« Ach, ich fühl's, es ist verschwunden! » : différence entre les versions

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''Ach, ich fühl’s, es ist verschwunden!''<br>
Ach, ich fühl’s, es ist verschwunden!''<br>
''ewig hin der Liebe Glück!''<br>
ewig hin der Liebe Glück!<br>
''Nimmer kommt ihr Wonnestunden.''<br>
Nimmer kommt ihr Wonnestunden.<br>
''meinem Herzen mehr zurück!''<br>
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''Sieh Tamino! diese Tränen''<br>
Sieh Tamino! diese Tränen<br>
''fließen, Trauter, dir allein,''<br>
fließen, Trauter, dir allein,<br>
''fühlst du nicht der Liebe Sehnen''<br>
fühlst du nicht der Liebe Sehnen<br>
''so wird Ruh’ im Tode sein!''<br>
so wird Ruh’ im Tode sein!<br>
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Ah, je le sens, elle est évanouie,<br>
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Jamais plus, instants de bonheur,<br>
Jamais plus, instants de bonheur,<br>
vous ne reviendrez en mon cœur !<br>
vous ne reviendrez en mon cœur !<br>
Vois, Tamino! ces larmes,<br>
Vois, Tamino ! ces larmes,<br>
coulent pour toi seul, mon bien-aimé ;<br>
coulent pour toi seul, mon bien-aimé ;<br>
si tu ne ressens pas la peine d’amour<br>
si tu ne ressens pas la peine d’amour<br>

Version du 17 janvier 2009 à 17:40

Ach, ich fühl’s, es ist verschwunden! (littéralement Ah, je le sens, elle est évanouie !) est l'air chanté par Pamina, la fille de la Reine de la Nuit, rôle de soprano, dans l'opéra de Mozart La Flûte enchantée.

L'air

Cet air chanté par Pamina sert à illustrer la tristesse du personnage.

La musique

La musique décrit le chagrin que ressent Pamina à l'idée que Tamino n'est plus amoureux d'elle.

Le texte

Le texte est tiré du livret en allemand de l'ami de Mozart, Emanuel Schikaneder, qui jouait aussi le rôle de Papageno lors de la première représentation.

Texte original allemand
Traduction française

Ach, ich fühl’s, es ist verschwunden!
ewig hin der Liebe Glück!
Nimmer kommt ihr Wonnestunden.
meinem Herzen mehr zurück!
Sieh Tamino! diese Tränen
fließen, Trauter, dir allein,
fühlst du nicht der Liebe Sehnen
so wird Ruh’ im Tode sein!

Ah, je le sens, elle est évanouie,
à jamais évanouie, la joie de l’amour !
Jamais plus, instants de bonheur,
vous ne reviendrez en mon cœur !
Vois, Tamino ! ces larmes,
coulent pour toi seul, mon bien-aimé ;
si tu ne ressens pas la peine d’amour
alors je trouverai le repos dans la mort !