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=== Participation au mouvement de grèves d'octobre 2022 ===
=== Participation au mouvement de grèves d'octobre 2022 ===
[[File:Cortege_rp.jpg|thumb|redresse|Cortège de Révolution Permanente le 16 octobre 2022, en manifestation de soutien aux grévistes]]


L'organisation s'engage, notamment via son journal en ligne, au sein du mouvement de grève qui secoue la France en septembre et octobre 2022. Elle bénéficie d'une implantation dans les raffineries, notamment via le syndicaliste [[Confédération générale du travail|CGT]] et membre de Révolution Permanente Adrien Cornet<ref>{{Article |langue=fr |auteur1=Marceau Taburet |prénom1=Marceau |nom1=Taburet |titre=Adrien Cornet, un vert de rouge |périodique=Libération |date=21 octobre 2022 |lire en ligne=https://www.liberation.fr/portraits/adrien-cornet-un-vert-de-rouge-20221021_O2UHWQBVTJCNNPE2U7ZBOUFHQA/ }}</ref>. L'organisation s'engage enfin au sein des nombreuses manifestations en soutien aux grévistes<ref name=lm20221018>{{Article |langue=fr |auteur1= |titre=Journée de grève en direct: 107.000 personnes ont manifesté en France |périodique=Le Monde |volume= |numéro= |date=18 octobre 2022 |pages= |issn= |e-issn= |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/economie/live/2022/10/18/journee-de-greve-en-direct-107-000-personnes-ont-manifeste-en-france-dont-13-000-a-paris-selon-le-decompte-du-ministere-de-l-interieur_6146230_3234.html |consulté le=|id= }}. </ref>.
L'organisation s'engage, notamment via son journal en ligne, au sein du mouvement de grève qui secoue la France en septembre et octobre 2022. Elle bénéficie d'une implantation dans les raffineries, notamment via le syndicaliste [[Confédération générale du travail|CGT]] et membre de Révolution Permanente Adrien Cornet<ref>{{Article |langue=fr |auteur1=Marceau Taburet |prénom1=Marceau |nom1=Taburet |titre=Adrien Cornet, un vert de rouge |périodique=Libération |date=21 octobre 2022 |lire en ligne=https://www.liberation.fr/portraits/adrien-cornet-un-vert-de-rouge-20221021_O2UHWQBVTJCNNPE2U7ZBOUFHQA/ }}</ref>. L'organisation s'engage enfin au sein des nombreuses manifestations en soutien aux grévistes<ref name=lm20221018>{{Article |langue=fr |auteur1= |titre=Journée de grève en direct: 107.000 personnes ont manifesté en France |périodique=Le Monde |volume= |numéro= |date=18 octobre 2022 |pages= |issn= |e-issn= |lire en ligne=https://www.lemonde.fr/economie/live/2022/10/18/journee-de-greve-en-direct-107-000-personnes-ont-manifeste-en-france-dont-13-000-a-paris-selon-le-decompte-du-ministere-de-l-interieur_6146230_3234.html |consulté le=|id= }}. </ref>.
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=== Le Poing Levé ===
=== Le Poing Levé ===
[[File:Lpl_demonstration.jpg|thumb|Le Poing levé dans le cortège étudiant de la manifestation parisienne du 11 février 2023 contre la réforme des retraites]]


