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Les composantes M' et M<nowiki>''</nowiki> d’un module complexe M* (par exemple E* ou G*) expérimental dépendent notamment de la fréquence et de la température.
Les composantes M' et M<nowiki>''</nowiki> d’un module complexe M* (par exemple E* ou G*) expérimental dépendent notamment de la fréquence et de la température.
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== Principe d’équivalence temps-température ==
== Principe d’équivalence temps-température ==
[[Image:Modulus against time at two values of temperature.png|thumb|Fig. 2 - '''Mesures''' (statiques : [[Relaxation de contrainte|relaxation]]) : tracé de l’évolution de E = f (t, T).]]
[[Image:Modulus against time at two values of temperature.png|thumb|Fig. 2 - '''Mesures''' (statiques : [[Relaxation de contrainte|relaxation]]) : tracé de l’évolution de E = f (t, T).]]
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: E (t, T) = E (t*a<sub>T→T<sub>0</sub></sub>, T<sub>0</sub>).
: E (t, T) = E (t*a<sub>T→T<sub>0</sub></sub>, T<sub>0</sub>).


a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> (noté aussi a<sub>T</sub>) est appelé ''facteur de glissement''<ref>Synonymes : facteur (ou coefficient) de translation, de décalage, de déplacement, de thermodépendance.</ref> (''shift factor'' en anglais).
a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> (noté aussi a<sub>T</sub>) est appelé ''facteur de translation''<ref>Synonymes : facteur (ou coefficient) de glissement, de décalage, de déplacement, de thermodépendance.</ref> (''shift factor'' en anglais).


Si T > T<sub>0</sub> ⇒ a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> > 1 (voir Fig. 2).
Si T > T<sub>0</sub> ⇒ a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> > 1 (voir Fig. 2).
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Une diminution de température augmente les temps caractéristiques et diminue les fréquences caractéristiques.
Une diminution de température augmente les temps caractéristiques et diminue les fréquences caractéristiques.


== Relation entre le facteur de décalage et les viscosités limites ==
== Relation entre le facteur de translation et les viscosités limites ==
On montre la relation entre les [[viscosité]]s en écoulement continu (sur le plateau newtonien) :
On montre la relation suivante entre les [[viscosité]]s en écoulement continu <math>\eta_0</math> (sur le premier [[Fluide#Fluide rhéofluidifiant ou pseudoplastique|plateau newtonien]])<ref>Voir aussi l’article {{de}} [[:de:Vogel-Fulcher-Tammann-Gleichung|Équation de Vogel-Fulcher-Tammann]].</ref> :
: <math>a_{T \to T_0} = \frac {\eta_0 (T)} {\eta_0 (T_0)}</math>.
: <math>a_{T \to T_0} = \frac {\eta^T_0} {\eta^{T_0}_0}</math>
(<math>\eta^T_0</math> est la viscosité en écoulement continu à la température T).


== Loi de Williams-Landel-Ferry ==
== Loi de Williams-Landel-Ferry ==
[[Image:Shift factor against test temperatures relative to a reference temperature.png|thumb|Fig. 3 - Courbe de la variation de a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> pour une température de référence T<sub>0</sub><ref>Courbe générée par logiciel à partir des données d’un essai dynamique comportant un double balayage fréquence/température sur une grandeur viscoélastique d’un polymère.</ref>.]]
[[Image:Shift factor against test temperatures relative to a reference temperature.png|thumb|Fig. 3 - Courbe de la variation de a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> pour une température de référence T<sub>0</sub><ref>Courbe générée par logiciel à partir des données d’un essai dynamique comportant un double balayage fréquence/température sur une grandeur viscoélastique d’un polymère.</ref>.]]
La loi WLF, associée au principe d’équivalence temps-température, permet de rendre compte des variations de la viscosité limite <math>\eta_o</math> de polymères [[amorphe]]s en fonction de la température, pour des températures proches de la [[température de transition vitreuse]] Tg. L’équation de Williams-Landel-Ferry empirique exprime également la variation avec la température du facteur de décalage.
La loi WLF, associée au principe d’équivalence temps-température, permet de rendre compte des variations de la viscosité limite <math>\eta_o</math> de polymères [[amorphe]]s en fonction de la température, pour des températures proches de la [[température de transition vitreuse]] Tg. L’équation de Williams-Landel-Ferry empirique exprime également la variation avec la température du facteur de translation.


