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'''Auguste Zurfluh''' (né 33 rue Jacob à [[6e arrondissement de Paris|Paris {{6e}}]] le {{date de naissance|13 juin 1871}}<ref>[https://archives.paris.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo2OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjItMTAtMjQiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO2k6MjE1NDMwO3M6MTY6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWwiO2I6MTtzOjIxOiJ2aXNpb25uZXVzZV9odG1sX21vZGUiO3M6NDoicHJvZCI7fQ==#uielem_move=-1377%2C-732&uielem_islocked=0&uielem_zoom=217&uielem_brightness=0&uielem_contrast=0&uielem_isinverted=0&uielem_rotate=F Acte de naissance à Paris {{6e}}, {{n°|1134}}, vue 11/29.]</ref> et mort le {{date de décès|15 juin 1941}} à [[Bénévent-l'Abbaye]]<ref>[https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb13999399w Notice de la BnF]</ref>), fils de Charles Joseph Zurfluh et Cunegonde Becker, est un [[guitariste]], [[harpiste]], [[compositeur]] et [[Éditeur de musique (métier du livre)|éditeur de musique]] Français. Il se maria en 1899 à Marthe Gabrielle Coulangeon et eu 2 filles, Eliane Zurfluh et Sylvie Raynaud-Zurfluh. |
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Naissance | |
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Décès |
(à 70 ans) Bénévent-l'Abbaye |
Pseudonyme |
Saratosga |
Nationalité |
française |
Activité |
Compositeur, éditeur de musique, membre de la SACEM |
Période d'activité |
1892? - 1939? |
Conjoint |
Marthe Gabrielle Coulanjon |
Enfant |
Élianne Zurfluh (pianiste, compositrice), Sylvie Raynaud-Zurfluh (harpiste, compositrice) |
Instrument |
Guitare, mandoline, harpe |
---|---|
Maître |
Miguel Llobet |
Élève |
Lucien Gélas, Carl Henze |
Auguste Zurfluh (né 33 rue Jacob à Paris 6e le [1] et mort le à Bénévent-l'Abbaye[2]), fils de Charles Joseph Zurfluh et Cunegonde Becker, est un guitariste, harpiste, compositeur et éditeur de musique Français. Il se maria en 1899 à Marthe Gabrielle Coulangeon et eu 2 filles, Eliane Zurfluh et Sylvie Raynaud-Zurfluh.
Biographie[modifier | modifier le code]
Auguste Zurfluh a étudié la guitare à Paris avec Miguel Llobet. Il a travaillé comme guitariste à l'Opéra comique de Paris. Il était ami avec Francisco Tárrega, David del Castillo (de), José Ferrer et Alfred Cottin. Lucien Gélas et Carl Henze (de) furent ses élèves[3].
Il compose notamment la Romance sans paroles qu'il dédie à une de ses élèves, Mlle. Pierette du Bousquet[4].
Compositions[5][modifier | modifier le code]
- Chant d'oiseaux (op.6)
- La Turquoise (op.53)
- À travers les nénuphars (op.54)
- Ronde joyeuse (op.134)
- Bella donna (op.135)
- Clair de lune (op.136)
- Fantaisie espagnole
- Légende
- Marche andalouse
- Romance sans paroles
Éditions Auguste Zurfluh[modifier | modifier le code]
Il fonda sa propre maison d'édition en 1909 à Paris, les éditions Auguste Zurfluh[3].
Il y publia plus de 130 articles de salon pour guitare, mandoline et voix, ainsi qu’une école de guitare en français (Méthode théorique et pratique des études et exercices)[6], en allemand et en anglais. Certaines de ses œuvres ont été publiées à titre posthume par les éditeurs Paul Beuscher et Henry Lemoine.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Józef Powroźniak, Gitarren-Lexikon (Encyclopédie de Guitare), éditions Neue Musik, Berlin, 1979, 165 p.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Auguste Zurfluh » (voir la liste des auteurs).
- Acte de naissance à Paris 6e, no 1134, vue 11/29.
- Notice de la BnF
- (en) « Auguste Zurfluh », sur composers-classical-music.com (consulté le )
- « Romance sans paroles (À mon élève mademoiselle Pierette du Bousquet) », sur imslp.org (consulté le )
- « Category:Zurfluh, Auguste - IMSLP », sur imslp.org (consulté le )
- « Auguste Zurfluh (18..-1941) », sur data.bnf.fr (consulté le )
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Ressources relatives à la musique :
- Site des éditions
- Romance sans paroles