Le Poing Levé est l'organisation de jeunesse de Révolution permanente. Elle revendique au total une implantation au sein de 16 lieux de l'enseignement supérieur. Elle agit également dans les lycées, sous le nom du Poing Levé Lycée et rassemble par ailleurs de nombreux jeunes travailleurs<ref name=libe20230119>{{Article |langue=fr |prénom1=|nom1=|titre=A Tolbiac, les étudiants s'organisent contre une réforme des retraites patriarcales |périodique=Libération |date=19/01/2023|lire en ligne=https://www.liberation.fr/societe/a-tolbiac-les-etudiants-sorganisent-contre-une-reforme-des-retraites-patriarcale-20230119_QPPIECRV2FFYZFYSTBKVEJ2HOY/ |consulté le=}}.</ref>.
Le Poing Levé est l'organisation de jeunesse de Révolution permanente. Elle revendique au total une implantation au sein de 16 lieux de l'enseignement supérieur. Elle agit également dans les lycées, sous le nom du Poing Levé Lycée et rassemble par ailleurs de nombreux jeunes travailleurs<ref name=libe20230119>{{Article |langue=fr |prénom1=|nom1=|titre=A Tolbiac, les étudiants s'organisent contre une réforme des retraites patriarcales |périodique=Libération |date=19/01/2023|lire en ligne=https://www.liberation.fr/societe/a-tolbiac-les-etudiants-sorganisent-contre-une-reforme-des-retraites-patriarcale-20230119_QPPIECRV2FFYZFYSTBKVEJ2HOY/ |consulté le=}}.</ref>.
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L'organisation se définit comme « un collectif qui lutte pour l’émancipation de tous et toutes dans une perspective anticapitaliste, socialiste et révolutionnaire »<ref>https://www.huffingtonpost.fr/people/article/adele-haenel-appelle-a-la-greve-generale-pour-faire-le-portrait-de-la-jeunesse-en-feu_214380.html</ref>.
L'organisation se définit comme « un collectif qui lutte pour l’émancipation de tous et toutes dans une perspective anticapitaliste, socialiste et révolutionnaire »<ref>https://www.huffingtonpost.fr/people/article/adele-haenel-appelle-a-la-greve-generale-pour-faire-le-portrait-de-la-jeunesse-en-feu_214380.html</ref>.


=== Fraction trotskiste - Quatrième Internationale ===
[[File:FT-CI (fr).png|vignette|redresse|[[Fraction trotskyste - Quatrième Internationale]]]]


L'organisation est membre de la [[Fraction trotskyste - Quatrième Internationale]], une fédération internationale d'organisations trotskistes, principalement implantée en [[Amérique latine]] et dont le membre le plus connu est le [[Parti des travailleurs socialistes|PTS]] [[Argentine|argentin]].


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 24 février 2023 à 12:23

Révolution Permanente
Image illustrative de l’article Révolution permanente (parti politique)
Logotype officiel.
Présentation
Porte-parole Anasse Kazib
Fondation
Scission de Nouveau Parti anticapitaliste
Journal Révolution Permanente
Organisation féministe Du pain et des roses
Mouvement de jeunesse Le Poing Levé
Positionnement Extrême gauche
Idéologie Communisme
Trotskisme
Antiracisme
Féminisme socialiste
Anti-impérialisme
Antifascisme
Internationalisme
Affiliation internationale Fraction trotskyste - Quatrième Internationale
Couleurs Rouge
Site web revolutionpermanente.fr

Révolution permanente (RP) est une organisation politique française trotskiste. Elle est créée en 2021 à l'issue de l'exclusion/scission du Courant communiste révolutionnaire (CCR) du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA).

Historique

Courant interne du NPA

Le CCR est officiellement fondé en avril 2011. Il apparaît initialement comme un courant indépendant au sein du NPA, nommé Collectif pour une tendance révolutionnaire, qui rejoint la plateforme 4 pour le premier congrès du NPA. Il y défend une orientation révolutionnaire, en opposition à plusieurs autres plateformes jugées trop droitières[1],[2][source secondaire nécessaire].

Exclusion/scission du NPA

Un désaccord persiste entre le NPA et RP sur la nature du départ du CCR de l'organisation. RP dénonce en effet une exclusion officieuse, tandis que le NPA réfute ces affirmations[3].

Au congrès de 2018, la direction du NPA, héritière de la LCR, obtient une majorité relative. Elle est dès lors la cible d'importantes critiques internes, provenant notamment du CCR, qui l'accusent de trop vouloir se rapprocher du parti La France insoumise de Jean-Luc Mélenchon et de s'éloigner de la ligne révolutionnaire, au profit d'un simple réformisme[4],[5]. Le CCR reproche également au parti son manque de démocratie interne, son absence de critique des bureaucraties syndicales ainsi que le défaitisme affiché par les figures médiatiques de l'organisation. Anasse Kazib déclare ainsi : « Pour la fraction historique du NPA, le fascisme est à nos portes, et la classe ouvrière recule. Nous considérons que l’extrême droite est certes puissante, mais qu’une nouvelle génération ouvrière est née, dans les batailles contre la loi Travail, contre la réforme des retraites, chez les gilets jaunes, dans les mouvements antiracistes des quartiers populaires… Notre rôle, en tant que marxistes, est de pousser le curseur, de s’assumer franchement[6] ».