Un [[Logiciel|traitement mathématique]] calcule le facteur de décalage pour chacune des composantes M' et M<nowiki>''</nowiki> du module complexe mesuré M*. Une bonne corrélation entre les deux facteurs de décalage donne les valeurs des coefficients C<sub>1</sub> et C<sub>2</sub> caractéristiques de la matière. La loi WLF n’est vérifiée que dans la plage approximative de température [Tg, Tg + {{tmp|100|°C}}]. Williams, Landel et Ferry ont proposé une équation de variation du facteur de décalage en fonction de <math>(T-T_0)</math> :
Un [[Logiciel|traitement mathématique]] calcule a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> pour chacune des composantes M' et M<nowiki>''</nowiki> du module complexe mesuré M*. Une bonne corrélation entre les deux facteurs de translation donne les valeurs des coefficients C<sub>1</sub> et C<sub>2</sub> caractéristiques de la matière. La loi WLF n’est vérifiée que dans la plage approximative de température [Tg, Tg + {{tmp|100|°C}}]. Williams, Landel et Ferry ont proposé une équation de variation de a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> en fonction de <math>(T-T_0)</math> :
: <math> lg(a_{T \to T_0}) = \frac{-C^0_1(T-T_0)} {C^0_2 + (T-T_0)} </math>
: <math> lg(a_{T \to T_0}) = \frac{-C^0_1(T-T_0)} {C^0_2 + (T-T_0)} </math>
Les coefficients (ou constantes) <math>C^0_1</math> et <math>C^0_2</math> (positifs) dépendent du polymère et de la température de référence choisie.
Les coefficients (ou constantes) <math>C^0_1</math> et <math>C^0_2</math> (positifs) dépendent du polymère et de la température de référence choisie.
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== Application : construction de courbes maîtresses ==
== Application : construction de courbes maîtresses ==
Le principe de superposition temps-température permet, à partir d’une fenêtre spectrale initiale [f<sub>1</sub>, f<sub>2</sub>] et d’une série d’isothermes dans cette fenêtre, un calcul des ''courbes maîtresses'' d’un matériau qui s’étendent sur une plage de fréquence plus large. Une température convenablement choisie, T<sub>0</sub>, est prise comme référence pour fixer l’échelle des fréquences (la courbe à cette température ne subit aucun décalage).
Le principe de superposition temps-température permet, à partir d’une fenêtre spectrale initiale [f<sub>1</sub>, f<sub>2</sub>] et d’une série d’isothermes dans cette fenêtre, un calcul des ''courbes maîtresses'' d’un matériau qui s’étendent sur une plage de fréquence plus large. Une température convenablement choisie, T<sub>0</sub>, est prise comme référence pour fixer l’échelle des fréquences (la courbe à cette température ne subit aucune translation).


Dans la fenêtre [f<sub>1</sub>, f<sub>2</sub>], si la température augmente par rapport à T<sub>0</sub>, E' (f) diminue (voir Fig. 4), cela revient à explorer une partie de la courbe maîtresse correspondant à des fréquences inférieures à f<sub>1</sub>, en restant à T<sub>0</sub>. Inversement, baisser la température revient à explorer une partie de la courbe correspondant à des fréquences élevées.
Dans la fenêtre [f<sub>1</sub>, f<sub>2</sub>], si la température augmente par rapport à T<sub>0</sub>, E' (f) diminue (voir Fig. 4), cela revient à explorer une partie de la courbe maîtresse correspondant à des fréquences inférieures à f<sub>1</sub>, en restant à T<sub>0</sub>. Inversement, baisser la température revient à explorer une partie de la courbe correspondant à des fréquences élevées.
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En choisissant une température de référence (T<sub>0</sub>), les translations (horizontales) de T à T<sub>0</sub> ont pour amplitude [[Logarithme décimal|lg]] a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> suivant l’axe des fréquences (voir Fig. 4).
En choisissant une température de référence (T<sub>0</sub>), les translations (horizontales) de T à T<sub>0</sub> ont pour amplitude [[Logarithme décimal|lg]] a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> suivant l’axe des fréquences (voir Fig. 4).


