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« Fondation Res Publica » : différence entre les versions

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La '''Fondation Res Publica''' est une fondation [[Reconnaissance d'utilité publique en France|reconnue d'utilité publique]], par décret du 30 décembre 2005<ref>{{Lien web|url=http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000813888|titre=Décret du 30 décembre 2005 portant reconnaissance d'une fondation comme établissement d'utilité publique|site=www.legifrance.gouv.fr|en ligne le=31 décembre 2005|consulté le=11 juin 2012}}</ref> et présidée par [[Jean-Pierre Chevènement]].
La '''Fondation Res Publica''' est une fondation [[Reconnaissance d'utilité publique en France|reconnue d'utilité publique]], par décret du 30 décembre 2005<ref>{{Lien web|url=http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000813888|titre=Décret du 30 décembre 2005 portant reconnaissance d'une fondation comme établissement d'utilité publique|site=www.legifrance.gouv.fr|en ligne le=31 décembre 2005|consulté le=11 juin 2012}}</ref>. Fondée par [[Jean-Pierre Chevènement]], elle est aujourd'hui présidée par Marie-Françoise Bechtel.


== Description ==
== Description ==


La Fondation s'est donné pour objectif la réflexion, l'analyse et la capacité de proposer des choix de politiques publiques, face aux grands enjeux actuels, dans le cadre national et dans le cadre du monde [[Mondialisation|globalisé]]. La Fondation souhaite une évolution vers un dialogue réel des cultures et des nations, dont la traduction politique est la [[Multilatéralisme|multilatéralité]] dans la prise de décision et la conduite des actions les plus importantes pour l'avenir du monde.
La Fondation poursuit un travail de réflexion et de proposition destiné à irriguer le débat public et à apporter un appui aux décideurs publics et privés, qu’ils soient ministres, parlementaires, hauts fonctionnaires ou encore chefs d’entreprises. Elle s'est donnée pour objectif la réflexion, l'analyse et la capacité de proposer des choix de politiques publiques, face aux grands enjeux actuels, dans le cadre national et dans le cadre européen. La Fondation souhaite une évolution vers un dialogue réel des cultures et des nations, dont la traduction politique est la [[Multilatéralisme|multilatéralité]] dans la prise de décision et la conduite des actions les plus importantes pour l'avenir du monde.


La Fondation Res Publica s'est attachée, depuis sa création, à examiner les principaux défis actuels dans leur dimension thématique (crise économique et financière internationale<ref> [http://www.fondation-res-publica.org/Radiographie-des-entreprises-francaises_r78.html/ Radiographie et perspectives de la crise] Colloque du 13 décembre 2011</ref>, avenir de l'[[euro]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/Approches-theorique-et-pratique-d-une-monnaie-commune_r93.html/ Approches théorique et pratique de la monnaie commune]. Table-ronde du 13 février 2012</ref>, [[politique industrielle]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/Strategie-des-grands-groupes-et-politique-industrielle-francaise_r67.html/ Stratégie des grands groupes et politique industrielle de la France] Colloque du 12 avril 2010 </ref>, par exemple).
La Fondation Res Publica s'est attachée, depuis sa création, à examiner les principaux défis actuels dans leur dimension thématique (crise économique et financière internationale<ref> [http://www.fondation-res-publica.org/Radiographie-des-entreprises-francaises_r78.html/ Radiographie et perspectives de la crise] Colloque du 13 décembre 2011</ref>, avenir de l'[[euro]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/Approches-theorique-et-pratique-d-une-monnaie-commune_r93.html/ Approches théorique et pratique de la monnaie commune]. Table-ronde du 13 février 2012</ref>, [[politique industrielle]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/Strategie-des-grands-groupes-et-politique-industrielle-francaise_r67.html/ Stratégie des grands groupes et politique industrielle de la France] Colloque du 12 avril 2010 </ref>, refondation de l'école, souveraineté alimentaire, politique étrangère de la France, évolution de nos institutions).


Depuis 2012, la Fondation Res Publica met en place un prix récompensant un travail universitaire de type « mémoire » (50 à 70 pages) sur le thème de « l'idée républicaine » (perceptions/représentations et/ou actualité des valeurs républicaines). Ce prix s'adresse aux étudiants en [[Diplôme national de master (France)|Master]] 2 ou en voie [[Diplôme national de doctorat (France)|doctorale]], en [[science politique]], [[histoire contemporaine]], [[Économie (discipline)|économie]], [[relations internationales]], [[sociologie]], etc.
Depuis 2009, elle s'est consacrée particulièrement à l'analyse des phénomènes marquants de la crise et du désordre mondial. La crise systémique du [[capitalisme financier]] met en évidence la nécessité de réformer le [[système bancaire]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/La-reforme-des-banques_r92.html/ La réforme des banques] Colloque du 23 janvier 2012</ref> ainsi que le [[système monétaire international]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/Quel-systeme-monetaire-international-pour-un-monde-multipolaire_r62.html/ Quel système monétaire international pour un monde multipolaire ?] Colloque du 19 octobre 2010</ref>.