Le NPA présente des listes aux élections municipales de 2020. Au scrutin à Bordeaux, une liste d'alliance avec La France insoumise et des gilets jaunes, conduite par Philippe Poutou se qualifie au second tour et remporte trois sièges au conseil municipal[7],[8]. Le NPA ne présente pas de candidats pour les élections régionales de 2021 en raison d'un manque de moyens[9]. Cependant, des militants du NPA « en luttes » se présentent en Nouvelle-Aquitaine au côté de La France insoumise ; cette liste n'est pas soutenue par l'instance nationale du parti et certains courants (Anticapitalisme & Révolution, L'Étincelle et Démocratie révolutionnaire) appellent à voter pour la liste présentée par Lutte ouvrière[10],[11][source secondaire souhaitée].

Le Courant communiste révolutionnaire, qui a obtenu 11,05 % des voix lors du congrès de 2018 annonce en la « pré-candidature » de leur militant Anasse Kazib. Cette action amplifie les clivages. Deux mois plus tard, 296 militants du courant annoncent leur départ du NPA, dénonçant un « long processus d'exclusion » et une ligne politique « droitière »[12],[13]. La direction du NPA indique : « Ils avaient un pied dedans et un pied dehors. Ils avaient leur propre média, leur organisation étudiante [Le Poing levé] et leur organisation féministe [Du pain et des roses] dont les interventions n’étaient pas discutées en notre sein[14] ». Pour Marianne, « la candidature d'Anasse Kazib illustre les tiraillements dans les milieux militants d'extrême gauche entre la ligne marxiste révolutionnaire historique et les influences décoloniales ou intersectionnelles, plus récentes et qui ne font plus de la lutte des classes leur principal moteur[15]. »

Campagne présidentielle d'Anasse Kazib

Anasse Kazib, porte-parole et candidat à l'élection présidentielle pour RP

Après le départ de Révolution permanente du NPA, la direction de l'organisation décide d'acter la candidature d'Anasse Kazib. Elle est à cette occasion défendue par près de 250 personnalités, dont par exemple Frédéric Lordon, Rokhaya Diallo ou encore François Bégaudeau[16].

Peu après le lancement de la campagne, il est la cible d'une campagne de cyberharcèlement de menaces de mort venant de l'extrême droite[17]. En février, des affiches racistes sont par exemple collées à la Sorbonne où le candidat est invité à répondre à des questions d'étudiants[18]. Anasse Kazib se plaint d'une invisibilisation médiatique de sa candidature[19]. Ainsi, du 1er janvier au 18 février 2022, son temps de parole sur l'ensemble des radios et des chaînes de télévision s'est élevé à 5 minutes et 01 secondes selon l'Arcom[20]. Arrêt sur images remarque qu'il est aussi régulièrement absent lorsque les chaînes de télévision évoquent le classement des candidats selon le nombre de leurs parrainages[21], contrairement à d’autres candidats disposant de moins de parrainages.

Le 9 février 2022, le candidat est censé participer à une séance de questions-réponses avec les étudiants de l'université Panthéon-Sorbonne au sein du Centre Panthéon, cet évènement prend place lors d'un cycle de conférences organisé à l'initiative de plusieurs organisations étudiantes dans le cadre des élections présidentielles de 2022, Yannick Jadot ayant par exemple été invité peu de temps avant. Cependant, à la suite de la campagne d'intimidation menée par l'extrême droite quelques jours plus tôt, plusieurs centaines d'étudiants se rassemblent une heure avant la conférence afin d'apporter leur soutien au candidat[22],[23]. Recensant plus de 450 personnes[24], Le Poing Levé décide de tenir la conférence à l'extérieur du centre Panthéon, compte tenu du fait que l'amphithéâtre octroyé par la présidence ne compte que 120 places assises. Finalement le candidat fait un meeting sur la place du Panthéon, il reçoit à cette occasion le soutien d'Assa Traoré, de Bruno Gaccio ou encore de SOS Racisme[22]. La direction de l'université dénonce le 10 février ce rassemblement devant ses locaux. Le 18 février, la candidat est convoqué au commissariat du Ve arrondissement de Paris, sur injonction du procureur de la République[25] pour « manifestation sur la voie publique sans déclaration »[26].

Il présente un programme communiste, révolutionnaire, écologiste, anti-impérialiste et luttant contre les discriminations[27],[15],[28] et notamment en direction de la jeunesse[29]. Il bénéficie notamment du soutien d'Assa Traoré, militante contre les violences policières[27],[30],[31], du journaliste Taha Bouhafs[15], de la sociologue Kaoutar Harchi[32] ou de la militante transféministe Sasha Yaropolskaya[27].

Le 3 mars, à l'initiative de Révolution permanente[33] et de 43 autres organisations, un rassemblement est organisé en soutien au candidat, convoqué le même jour au commissariat du 5e et du 6e arrondissement de Paris. Plusieurs personnalités sont présentes au rassemblement, dont notamment Sandrine Rousseau, Frédéric Lordon, Assa Traoré ou encore Sandra Lucbert. La comédienne et figure du mouvement MeToo, Adèle Haenel ne peut pas se déplacer, mais fait parvenir une lettre de soutien, lue par Sandra Lucbert. Elle déclare à cette occasion « Il y a un an je ne me serais pas définie comme anti capitaliste. Mais grâce au travail des militants de Révolution Permanente et d'Anasse, les idées ont vraiment fait leur chemin dans ma tête et dans mon cœur aussi. Maintenant, ça me semble une évidence qu'aucune émancipation n'est possible dans le cadre du capitalisme et qu'il faut mettre en place un autre système »[34],[35].

L'organisation ne réussit cependant pas à réunir les parrainages nécessaires pour présenter Anasse Kazib à l'élection présidentielle, totalisant 160 parrainages[36].

Post-présidentielle

Le 5 mai 2022, le journal en ligne du parti organise une émission de discussion politique avec Youssef Brakhni (membre du Comité Adama), Sasha Yaropolskaya (journaliste et militante transféministe, cofondatrice du journal XYmédia et ancienne porte-parole de la campagne d'Anasse Kazib), Daniela Cobet (membre du comité exécutif de RP), Kaoutar Harchi (sociologue), Anasse Kazib et Adèle Haenel (comédienne et figure du mouvement MeToo)[37]. Cette dernière déclare à cette occasion « Ce monde n'est pas vivable sous le capitalisme. C'est une évidence. Il faut renverser ce système, faut le changer. Révolution Permanente a posé cette question-là. On n'a pas le choix. Il faut un autre monde et c'est pas le moment de se reposer »[34]. La comédienne entérine donc à cette occasion son soutien à Révolution Permanente.

Participation au mouvement de grèves d'octobre 2022

Cortège de Révolution Permanente le 16 octobre 2022, en manifestation de soutien aux grévistes

L'organisation s'engage, notamment via son journal en ligne, au sein du mouvement de grève qui secoue la France en septembre et octobre 2022. Elle bénéficie d'une implantation dans les raffineries, notamment via le syndicaliste CGT et membre de Révolution Permanente Adrien Cornet[38]. L'organisation s'engage enfin au sein des nombreuses manifestations en soutien aux grévistes[39].

Congrès de fondation de l'organisation

Révolution Permanente n'ayant pas encore de textes internes démocratiquement établis, un congrès visant à fonder l'organisation[40] est organisé les 16, 17 et [39]. Plusieurs personnalités de la gauche française y prennent part, à l'image d'Assa Traoré et de Frédéric Lordon[41]. À l'issue de ce rassemblement, Révolution Permanente devient officiellement une organisation politique.

Organisations

Journal en ligne

Révolution permanente est avant toute chose le nom du journal en ligne de l'organisation, créé en 2015. Il est la version française de la Izquierda Diaro - Red Internacional, le journal en ligne de la Fraction trotskyste - Quatrième Internationale.

Le Poing Levé

Le Poing levé dans le cortège étudiant de la manifestation parisienne du 11 février 2023 contre la réforme des retraites

Le Poing Levé est l'organisation de jeunesse de Révolution permanente. Elle revendique au total une implantation au sein de 16 lieux de l'enseignement supérieur. Elle agit également dans les lycées, sous le nom du Poing Levé Lycée et rassemble par ailleurs de nombreux jeunes travailleurs[42].