Dans la zone de [[transition vitreuse]], le facteur de décalage est décrit par une [[fonction homographique]] de la température.
Dans la zone de [[transition vitreuse]], a<sub>T→T<sub>0</sub></sub> est décrit par une [[fonction homographique]] de la température.
Le comportement viscoélastique est ainsi modélisé et permet une [[extrapolation]] au-delà de la plage de fréquences expérimentales qui s’étend typiquement de {{unité/2|0.01 à 100|[[Hertz|Hz]]}}.
Le comportement viscoélastique est ainsi modélisé et permet une [[extrapolation]] au-delà de la plage de fréquences expérimentales qui s’étend typiquement de {{unité/2|0.01 à 100|[[Hertz|Hz]]}}.
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[[Image:Master curves on polymer.png|thumb|Fig. 5 - Courbes maîtresses (couvrant plusieurs [[Décade (physique)|décades]] de [[Fréquence|f]]) de E' et tan δ pour une température T<sub>0</sub>.]]
[[Image:Master curves on polymer.png|thumb|Fig. 5 - Courbes maîtresses (couvrant plusieurs [[Décade (physique)|décades]] de [[Fréquence|f]]) de E' et tan δ pour une température T<sub>0</sub>.]]
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== Limites ==
== Limites ==
L’échantillon homogène, [[Isotropie|isotrope]] et amorphe doit être sollicité dans sa zone de ''comportement linéaire'' (dans ce cas, la déformation s’exprime comme une fonction linéaire de la contrainte)<ref>Par application à l’échantillon d’un très faible taux de déformation, par exemple 0,01 %.</ref> et dans la plage de température approximative [Tg, Tg + {{tmp|100|°C}}].
L’échantillon homogène, [[Isotropie|isotrope]] et amorphe doit être sollicité dans sa zone de ''comportement linéaire'' (dans ce cas, la déformation s’exprime comme une fonction linéaire de la contrainte)<ref>Par application à l’échantillon d’un très faible taux de déformation, par exemple 0,01 %.</ref> et dans la plage de température approximative [Tg, Tg + {{tmp|100|°C}}].

Version du 14 avril 2012 à 05:12

Le principe d’équivalence temps-température permet de préciser la dépendance à la température des fonctions viscoélastiques linéaires telles E (t), E' (f) et E'' (f).

L’effet de la fréquence de sollicitation sur les grandeurs viscoélastiques d’un polymère est inverse à celui de la température. Les effets de la fréquence et de la température sont donc dépendants. Ce phénomène est à l’origine du principe d’équivalence temps-température en viscoélasticité linéaire.

Après avoir réalisé une série d’essais dynamiques (par exemple en analyse mécanique dynamique), il peut être utilisé pour corréler les grandeurs viscoélastiques intrinsèques d’une matière (module de Young E* ou module de cisaillement G* complexes, facteur de perte tan δ, etc.) pour toutes les températures et fréquences mesurées.

Ce principe et la loi de Williams-Landel-Ferry (WLF) permettent de déterminer les coefficients intrinsèques C1 et C2 d’un polymère.

Principe physique

Fig. 1 - Mesures (dynamiques : DMA) : variation du module de conservation E' (f, T) et du facteur d’amortissement tan δ (f, T).

Un polymère (corps viscoélastique) est soumis à une sollicitation dynamique. Si la fréquence d’excitation est suffisamment basse (temps très supérieur au temps caractéristique τ appelé aussi temps de relaxation, fonction de la masse moléculaire), le comportement visqueux est prépondérant et toutes les chaînes ont le temps de « répondre » au cours d’une période de contrainte. Par contre, à plus haute fréquence, les chaînes n’ont pas le temps de répondre totalement et le blocage artificiel qui en résulte se traduit par une augmentation du module.

D’autre part, à fréquence constante, une augmentation de la température se traduit par une diminution du module, suite à l’augmentation des volumes libres et des mouvements de chaînes.

Les composantes M' et M'' d’un module complexe M* (par exemple E* ou G*) expérimental dépendent notamment de la fréquence et de la température.

Principe d’équivalence temps-température

Fig. 2 - Mesures (statiques : relaxation) : tracé de l’évolution de E = f (t, T).

On considère le module de relaxation E à deux températures T et T0 telles que T > T0. À déformation constante, la contrainte relaxe plus vite à la température la plus élevée (voir Fig. 2).

Le principe d’équivalence temps-température stipule que le passage de T à T0 (soit un changement de température) revient à multiplier l’échelle du temps par un facteur constant aT→T0 uniquement fonction des deux températures T et T0.

Ce qui peut se formuler par l’égalité du module pour des couples temps/températures différents[1] :

E (t, T) = E (t*aT→T0, T0).

aT→T0 (noté aussi aT) est appelé facteur de translation[2] (shift factor en anglais).

Si T > T0 ⇒ aT→T0 > 1 (voir Fig. 2).

Si T < T0 ⇒ aT→T0 < 1.

Si T = T0 ⇒ aT→T0 = 1 (voir Fig. 3).

La forme du principe d’équivalence (t, T) pour les modules dynamiques s’obtient de manière similaire :

M' (f, T) = M' (f/aT→T0, T0)
M'' (f, T) = M'' (f/aT→T0, T0).

Une diminution de température augmente les temps caractéristiques et diminue les fréquences caractéristiques.

