« Disquaire » : différence entre les versions
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La profession de disquaire à progressivement disparue avec le développement des rayons [[Disque compact|CD]] dans les [[Grande surface|grandes surfaces]], puis des chaines de magasins spécialisés se sont créées car le marché du disque est spécifique et le client cherche un service différent de celui qu'attend le [[consommateur]] de produits de première nécessité. |
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Généralement, le disquaire avait, derrière son comptoir, une excellente platine destinée à lire les microsillons en "''en prenant bien soin''", et on pouvait lui demander de passer n'importe quelle plage de n'importe quel disque avant de décider de l'acheter. Dans le système actuel, il n'est plus possible que d'écouter que ce que le commerçant à mis dans ses lecteurs en "tête de gondole". |
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Version du 2 juin 2006 à 17:10
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Un disquaire est un magasin où l'on vend des disques.
Les disquaires étaient très en vogue dans les années 1960-1970. Il s'agissait, un peu comme les bons libraires, de magasins spécialisés tenus, pour la majorité, par des "passionnés" de musique qui ne se contentaient pas de vendre, mais qui savaient conseiller.
On pouvait leur demander un enregistrement datant de plusieurs années et qui n'était plus vraiment à la mode, en général, leur réponse était : "Revenez dans trois jours, je vais essayer de vous trouver ça" et le plus souvent, ils tenaient parole.
C'était souvent le rendez vous des jeunes qui venaient dépenser une partie de leur argent de poche en achetant les derniers 45 tours à la mode, mais c'était aussi le point de rencontre de tous les amateurs de musique de tout style, y compris des passionnés de musique classique.
La profession de disquaire à progressivement disparue avec le développement des rayons CD dans les grandes surfaces, puis des chaines de magasins spécialisés se sont créées car le marché du disque est spécifique et le client cherche un service différent de celui qu'attend le consommateur de produits de première nécessité.
Généralement, le disquaire avait, derrière son comptoir, une excellente platine destinée à lire les microsillons en "en prenant bien soin", et on pouvait lui demander de passer n'importe quelle plage de n'importe quel disque avant de décider de l'acheter. Dans le système actuel, il n'est plus possible que d'écouter que ce que le commerçant à mis dans ses lecteurs en "tête de gondole".