L'organisation se fait remarquer en 2022 en bataillant[43] et en obtenant l'inscription d'étudiants fuyant l'Ukraine au sein de plusieurs universités françaises, à l'image de l'université Paris-VIII[44]. Le collectif s'oppose de plus à l'expulsion de ces étudiants[44], sommés de quitter le territoire français.

Le collectif bataille également contre la fermeture des universités faisant suite à l'occupation de la Sorbonne les 13 et 14 avril[45],[46].

Lors du mouvement contre la réforme des retraites de 2023, le collectif intervient dans le mouvement étudiant et les assemblées générales qui ont lieu dans différentes universités. L'organisation y défend des mots d'ordre d'alliance entre étudiants et travailleurs et condamne notamment le caractère raciste et patriarcal de la réforme[42],[47].

Du Pain et des Roses

Révolution permanente possède également sa propre organisation féministe, nommée Du Pain et des Roses[48], inspirée de son équivalent argentin Pan y Rosas.

L'organisation se définit comme « un collectif qui lutte pour l’émancipation de tous et toutes dans une perspective anticapitaliste, socialiste et révolutionnaire »[49].

Fraction trotskiste - Quatrième Internationale

Fraction trotskyste - Quatrième Internationale

L'organisation est membre de la Fraction trotskyste - Quatrième Internationale, une fédération internationale d'organisations trotskistes, principalement implantée en Amérique latine et dont le membre le plus connu est le PTS argentin.

