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Version du 23 janvier 2008 à 08:33
Pour les articles homonymes, voir Saint-Priest.
Modèle:Ébauche commune française
| Saint-Priest (Creuse) | |
| Administration | |
|---|---|
| Pays |  France
|
| Région | Nouvelle-Aquitaine |
| Département | Creuse |
| Arrondissement | Arrondissement d'Aubusson |
| Intercommunalité | Communauté de communes d'Évaux-les-Bains Chambon-sur-Voueize |
| Maire | Albert Bondieu |
| Code postal | 23110 |
| Code commune | 23234 |
| Géographie | |
| Coordonnées | 46° 05′ 20″ nord, 2° 20′ 39″ est |
| Altitude | Min. 420 m m Max. 585 m m |
| Élections | |
| Départementales | Canton d'Évaux-les-Bains |
| Localisation | |
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Saint-Priest est une commune française, située dans le département de la Creuse et la région Limousin.
Géographie
Histoire
- Saint-Priest se nommait en 1202 "Villa Sancti-Prejecti". En 1611, la paroisse, alors nommée Saint Prest couvre 2235 ha. En 1195, "La Villatte" et "Le Montmoreau" étaient des "granges" de l'abbaye de Bonlieu, c'est-à-dire des centres agricoles dirigés par un moine dit "grangier". Au début du XIVe siècle, Saint-Priest appartenait à la châtellenie de Sermur et passa avant la Révolution au Pays de Combraille. A la Révolution, elle fut rebaptisée "La Républicaine" et dépendit du canton de Mainsat de 1790 à 1801. En 1890, on recensait 841 habitants dans la commune dont 95 dans le bourg. A la même date, le village du Meignoux, dénommé "Le Mesnyoulx" en 1521, était le plus gros village de la commune avec 73 habitants.
- Le Tromp, en 1199 "Capella dels Trons", constituait une paroisse qui dépendait, début XIVe siècle, de la châtellenie de Chambon. Elle a fait partie du canton de Mainsat de 1790 à 1801. Le 20 décembre 1835, cette commune de 310 habitants a été fusionnée avec ses dix villages (le Tromp, Bégouneix, La Chaussade, Lavaux, Le Mazeau, La Mazure, La Valette, Moulin de Beauregard, Grande Vezelle, Petite Vezelle) à la commune de Saint Priest. Voir Anciennes communes de la Creuse.
- Le château de Beauregard date des XVIIe et XVIIIe siècles et fut remanié au XIXe. En 1770, il était habité par le marquis de Lentilhac, en 1789, il appartenait à V.B. Grellet, député aux Etats Généraux puis au baron de Baillet. Aux XIXe et XXe, Beauregard possédait un équipage de chasse à courre. En 1917, le baron de Baillet était le seul habitant de la commune à être abonné au téléphone.