Le Parisien Week-end
Le Parisien Magazine - Aujourd'hui en France Magazine | |
Pays | France |
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Langue | français |
Périodicité | hebdomadaire (tous les vendredis) |
Format | magazine |
Genre | généraliste - culture, société, international, conso |
Prix au numéro | Le Parisien Magazine (quotidien compris) : 2,30 € Aujourd'hui en France Magazine (quotidien compris) : 2,20 € |
Diffusion | 420 126 ex. (2013) |
Date de fondation | 2012 |
Éditeur | L.P.M. |
Ville d’édition | 2-8, rue Gaston-Rébuffat, Paris XIXe |
Propriétaire | S.N.C. Le Parisien Libéré (Groupe Amaury) |
Directeur de la rédaction | Thierry Borsa |
Rédacteur en chef | François Vey |
Site web | http://www.leparisienmagazine.fr |
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Le Parisien Magazine, qui prend le nom de Aujourd'hui-en-France Magazine en province, est un supplément hebdomadaire vendu le vendredi avec le journal Le Parisien (ou avec le journal Aujourd'hui-en-France en province) depuis septembre 2013. Diffusé chaque semaine à environ 450 000 exemplaires (source OJD[1]), ce magazine est édité par la société LPM, filiale du Parisien.
Le positionnement
Ce magazine se veut "surprenant, respectant nos valeurs de rigueur, d'équilibre et d'objectivité", selon Thierry Borsa, directeur des rédactions [2] interrogé à la création du titre.
Epais d'une centaine de pages, le magazine se découpe en trois parties. La première, baptisée Week-end, traite de culture, de voyage, de gastronomie. La seconde, dite Grand angle, s'intéresse au sujet de fonds : économie, international, société... La troisième et dernière, la section Plaisirs, est plutôt tournée consommation : mode, beauté, high-tech...
Quelques dates importantes
Le 19 octobre 2012, Arnaud Montebourg fait la couverture du magazine habillé en marinière pour un article de fond sur le made in France [3]. Le dossier sera récompensé du prix du coup éditorial 2013, décerné par le syndicat des éditeurs de la presse magazine.
En octobre 2013, à l'occasion d'un article sur le courage en politique, Ségolène Royal est photographiée vêtue d'une sorte de toge et portant un drapeau français, à la manière de la "Liberté guidant le peuple", le tableau de Delacroix[4]. Si elle ne fait pas la couverture, cette image sera largement diffusée par les médias et même parodiée.
En janvier 2014, peu après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler se confie au Parisien Magazine, à l'occasion d'un voyage en Inde [5], expliquant notamment "Je n'aimais pas les ors de l’Élysée".
Références
- http://www.ojd.com/adherent/3193
- http://www.lexpress.fr/actualite/media-people/media/le-parisien-magazine-dans-les-kiosques_1163709.html
- http://www.leparisien.fr/economie/pourquoi-arnaud-montebourg-pose-en-mariniere-dans-le-parisien-magazine-18-10-2012-2244551.php
- http://www.lepoint.fr/politique/segolene-royal-liberte-guidant-le-peuple-24-10-2013-1747325_20.php
- http://www.leparisien.fr/laparisienne/actu-people/personnalites/valerie-trierweiler-je-n-aimais-pas-les-ors-de-l-elysee-29-01-2014-3539823.php