Notes et références

  1. PTS, Argentina, « Une plateforme révolutionnaire est née dans le NPA! », sur Fraction trotskiste – Quatrième Internationale, 2 décembre de 2012
  2. (es) « ¿Qué es el Colectivo por una Tendencia Revolucionaria? », sur Fraccion trotskista cuarta internacional (consulté le )
  3. Abel Mestre, « Scission ou exclusion ? Le NPA secoué par une importante crise interne », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. Sylvia Zappi, « Le Nouveau Parti anticapitaliste menacé d’implosion », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  5. Lucas Sarafian, « Le NPA fait campagne pour sa survie », Politis,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. Mathilde Goanec, « Présidentielle : Philippe Poutou candidat au nom d'un parti ébranlé », Médiapart,‎ (lire en ligne)
  7. « Les conseillers municipaux », sur bordeaux.fr, .
  8. « Résultats et commentaires des élections municipales à Bordeaux et sa métropole », sur rue89bordeaux, (consulté le )
  9. BFM TV, « Besancenot: le NPA "n'a pas les moyens" de se présenter aux régionales », sur dailymotion.com (consulté le ).
  10. « Défendre l’expression indépendante des révolutionnaires, aux élections aussi », sur anticapitalisme-et-revolution.blogspot.com (consulté le ).
  11. « Révolution permanente quittent Bordeaux en Lutte », sur revolutionpermanente.fr (consulté le ).
  12. « Le NPA d'Olivier Besancenot au bord de la scission », sur La Lettre A, (consulté le ).
  13. « Scission au NPA : la direction accusée de « droitiser » le parti », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  14. Abel Mestre, « Scission ou exclusion ? Le NPA secoué par une importante crise interne », Le monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. a b et c « Présidentielle 2022 : Anasse Kazib, candidat "marxiste" et adoubé par les décoloniaux », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. Anasse Kazib, « Tribune : Dans une élection au racisme décomplexé, l'absence d'Anasse Kazib serait une défaite », sur Blogs.Mediapart,
  17. Sarah Dupont, Yovan Simovic et Marceau Taburet, « Présidentielle: Poutou, Arthaud, Kazib, trois trotskystes pour un petit capital », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. Mathieu Dejean, « Une conférence d’Anasse Kazib se transforme en front antifasciste », Médiapart,‎ (lire en ligne)
  19. Dorine Goth, « Présidentielle : Anasse Kazib dénonce son faible temps de parole et veut saisir le CSA », sur actu.fr (consulté le )
  20. Guillaume Novelo, « Révolutionnaire, Anasse Kazib veut porter une candidature « subversive » », sur 20 minutes (consulté le )
  21. « Anasse kazib, 122-parrainages, candidat-fantôme à la télé », sur Arrêt sur image (consulté le )
  22. a et b « Une conférence d'Anasse Kazib se transforme en front antifasciste », sur Médiapart,
  23. Jean-Loup Adenor, « Provoqué par Génération identitaire, Anasse Kazib mobilise ses troupes place du Panthéon », Marianne,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. Meline Escrihuela, « Menacé par l'extrême-droite, Anasse Kazib remplit le Panthéon », sur Bondy Blog, (consulté le )
  25. « Le candidat Anasse Kazib convoqué par la police », sur Médiapart,
  26. Mathilde Roche, « Pourquoi Philippe Poutou et Anasse Kazib ont-ils été convoqués par la police? », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. a b et c Léa Dang, « Anasse Kazib se veut le candidat de l’écologie prolétarienne », sur Reporterre, (consulté le ).
  28. (en) « Who is Anasse Kazib? », sur Left Voice, (consulté le )
  29. Corentin Alloune, « Anasse Kazib, candidat de Révolution permanente, réunit les Bordelais déçus d'une "extrême-gauche pas à la hauteur" », Rue 89 Bordeaux,‎ (lire en ligne, consulté le )
  30. Julie Carriat et Claire Mayer, « Élection présidentielle 2022 : les candidats trotskistes en campagne sans souci d’unité », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Daphné Deschamps, « Anasse Kazib, petit candidat, grandes ambitions », Politis,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. Collectif, « “C’est ça la gauche, à mes yeux : c’est ne perdre personne.”, entretien avec Kaoutar Harchi, partie I : situer », sur Positions revue,
  33. « Présidentielle : le candidat d’extrême gauche Anasse Kazib sous le coup d’une enquête pour un rassemblement illégal », Valeurs Actuelles,‎ (lire en ligne)
  34. a et b Bleuenn Robert, « L'actrice Adèle Haenel espère « la fin du système capitaliste » », La Figaro,‎ (lire en ligne, consulté le )
  35. Samya Yakoubaly, « Adèle Haenel : Douche froide pour le clivant candidat qu'elle soutenait à la présidentielle... », sur Pure People,
  36. « Les parrainages validés par candidat - Conseil constitutionnel présidentielle 2022 », sur presidentielle2022.conseil-constitutionnel.fr
  37. Philomène Rozan, « « Il faut arrêter avec le moins pire, il y a une urgence révolutionnaire » : retour sur l'émission de RP », sur Révolution Permanente,
  38. Marceau Taburet, « Adrien Cornet, un vert de rouge », Libération,‎ (lire en ligne)
  39. a et b « Journée de grève en direct: 107.000 personnes ont manifesté en France », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  40. Mathieu Dejean, « À l’extrême gauche, le NPA s’est autodétruit », Médiapart,‎ (lire en ligne)
  41. Vincent Bresson, « NPA scindé, congrès fondateur de Révolution Permanente : remous à l’extrême gauche », Le Journal du Dimanche,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. a et b « A Tolbiac, les étudiants s'organisent contre une réforme des retraites patriarcales », Libération,‎ (lire en ligne).
  43. Christine Morice, « Bordeaux : ils ont manifesté pour la défense de tous les étudiants réfugiés d’Ukraine », Sud-Ouest,‎ (ISSN 1760-6454, lire en ligne, consulté le )
  44. a et b « Ukraine: des étrangers qui ont fui la guerre sommés de quitter la France », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  45. Marie Amelie Marchal, « Carte. Mobilisation des étudiants à Paris contre la fermeture des universités », sur actu.fr,
  46. Maud Kenigswald et Paul De Montferrand, « Mouvement dans les universités: derrière les mots d’ordre, les revendications floues des manifestants », La Figaro,‎ (lire en ligne)
  47. https://www.20minutes.fr/societe/reforme_des_retraites/4023830-20230215-reforme-retraites-mirail-etudiants-veulent-imposer-rythme-plus-radical-mouvement-contestation
  48. « Alberta, du pain et des roses », sur Ballast,
  49. https://www.huffingtonpost.fr/people/article/adele-haenel-appelle-a-la-greve-generale-pour-faire-le-portrait-de-la-jeunesse-en-feu_214380.html

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes