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=== [[Église Saint-Louis de La Roche-sur-Yon|Église Saint-Louis]] === |
=== [[Église Saint-Louis de La Roche-sur-Yon|Église Saint-Louis]] === |
Version du 26 février 2013 à 21:57
La Roche-sur-Yon | |
La statue de Napoléon Ier et l'église Saint-Louis, place Napoléon. | |
Blason |
La Roche-sur-Yon Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Pays de la Loire |
Département | Vendée (préfecture) |
Arrondissement | La Roche-sur-Yon (Chef-lieu) |
Intercommunalité | La Roche-sur-Yon Agglomération (Siège) |
Maire Mandat |
Pierre Regnault (PS) 2008-2014 |
Code postal | 85000 |
Code commune | 85191 |
Démographie | |
Gentilé | Yonnais |
Population municipale |
52 664 hab. (2010) |
Densité | 602 hab./km2 |
Population agglomération |
115 612 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 40′ 10″ nord, 1° 25′ 07″ ouest |
Altitude | Min. 32 m Max. 94 m |
Superficie | 87,52 km2 |
Élections | |
Départementales | Chef-lieu de deux cantons La Roche-sur-Yon-Nord La Roche-sur-Yon-Sud |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.ville-larochesuryon.fr/ |
modifier |
La Roche-sur-Yon est une commune du centre-ouest de la France, préfecture du département de la Vendée, en région Pays de la Loire. Ses habitants sont les Yonnais[1].
Arrosée par la rivière Yon, La Roche-sur-Yon doit sa physionomie actuelle à Napoléon Ier, qui fait d'un petit bourg une cité moderne, basée sur un plan régulier en forme de pentagone et dotée d'édifices publics imposants (préfecture, hôtel de ville, théâtre, tribunaux, lycée, église Saint-Louis, etc.) répartis autour d'une vaste esplanade centrale (place Napoléon). La ville est fondée par décret impérial le (elle est promue à cette même date préfecture de la Vendée en remplacement de Fontenay-le-Comte).
Ville napoléonienne mais conçue par des ingénieurs des Ponts-et-chaussées, son nom même est source de querelles au gré des changements politiques qui agitent le XIXe siècle : elle est débaptisée et rebaptisée à huit reprises : La Roche-sur-Yon, Napoléon, Bourbon-Vendée (sous la Restauration), Napoléon-Vendée (sous le Second Empire)… Elle reprend son nom d'origine en 1870.
Principal centre urbain du département, au cœur du Bas-Poitou, centre économique aux fonctions multiples (secteurs secondaires et tertiaires essentiellement), mais aussi pôle universitaire fort de 6 000 étudiants, La Roche-sur-Yon est la commune la plus peuplée du département, comptant 52 664 habitants au , son aire urbaine atteignant 115 612 habitants. La ville occupe la 6e position au niveau régional, tandis que son aire urbaine occupe le 5e rang.
Histoire
Plusieurs découvertes archéologiques prouvent que le sol yonnais fut occupé dès la préhistoire (hache préhistorique à deux tranchants, outils en silex, éventuellement un dolmen…). Durant l'antiquité, un castrum romain est installé sur les hauteurs de La Roche-sur-Yon pour surveiller des mines de fer situées sur les lieux de la Ferrière et de la Thermelière. Des pièces et des objets antiques ont été retrouvés de même que des fondations d'enclos gaulois en bordure de l'Yon. La ville fut une seigneurie appartenant aux Beauvau, puis aux Bourbon à partir du XVe siècle. La Roche-sur-Yon devint une principauté-pairie en passant aux Bourbon-Montpensier, puis aux Orléans.
Le château de la ville, construit à un endroit stratégique de la vallée de l'Yon, fut assiégé et repris aux Anglais par Olivier de Clisson lors de la guerre de Cent Ans. Il fut en partie détruit lors des Guerres de religion qui secouèrent le Poitou, et finalement incendié au cours des guerres de Vendée.
En 1793, le Nord de la Vendée se révolte contre la République. La Roche-sur-Yon reste républicaine, mais le les insurgés vendéens prennent la ville. Après les Guerres de Vendée et le passage des colonnes infernales, la ville n'était plus qu'un petit bourg en grande partie détruit.
La ville de Napoléon
Le décret impérial du (5 prairial de l'an XII) pris par Napoléon Bonaparte alors premier consul de la République, prévoit le transfert de la préfecture de la Vendée de Fontenay-le-Comte, ancienne capitale du Bas-Poitou, à la Roche-sur-Yon. Naît alors une ville moderne dessinée par les ingénieurs Cormier et Valot, dont la singularité première réside en son tracé géométrique en forme de pentagone, son maillage en forme de grille (ou damier) et sa division en quatre quartiers organisés autour d'une grande place centrale.
Le , face à la lenteur des travaux de construction de « sa » ville, Napoléon, devenu empereur des Français, s'y rend et devant les travaux dira : « J'ai répandu l'or à pleines mains pour édifier des palais, vous avez construit une ville de boue » (car Emmanuel Crétet, son ministre de l'intérieur et directeur des Ponts et Chaussées, avait décidé sans son avis de la faire reconstruire par François Cointeraux premier spécialiste du pisé).
Certains travaux seront finis après la chute du premier Empire, comme l'Église Saint-Louis, commandée en 1804 et terminée en 1829.
La ville s'est développée petit à petit, jusqu'à atteindre les limites du territoire de la commune.
Noms de la ville
Cas unique en Europe, La Roche-sur-Yon a changé 8 fois de nom en moins de 70 ans[2] :
- La Roche-sur-Yon, avant 1804 ;
- Napoléon-sur-Yon, sous le Premier Empire (de 1804 à 1814) ;
- La Roche-sur-Yon, durant une quinzaine de jours en 1814 ;
- Bourbon-Vendée, pendant la Restauration (d’avril 1814 à avril 1815) ;
- Napoléon, lors des Cent-Jours (d’avril 1815 à juin 1815) ;
- Bourbon-Vendée, pendant la Seconde Restauration et Monarchie de Juillet de juin 1815 à 1848 ;
- Napoléon, pendant la Deuxième République (de 1848 à 1852) ;
- Napoléon-Vendée, durant le Second Empire (de 1852 à 1870) ;
- La Roche-sur-Yon, depuis 1870.
Bicentenaire
La ville a fêté tout au long de l'année 2004 le bicentenaire de sa fondation par Napoléon Bonaparte.
Outre les nombreuses manifestations organisées à cette occasion, ont été commandées plusieurs œuvres pour laisser une trace significative de cet événement : une tapisserie monumentale réalisée par Jacques Brachet, une sculpture de Jean-Pierre Viot[3], et une médaille créée par Thérèse Dufresne.
Une Fédération des cités napoléoniennes d'Europe a été constituée, parmi lesquelles Ajaccio, Iéna, Pontivy, Pultusk, Waterloo… et bien sûr La Roche-sur-Yon qui en est co-fondatrice.
Géographie
La Roche-sur-Yon se situe au cœur du bocage vendéen, dans la vallée de l'Yon, affluent du Lay. La ville est construite sur une roche granitique qui surplombe la vallée de l'Yon et donne à la ville une position stratégique. La ville se situe au centre du département. Napoléon Bonaparte a d'ailleurs choisi La Roche-sur-Yon comme préfecture pour sa position centrée et stratégique au cœur d'un département qui devait être pacifié après la guerre de Vendée.
Mouilleron-le-Captif | Dompierre-sur-Yon | La Ferrière | ||
Venansault Les Clouzeaux |
N | La Chaize-le-Vicomte | ||
O La Roche-sur-Yon E | ||||
S | ||||
Aubigny | Nesmy | Saint-Florent-des-Bois |
Climat
Le tableau suivant compare le climat à La Roche-sur-Yon (moyenne 2001-2008) avec la moyenne nationale et quelques villes symboliques :
Ville | Ensoleillement (h/an) |
Pluie (mm/an) |
---|---|---|
Médiane nationale | 1 852 | 835 |
La Roche-sur-Yon | 1 875 | 884,3 |
Paris | 1 662 | 637 |
Nice | 2 724 | 733 |
Strasbourg | 1 693 | 665 |
Brest | 1 530 | 1 210 |
Bordeaux | 2 035 | 944 |
Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevées de 1971 à 2000 (de 1991 à 2000 pour l'ensoleillement et depuis 1984 pour les records) à la station « La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs ».
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,4 | 2,5 | 3,5 | 5,1 | 8,8 | 11,3 | 13,5 | 13,1 | 11,1 | 8,5 | 4,8 | 3,2 | 7,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,1 | 9,8 | 12,1 | 14,3 | 18,6 | 22 | 24,7 | 24,8 | 22 | 17,2 | 11,8 | 9,1 | 16,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,9 1985 |
−15,4 1986 |
−10,3 2005 |
−4,1 1996 |
−0,3 1995 |
2,8 2006 |
7,2 1996 |
5,1 1986 |
3 2002 |
−4,5 1997 |
−7,1 1988 |
−9,5 1996 |
|
Record de chaleur (°C) date du record |
15,6 2007 |
20,6 1998 |
24,1 2005 |
28,1 2005 |
30,7 2001 |
35,3 2011 |
36,6 2006 |
38,7 2003 |
33,7 2005 |
29,9 2011 |
19,7 1988 |
18,7 2000 |
|
Ensoleillement (h) | 73 | 99 | 147 | 154 | 196 | 210 | 229 | 231 | 171 | 116 | 75 | 54 | 1 756 |
Précipitations (mm) | 94,4 | 77,4 | 54,1 | 76,4 | 51,1 | 49 | 45,3 | 40 | 85,2 | 102,2 | 110,5 | 98,7 | 884,3 |
Nombre de jours avec précipitations | 12 | 11 | 10 | 10 | 11 | 8 | 7 | 6 | 9 | 12 | 12 | 14 | 122 |
Les records de température maximale et minimale sur La Roche-sur-Yon sont respectivement de 38,7 °C le durant la canicule européenne de 2003 et de -−15,4 °C le . Des vents à 140 km/h ont été enregistrés le et 64,8 mm de précipitations sont tombés dans la seule journée du . La Roche-sur-Yon connaît 143 jours avec faible ensoleillement et 57 jours avec fort ensoleillement.
Ville fleurie et patrimoine végétal
La Roche-sur-Yon a été récompensée de trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris, ainsi que du « prix régional de l'arbre » des Pays de La Loire (palmarès 2010). La ville de La Roche-sur-Yon fait désormais le choix de mettre en place la gestion différenciée des espaces verts afin de réduire les pesticides…
La Roche-sur-Yon peut jouir d'un riche patrimoine végétal dans toute la ville. En effet, celle-ci est traversée par 8 cours d'eau dont les vallées sont aménagées pour les promeneurs. De plus, une multitude de parcs et jardins plus ou moins atypiques ponctuent l'aire urbaine yonnaise.
Avec près de 20 % de surface urbaine occupée par des espaces verts, la ville possède le plus grand nombre d'arbre par habitant de l'ouest de la France.
L'intégralité des données sur le patrimoine végétal yonnais sont disponibles sur le site internet de la ville.
Héraldique
Blasonnement : |
Victor Adolphe Malte-Brun rapportait, dans la France illustrée, tome V (1884), que « cette ville n'a pas d'armes officiellement reconnues ; mais un ancien sceau de ses archives représente : un écu chargé mi-partie d'une croix potencée, cantonnée de quatre croisettes, qui est de Jérusalem, et semée de fleurs de lis, au lambel de trois pendants, qui est d'Anjou ».
Démographie
La nouvelle ville que Napoléon Bonaparte avait créée en août 1804 et choisie pour accueillir 15 000 habitants se développa très lentement au XIXe siècle. Ceci est probablement dû au fait que la ville était artificielle et qu'elle n'avait aucun facteur d'attrait. L'arrivée du chemin de fer sous le Second Empire, en 1866, permit une croissance plus rapide. En effet la ville se trouve au croisement des voies Paris-Les Sables-d'Olonne et Nantes-Bordeaux.
Ce n'est qu'au début de la Troisième République (1870) que la ville dépassa les 10 000 habitants. La croissance démographique devint forte à la fin du XXe siècle, surtout après la fusion avec Saint-André-d'Ornay et le Bourg-sous-la-Roche en 1964, deux communes rurales qui apportèrent de l'espace à la ville pour son développement. Dans les années 1980, la population stagna autour de 45 000 habitants, mais depuis 1990, la population croît à nouveau fortement. En effet, La Roche-sur-Yon a enregistré une augmentation de 9 % de sa population entre 1990 et 1999, ce qui fait de cette ville la seconde des Pays de la Loire en termes de croissance démographique, juste après Nantes. La Roche-sur-Yon compte 89 000 habitants dans l'agglomération et 118 000 habitants dans l'aire urbaine.
Évolution démographique
En 2010, La Roche-sur-Yon comptait 52 664 habitants (soit une augmentation de 6 % par rapport à 1999). La commune occupait le 111e rang au niveau national, alors qu'elle était au 116e en 1999, et le 1er au niveau départemental sur 282 communes.
L'évolution du nombre d'habitants depuis 1793 est connue à travers les recensements de la population effectués à La Roche-sur-Yon depuis cette date. Au XXIe siècle, pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006[N 1],[6].
Le maximum de la population a été atteint en 2010 avec 52 664 habitants. Modèle:Démographie2
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (25,1 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (53,1 %) est supérieur au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 46,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 17,3 %, 15 à 29 ans = 24,4 %, 30 à 44 ans = 18,1 %, 45 à 59 ans = 21,5 %, plus de 60 ans = 18,8 %) ;
- 53,1 % de femmes (0 à 14 ans = 14,7 %, 15 à 29 ans = 20,9 %, 30 à 44 ans = 18,2 %, 45 à 59 ans = 21,2 %, plus de 60 ans = 25,1 %).
Autres éléments
Sexe | La Roche-sur-Yon (2005) |
France entière (2005) |
La Roche-sur-Yon (1999) |
---|---|---|---|
Hommes | |||
Femmes |
Tranches d'âge | La Roche-sur-Yon (2005) |
France entière (2005) |
La Roche-sur-Yon (1999) |
---|---|---|---|
Moins de 19 ans | |||
Entre 20 et 39 ans | |||
Entre 40 et 59 ans | |||
Plus de 60 ans |
Économie
Cette ville nouvelle, située en plein centre d'un département rural mais assez dynamique avec des entreprises renommées (Bénéteau, Cougnaud, Akena…), dispose désormais de parcs d'activités très importants. Ces derniers accueillent notamment les entreprises Rideau (vérandas) ou encore Accompanéo (transporteurs de personnels) D'autres grandes usines sont présentes notamment dans le domaine électrique et électronique, mais aussi de la fabrication de pneumatiques (Michelin depuis 1972). L'agglomération est desservie par le petit aéroport de La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs.
La majeure partie des emplois proviennent du secteur tertiaire, très développé, qui fait de La Roche-sur-Yon, une ville de services (santé, conseils, banque, commerces…)
Répartition des actifs (en 1999, d'après l'Insee) :
- Primaire : 0,9 % ;
- Secondaire (industrie + bâtiment) : 19,2 % ;
- Tertiaire (commerces + services) : 79,9 % ;
- Chômage : environ 8 % en 2001.
La Roche-sur-Yon est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie de la Vendée. Elle gère le port des Sables d’Olonne, de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, de pêche de l’île d’Yeu, de l’Herbaudière, de plaisance de l’île d’Yeu, des Brochets, de l’Epoids, des Champs et le Marché de Gros de Fruits et légumes des Sables-d’Olonne.
La ville accueille diverses boutiques et enseignes au sein de trois grands pôles commerciaux : le premier constitué par le centre-ville, le second au nord de la ville, « Les Flâneries », et le troisième au sud, « Sud Avenue ».
Administration
Le maire de la Roche-sur-Yon est Pierre Regnault depuis le mois d'avril 2004, à la suite de la démission de son prédécesseur Jacques Auxiette (PS), élu président de la région Pays de la Loire. Jacques Auxiette était maire depuis 1977.
En mars 2008, le maire sortant et sa liste (PS, Les Verts et PCF) se sont présentés au suffrage des yonnais. Face à lui, plusieurs listes se sont également présentées. À sa gauche une dissidence menée par Anita Charrieau (PCF, Lutte Ouvrière et citoyens). Deux candidats se sont disputés l'électorat centriste de François Bayrou, Raoul Mestre pour le MoDem et Laurent Caillaud (conseiller municipal sortant) sous la bannière Nouveau Centre. Enfin, Michèle Peltan, conseillère générale de la Vendée et conseillère régionale des Pays de la Loire se réclamant du Nouveau Centre, s'est présentée sous l'intitulé « La Roche gagnante », avec l'investiture de l'UMP et le soutien du PRV et du CNI.
Malgré ces listes d'opposition, le maire sortant a été réélu au premier tour avec 50,08 % des voix (10486 voix, 34 sièges) devant la candidate Nouveau Centre-UMP (27,11 %, 6 sièges)[9].
Voir aussi : liste des maires successifs.
Outre son rôle de chef-lieu du département de la Vendée, La Roche-sur-Yon est aussi chef-lieu de deux cantons :
- Le canton de La Roche-sur-Yon-Nord est formé d'une partie de La Roche-sur-Yon et des communes de Mouilleron-le-Captif et Venansault (29 789 habitants) ;
- Le canton de La Roche-sur-Yon-Sud est formé d'une partie de La Roche-sur-Yon et des communes d'Aubigny, Chaillé-sous-les-Ormeaux, La Chaize-le-Vicomte, Les Clouzeaux, Fougeré, Nesmy, Saint-Florent-des-Bois, Le Tablier et Thorigny (40 920 habitants).
Enseignement supérieur
La Roche-sur-Yon est le siège de plusieurs établissements d’enseignement supérieur :
- L’Université de Nantes pôle Yonnais qui propose notamment des Licences de Droit, LEA ainsi que d’autres formations. C’est une des seules universités en France proposant le diplôme LEA/Droit en licence bi-disciplinaire. Le site universitaire se situe à La Courtaisière, au Nord de La Roche-sur-Yon ;
- Un Institut universitaire de technologie ;
- L’École de gestion et de commerce (EGC) ;
- L’Institut de formation aux professionnels de santé (IFPS), qui est une école d’infirmières, d’aides soignantes, et d’ambulanciers (depuis 2010) ;
- L’Institut catholique d’arts et métiers (ICAM), qui est une école d’apprentissage (anciennement IST), et une école d’ingénieurs ;
- L’Institut catholique d’études supérieures (ICES) qui s’articule autour de sept filières d’enseignement universitaire classique : Biologie, Droit, Histoire, Langues, Lettres modernes et classiques, Mathématiques-Physique, Sciences politiques. Ces formations permettent d’obtenir les diplômes universitaires d’État dans le cadre de la réforme LMD.
- Supsocial, école d’assistants de service social, d’éducateurs spécialisés et propose aussi une préparation aux concours d’entrée.
Monuments et lieux touristiques
-
Église Saint-Louis et place Napoléon
-
Statue de Napoléon (1854)
-
Kiosque Place Napoléon
-
Église Saint-Louis
-
Église Saint-Louis
-
Théâtre
-
Ancien Hôpital
-
Le MYM (Musée Yonnais Municipal)
-
Hôtel des postes
-
Hôtel de préfecture de la Vendée
-
Église du Sacré-cœur
-
Maison Renaissance (1566)
-
Ancien Palais de Justice
-
Maison Gueffier
-
tribunal de commerce
-
médiathèque Benjamin Rabier
-
Passerelle de la gare
-
Passerelle de la gare
-
Gare de la Roche sur Yon
-
Abbaye des Fontenelles
Église Saint-Louis
Construite de 1817 à 1829 et consacrée sous le vocable de Saint-Louis en 1830, l'église est le plus vaste édifice religieux de la Vendée. Cet édifice construit sous le modèle des basiliques antiques présente une architecture extérieure néo-classique qui est mise en valeur par son retrait de la place Napoléon. L'intérieur de l'église, largement inspiré de l'église Saint-Philippe-du-Roule de Paris présente une architecture néo-grecque avec un péristyle de colonnes cannelées à chapiteaux corinthiens supportant une voute en berceaux peinte en trompe l'œil. L'église a pour particularité d'être la seule église républicaine de France avec:
- une peinture patriotique de la première guerre mondiale où le Christ est représenté
- un drapeau français sur le clocher nord
- le Christ représenté en « bleu blanc rouge » sur les vitraux
Le MYM (Musée Yonnais Municipal)
Construit en 1877, le musée de La Roche-sur-Yon dispose actuellement de collections axées autour des arts graphiques à partir du dix-neuvième siècle, de la photographie contemporaine, ou encore d'un fonds important axé autour de Benjamin Rabier. Un fonds intéressant d'estampes japonaises est également présent dans les collections du musées Les artistes présents dans les collections du musée sont notamment :
- Rodin
- Paul Baudry prix de Rome en 1850, natif de La Roche-sur-Yon
- Jeff Wall
- Andy Warhol
- Cindy Sherman
- Benjamin Rabier, l'illustre créateur de la vache qui rit et de Gédéon le canard, natif de La Roche-sur-Yon.
etc.
Vieille ville
Existant dès l'antiquité, le bourg de La Roche-sur-Yon se développe durant le Moyen Âge avec l'implantation d'un château fort. Son développement se poursuit jusqu'aux guerres de Vendée où le bourg est incendié.
Actuellement, il subsiste la place de la vieille horloge ainsi que les ruines du château fort yonnais
Hôtel des postes
Magnifique bâtiment d'architecture art-déco, il fut construit en 1930.
Les ornementations du bâtiment sont les mosaïques, et les bas-reliefs représentant le blason de la ville, l'aigle napoléonien ou encore le caducée.
Haras de la Vendée
Construit en 1843 dans un parc arboré de 4.5 hectares avec une architecture très ordonnée (néo-classique) le haras national et départemental de La Roche-sur-Yon a été conçu pour accueillir 200 étalons.
Actuellement il est voué au tourisme, à la reproduction équine, à la conservation des espèces…
Place Napoléon
Une des plus vastes esplanade publique de France, la place Napoléon a pour éléments importants:
- La grande auberge où fut reçu Napoléon le 8 août 1808
- L'hôtel de Ville (1810)
- La statue équestre de Napoléon (1854)
- L'église Saint-Louis (1829)
- L'ancien tribunal (1815)
- Le lycée impérial (1815)
En 2012 commencent les travaux de la Place Napoléon, de la rue Clemenceau et de la place de la Vendée qui étaient restés pratiquement inchangés depuis les années 1980. Ainsi la proposition du cabinet d'architectes Alexandre Chemetoff et Associés est retenue par la mairie en concertation avec les citoyens, commerçants... Les travaux devraient s'achever courant 2014 et aboutiront à un lieu laissant un large espace à la végétation et à l'eau. De plus, des animaux mécaniques réalisés par François Delarozière seront installés dans les bassins d'eau de la place et le public pourra interagir avec eux en permanence et gratuitement. Le projet a donné lieu à de nombreux commentaires principalement à cause de son coût mais aussi parce qu'il laisse moins de place au stationnement qui pourtant est relativement présent dans le centre ville de La Roche-sur-Yon avec les différents parkings implantés non loin de la Place Napoléon. Par ailleurs, un nouveau parking de 200 places sera implanté (ainsi que des commerces, logements...) sur le site de l'ancien collège Piobetta qui donne directement sur la place.
Maison Renaissance
Construite en 1566 et classée Monument historique en 1930, la maison Renaissance présente une architecture oscillant entre style médiéval et ornements issus de la Renaissance.Le lieu est désormais occupé par un centre d'interprétation sur l'histoire et l'urbanisme de La Roche-sur-Yon. Le fonds provenant de l'avionneur vendéen René Couzinet y est également exposé.
Abbaye des Fontenelles
Abbaye construite des 1210 en périphérie de la ville pour les vertus thermales du site.
Personnalités
- Paul Baudry (1828-1886), né à La Roche-sur-Yon, artiste peintre.
- Mme J. Colomb, née Joséphine-Blanche Bouchet à La Roche-sur-Yon en 1833 et morte en 1892. Elle est l'épouse de Colomb, Louis-Casimir, professeur et publiciste. Elle est une traductrice et écrivaine très prolifique (+ de 80 livres édités) et dont le plus beau titre de gloire est d’avoir mis en vers «Les Béatitudes » immortalisées par le génie de César Franck.
- Émile Faguet, né à La Roche-sur-Yon en 1847, écrivain et critique littéraire
- Raoul Ponchon (1848-1937), né à La Roche-sur-Yon, était un écrivain et poète français, auteur du célèbre quatrain : « Quand mon verre est vide / Je le plains / Quand mon verre est plein / Je le vide. »
- Benjamin Rabier, né en 1864 à La Roche-sur-Yon, peintre et dessinateur, célèbre pour le dessin de La Vache Qui Rit.
- Cécile Sauvage (1883-1927), poétesse, écrivaine, mère d'Olivier Messiaen. (une plaque est apposée sur sa maison natale place napoléon)
- Robert Sexé (1890-1986), né le à la Roche-sur-Yon, reporter, motocycliste, photographe, il réalisa, entre autres, le 1er tour du monde à moto en 1926.
- André-Charles Nauleau (1908-1986), né à La Roche-sur-Yon, peintre.
- Stéphane Piobetta, (1913-1944), né à La Roche-sur-Yon, agrégé de philosophie, Compagnon de la Libération.
- Jean Thibaudeau, né à La Roche-sur-Yon en 1935, écrivain
- Pierre Commoy, né à La Roche-sur-Yon en 1950, photographe, Pierre et Gilles.
- François Montmirel, né à La Roche-sur-Yon en 1963, éditeur et écrivain.
- Éric Chevillard, né le , écrivain.
- Dimitri Rataud, 1972, Acteur
- Alexandre Bonnet, 1986, footballeur au Toulouse Football Club (TFC).
- Nicolas Marroc, 1986, pilote automobile.
Culture
La Roche-sur-Yon dispose:
- D'une scène nationale (Le Grand'R)
- D'une scène de musiques actuelles (le fuzz'Yon)
- De nombreuses compagnies théâtrales (« Compagnie pirate », « Le menteur volontaire », « Grizzly Philibert Tambour »…)
- D'une salle modulable de 4000 places, le Vendespace
- De nombreux lieux d'expositions («Espace Cormier», « Espace Waldeck Rousseau », «Espace François Mitterrand », « Espace Robert Pineau », « MYM (Musée Yonnais Municipal) », « Hôtel du département », « Espace régional des Pays de La Loire », « Maison Renaissance », « Logis de Mirville », « Galerie Promenarts », « La Gaterie », « Original galerie »…)
- De deux cinémas (« Le cinéville » et « Le Concorde »)
- D'un conservatoire de musique de danse et d'art dramatique
- D'un réseau de quatre médiathèques (+ Arthotèques, ludothèques…)
- De nombreux espaces de spectacles (« Le Manège », « Le théâtre municipal », « Le Jardin de la mairie »; les deux salles du « Fuzz-Yon », « Le Jardin des Compagnons », « Les Oudairies »…)
- De nombreux festivals toute l'année : le Festival international du film de La Roche-sur-Yon anciennement « En route vers le monde » se déroule chaque année en octobre, depuis 2002 ; Le Festival Voisinages, spectacles variés en tout genre qui se déroulent dans la salle de spectacle le Manège, Scène nationale du Grand R, Le Festival « Les F'estivales »…
- La première « copy-party » légale en bibliothèque, visant à sensibiliser les utilisateurs aux questions de la copie privée s'est tenue à bibliothèque universitaire du pôle universitaire Yonnais le 7 mars 2012[10].
Transports
Transports routiers et autoroutiers
Le contournement de La Roche-sur-Yon est la rocade urbaine de la ville de La Roche-sur-Yon en Vendée.
Le réseau routier vendéen est organisé en étoile autour de la Roche-sur-Yon. La ville est donc au croisement de plusieurs routes départementales telles que :
- La RD 160 (ex-RN160) : Les Sables-d'Olonne ↔ La Roche-sur-Yon ↔ Cholet, Angers
- La RD 746 : Luçon ↔ La Roche-sur-Yon
- La RD 747 : La Tranche-sur-Mer ↔ La Roche-sur-Yon
- La RD 937 : Nantes ↔ La Roche-sur-Yon
- La RD 948 : Noirmoutier, Challans ↔ La Roche-sur-Yon ↔ Bournezeau, Fontenay-le-Comte
La Roche-sur-Yon est également desservie par une autoroute :
- La A87 (Angers ↔ La Roche-sur-Yon) : 30 La Roche-sur-Yon Est
L'autoroute française A87 est une autoroute des Pays de la Loire, gérée par les Autoroutes du sud de la France qui relie Angers et la Roche-sur-Yon via Cholet. Cette autoroute est raccordée à l'A11, permettant de relier directement Paris à la Vendée ce qui présente un avantage pour le tourisme et le dynamisme économique de ce département.
Radio Trafic FM (107.7FM) émet sur l'A87 secteur ASF. L'A87 fait partie du réseau ASF de la zone OUEST.
En 2008, cette autoroute a été prolongée par ASF de 16 km afin de servir de contournement sud à la ville[11]. Trois échangeurs ont alors été ajoutés:
32 La Roche-sur-Yon Sud, l'échangeur 31 La Roche-sur-Yon Centre et 33 La Roche-sur-Yon Ouest. Le contournement sud est une section de l'A87, longue de 16 km, ouverte à la circulation le 4 juillet 2008. Elle est gratuite pour les usagers qui l'empruntent et la vitesse y est limitée à 130 km/h.
Comme le contournement nord, cette rocade s’étend de l'échangeur de la Landette à l'ouest à l'échangeur de Château-Fromage à l'est.
- 30 La Roche-sur-Yon-Est : La Chaize-le-Vicomte
- 31 La Roche-sur-Yon-Centre : Luçon, La Rochelle, Bourg-sous-la-Roche, Saint-Florent-des-Bois
- 32 La Roche-sur-Yon-Sud : La Tranche-sur-Mer, Aubigny
- 33 La Roche-sur-Yon-Ouest : Les Clouzeaux, Saint-André-d'Ornay
Transports ferroviaires
Le chemin de fer arrive à la Roche-sur-Yon le avec l'ouverture de la ligne entre Nantes et la Roche-sur-Yon par la Compagnie d'Orléans. D'autres lignes sont ensuite ouvertes à destination des Sables-d'Olonne, de la Rochelle (, Compagnie des Charentes) et de Bordeaux. Ces lignes sont incorporées dans le réseau de l'État en 1878.
Actuellement, la Roche-sur-Yon est reliée par voies ferrées aux villes des Sables-d'Olonne, de Nantes, de la Rochelle et de Bressuire.
La voie ferrée reliant Nantes aux Sables-d'Olonne via la Roche-sur-Yon a été électrifiée par la SNCF et RFF[12]. Ces travaux ainsi que ceux de rénovation de la gare de la Roche-sur-Yon[13] ont permis l'arrivée du TGV fin 2008.
Transports aériens
La Roche-sur-Yon possède un petit aéroport civil, l'aéroport des Ajoncs ou René Couzinet, situé à environ 6 kilomètres au Nord-Est de la ville. On y accède par la route départementale 160 (ex-RN160). Cet aéroport comporte deux pistes dont une en bitume.
Caractéristiques
- Piste 1 : 10/28 - 1 540 mètres sur 30 m (bitume)
- Piste 2 : 10L/28R - 900 mètres sur 80 m (herbe)
Données
Année | 2001 | 2002 | 2003 | 2004 | 2005 | 2006 | 2007 |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Mouvements | 15 504 | 18 881 | 18 168 | 18 246 | 20 293 | 21 964 | 24 257 |
Transports en commun
Depuis le , le réseau STY a été rebaptisé Impulsyon.
Les principales nouveautés de ce réseau :
- Desserte des 15 communes de La Roche-sur-Yon Agglomération et non plus de la seule commune de La Roche-sur-Yon ;
- Desserte de nouveau quartier de La Roche-sur-Yon ;
- Amélioration de la desserte de la Gare SNCF (2 lignes y passent (3 et 6) au lieu de la ligne F qui y avait son terminus) ;
- Une tarification simplifiée ;
- Il n'y a cependant aucun transport d'organisé les dimanches et jours fériés.