Relation entre le facteur de translation et les viscosités limites

On montre la relation suivante entre les viscosités en écoulement continu (sur le premier plateau newtonien)[3] :

( est la viscosité en écoulement continu à la température T).

Loi de Williams-Landel-Ferry

Fig. 3 - Courbe de la variation de aT→T0 pour une température de référence T0[4].

La loi WLF, associée au principe d’équivalence temps-température, permet de rendre compte des variations de la viscosité limite de polymères amorphes en fonction de la température, pour des températures proches de la température de transition vitreuse Tg. L’équation de Williams-Landel-Ferry empirique exprime également la variation avec la température du facteur de translation.

Un traitement mathématique calcule aT→T0 pour chacune des composantes M' et M'' du module complexe mesuré M*. Une bonne corrélation entre les deux facteurs de translation donne les valeurs des coefficients C1 et C2 caractéristiques de la matière. La loi WLF n’est vérifiée que dans la plage approximative de température [Tg, Tg + 100 °C]. Williams, Landel et Ferry ont proposé une équation de variation de aT→T0 en fonction de  :

Les coefficients (ou constantes) et (positifs) dépendent du polymère et de la température de référence choisie.

Si Tréf = Tg :

( est le coefficient C1 à Tg)

et :

.

et sont les coefficients de l’équation WLF.

Ferry a proposé des « constantes » (pour un polymère donné) rassemblées dans un tableau[5].

Elles sont approximativement identiques pour un grand nombre de polymères et on peut écrire :

Échec de l’analyse (SVG (MathML peut être activé via une extension du navigateur) : réponse non valide(« Math extension cannot connect to Restbase. ») du serveur « http://localhost:6011/fr.wikipedia.org/v1/ » :): {\displaystyle C^g_1 \approx 15}
.

Mais on observe expérimentalement des écarts aux valeurs du tableau. Ces ordres de grandeurs (utiles) sont à respecter : ils sont un bon indicateur de la qualité d’une corrélation.

Application : construction de courbes maîtresses

Le principe de superposition temps-température permet, à partir d’une fenêtre spectrale initiale [f1, f2] et d’une série d’isothermes dans cette fenêtre, un calcul des courbes maîtresses d’un matériau qui s’étendent sur une plage de fréquence plus large. Une température convenablement choisie, T0, est prise comme référence pour fixer l’échelle des fréquences (la courbe à cette température ne subit aucune translation).

Dans la fenêtre [f1, f2], si la température augmente par rapport à T0, E' (f) diminue (voir Fig. 4), cela revient à explorer une partie de la courbe maîtresse correspondant à des fréquences inférieures à f1, en restant à T0. Inversement, baisser la température revient à explorer une partie de la courbe correspondant à des fréquences élevées.

En choisissant une température de référence (T0), les translations (horizontales) de T à T0 ont pour amplitude lg aT→T0 suivant l’axe des fréquences (voir Fig. 4).

Dans la zone de transition vitreuse, aT→T0 est décrit par une fonction homographique de la température.

Le comportement viscoélastique est ainsi modélisé et permet une extrapolation au-delà de la plage de fréquences expérimentales qui s’étend typiquement de 0,01 à 100 Hz.

Fig. 4 - Principe de construction d’une courbe maîtresse de E' (f1=1 Hz, f2=1 000 Hz) pour une température T0.
Fig. 5 - Courbes maîtresses (couvrant plusieurs décades de f) de E' et tan δ pour une température T0.

Limites

L’échantillon homogène, isotrope et amorphe doit être sollicité dans sa zone de comportement linéaire (dans ce cas, la déformation s’exprime comme une fonction linéaire de la contrainte)[6] et dans la plage de température approximative [Tg, Tg + 100 °C].

L’étude permettant de déterminer aT→T0 ainsi que les coefficients C1 et C2 nécessite de nombreux essais [en dynamique, un double balayage fréquence/température (voir Fig. 1), ce qui représente au minimum une centaine de points de mesure].

Notes et références

  1. Si l’on ne tient pas compte de la dilatation volumique.
  2. Synonymes : facteur (ou coefficient) de glissement, de décalage, de déplacement, de thermodépendance.
  3. Voir aussi l’article (de) Équation de Vogel-Fulcher-Tammann.
  4. Courbe générée par logiciel à partir des données d’un essai dynamique comportant un double balayage fréquence/température sur une grandeur viscoélastique d’un polymère.
  5. Tableau intitulé : Parameters characterizing temperature dependence of aT for various polymer systems ; ce tableau donne, pour Tréf = Tg, les valeurs et de plusieurs dizaines de polymères.
  6. Par application à l’échantillon d’un très faible taux de déformation, par exemple 0,01 %.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie