste[127]. Stéphane Le Foll déclare dans Les 4 Vérités sur France 2 que si le PS « continue à être ce qu'il est aujourd'hui, je partirai »[128]. Il ne croit pas à une victoire d'une union de la gauche lors des législatives de 2022 : pour lui, « c'est une fable, c'est un leurre. » Stéphane Le Foll considère qu'en négociant avec LFI, le PS « tourne le dos à toute son histoire »[129].

Autres réactions

De son côté, François Bayrou considère que cet accord est « un événement extrêmement triste ». Il pointe notamment du doigt le principe de désobéissance à l'Union européenne envisagé dans l'accord, qui conduirait selon lui à « la fin de l'Europe », et la volonté de Jean-Luc Mélenchon de « sortir de l'Otan »[126]. Cependant, nulle mention de sortie de l'Otan n’est faite dans les accords[réf. nécessaire], sortie qui ne relèverait d'ailleurs pas du Premier Ministre ni de l'Assemblée.

Les députés LREM n'ont pas manqué de critiquer cette alliance à gauche, notamment Sacha Houlié ou encore Aurore Bergé[130]. Selon le quotidien Les Échos, les membres de LREM cherchent une stratégie de décrédibilisation de l'union, du fait de l'hétérogénéité de leurs positions et de son aspect supposé tactique, espérant mobiliser leur électorat et créer un effet repoussoir avec la figure de Jean-Luc Mélenchon. Cependant, ils craignent de ne pas bénéficier de la désunion de la gauche, facteur clef dans leur victoire en 2017[131].

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