La Compagnie des transports du Yonnais (CTY), filiale de Ratp Développement, est l'exploitant de l'ancien réseau STY depuis le 1er janvier 2010 en remplacement de Keolis La Roche-sur-Yon (anciennement nommé Société des transports yonnais). Le nom STY a été conservé comme marque commerciale de janvier à août 2010, avant d'être remplacé par « Impulsyon ».
Le réseau Impulsyon se compose de 9 lignes, 7 lignes régulières et 2 lignes scolaires. Le réseau se compose aussi d'un service sur réservation, d'un service de TPMR et de location de vélos.
Impulsyon est partenaire du service d'information multimodal Destineo, service mis en place par la région Pays de la Loire et cofinancé par l'Union européenne.
L'autorité organisatrice des transports est La Roche-sur-Yon Agglomération.
Historique
- 1976 : Le réseau de transports urbains de la Roche-sur-Yon est créé. Il comprend alors 3 lignes et emploie 33 personnes.
- 1977 : Le réseau est étendu avec la création de 3 nouvelles lignes.
- 1986 : Réorganisation du réseau lors de son 10e anniversaire.
- 1990 : Ouverture d'une septième ligne (ligne G).
- 1991 : La STY devient une filiale de Via-Transport.
- 1996 : Ouverture d'une huitième ligne (ligne H).
- 2004 : Les lignes A, B, C, D, F et G sont certifiées par l'AFNOR (NF 281, NF 286).
- 2005 : Ouverture d'une neuvième ligne (ligne J).
- 1er janvier 2010 : La ville de la Roche-sur-Yon choisit Ratp Développement pour gérer le réseau de la STY via la Compagnie des transports du Yonnais, en remplacement de Kéolis.
- 23 août 2010 : Un réseau réorganisé et étendu a été lancé le 23 août 2010 sous le nom commercial impulsyon [3].
Le réseau
Le réseau est maintenant composé de :
- 7 lignes régulières numérotées 1 à 7 desservant La Roche-sur-Yon,
- Les lignes 1 et 2, qui sont parmi les lignes principales, sont cadencées et relient La Roche-sur-Yon aux communes limitrophes de Aubigny, Dompierre-sur-Yon, Mouilleron-le-Captif et Venansault,
- Les 10 autres communes de l'agglomération sont desservies par le service sur réservation « Impulsyon + »,
- 2 lignes scolaires, les lignes E et H qui conservent leur ancien indice de ligne,
- 4 dessertes scolaires renforçant la desserte de certains établissements scolaires.
- Un service de soirée remplaçant le Hibus le vendredi et samedi de 21h30 à 0h30.
- Un service de transport de personnes à mobilité réduite nommé « HandiYon ».
- Un service de location de vélos nommé « Vélyon ».
Jumelages
- Gummersbach (Allemagne) depuis 1968
- Coleraine (Royaume-Uni) depuis 1980
- Cáceres (Espagne) depuis 1982
- Drummondville (Canada) depuis 1982
- Tizi-Ouzou (Algérie) depuis 1989
- Burg (Allemagne) depuis 2005
Pactes d'amitié
Projets de développement locaux
Voir aussi
Articles connexes
- Destineo site de recherche d'itinéraire transport en commun en région Pays de la Loire
- Liste des communes de la Vendée
- Liste des maires de La Roche-sur-Yon
- Église Saint-Louis de la Roche-sur-Yon
- HOGLY Hockey Club Yonnais
Notes et références
Notes
- Par convention, afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de 5 ans, les recensements correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc. ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee sont présentés.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 22/07/2008.
- Henry BRUNETIERE, La ville de Napoléon - La Roche-sur-Yon (1804-1870). Éditions d'Orbestier, 2006
- Réalisations artistiques depuis 1945 dans l'espace public de La Roche-sur-Yon, William Chevillon, 2012
- « Normales - Station de La Roche-sur-Yon » sur le site officiel de Météo-France, consulté le 8 juillet 2009
- « Records à La Roche-sur-Yon » sur lameteo.org, consulté le 8 juillet 2009
- « Calendrier de recensement », sur insee.fr (consulté le )
- Erreur de référence : Balise
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesInsee
- « Résultats du recensement de la population de la Vendée en 2007 », sur insee.fr (consulté le )
- Résultats des élections municipales à la Roche-sur-Yon sur le site du ministère de l'Intérieur
- France Info. Avec France Bleu Loire Océan, France Bleue, Pays d'Auvergne et France Bleu Picardie, 04/03/2012
- « Ouest », sur ASF (consulté le )
- Site internet de RFF concernant l'électrification de la ligne Nantes - Les Sables-d'Olonne
- Site internet concernant la rénovation de la gare