En 2012, et pour la première année, la Fondation Res Publica met en place un prix récompensant un travail universitaire de type « mémoire » (50 à 70 pages) sur le thème de « l'idée républicaine » (perceptions/représentations et/ou actualité des valeurs républicaines). Ce prix s'adresse aux étudiants en [[Diplôme national de master (France)|Master]] 2 ou en voie [[Diplôme national de doctorat (France)|doctorale]], en [[science politique]], [[histoire contemporaine]], [[Économie (discipline)|économie]], [[relations internationales]], [[sociologie]], etc.


== Organisation ==
== Organisation ==


Son [[conseil d'administration]] est composé de sept personnes.
Son [[conseil d'administration]] est composé de neuf personnes.


Son conseil scientifique est présidé par [[Alain Dejammet]]. Les membres de ce conseil sont : David Amsellem, [[Jean-Yves Autexier]], [[Jean-Baptiste Barfety]], [[Marie-Françoise Bechtel]], Françoise Bellanger, [[Guillaume Bigot]], [[Didier Billion]], Lucien Bourgeois, [[Thomas Branthôme]], [[Gaël Brustier]], Antoine Cargoët, [[Jean-Pierre Chevènement]], [[Jérôme Clément]], [[Pierre Conesa]], [[Jean-Pierre Cossin]], [[Franck Dedieu]], [[Jean-Marie Delarue]], [[David Djaïz]], [[Jacques Fournier (fonctionnaire)|Jacques Fournier]], Dominique Garabiol, Jean-Luc Gary, Michèle Gendreau-Massaloux, [[Jean-Luc Gréau]], [[Christophe Guilluy]], Sylvain Hercberg, [[Édouard Husson (historien)|Édouard Husson]], [[Anne-Marie Le Pourhiet]], [[Thierry Le Roy]], Julien Landfried, [[Dominique Lecourt]],François Lucas, [[Benjamin Morel]], [[Sami Naïr]], [[Jean-Michel Naulot]], Jean-Paul Pagès{{qui}}, [[Pierre Papon]], [[Henri Peña-Ruiz]], Nathalie Pilhes, Vincent Potier, [[Jean-Michel Quatrepoint]], Patrick Quinqueton, [[Youri Roubinski]], [[Jean-Éric Schoettl]], [[Michel Suchod]], Jacques Warin.
Son conseil scientifique est présidé par Benjamin Morel. Les membres de ce conseil sont : David Amsellem, [[Jean-Yves Autexier]], [[Jean-Baptiste Barfety]], [[Marie-Françoise Bechtel]], Françoise Bellanger, Françoise Bouvier, [[Guillaume Bigot]], [[Didier Billion]], Lucien Bourgeois, [[Thomas Branthôme]], Antoine Cargoët, [[Jean-Pierre Chevènement]], [[Jérôme Clément]], [[Pierre Conesa]], [[Jean-Pierre Cossin]], [[Franck Dedieu]], [[Jean-Marie Delarue]], [[David Djaïz]], Frédéric Farah, Dominique Garabiol, Jean-Luc Gary, Michèle Gendreau-Massaloux, [[Christophe Guilluy]], Sylvain Hercberg, [[Édouard Husson (historien)|Édouard Husson]], [[Anne-Marie Le Pourhiet]], [[Thierry Le Roy]], Julien Landfried, François Lucas, Alain Meininger, [[Sami Naïr]], [[Jean-Michel Naulot]], Jean-Paul Pagès{{qui}}, [[Pierre Papon]], [[Henri Peña-Ruiz]], Nathalie Pilhes, Vincent Potier, [[Jean-Michel Quatrepoint]], Patrick Quinqueton, [[Youri Roubinski]], [[Jean-Éric Schoettl]], [[Michel Suchod]], Jacques Warin.


;Direction
;Direction


* Président : [[Jean-Pierre Chevènement]]
* Présidente : [[Marie-Françoise Bechtel]]
* Président d'honneur et fondateur : [[Jean-Pierre Chevènement]]
* Vice-présidente : [[Marie-Françoise Bechtel]]
* Vice-présidente : Jean-Yves Autexier
* Directeur : Joachim Le Floch-Imad
* Directeur : Joachim Le Floch-Imad
* Président du conseil scientifique : [[Alain Dejammet]]
* Président du conseil scientifique : Benjamin Morel
* Secrétaire générale : Ghita Benjelloun
* Secrétaire générale : Ghita Benjelloun
* Transcriptrice : Marie-Pierre Logelin
* Transcriptrice : Marie-Pierre Logelin
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== Ouvrages et publications ==
== Ouvrages et publications ==
La Fondation Res Publica dispose d'un large éventail de textes de réflexion et d'analyse portant sur des sujets plus spécifiques et plus en lien avec l'actualité :
La Fondation Res Publica publie les actes de ces colloques et séminaires sous forme de cahiers et dispose par ailleurs d'un large éventail de textes de réflexion et d'analyse portant sur des sujets plus spécifiques et plus en lien avec l'actualité :
* [[Réindustrialisation]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/La-reindustrialisation-doit-etre-le-coeur-de-cible-de-toute-action-publique_a619.html/ La réindustrialisation doit être le cœur de cible de toute action publique] Baptiste Petitjean, le 15 novembre 2011</ref>
* [[Réindustrialisation]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/La-reindustrialisation-doit-etre-le-coeur-de-cible-de-toute-action-publique_a619.html/ La réindustrialisation doit être le cœur de cible de toute action publique] Baptiste Petitjean, le 15 novembre 2011</ref>
* [[Crise de la zone euro]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/La-crise-de-l-euro-marque-la-fin-de-l-irreal-politik-federale_a603.html/ La crise de l’euro marque la fin de l’ « irreal politik » fédérale] Julien Landfried, le 21 septembre 2011</ref>
* [[Crise de la zone euro]]<ref>[http://www.fondation-res-publica.org/La-crise-de-l-euro-marque-la-fin-de-l-irreal-politik-federale_a603.html/ La crise de l’euro marque la fin de l’ « irreal politik » fédérale] Julien Landfried, le 21 septembre 2011</ref>

Version du 6 mai 2022 à 11:41

Fondation Res Publica
Histoire
Fondation
Cadre
Forme juridique
Domaine d'activité
Établissement reconnu d'utilité publique
Financement
Subventions publiques, dons de personnes morales et physiques
Siège
Pays
Organisation
Président
Idéologie
Site web

La Fondation Res Publica est une fondation reconnue d'utilité publique, par décret du 30 décembre 2005[1]. Fondée par Jean-Pierre Chevènement, elle est aujourd'hui présidée par Marie-Françoise Bechtel.

Description

La Fondation poursuit un travail de réflexion et de proposition destiné à irriguer le débat public et à apporter un appui aux décideurs publics et privés, qu’ils soient ministres, parlementaires, hauts fonctionnaires ou encore chefs d’entreprises. Elle s'est donnée pour objectif la réflexion, l'analyse et la capacité de proposer des choix de politiques publiques, face aux grands enjeux actuels, dans le cadre national et dans le cadre européen. La Fondation souhaite une évolution vers un dialogue réel des cultures et des nations, dont la traduction politique est la multilatéralité dans la prise de décision et la conduite des actions les plus importantes pour l'avenir du monde.

La Fondation Res Publica s'est attachée, depuis sa création, à examiner les principaux défis actuels dans leur dimension thématique (crise économique et financière internationale[2], avenir de l'euro[3], politique industrielle[4], refondation de l'école, souveraineté alimentaire, politique étrangère de la France, évolution de nos institutions).

Depuis 2012, la Fondation Res Publica met en place un prix récompensant un travail universitaire de type « mémoire » (50 à 70 pages) sur le thème de « l'idée républicaine » (perceptions/représentations et/ou actualité des valeurs républicaines). Ce prix s'adresse aux étudiants en Master 2 ou en voie doctorale, en science politique, histoire contemporaine, économie, relations internationales, sociologie, etc.

Organisation

Son conseil d'administration est composé de neuf personnes.

Son conseil scientifique est présidé par Benjamin Morel. Les membres de ce conseil sont : David Amsellem, Jean-Yves Autexier, Jean-Baptiste Barfety, Marie-Françoise Bechtel, Françoise Bellanger, Françoise Bouvier, Guillaume Bigot, Didier Billion, Lucien Bourgeois, Thomas Branthôme, Antoine Cargoët, Jean-Pierre Chevènement, Jérôme Clément, Pierre Conesa, Jean-Pierre Cossin, Franck Dedieu, Jean-Marie Delarue, David Djaïz, Frédéric Farah, Dominique Garabiol, Jean-Luc Gary, Michèle Gendreau-Massaloux, Christophe Guilluy, Sylvain Hercberg, Édouard Husson, Anne-Marie Le Pourhiet, Thierry Le Roy, Julien Landfried, François Lucas, Alain Meininger, Sami Naïr, Jean-Michel Naulot, Jean-Paul Pagès[Qui ?], Pierre Papon, Henri Peña-Ruiz, Nathalie Pilhes, Vincent Potier, Jean-Michel Quatrepoint, Patrick Quinqueton, Youri Roubinski, Jean-Éric Schoettl, Michel Suchod, Jacques Warin.

Direction
  • Présidente : Marie-Françoise Bechtel
  • Président d'honneur et fondateur : Jean-Pierre Chevènement
  • Vice-présidente : Jean-Yves Autexier
  • Directeur : Joachim Le Floch-Imad
  • Président du conseil scientifique : Benjamin Morel
  • Secrétaire générale : Ghita Benjelloun
  • Transcriptrice : Marie-Pierre Logelin

Prises de position

Fondée sur l'exigence et l'actualité d'un modèle républicain pour le XXIe siècle, la Fondation a tout particulièrement consacré sa réflexion à la crise économique internationale, aux réponses à apporter, au nouveau modèle de développement à favoriser, à la lumière d'un intérêt général seul capable d'équilibrer les dérives du marché. À travers le prisme républicain, la Fondation cherche à approfondir sa réflexion[5] sur :

La Fondation Res Publica a également orienté sa réflexion à partir de cadres géographiques particuliers : espace euro-méditerranéen[6], les révoltes dans le monde arabe[7], la Chine[8], l'Amérique latine[9] ou encore l'avenir de l'Iran[10], etc. La Fondation s'attache à étudier les dynamiques profondes (économiques, sociologiques, historiques, etc.) qui traversent ces différentes régions. L'indépendance nationale de la France et la recherche d'une autonomie stratégique européenne constituent les piliers de la réflexion que mène la Fondation sur les enjeux internationaux.

Elle a réservé une place très importante à l'Europe et à la relation franco-allemande dans toutes ses dimensions[11]. En effet, la Fondation consacre beaucoup d'effort à la connaissance approfondie des évolutions de notre voisin et partenaire. Il s'agit de formuler un cadre de réflexion et des propositions en mesure d'influencer la politique de l'Allemagne et de promouvoir la croissance en Europe, sans dissimuler les obstacles qui se trouvent sur ce chemin.

La Fondation s'est également consacrée à une réflexion approfondie sur l'évolution de la société : l'École et la société du savoir[12], l'évolution des inégalités en France[13], l'organisation du travail[14], l'analyse du système politico-médiatique[15], les enjeux environnementaux[16]

Ouvrages et publications

La Fondation Res Publica publie les actes de ces colloques et séminaires sous forme de cahiers et dispose par ailleurs d'un large éventail de textes de réflexion et d'analyse portant sur des sujets plus spécifiques et plus en lien avec l'actualité :

La collection L'idée républicaine est éditée par la Fondation Res Publica avec les éditions Fayard. Les ouvrages parus sont :

Notes et références

  1. « Décret du 30 décembre 2005 portant reconnaissance d'une fondation comme établissement d'utilité publique », sur www.legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  2. Radiographie et perspectives de la crise Colloque du 13 décembre 2011
  3. Approches théorique et pratique de la monnaie commune. Table-ronde du 13 février 2012
  4. Stratégie des grands groupes et politique industrielle de la France Colloque du 12 avril 2010
  5. A demain la République ? Colloque du 10 octobre 2011
  6. Quelles perspectives pour la France en Méditerranée ? Colloque du 17 janvier 2011
  7. Un printemps arabe ? Séminaire du 26 mai 2011
  8. Qu'est-ce que le communisme chinois ? Séminaire du 22 février 2010
  9. L’Amérique latine en mouvement Colloque du 14 décembre 2009
  10. Où va l’Iran ? Colloque du 23 novembre 2009
  11. Les choix de l’Allemagne Colloque du 18 octobre 2010
  12. Quelle université française pour demain ? Colloque du 13 septembre 2010
  13. Que sont devenues les couches populaires ? Séminaire du 30 novembre 2009
  14. Une politique du travail Colloque du 9 janvier 2012
  15. La démocratie peut-elle survivre au système politico-médiatico-sondagier ? Colloque du 10 septembre 2007
  16. Quelle politique industrielle pour relever le défi climatique ? Colloque du 16 mai 2011
  17. La réindustrialisation doit être le cœur de cible de toute action publique Baptiste Petitjean, le 15 novembre 2011
  18. La crise de l’euro marque la fin de l’ « irreal politik » fédérale Julien Landfried, le 21 septembre 2011
  19. Collectivités territoriales : faire de la politique Patrick Quinqueton, le 23 juin 2011
  20. Les prémices d’un pluralisme politique « à la russe » ? Kevin Limonier, le 20 janvier 2012

Voir aussi

Liens externes