Montaigu-Vendée

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Montaigu-Vendée
De haut en bas, de gauche à droite : le château de la Lande à Saint-Hilaire-de-Loulay ; l’église Saint-Martin de Saint-Georges-de-Montaigu ; la maison de la Rivière à Saint-Hilaire-de-Loulay ; le pont de Sénard à Saint-Hilaire-de-Loulay ; l’église Saint-Pierre de la Guyonnière ; un menhir à Saint-Hilaire-de-Loulay ; l’église Saint-Hilaire de Saint-Hilaire-de-Loulay ; le logis de la Roche-Thévenin de la Guyonnière ; l’église Notre-Dame-de-l’Assomption de Boufféré ; la digue de Montaigu.
Image illustrative de l’article Montaigu-Vendée
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Vendée
Arrondissement La Roche-sur-Yon
Intercommunalité Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière (siège)
Maire
Mandat
Antoine Chéreau
2019-2020
Code postal 85600
Code commune 85146
Démographie
Population
municipale
20 605 hab. (2021)
Densité 175 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 58′ 27″ nord, 1° 18′ 49″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 84 m
Superficie 117,92 km2
Élections
Départementales Montaigu (bureau centralisateur)
Localisation
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Liens
Site web www.montaigu-vendee.com

Montaigu-Vendée est une commune nouvelle française située dans le département de la Vendée en région des Pays de la Loire. Elle résulte de la fusion, au , des communes de Boufféré, La Guyonnière, Saint-Georges-de-Montaigu, Saint-Hilaire-de-Loulay et Montaigu, l'ancienne commune éponyme qui en est le chef-lieu.

Géographie

Le territoire municipal de Montaigu-Vendée s’étend sur 11 792 hectares[1]. L’altitude de la commune nouvelle varie entre 13 et 84 mètres[2].

Depuis le , la commune nouvelle regroupe les communes de Boufféré, La Guyonnière, Montaigu, Saint-Georges-de-Montaigu et Saint-Hilaire-de-Loulay, qui sont désormais des communes déléguées. Son chef-lieu est situé à Montaigu[3].

Localisation

Le chef-lieu de la commune nouvelle, Montaigu, se situe au nord-est du département de la Vendée[4].

Géologie et relief

Hydrographie

Elle est traversée du sud au nord par la Maine, qui se jette à environ 15 km en aval dans la Sèvre Nantaise.

Climat

Montaigu-Vendée est soumise à un climat de type océanique[5]. Les données concernant le climat de Montaigu-Vendée qui suivent sont extraites d'une source basant le site de relevé des données météorologiques aux coordonnées 47°09'N - 1°37'O[6], ce qui correspond à la position de l'Aéroport Nantes-Atlantique situé sur la commune de Bouguenais, distant de 40 kilomètres environ du centre de Montaigu-Vendée.

Climatologie de Montaigu-Vendée d'après la station de Bouguenais sur la période 1961-1990 :
Températures moyennes
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,4 2,8 4 5,9 9 11,9 13,9 13,5 11,8 8,9 5,1 3 7,7
Température moyenne (°C) 5,4 6,2 8,1 10,4 13,6 16,9 19,1 18,7 16,8 13,1 8,6 6 11,9
Température maximale moyenne (°C) 8,4 9,6 12,2 14,9 18,2 21,9 24,4 24 21,8 17,3 12 9 16,1
Source : Infoclimat, relevés 1961-1990[6]


Ensoleillement, humidité, précipitations
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Ensoleillement (h) 72 99 148 187 211 239 267 239 191 140 91 70 1 956
Précipitations (mm) 86,6 70,2 69,1 49,9 64,1 45 46,4 44,8 62,2 79,2 86,9 84,1 788,5
Nombre de jours avec précipitations 12,8 11 11,1 8,9 11 7,7 6,7 7 8,4 10,4 11,1 11,5 117,6
dont nombre de jours avec précipitations ≥ 5 mm 6,1 4,8 4,9 3,6 4,5 2,9 2,7 3,1 3,9 5 6,2 6,1 53,7
Humidité relative (%) 88 84 80 77 78 76 75 76 80 86 88 89 81
Source : Infoclimat, relevés 1961-1990[6]


