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Le '''rock''' est un [[genre musical]] qui mêle le [[blues]] noir, et le [[rythm and blues]] en premier lieu, avec une culture blanche marquée par la [[musique country]] notamment. Le rock devient par la suite une véritable philosophie avec sa cohorte culturelle, du [[cinéma]] aux [[bande dessinée|bandes dessinées]] en passant par la mode vestimentaire. {{musique Rock}}Le rock dépasse très largement le cadre purement musical, et tout, ou presque, peut être rock !

== Historique ==

=== La naissance (américaine) du rock ===
[[Image:Elvis Presley 1970.jpg|145px|left|thumb|Elvis Presley]]

Le rock'n'roll est un enfant du [[blues]], le [[rythme]] ternaire ([[Division du temps (solfège)|division du temps]]) de celui-ci étant remplacé par un rythme [[Division du temps (solfège)|binaire]] et le [[tempo]] devenant plus soutenu. Il convient ici de distinguer [[rhythm and blues]] et [[rock'n'roll]], même si la tâche apparaît délicate de la fin des [[années 1940]] à [[1954]]. Citons ici [[Fats Domino]] qui fait du rock'n'roll dès [[1948]] sans le savoir. [[Ike Turner]] prétend lui aussi avoir interprêté le premier rock ''Rocket 88'' en 1951.

En [[1951]], le [[disc jockey]] [[Alan Freed]] anime une émission appelée ''[[Moondog's Rock And Roll Party]]''. C'est la première diffusion du rock'n'roll à une large audience. C'est ce DJ radio qui trouve son nom au Rock'n'Roll en reprenant une expression que l'on retrouve depuis les années [[1940]] dans certaines chansons de [[rhythm and blues]] et qui signifie en argot « faire l'amour ». [[Alan Freed]] est le premier DJ blanc à soutenir avec force des artistes noirs jouant la « musique du diable ». La bonne société américaine en fera son « ennemi numéro 1 » et aura d'ailleurs sa peau en [[1959]].

Le terme ''[[rockabilly]]'' désigne la première forme historiquement identifiable de rock'n'roll, il s'agit essentiellement d'un croisement de [[rhythm and blues]] et de [[musique country]]. [[Elvis Presley]] et [[Bill Haley]] sont deux précurseurs chez les chanteurs blancs. [[Elvis Presley]], surnommé ''The King'' (« Le Roi du Rock and Roll »), enregistre ce qui est probablement l'un des tout premiers morceaux de rockabilly avec ''That's Alright Mama'' et collectionnera très rapidement les succès, mais c'est [[Bill Haley]] and His Comets qui signent officiellement l'acte de naissance du rock'n'roll pour de nombreux historiens avec le titre ''[[Rock Around the Clock]]'' (une [[reprise]] de Sonny Dae and His Knights, 1952). Ce premier tube de l'histoire du « rock » qui figure au générique du film ''[[Graine de violence]]'' est N°1 des hit-parades aux USA (8 semaines) et au Royaume-Uni (3 semaines) en 1955. [[Buddy Holly]], [[Jerry Lee Lewis]], [[Eddie Cochran]] et autres [[Gene Vincent]] s'engouffrent dans la brèche. Les musiciens noirs restent très actifs avec [[Chuck Berry]] tout particulièrement. N'oublions pas [[Little Richard]], qui sur son premier [[45 tours]], signe quatre des plus grands [[standard]]s de rock, à savoir : ''[[Tutti Frutti]]'', ''[[Long Tall Sally]]'', ''[[Rip It Up]]'' et ''[[Ready Teddy]]''.

Le rock'n'roll provoque un mouvement de rejet de la bonne société américaine qui croit avoir triomphé de ce mouvement en [[1959]]. On annonce alors la mort du rock et il est vrai qu'aux États-Unis, le mouvement semble s'essoufler. Les chanteurs sont désormais très consensuels et Elvis est institutionnalisé, cantonné aux ballades. Le rock'n'roll continue cependant de se développer sous des formes plus locales et confidentielles comme la [[surf music]] de la côte ouest ou le rock garage au nord.

Vers la fin des [[années 1950]], et le début des [[années 1960]], on entend de plus en plus de titres de rock'n'roll plus "sages", plus "doux" et qui vont engendrer la [[musique pop]] : [[The Everly Brothers]] - ''All I Have To Do Is Dream'' (1958), [[Johnny Burnette]] [[:en:Johnny Burnette|{{en}}]]- '' Dreamin' et You're Sixteen (composée par les [[Frères Sherman]]) '' (1960) [[Del Shannon]] [[:en:Del Shannon|{{en}}]] - ''Runaway'' ([[:en:Runaway (Del Shannon song)|{{en}}]]) (1961), [[Brian Hyland]] [[:en:Brian Hyland|{{en}}]] - ''Sealed With A Kiss '' (1962), [[Lee Dorsey]] [[:en:Lee Dorsey|{{en}}]] - '' Ya ya '' (1962) , etc.
Le "pur" rock'n'roll/rockabilly tend à disparaître, hormis quelques rares titres comme [[Roy Orbison]] - (Oh !) Pretty Woman (1964) et Sam The Sam & The Pharaos - Wooly Bully (1965)...
Emerge alors ce qu'on n'appelle plus rock'n'roll mais tout simplement "rock" :
[[The Kingsmen]] - Louie Louie (1963), [[The Kinks]] - All Day And All Of The Night (1964, Royaume-Uni) , [[Them]] - Baby Please Don't Go (1965), Gloria (1965) , [[Canned Heat]] - On The Road Again , [[The Troggs]] - Wild Thing , [[Jefferson Airplane]] - Somebody to love (1967) , etc.

=== La renaissance (britannique) du rock ===
[[Image:Beatles.jpg|left|210px|thumb|The Beatles]]

La réplique ne vient pas d'Amérique mais du [[Royaume-Uni]]. Les premiers émules d'Elvis apparaissent comme [[Cliff Richard]] et de petites formations se multiplient pour les imiter. Au passage cependant, le rock'n'roll s'acclimate et les [[Shadows]] qui accompagnent Cliff Richards initient l'archétype de la formation rock telle qu'elle sera reprise aussi bien en Europe que de l'autre côté de l'Atlantique : la [[contrebasse]] disparaît au profit de la basse électrique, deux guitaristes se répartissent les tâches de la rythmique pour le premier et des ''chorus'' pour le second. Les groupes britanniques s'éloignent ainsi rapidement de leur modèle américain pour créer une musique originale que les francophones appellent le [[rock anglais|« rock anglais »]]. Les [[Beatles]] accentuent le travail sur la [[mélodie]] et les [[harmonie]]s vocales et donnent naissance à la [[musique pop]] tandis que le mouvement du ''british [[blues]] boom'' retourne aux racines blues, privilégiant des rythmes syncopés et des sonorités plus agressives. Les [[Rolling Stones]] émergent comme le fer de lance de ce rock britannique. Des branches parallèles se multiplient alors que des groupes tels que les [[The Who|Who]] et les [[Kinks]] développent le mouvement [[mod (mouvement)|mod]], tandis que les [[Animals]] ou les [[Yardbirds]] créent un blues rock britannique. La richesse de la création britannique est fleurissante et impose définitivement au niveau mondial un genre musical qui devient emblématique de la seconde moitié du {{XXe siècle}}. Le rock se ramifie alors presque à l'infini en explorant des niches apparemment improbables. Le [[jazz-rock]], pour ne citer que lui, naît de cette recherche entamée dès les [[années 1960]].

Si les [[années 1950]] proposaient une scène commune pour artistes noirs et blancs, les [[années 1960]] mettent fin à cette mixité. La scène rock britannique est logiquement blanche, tandis que les noirs américains adaptent à leur sauce la redécouverte britannique de l'importance de la mélodie. S'appuyant sur les anciennes structures [[ségrégation]]nistes, ils mettent au monde une branche importante de l'arbre généalogique du rock englobant ce qu'il convient de qualifier de « dance music », du [[funk]] au [[rap]] en passant par la [[pop (musique)|pop]] de la [[Tamla]] des [[années 1960]]. Conséquence de ce cloisonnement, les rockers noirs sont rares dans l'autre grande famille du rock post-Beatles. Citons toutefois [[Jimi Hendrix]], [[guitariste]] de génie, qui électrifie son blues et ouvre au rock (blanc) d'autres univers.

=== Le rock devient contestataire ===
[[Image:Joan Baez Bob Dylan.jpg|thumb|right|[[Bob Dylan]] et [[Joan Baez]] en [[1963]]]]
Si le rock'n'roll a toujours été le fait d'une jeunesse en rupture avec le carcan moral de ses ainés, les textes jusqu'aux années 1960 étaient souvent confinés aux thèmes festifs éventuellement chargés de connotation sexuelles. C'est avec [[Bob Dylan]] que les paroles prennent une tournure à la fois plus poétique et plus engagée. Sous l'influence de la poésie classique (en particulier [[Dylan Thomas]] auquel il emprunte son prénom) et du mouvement folk ([[Woodie Guthrie]] puis [[Joan Baez]]), celui-ci devient le chroniqueur de sa génération, abordant sans complaisance des thèmes politiques ou sociaux. Son impact sera décisif des deux côtés de l'Atlantique. Aux États-Unis, les ''protest songs'' expriment le désaveu de la guerre froide ou de l'engagement au Vietnam tandis qu'au Royaume-Uni, [[John Lennon]] livre des textes plus personnels et recherchés. Le rock devient à la fois un mouvement artistique qui gagne une caution intellectuelle et un courant de contre-culture. Cette tendance connaît son apogée avec les grands festivals de la fin des années 1960 : à [[Festival de Woodstock|Woodstock]], à [[Altamont]] ou sur l'[[Festival de l'île de Wight|Île de Wight]] des centaines de milliers de jeunes se rassemblent pour partager à la fois une passion pour la musique mais également une vision du monde.

=== Le psychédélisme ===
[[Image:Peace and love.jpg|right|200px]]
À partir du milieu des années 1960, la consommation de psychotropes qui devient courante dans les milieux intellectuels (en particulier le LSD) marque la création artistique de son empreinte. Alors que l'[[acid rock]] naît sur la côte ouest des États-Unis d'Amérique avec le [[Grateful Dead]], le [[psychédélisme]] fait également son apparition au Royaume-Uni à travers les premiers concerts des [[Pink Floyd]], la formation de [[Cream]] ou encore l'album ''Revolver'' des Beatles. Mais c'est avec l'album ''Sergeant Pepper's Lonely Heart Club Band'' de ces derniers que cette influence devient manifeste pour le grand public. Cette tendance initie le retour en force des groupes américains tels que les [[Byrds]], les [[Doors]] ou [[Jefferson Airplane]]. L'oeil du cyclone se situe néanmoins toujours au Royaume-Uni. De nouveaux courants voient le jour avec notamment le [[rock progressif]] de [[King Crimson]], [[Genesis (groupe)|Genesis]] ou [[Yes]] qui introduit des éléments issus du jazz et de la musique classique ou le heavy metal dont les prémices se font sentir dès 1967 à travers les riffs de guitare saturés de [[Cream]] ou [[Jimi Hendrix]] et qui naîtra véritablement avec [[Led Zeppelin]], [[Deep Purple]] et [[Black Sabbath]].

Le rock de la fin des [[années 1960]] se politise et le ''[[Flower Power]]'' est l'expression pacifique du rock planant qui caractérise le passage entre l'album ''[[Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band]]'' des [[Beatles]] ([[1967]]) et les premiers riffs [[punk]] de [[1975]]. Le passage aux années 1970 se caractérise par la mort prématurée de nombreuses stars du rock, Jimi Hendrix, Brian Jones, Janis Joplin, Jim Morrisson, etc. la plupart tout juste agés de 27 ans.

== Texte de sous-titre ===== Rock et folk ===
Dans la deuxième moitié des années 60, apparait la fusion du rock et du folk avec Dylan, les Byrds, Horslips, Fairport Convention, Steeleye Span et [[Alan Stivell]]. Ce dernier peut être cité également dans la fusion Rock symphonique (Symphonie celtique) et fusion Rock world.
2 ans aprtes la naissance de paul huaekt americin avantage

=== Rock et glamour ===
[[Image:Queen 1984 0009.jpg|thumb|right|[[Freddy Mercury]], chanteur du groupe [[Queen]]]]
Les années 1970 voient la disparition progressive du psychédélisme et la fin du rêve hippie. Cette désillusion, associée à une merchandisation croissante de la musique donne naissance à un courant embrassant les contradictions de son époque en proposant une image glamour et décadente : le [[glam rock]]. Sous le strass et les paillettes de leurs costumes androgynes, [[David Bowie]], [[T.Rex]] ou [[Queen]] proposent une musique théâtrale et baroque.

=== La révolution punk et ses conséquences ===
[[Image:The Clash UK.jpg|left|165px|thumb|The Clash]]

Les racines musicales du mouvement [[punk]] remontent aux [[années 1960]] avec le genre [[Rock garage]] ([[Stooges]], [[MC5]]) suivi par la scène new yorkaise du milieu des [[années 1970]] comprenant notamment [[The New York Dolls]] et [[The Ramones]]. C'est toutefois au Royaume-Uni et en France que le mouvement [[punk]] prend vraiment son envol à partir de [[1976]] avec les [[Sex Pistols]] et autres [[The Clash]] en tête d'affiche. Le mouvement [[punk]] se pose clairement en réaction face au rock des [[années 1970]] qui n'autorise les enregistrements qu'aux virtuoses. Le premier message des punks est là : la musique appartient à tout le monde, même si la technique n'est pas absolument maîtrisée. Les punks ouvrent ainsi les portes des studios d'enregistrement à d'innombrables groupes, de [[The Police]] à [[U2 (groupe)|U2]]. Le second message des punks est plus politique. Les Britanniques enterrent leur statut de Grande Puissance (''No future for the UK'').

Les États-Unis avaient résisté plus de dix-huit mois à la [[The Beatles|beatlemania]], ils tiendront bon pendant plus de vingt ans face à la vague [[punk]]. Si l'ouverture des studios a bien lieu aux États-Unis, elle est moins flagrante qu'en Europe. Musicalement, les tenants d'un rock dit ''modern'' se revendiquent toutefois ouvertement comme des enfants du [[punk]]. Il faut attendre [[1988]] et le mouvement [[grunge]] de la côte ouest américaine pour percevoir un écho [[punk]] dans la musique américaine grand public, cicatrisant efficacement les plaies d'un rock divisé depuis plus de dix ans en deux camps : ''Classic'' et ''Modern''. Ce débat est essentiellement américain, car en Europe les modernistes ont gagné la partie dès le début des [[années 1980]].

=== New wave et electro ===

À l'approche des années 1980, une partie du mouvement punk évolue vers une production en studio plus aboutie, une attention plus affirmée à la qualité des textes et une volonté générale plus orientée vers l'expérimentation. Le terme [[New wave]] apparaît alors pour désigner cette musique plus sombre et sophistiquée qui met à profit les progrès des synthétiseurs en contrepoint de guitares éthérées et de basses pesantes. Le terme reste cependant générique et englobe aussi bien la pop électro-gothique de [[Joy Division]] ou [[The Cure]] que le rock matiné de reggae de [[The Police]]. Dans la lignée de [[Kraftwerk]], un courant électro apparaît avec [[Depeche Mode]], les synthétiseurs remplacent progressivement les guitares. Cette démarche représentera plus tard l'un des fondements de la musique [[techno]].

=== Avènement du ''hard'' ===

La composante [[hard rock]] profite, elle aussi, très largement de l'ouverture des studios. Conséquence logique de cette multiplication des enregistrements : l'apparition de nombreux sous-genres. Jadis, [[Hard rock]] et [[Heavy metal (musique)|Heavy metal]] étaient deux synonymes (Heavy Metal venant d'un journaliste de [[New York Times]] à propos du [[Purple Haze]] de [[Jimi Hendrix]]), mais depuis le début des [[années 1980]] une scission s'est produite. Le vocable « Heavy Metal » est en effet redéfini par le journaliste [[Lester Bangs]] du magazine [[Creem]]. Le genre se radicalise avec un accent croissant placé sur la virtuosité et la vitesse d'exécution en particulier du guitariste solo et du batteur, des ambiances pesantes ([[Wishbone Ash]], [[Def Leppard]], [[Kiss]]) et des thèmes qui s'inspirent souvent du [[satanisme]] (dans la lignée de [[Black Sabbath]]). C'est l'apparition de la nouvelle vague de heavy metal britannique (en fait [[Iron Maiden]]) qui s'oriente vers des aspects plus lyriques alors que les américains [[Metallica]] inventent le [[speed metal]]. On voit ensuite apparaître le [[Thrash metal]], le [[Gothic metal]], le [[Death metal]], entre autres, avant l'émergence logique d'un... [[Nu metal]].

=== Années 1980 ===

Alors que la branche hard se métallise, radicalisant son discours sous une avalanche de décibels, une accélération effrénée du tempo et une saturation qui repousse les limites de l'audible, le courant majeur s'assagit et se rapproche de plus en plus de la pop. [[Dire Straits]] incarne ce rock serein, aux guitares d'orfèvres et aux textes ciselés mais dont la fièvre est retombée. Si quelques uns dont [[U2 (groupe)|U2]] ou [[REM]] tentent de raviver une démarche engagée, c'est plutôt aux frontières du rock, comme dans le métissage avec le funk de [[Michael Jackson]] ou de [[Prince Rogers Nelson|Prince]] que l'exploration musicale se poursuit.

=== Rock indépendant ===

Le tournant des années 1990 est amorcé par la scène bruitiste américaine. [[Sonic Youth]] puis les [[Pixies]] mêlent un sens aigu de la mélodie issue de la musique pop avec une véritable rage rock'n'roll, la secousse devient sensible quand elle prend la forme du mouvement [[grunge]] à [[Seattle]] avec [[Mudhoney]], [[Soundgarden]] et [[Nirvana (groupe)|Nirvana]] suivis par la suite par [[Pearl Jam]]. Parallèlement le rock commence à accepter les apports du [[hip-hop]] et les fusions se font enfin entendre, [[Fishbone]] (le précurseur), les [[Living Color]], les [[Beastie Boys]], [[Body Count]], [[Red Hot Chili Peppers]] et [[Rage Against the Machine]] intègrent le phrasé [[rap]] et la syncope funk à un rock très musclé.

Au Royaume-Uni si [[Blur]] et [[Oasis]] semblent se partager le paysage grand public entre pop pour les premiers et rock pour les seconds c'est [[Radiohead]] qui constitue véritablement le fer de lance du son ''[[britpop]]''.

== Le rock par pays ==

''Voir : [[:Catégorie:Rock par pays]]''

== Culture rock ==

Le rock n'est plus seulement un mouvement musical depuis le milieu des [[années 1950]]. Le film ''[[Graine de violence]]'' qui présente en générique le fameux ''[[Rock Around the Clock]]'' de [[Bill Haley]] pose d'ailleurs d'emblée les bases sociales du mouvement : la rébellion face à l'ordre établi. Cet esprit de sédition présent dès la naissance du rock au milieu des années 1950 est toujours vivace dans les [[années 1960]] avec le mouvement hippies, puis à la fin des [[années 1970]] avec le mouvement punk. Ce rôle semble avoir été repris depuis une quinzaine d'années par le rap, mais dans les faits, le rock n'a jamais renié ses racines rebelles. La fameuse maxime {{citation étrangère|Sex and drugs and rock'n'roll}} est une autre facette du caractère libre et rebelle du rock (''Born to be wild'').

Jadis considéré comme un vêtement de travail, le blue jean a été démocratisé par le mouvement rock. La mode, qu'elle soit vestimentaire ou capillaire, par exemple, est clairement influencée par le rock depuis cinq décennies. Le rock n'influence pas seulement la mode, mais plus généralement les arts, du cinéma à la peinture en passant la littérature. L'œuvre d'un [[Andy Warhol]], pour ne citer que lui, s'appuie ainsi clairement sur un socle rock.

== Voir aussi ==

* [[Culture de jeunesse]]
* [[Rock_%28danse%29|Rock (Danse)]]

== Lien externe ==

* {{en}} [http://www.history-of-rock.com Histoire du rock]
{{Duo portail|portail musique|portail rock}}

* [[Catégorie:genre musical]]
* [[Catégorie:Rock|*]]
* [[Catégorie:Festival de rock|Festivals de rock]]
* [[Catégorie:Presse écrite rock]]

[[ar:روك]]
[[br:Sonerezh rock]]
[[bg:Рок]]
[[bs:Rock muzika]]
[[ca:Rock and Roll]]
[[da:Rock]]
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[[es:Rock and roll]]
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Version du 22 juin 2006 à 13:44

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