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Version du 26 août 2012 à 19:11

Nathalie Kosciusko-Morizet
Illustration.
Nathalie Kosciusko-Morizet
lors d'un meeting UMP, en mars 2010.
Fonctions
Députée de la 4e circonscription de l'Essonne
En fonction depuis le
(12 ans, 2 mois et 12 jours)
Réélection 17 juin 2012
Législature XIIIe et XIVe
Prédécesseur Guy Malherbe
Élection 16 juin 2002
Réélection 17 juin 2007
Législature XIIe et XIIIe
Prédécesseur Pierre-André Wiltzer
Successeur Guy Malherbe
Ministre de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement François Fillon III
Prédécesseur Jean-Louis Borloo
Successeur François Fillon
Secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement François Fillon II
Prédécesseur Éric Besson
Successeur Éric Besson
Secrétaire d'État chargée de l'Écologie
Président Nicolas Sarkozy
Gouvernement François Fillon II
Prédécesseur poste crée
Successeur Chantal Jouanno
Biographie
Lieu de naissance XVe arrondissement de Paris (France)
Nationalité Française
Parti politique UMP
Père François Kosciusko-Morizet
Diplômée de École polytechnique, AgroParisTech, Collège des Ingénieurs
Profession Ingénieur

Nathalie Kosciusko-Morizet (surnommée NKM), née le à Paris, est une femme politique française.

Députée de la quatrième circonscription de l'Essonne à partir de 2002, elle occupe les fonctions de secrétaire d'État chargée de l'Écologie, puis chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique, au sein du gouvernement François Fillon II (2007-2010). Secrétaire générale adjointe de l'UMP et maire de Longjumeau, elle est nommée ministre de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement le .

En février 2012, elle est choisie par Nicolas Sarkozy pour être la porte-parole de sa campagne pour l'élection présidentielle. De ce fait, elle quitte son portefeuille ministériel. Le 21 juillet 2012, elle annonce être candidate à la présidence de l'UMP.

Origines familiales et études

Nathalie Kosciusko-Morizet est issue d'une famille de personnalités politiques françaises par son arrière-grand-père André Morizet, longtemps maire de Boulogne-Billancourt, son grand-père Jacques, ambassadeur de France et maire de Saint-Nom-la-Bretèche et son père, François, maire de Sèvres. Selon le généalogiste Jean-Louis Beaucarnot, elle serait une descendante du côté de son père d'Abraham Salomon Kosciusko, né en 1821 à Suwałki, dans la partie de la Pologne alors sous administration russe, tout près de l'actuelle frontière lituanienne. Arrivé en France sous Louis-Philippe, cet ancêtre avéré n’était qu’un très modeste marchand juif, sans parenté avec le célèbre général polonais et américain Tadeusz Kościuszko (1746-1817) ; sa femme, Janette Marx, juive de Lorraine, était « marchande à la toilette », autrement dit revendeuse de vêtements d’occasion. De par sa mère Bénédicte Treuille, descendante d'une vieille famille bourgeoise engagée dans la vie économique et politique de la région de Châtellerault depuis plusieurs générations[1], elle serait une lointaine descendante de Lucrèce Borgia[2]. Elle est la sœur de Pierre Kosciusko-Morizet, qui est entrepreneur dans les nouvelles technologies et d'Étienne Kosciusko-Morizet, décédé à 25 ans le 22 mai 2012[3].

Elle effectue sa scolarité au lycée de Sèvres, au lycée catholique Daniélou de Rueil-Malmaison, puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Polytechnicienne (X-1992), elle a choisi la biologie comme spécialité, et l'École nationale du génie rural, des eaux et des forêts (ENGREF) comme école d'application, au sein du corps des ingénieurs du génie rural, des eaux et des forêts. Elle est également titulaire d'un MBA du Collège des ingénieurs (promotion 1997).

Vie privée

Nathalie Kosciusko-Morizet est mariée, depuis le , à Jean-Pierre Philippe, professeur au Conservatoire national des arts et métiers de Paris[4]. Tout d'abord classé à gauche[5], celui-ci a été maire de Villefontaine (Isère) sous la bannière du Parti socialiste (de 1989 à 1995), puis s'est présenté en 2008 à Longpont-sur-Orge, investi par l'UMP[6]. Ils ont deux fils, nés en 2005 et 2009[7].

Carrière professionnelle

De 1997 à 1999, elle est agent contractuel, détachée à la direction de la prévision au ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie.

De 1999 à 2001, elle est conseillère commerciale, responsable de la cellule environnement à la direction des relations économiques extérieures (Dree) au ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie avant de devenir chargée de mission auprès du directeur de la stratégie d'Alstom.

À partir de mai 2002, elle entre au cabinet de Jean-Pierre Raffarin comme conseiller technique pour l'écologie et le développement durable.

Carrière politique

Proche du président de la République Jacques Chirac, elle est placée lors des élections législatives de suppléante de Pierre-André Wiltzer (UDF), qui doit être nommé membre du gouvernement (au ministère de la Coopération et de la Francophonie dans le gouvernement Jean-Pierre Raffarin 2) après la victoire de la droite : elle est ainsi assurée d'être députée et devient la benjamine de l'Assemblée nationale.

Elle a été le rapporteuse de la charte de l'environnement et de la mission d'information sur l'effet de serre. Elle s'est ainsi distinguée localement dans la défense de l'environnement (nuisances aériennes, projets d'infrastructures) et de l'emploi (Alcatel, Thales, Sanofi). Comme parlementaire, elle s'est aussi distinguée par son activisme en faveur de la défense du consommateur, notamment dans la lutte contre les frais bancaires abusifs imposés par les banques.

Membre de l'UMP, elle est d'abord responsable de l'environnement à la direction des études puis présidente du groupe parlementaire santé et environnement à partir de 2002. Depuis 2003, elle est secrétaire nationale chargée de l'écologie.

Depuis 2004, elle est présidente de l'association Consodurable et administratrice de la Fondation Charles-de-Gaulle.

Depuis les élections régionales de mars 2004, elle est conseillère régionale (UMP), pour la région Île-de-France. Son absentéisme est remarqué par les médias (proche de 100 % d'absences en 2005[8] ; 75% d'absences en 2009[9],[10]).

Elle est élue maire de Longjumeau en mars 2007[11] et lors des élections législatives de juin suivant, elle obtient 46,97 % des voix au premier tour face à 14 autres candidats dont Olivier Thomas (25,04 %), son concurrent socialiste pour le second tour ; au second tour, elle est élue députée avec 56,09 % des voix face à Olivier Thomas.

Nathalie Kosciusko-Morizet, en juin 2006.
Nathalie Kosciusko-Morizet, en août 2008.

Le , elle est nommée secrétaire d'État auprès de Jean-Louis Borloo, le ministre français de l'Écologie, chargée de l'Écologie dans le second gouvernement Fillon. C'est son suppléant Guy Malherbe, maire d'Épinay-sur-Orge qui devient donc le député de la 4e circonscription de l'Essonne.

La liste qu'elle conduit remporte l'élection municipale de à Longjumeau, avec 39 voix d'avance sur la liste adverse[12].

Le , Nathalie Kosciusko-Morizet, qui venait d'être nommée secrétaire générale adjointe de l'UMP, laisse voter à l'Assemblée nationale un amendement déposé par André Chassaigne et qui précédemment avait été formulé de manière identique par Louis Giscard d'Estaing (député UMP du Puy-de-Dôme), destiné à limiter la culture des OGM. Elle est « recadrée » par le Premier ministre François Fillon et stigmatise, dans une interview au Monde datée du 10 avril, le groupe parlementaire UMP, son président, Jean-François Copé, et son ministre de tutelle, Jean-Louis Borloo, dénonçant « un concours de lâcheté et d'inélégance entre Jean-François Copé, qui essaie de détourner l'attention pour masquer ses propres difficultés au sein du groupe, et Jean-Louis Borloo, qui se contente d'assurer le minimum[13] ». Ayant rompu les règles de solidarité au sein du gouvernement, elle est sommée de s'excuser par le Premier ministre, ce qu'elle fait dans un communiqué. Cette affaire a été notée par la presse soit comme un acte de courage[N 1], soit comme un premier accroc dans une carrière politique annoncée comme prometteuse[réf. souhaitée]. Selon un sondage IFOP[14], près de huit Français sur dix donnent raison à la secrétaire d'État à l'Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet sur la question des OGM.

Le , elle est nommée secrétaire d'État à l'économie numérique, prenant ainsi la succession d'Éric Besson, promu ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire. Dès sa prise de fonction, elle décide de rééquilibrer l’action du gouvernement en développant le soutien aux usages et aux contenus, l’accès à Internet et le développement des infrastructures étant traités sans être prioritaires par rapport au développement de l’économie des services numériques[15]. Ce faisant, elle met en œuvre, mais en l’interprétant au bénéfice des usages et des contenus, le plan France numérique 2012[16] qui avait été adopté par le Gouvernement quelques semaines avant sa prise de fonction.

Théorisant la nécessité de pratiquer le numérique pour le comprendre, elle devient rapidement la femme politique française la plus suivie sur Twitter avec, au , 64 000 followers[17]. Sur le volet prospectif de son portefeuille, elle décide de ramener la réflexion à un horizon plus proche, en l’appuyant sur des faits de société, d’ailleurs souvent liés au numérique, comme le droit à l’oubli ou le lien entre numérique et écologie à travers les greentechs[18].

Elle obtient des arbitrages favorables au numérique sur le plan de relance (50 millions d’euros)[19], puis sur les investissements d’avenir (4,5 milliards d’euros)[20].

Son intérêt pour les usages et le développement des contenus ne la pousse pas pour autant à prendre position sur la loi HADOPI, ce qui lui est reproché par de nombreux acteurs du numérique, même si ses prises de position sur « l’après-Hadopi » semblent plus proches des acteurs du numérique que celles défendues par le ministère de la culture[21].

La secrétaire d’état tente de populariser des thèmes jusqu’ici vus comme essentiellement techniques, ce qui déclenche plusieurs polémiques sur Internet.

Elle est la première ministre française à s’impliquer directement dans le débat sur la gouvernance de l’internet, en lui donnant une orientation très spécifique, à travers la défense à l’international du droit à l’oubli[22].

Le lancement d’une série d’ateliers de formation à destination des élus pour les rapprocher des internautes, les ateliers de l’élu 2.0[23], est plutôt bien accueilli. En revanche, les consultations[24], puis le rapport public[25][26] qu’elle remet au parlement sur la neutralité du net et qui fuite sur le site « écrans » le 2 août 2010 déclenchent de vifs débats avec certains acteurs du numérique, alors que la loi LOPPSI 2 est parallèlement discutée au parlement. La secrétaire d’État popularise d’autres sujets « numériques », vus jusqu’ici comme ardus pour le grand public, tels que le serious game[27], l'internet mobile[28] ou le cloud computing, qui se voient financés dans le cadre du plan de relance puis des investissements d’avenir. Une de ses dernières interventions en tant que secrétaire d'État à la prospective et au développement de l’économie numérique, sur France 24 en marge du forum d’Avignon le 8 novembre 2010, aborde sous forme de bilan tous les thèmes de son action[29].

Pour les élections régionales des 14 et en Île-de-France, elle est choisie comme tête de liste dans l'Essonne de la majorité présidentielle (menée sur le plan régional, et dans les Yvelines, par Valérie Pécresse).

Lors de la formation du gouvernement François Fillon III, le , NKM est promue au poste de ministre de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, remplaçant, entre autres, son ex-ministre de tutelle, Jean-Louis Borloo. Deux jours plus tard, elle démissionne de son poste de conseillère régionale d'Île-de-France, laissant la place au huitième de liste, Mustapha Saadi (Nouveau Centre)[30].

Le , Nicolas Sarkozy la choisit comme porte-parole de sa campagne à l'élection présidentielle de 2012[31] ; elle démissionne de son poste de ministre de l'Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement le 22 février[32],[33].

Elle retrouve son mandat de députée le 23 mars 2012 mais ne siège pas en raison de la suspension des travaux de l'Assemblée nationale du 7 mars 2012 jusqu'aux élections législatives de juin 2012.

De par les positions de son oncle Antoine Treuille, frère de sa mère, elle se trouve dans une situation familiale et politique quelque peu délicate à propos des élections législatives de 2012 avec le vote des Français de l'étranger[34].

Le , Nathalie Kosciusko-Morizet est réélue député de la quatrième circonscription de l'Essonne à 51,48 % face à son rival socialiste Olivier Thomas[35].

En juillet 2012, elle lance son propre mouvement « La France droite »[36] et annonce sa candidature à la présidence de l'UMP[37].

Détail des mandats et fonctions

Fonctions politiques

  • depuis le  : poste de secrétaire général adjoint de l'UMP (chargée de la protection des Français depuis mars 2009[38])
  • Déléguée générale à l'écologie au sein de l'UMP
  • Secrétaire nationale de l'UMP, chargée de l'environnement (2002-2006) puis déléguée générale à l'écologie (2006-2007)
  • Secrétaire exécutive du conseil du développement durable auprès de l'UMP (2003-2007)
  • Ancienne responsable de l'environnement à la direction des études du RPR
  • Déléguée UMP de la quatrième circonscription de l'Essonne
  • Depuis février 2012 : porte-parole de la campagne de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle

Fonctions électives locales

Conseil régional
  •  : conseillère régionale d'Île-de-France
Mandat municipal

Fonctions parlementaires

  •  : députée de la quatrième circonscription de l'Essonne, en remplacement de Pierre-André Wiltzer ; membre de la Commission des lois et présidente du Groupe d'études Santé et environnement de l'Assemblée nationale.
  •  : députée de la quatrième circonscription de l'Essonne.
  • -  : députée de la quatrième circonscription de l'Essonne, sans pour autant siéger en raison de la suspension des travaux de l'Assemblée depuis le 7 mars 2012.
  • Depuis le  : députée de la quatrième circonscription de l'Essonne[39].

Fonctions ministérielles

Publications

  • Les Petits Matins, essai sur la pensée politique, avec Jérôme Peyrat, Ramsay, avril 2002 (ISBN 2841146138)
  • Rapport relatif à la Charte de l'environnement, édit. La Documentation française, coll. « Documents législatifs », 1er mai 2004 (ISBN 211118375X et 978-2111183759)
  • L'homme saura-t-il réparer ce qu'il détruit ?, avec Dominique Voynet, Forum Libération de Grenoble, sur CD audio chez Frémeaux & Associés, 2008
  • Tu viens ?, Gallimard, coll. « Hors série Connaissance », 2009 (ISBN 9782070127771)
  • Le Front antinational, Éditions du Moment, 2011 (ISBN 9782354171346)

Notes et références

Notes

  1. Gérard Carreyrou ou encore Isabelle Alonso dans France Soir[Quand ?]

Références

  1. « Drôles d'amis : Nathalie Kosciusko-Morizet - Michel Maffesoli », L'Express, 6 août 2009.
  2. NKM et les Borgia sur lepoint.fr le 15 décembre 2011
  3. « Tours. Le frère cadet de Nathalie Kosciusko-Morizet s'est suicidé », letelegramme.com, 24 mai 2012.
  4. «Décalée très décidée» portrait par Nathalie Raulin Libération le 31 octobre 2009
  5. « Nathalie Kosciusko-Morizet, l'atout chic du président » par Vanessa Schneider sur lemonde.fr du 4 février 2012.
  6. La candidature atypique du mari de la ministre Le Parisien, 17 janvier2008
  7. NKM maman avant d’être ministre Sur le site parismatch.com
  8. « Des conseillers régionaux franciliens peu assidus » par Éric Hacquemand sur leparisien.fr du 29 décembre 2009
  9. « Qui sont les absentéistes du conseil régional d'Île-de-France ? » par Éric Nunès sur lemonde.fr du 4 février 2011
  10. « Kosciusko-Morizet et Lefebvre champions de l'absentéisme » sur tempsreel.nouvelobs.com du 29 décembre 2009
  11. Élection comme maire sur le site Le point
  12. Résultats sur le site du ministère de l'Intérieur
  13. OGM : Kosciusko-Morizet sème le trouble, Le Figaro, 9 avril 2008
  14. publié par le Journal du Dimanche, 12 avril 2008
  15. ' Transformer l'innovation en outil de croissance ' Sur le site 01net.com du 5 mars 2009
  16. France numérique 2012 - Plan de développement de l'économie numérique Sur le site ladocumentationfrancaise.fr
  17. 12 ministres sur Twitter : de + en + nombreux mais pas encore très bavards Sur le site pargatruk.wordpress.com du 1er mars 2011
  18. Nathalie Kosciusko-Morizet et Hugues de Jouvenel débattent des avenirs possibles pour la France de l'après-crise Sur le site latribune.fr du 10 janvier 2010
  19. 50 millions pour relancer le jeu et le web 2.0 Sur le site cnetfrance.fr
  20. Investissements d’avenir : lancement de la consultation publique sur les services numériques Sur le site gouvernement.fr du 9 juin 2010
  21. NKM : «Je suis déjà dans l'après-Hadopi» Sur le site lefigaro.fr
  22. [PDF] FORUM SUR LA GOUVERNANCE DE L’INTERNET - VILNIUS, 14-17 SEPTEMBRE 2010 Sur le site ambafrance-lt.org
  23. NKM veut des élus 2.0 face aux citoyens 2.0 Sur le site lemondeinformatique.fr
  24. Neutralité du Net : la consultation publique pose le problème mais apporte peu de réponses Sur le site zdnet.fr
  25. Neutralité du net : le rapport NKM en intégralité Sur le site ecrans.fr
  26. Tribune 14/08/2010 à 10h02 NKM : « La neutralité du Net est un principe plutôt qu'un credo » Sur le site eco.rue89.com
  27. Le coup de pouce de NKM aux "serious games" Sur le site lexpress.fr
  28. Kosciusko-Morizet soutient l'Internet mobile européen Sur le site journaldunet.com du 10 novembre 2010
  29. Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la prospective et du développement de l'économie numérique Sur le site france24.com
  30. NKM quitte le conseil régional Sur le site leparisien.fr du 16 novembre 2010 - Consulté le 21/11/2010.
  31. Nathalie Kosciusko-Morizet, la voix du candidat, Le Figaro, 15 février 2012.
  32. « Nathalie Kosciusko-Morizet démissionne pour rejoindre la campagne de Sarkozy », 20minutes.fr,
  33. AFP, « NKM quitte le gouvernement », Lefigaro.fr,
  34. « NKM et l'embarrassant oncle d'Amérique », Le Nouvel Observateur, le 19 mars 2012
  35. Résultats de l'élection législative 2012 dans la quatrième circonscription de l'Essonne sur le site fu ministère de l'Intérieur. Consulté le 24/06/2012.
  36. Nathalie Kosciusko-Morizet : "Je lance La France droite", L'Express, 17 juillet 2012.
  37. NKM se déclare candidate à la présidence de l'UMP, Le Figaro, 21 juillet 2012.
  38. L'UMP présente une nouvelle direction resserrée, avec Douillet et Montagné, Agence France-Presse, 3 mars 2009.
  39. Fiche de Nathalie Kosciusko-Morizet pour la quatorzième législature sur le site de l'Assemblée nationale. Consulté le 24/06/2012.

Annexes

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Article connexe

Liens externes