Voies de communication et transports

Située au croisement de la route nord-sud D 137 entre Nantes et La Rochelle, et de la route est-ouest D 753 entre Cholet et Saint-Jean-de-Monts, Montaigu-Vendée est aussi reliée par la D 763 à Clisson au nord-est et à La Roche-sur-Yon au sud-ouest.

Montaigu-Vendée est desservie sur la commune déléguée de Boufféré par la sortie 4 de l'autoroute A83 reliant Niort (rejoignant ainsi l'A10 entre Paris et Bordeaux) à Nantes, préfecture de la région. De plus, la 2 × 2 voies entre Boufféré et La Roche-sur-Yon permet de rejoindre rapidement la préfecture vendéenne, située à environ 40 kilomètres du centre de Montaigu-Vendée.

La Gare de Montaigu.

L'aéroport international de Nantes-Atlantique est lui aussi situé à environ 40 kilomètres de Montaigu-Vendée, que ce soit en passant par l'autoroute A83 ou par la RD 137. La commune dispose pour sa part d'un aérodrome, l'aérodrome de Montaigu - Saint-Georges, inauguré le 28 juin 1980. Il dispose de deux pistes de 80 m et 40 m de large pour 900 m de long. Le plus gros club de France de Paramoteur, Atlantic Paramoteur, est basé sur ce terrain, ainsi que le club de vol à voile de Nantes, le Planeur Club de L'Atlantique[7], qui s'est déplacé sur ce terrain lors de sa création, puisque ce dernier avait pour but de délocaliser l'activité planeur de l'aéroport Nantes Atlantique. Le terrain a accueilli en 2011 le championnat régional des Pays de la Loire de planeur, ainsi que le Tour de France ULM qui y est passé pour une nuit.

La gare de Montaigu, appelée Montaigu (Vendée), se trouve sur la ligne de Nantes-Orléans à Saintes, qui se prolonge vers Les Sables-d'Olonne ou Bordeaux, mettant ainsi Paris à 2 h 30 de Montaigu-Vendée grâce au TGV, et la côte atlantique à moins d'une heure de train.

Urbanisme

Toponymie

Le nom de la commune nouvelle est formée à partir du nom de sa ville-centre, Montaigu, et du nom du département d'appartenance de la commune nouvelle, la Vendée. Ce nom a été sélectionné par les cinq maires des communes constitutives de la commune nouvelle suite à deux tables rondes ayant fait émerger quatre noms proposés lors d'une consultation par internet à partir du . Les quatre noms proposés à la consultation étaient Montaigu-Vendée, Montaigu-les-Maines, Montaigu-Nord-Vendée et Montaigu-la-Nouvelle. Avant l'élaboration des propositions, les cinq maires s'étaient mis d'accord sur le fait que le nom de la ville-centre de la commune nouvelle devait rester dans le nouveau nom[8].

Le nom de Montaigu vient du latin Mons Acutus, désignant littéralement un « mont aigu ». L'origine du nom remonterait donc à la période gallo-romaine et ferait référence au promontoire situé à la confluence de la Maine et de l'Asson[9]

Le nom de Vendée est issu pour sa part du nom de la rivière éponyme passant au sud du département, dont la forme originelle devait être Vindeda (« la blanche »), dérivé du gaulois (celtique) uindos signifiant « blanc », voire « heureux »[10].

Histoire

Le , les cinq conseils municipaux de Boufféré, La Guyonnière, Montaigu, Saint-Georges-de-Montaigu et Saint-Hilaire-de-Loulay se réunissent au même moment, chacun de son côté, pour délibérer sur le projet de création d’une commune nouvelle de près de 20 000 habitants regroupant les cinq communes. Le projet est approuvé par tous les conseils, favorisant, selon les élus, la visibilité économique du bassin de vie et la transformation à terme de Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière en communauté d'agglomération[11],[12].

La commune nouvelle est effectivement créée au par un arrêté préfectoral du [3].

À sa fondation, Montaigu-Vendée est la quatrième commune la plus peuplée du département (20 084 habitants au recensement de 2016), après La Roche-sur-Yon (53 578), Les Sables-d’Olonne (42 649) et Challans (20 133), mais devant Les Herbiers (15 992) et Fontenay-le-Comte (13 640). De même, elle devient au la commune la plus étendue de la Vendée avec 11 792 hectares devant Essarts-en-Bocage (10 059).[réf. nécessaire]

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune nouvelle se trouve dans le canton de Montaigu et l'arrondissement de La Roche-sur-Yon du département de la Vendée. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Vendée.

Intercommunalité

Montaigu-Vendée est le siège de Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière.

Politique locale

L'accord de gouvernance conclu entre les élus lors de la création de la commune nouvelle prévoit que le maire de Montaigu sera son maire jusqu’aux élections municipales de 2020, et que celui de Boufféré sera tête de liste en 2020[13].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2019[14] En cours
(au 13 juillet 2019)
Antoine Chéreau[15] MPF Maire (2001 → 2018) puis maire délégué (2019 → ) de Montaigu
Président de l'ex-communauté de communes Terres-de-Montaigu (2001 → 2016)
Président de Terres-de-Montaigu, CC de Montaigu-Rocheservière (2017 → )
Conseiller régional des Pays de la Loire (2004 → )
Vice-président du conseil régional des Pays de la Loire (2015 → )

Jumelage

Montaigu-Vendée poursuit le jumelage que Montaigu avait noué avec Immenhausen, en Allemagne[16]

Population et société

Démographie

Évolution démographique du territoire de la commune nouvelle
tel qu'existant au
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9 05711 14212 47413 73615 56217 49819 14120 084
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes.
Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au .
(Source : INSEE RGP 2016[17])


Économie

L'agglomération de Montaigu, cœur économique du territoire de Montaigu-Vendée

Historiquement, le territoire de Montaigu-Vendée, à dominante rurale, était essentiellement tourné vers l'activité agricole, à l'exception notable de Montaigu. Celle-ci s'est en effet constituée comme ville-centre d'un bassin de vie pour lequel elle remplissait les fonctions traditionnelles d'une centralité urbaine vis-à-vis d'un territoire rural. La présence d'une place du Champ de Foire à Montaigu atteste de ce rôle de place centrale. Des foires aux bestiaux ainsi que des comices agricoles s'y tinrent ainsi jusqu'au milieu du XXème siècle, et attirèrent sur la place des cabarets et des auberges[18]. Dans la ville s'installèrent également des artisans et commerçants liés à la transformation de la production agricole environnante, comme en atteste par exemple la présence d'une rue de la Boucherie.

En 2015, la commune déléguée de Montaigu (disposant encore à cette date du statut de commune à part entière) comptabilisait 2 070 actifs ayant un emploi résidant sur son territoire, qui accueillait par ailleurs 4 397 emplois, soit un indicateur de concentration de l'emploi de 212,4[19]. Cet indicateur confirme le statut de ville-centre qu'a su conserver Montaigu vis-à-vis de son bassin de vie[20]. Néanmoins, le territoire de Montaigu étant limité, certaines entreprises dont les locaux historiques se trouvaient dans la ville-centre ont quitté cette dernière pour s'implanter sur le territoire des communes voisines. C'est le cas par exemple de la Laiterie de Montaigu, qui dès 1965 a construit sa nouvelle usine sur la commune de Saint-Georges-de-Montaigu[20] à proximité de l'entrée sud de la ville. En 2017, c'est l'entreprise VMI qui quitte son site historique de Montaigu pour emménager sur le parc d'activités des Marches-de-Bretagne, situé sur la commune voisine de Saint-Hilaire-de-Loulay[21]. Montaigu est tout de même parvenu à conserver certaines de ses entreprises historiques sur son territoire, comme en témoigne l'implantation en 2016 du siège national du transporteur DB Schenker, à l'emplacement d'un site du transporteur Joyau racheté par le groupe allemand dans les années 2000[22].

Montaigu compte sur son territoire deux zones industrielles adjacentes, la zone industrielle de la Gare et la zone industrielle Nord, ainsi qu'une zone commerciale comprenant une grande surface sous l'enseigne Leclerc. Par ailleurs, sur les communes voisines mais dans la continuité du tissu urbain de Montaigu se sont développées deux autres zones commerciales autour d'une enseigne Super U à Boufféré et d'une enseigne Intermarché à Saint-Hilaire-de-Loulay, ainsi que les zones industrielles de Mirville et du Planty. Le centre-ville constitue un autre pôle où se concentrent de nombreux emplois de l'agglomération, notamment dans les commerces de proximité implantés essentiellement dans et autour de la rue Clemenceau, de la place du Champ-de-Foire et de l'avenue Villebois-Mareuil.

Enfin, plusieurs employeurs publics viennent contribuer de manière significative au rôle de ville-centre de Montaigu et au nombre important d'emploi localisés sur le territoire : la ville de Montaigu, la communauté de communes de Terres-de-Montaigu et enfin le centre hospitalier départemental de la Vendée, qui dispose d'une antenne sur la commune.

Une forte présence du secteur agro-alimentaire sur le territoire

Le territoire de Montaigu-Vendée a su s'appuyer sur son activité principale historique, l'activité agricole, pour développer une industrie locale dans le domaine agro-alimentaire. Ce dernier participe à la présence significative du secteur secondaire dans le tissu économique local, comme en attestent la présence d'usines tels que la Laiterie de Montaigu précédemment citée, Briogel à Saint-Georges-de-Montaigu, Bonté-Pinson, Brioches Fontenaud ou encore le Comptoir de la Bière à Boufféré, ces différentes entreprises partageant bien un cœur de métier consistant en la transformation de produits agricoles en biens alimentaires. L'entreprise la plus significative à ce titre est très certainement Sodebo, géant français de l'agroalimentaire dont le siège social et l'ensemble de l'outil de production en France sont situés sur un complexe de plusieurs dizaines d'hectares à cheval entre Saint-Georges-de-Montaigu et La Guyonnière. L'entreprise regroupe ainsi sur la commune plus de 2 000 emplois, ce qui en fait le principal employeur du territoire.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Châteaux

  • L'ancien château de Montaigu, dont les fortifications ont été arasées en 1586 sur l'ordre d'Henri III, inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques
  • Le château de la Caillaiderie à Montaigu, construit au XVIIIème siècle par la famille Thiériot[23]
  • Les ruines du château de la Sénardière à Boufféré
  • Le château du Hallay à Boufféré
  • Le château de la Preuille
  • Le château de la Mussetière
  • Le château de la Lande
  • Le château de Bois-Corbeau
  • Le château de la Peinerie
  • Le château de la Grande Bernerie
  • Vestiges remarquables d'un ancien château médiéval au lieu-dit de la Goyère sur un coteau dominant la Grande Maine

Monuments religieux

L'église Saint-Jean-Baptiste
Église Saint-Georges de Saint-Georges-de-Montaigu
  • L'église Saint-Jean-Baptiste de Montaigu et les gargouilles de son clocher
  • Le Portail Saint-Léonard, vestige d'une chapelle de 1215
  • L'ancienne collégiale Saint-Maurice, au cœur de la vieille ville de Montaigu
  • L’église Notre-Dame-de-l'Assomption à Boufféré
  • L'église Saint-Hilaire dans le bourg de Saint-Hilaire-de-Loulay
  • L'église Saint-Pierre de la Guyonnière
  • Le site de Melay ou Meslay à La Guyonnière
  • L'église Saint-Georges dans le bourg de Saint-Georges-de-Montaigu, datant du XIXe siècle, ayant la particularité d'avoir un clocher inachevé coiffé d'une flèche provisoire recouverte l'ardoise
  • La Chapelle du village de la Roche-Pépin à Saint-Georges-de-Montaigu
  • La Chapelle du village de la Rondaire à Saint-Georges-de-Montaigu

Ouvrages d'art

  • Le pont de Sénard[24] enjambant la Maine à Saint-Hilaire-de-Loulay
  • Le pont de Boisseau - inscrit à l'inventaire des monuments historiques - situé au confluent de la Grande Maine et Petite Maine
  • La digue de Montaigu


Autres lieux et monuments remarquables

  • L'ancienne sous-préfecture de Montaigu
  • La Maison des Rochettes et son parc paysagé avec des essences rares à Montaigu
  • L'ancien relais de poste, aujourd'hui médiathèque intercommunale au cœur du parc des Rochettes
  • Le Menhir de la Grande Bernerie, seul survivant d'un groupe de deux menhirs
  • Le manoir de la Roche-Thévenin à La Guyonnière, inscrit à l'inventaire des Monuments Historiques
  • La Maison de la Rivière et du Pêcheur - ancien moulin à eau, dit anciennement moulin de la Roche
  • Le Moulin de la Poitevinière, ancien moulin à eau sauvé de la ruine au début du XXIe siècle par une association locale de sauvegarde du patrimoine
  • L'aérodrome de Montaigu - Saint-Georges
  • Les usines Sodebo

Notes et références

  1. « Commune 22097 », « Commune 22510 », « Commune 29369 », « Commune 29721 » et « Commune 24675 », Géofla, version 2.2, base de données de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 [lire en ligne].
  2. « Boufféré », « La Guyonnière », « Montaigu », « Saint-Georges-de-Montaigu » et « Saint-Hilaire-de-Loulay », Répertoire géographique des communes, fichier de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.
  3. a et b « Arrêté préfectoral du 20 avril 2017 portant création de la commune nouvelle “Montaigu-Vendée” », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Vendée, no 25,‎ , p. 30-32 (lire en ligne [PDF]).
  4. Fiche de Montaigu sur Lion 1906, site de Lionnel Delvarre, mis à jour le 6 juin 2010 [lire en ligne].
  5. « Carte France - Climat », sur CartesFrance.fr (consulté le )
  6. a b et c « Normale et records - Nantes, Loire-Atlantique (44), 26 m - 1961-1990 », sur site infoclimat, (consulté le )
  7. Site du Planeur Club de l'Atlantique
  8. « Montaigu. Commune nouvelle : quel nom préférez-vous ? », Ouest-France,‎ (lire en ligne)
  9. Georges Laronze, Montaigu, Ville d’histoire (IVe – XXe siècle), , 152 p. (ISBN 2-84373-096-1), p.7
  10. Xavier Delamarre,, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, , p. 319 - 320
  11. Roselyne Séné, « Elles ont toutes dit “oui” à Montaigu-Vendée : Vendredi soir, les élus municipaux de Boufféré, La Guyonnière, Montaigu, Saint-Georges-de-Montaigu et Saint-Hilaire-de-Loulay ont décidé de créer, ensemble, une commune nouvelle : Montaigu-Vendée. Le mariage est prévu au 1er janvier 2019 », Ouest-France,‎ (lire en ligne) « Les fiançailles pouvaient être célébrées. Mais il s’en est fallu de peu pour que l’ambiance retombe comme un soufflé et que les petits fours restent au réfrigérateur. Car tout s’est joué à une voix près, à Saint-Hilaire-de-Loulay ».
  12. « Montaigu. Une commune nouvelle pour « être plus visible » : Regrouper cinq villes en une seule. C’est le projet de cinq maires de Terres de Montaigu. Les élus ont expliqué la raison et les modalités lors d’une première réunion publique », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une visibilité basée, essentiellement, sur l’attractivité économique. « Si on veut peser sur l’échelon régional, il faut être visible. » Pour cela, il a martelé l’intérêt pour le territoire de passer en communauté d’agglomération, dans les prochaines années. Une entité qui ne pourra se faire qu’avec « une ville d’au moins 15 000 habitants ».
  13. Jeanne Hutin, « Montaigu-Vendée. Antoine Chéreau en 2019, Florent Limouzin pour 2020 : La gouvernance de la commune nouvelle Montaigu-Vendée, qui naîtra au 1er janvier 2019 a été annoncée ce vendredi 23 novembre. Le maire de Montaigu restera jusqu’aux élections municipales de 2020. Celui de Boufféré sera tête de liste en 2020 », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. Fabien Burgaud, « Antoine Chéreau, maire “de transition” : Lors du premier conseil municipal de la commune nouvelle, Antoine Chéreau a été élu maire de Montaigu-Vendée à une large majorité. Un poste qu’il quittera avant les municipales de 2020 », Ouest-France,‎ « Fraîchement élu maire de la commune nouvelle Montaigu-Vendée, ce vendredi soir, Antoine Chéreau conclut avec le sourire une séance longue de deux heures quarante, parsemée de six votes à bulletins secrets, d’autres à main levée ou encore de délibérations techniques (...) Sans suspense, le premier vice-président de la région Pays de la Loire l’a emporté avec plus de 86 % des suffrages face à l’opposition, incarnée par Jérôme Bossard (95 voix contre 15). La satisfaction est là. Antoine Chéreau entame alors son discours et confirme ce qu’il annonçait en novembre dernier : il ne se représentera pas lors des élections municipales de mars 2020, et laissera la tête de liste à Florent Limouzin, maire de Boufféré ».
  15. Céline Bardy, « Antoine Chéreau, une histoire politique singulière : Très proche de Philippe de Villiers, le maire de Montaigu a aussi la confiance de Bruno Retailleau qui en a fait le 1er vice-président de la Région. Une exception politique en Vendée », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « J'ai quitté la France à 18 ans et j'y suis revenu à 25 pour travailler au cabinet de Philippe de Villiers. » Entre-temps, il a fait des études de philosophie en Belgique, où il a rencontré son épouse, astrophysicienne, avec qui il a six enfants. Est passé par l'Angleterre, l'Allemagne et au moment de se trouver un métier, a rejoint le conseil général de Vendée ».
  16. « Montaigu-Vendée. Depuis 28 ans, le jumelage avec Immenhausen perdure : Montaigu. Tous les deux ans, le week-end de l’Ascension est devenu un rendez-vous incontournable pour le jumelage entre les villes de Montaigu et d’Immenhausen, en Allemagne », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  17. INSEE, Recensement général de la population 2016, Document mentionné en liens externes, tableau POP T1.
  18. Maurice Mignet, Le patrimoine de Montaigu à travers ses noms de lieux, Pays de Montaigu - Marche de Vendée et de Bretagne, , 339 p. (ISBN 978-2-7466-5272-9), pp.59-60
  19. https://www.insee.fr/fr/statistiques/2011101?geo=COM-85146
  20. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées laiterie
  21. https://www.vmimixing.com/fr/vmi/historique-vmi/
  22. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/vendee/schenker-france-pose-son-siege-montaigu-4346677
  23. Maurice Mignet, Le patrimoine de Montaigu à travers ses noms de lieux, Pays de Montaigu - Marches de Vendée et de Bretagne, , 338 p. (ISBN 978-2-7466-5272-9), p.53
  24. Notice no PA00110247, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Annexes

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Articles connexes

Liens externes