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La '''French touch''' ({{IPA-en|fɹɛntʃ tʌtʃ|}}; littéralement « la patte française »)<ref group=n>« Patte » étant pris dans le sens de « style caractéristique ». Autres appellations parfois rencontrées : « l'école française », « le style français » (sous-entendu : de musique ''house'').</ref>, ou '''French house''', est un courant musical né en France en 1990, reconnu internationalement comme la déclinaison française de la [[house music|musique house]]. Si, au départ, elle s'inscrivait dans cette dernière par l'utilisation de samples souvent puisés dans le [[funk]] et le [[disco]], au fil des années, ses sources d'inspiration se sont étendues à tous les styles musicaux<ref>Comme c'est le cas avec le groupe de rock [[Phoenix (groupe)|Phoenix]].</ref>.

Ses principaux représentants sont issus de la scène électronique parisienne des années 1990, les plus connus étant<ref group=n>Outre [[Alan Braxe]], [[Alex Gopher]], [[Benjamin Diamond]], [[Bob Sinclar]], [[Cassius (groupe)|Cassius]], [[Demon (musicien)|Demon]], [[Etienne de Crécy]], [[I:Cube]], [[Joachim Garraud]], [[Laurent Garnier]], [[Martin Solveig]], [[Modjo]], [[Shazz]], [[St Germain (musicien)|St Germain]], [[The Supermen Lovers]].</ref> les groupes ou artistes [[Daft Punk]], [[Étienne de Crécy|Etienne de Crécy]], [[The Supermen Lovers]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Exposition «Electro» à La Philharmonie : 5 clips emblématiques de la French Touch |url=https://www.cnews.fr/culture/2019-04-08/exposition-electro-la-philharmonie-5-clips-emblematiques-de-la-french-touch |site=CNEWS |consulté le=2020-11-23}}</ref>, [[Air (groupe)|Air]], [[Justice (groupe)|Justice]], [[Kavinsky]], [[Sebastian (musicien)|Sebastian]], [[DJ Mehdi]] ou encore [[Quentin Dupieux|Mr. Oizo]].


== Histoire ==
== Histoire ==
=== Origine du nom ===
=== Origine du nom ===
il fait beau
L'appellation apparaît pour la première fois à Paris en {{date-|juin 1987}}, lorsque le photographe des nuits parisiennes [[Jean-Claude Lagrèze]] crée les soirées ''French touch'' au [[Le Palace (Paris)|Palace]], faisant découvrir la musique house et les DJ [[Laurent Garnier]], Guillaume la Tortue et [[David Guetta]]<ref group=n>Sur le carton d'invitation de la « première soirée French touch » dans la boîte de nuit Le Palace, on lit : {{Citation|FRENCH TOUCH : Tous les mercredis French touch au Palace sur une idée de Jean-Claude Lagrèze/ MERCREDI 3 JUIN 1987 / à partir de 23 heures}}.</ref>.


=== Années 1768 ===
L'expression est ensuite reprise en 1991 au dos d'un blouson créé la même année par Éric Morand pour le label [[Fnac Music Dance Division]] et portant l'inscription {{citation|''{{lang|en|We Give a French Touch to House}}''}} (« Nous donnons une touche française à la musique house »)<ref>JMe, [http://www.sanchodoesfcom.com/index.php/fnac-music-dance-division FNAC Music Dance Division, Sancho does F Communications], site ''sanchodoesfcom.com'' : {{Citation|1991. Fnac Music, la maison de disques du groupe, décide de s'ouvrir à ces nouvelles musiques électroniques qui agitent les nations européennes. Bien inspirée, la direction fait appel à Éric Morand, alors attaché de presse chez Barclay, pour mener cette expérience. […] de cette entente va naître Fnac Music Dance Division, première référence hexagonale en matière de musique électronique. […] le terme french touch a été utilisé pour la première fois par Fnac Music Dance Division dans la phrase ''We give a french touch to house'', doctrine affichée sur certaines de leurs publicités et surtout imprimée aux dos des quelques blousons qu'ils ont offerts aux proches du label.}}</ref>{{,}}<ref name="chal2013">{{article |prénom1=Chloé|nom1=Dussapt|titre=Les musiciens : Aux oreilles du monde|périodique=Challenges|lien périodique=Challenges |numéro=345|jour=15|mois=5|année=2013|pages=60|issn=0751-4417 |consulté le=18 février 2016|passage=Selon l'organisme chargé de soutenir les productions françaises à l'étranger, le champion des ventes à l'international reste David Guetta […]}}</ref>. Les journalistes britanniques popularisent le terme et contribuent à la diffusion du mouvement outre-Manche où arrivent, à partir de 1996, des productions électroniques françaises en grande quantité.

=== Années 1980 ===
[[Fichier:French touch 87.jpg|thumb|Carton d'invitation à la première soirée French touch au Palace, à [[Paris]], en 1987.]]
[[Fichier:French touch 87.jpg|thumb|Carton d'invitation à la première soirée French touch au Palace, à [[Paris]], en 1987.]]
les oiseaux chantent
En 1988, [[Margaret Thatcher]], à l'époque Premier ministre britannique, décide d'interdire les rassemblements autour de la « musique répétitive »<ref>Musiques et fêtes techno : l'exception franco-britannique des ''free parties'', in ''Revue française de sociologie'', vol. 44, No 1, 2003, p. 76 : {{Citation|Tout ceci ne manque pas de faire réagir les autorités. En 1994, le gouvernement promulgue le Criminal Justice Bill (CJB), qui vise à interdire les festivals illégaux de techno et leur "repetitive beats".}}</ref>, à la suite de l'hystérie provoquée par le ''{{lang|en|[[Second Summer of Love]]}}''. Cette mesure anti-[[techno]] va inciter les grandes [[rave party|raves]] (fêtes [[techno]]) du [[Royaume-Uni]] à s'exiler en France<ref>Musiques et fêtes techno : l'exception franco-britannique des ''free parties'', op. cit., p. 76-77 : {{Citation|Le climat britannique hostile avait poussé certaines tribus de ''travellers'' à s'exiler en France. À la suite des mesures répressives du gouvernement britannique, beaucoup arrêtent tout simplement leurs activités. […] Le premier ''Teknival'' français a lieu le 23 juillet 1993 à Beauvais (39) : y figurent les tribus britanniques ''Spiral Tribe'' et ''Bedlam'', ainsi que la première tribu française formée sur le modèle britannique, les ''Nomads''.}}</ref>.

À l'été de cette même année, les jeunes Français découvrent donc les raves et les DJ techno. Parmi eux, [[Laurent Garnier]] sera, avec [[Erik Rug]], l'un des premiers DJ à mixer les classiques techno et [[house music|house]] de [[Chicago]] ou de [[Détroit (Michigan)|Détroit]] à [[Paris]] en club lors des soirée H3O à la Locomotive<ref>{{lien web |titre=Happy birthday Laurent Garnier, part 1|périodique=TSUGI magazine|lire en ligne=https://www.tsugi.fr/happy-birthday-laurent-garnier-part-1/|consulté le=2017-08-06}}</ref>{{,}}<ref>{{lien web |titre=L'époque où le DJ Laurent Garnier a séduit un public punk|date=2016-12-16|lire en ligne=https://live-arena.com/laurent-garnier-converti-club-punk-a-musique-electro/|consulté le=2017-08-07}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |titre=French Waves|url=https://french-waves.com/contenu/1989/|site=french-waves.com|consulté le=2017-08-07}}</ref>.

Plus tard, un label britannique [[culture underground|underground]] et avant-gardiste, ''{{lang|en|[[Mo' Wax]]}}'', semble avoir influencé certains des précurseurs de la scène française<ref>{{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Stéphane |nom1=Jourdain |titre=French Touch |sous-titre=des raves aux supermarchés, l'histoire d'une épopée électro |éditeur=Castormusic |lieu=Bordeaux |année=2005 |pages totales=190 |isbn=2-85920-609-4 |consulté le=25 mars 2012}}.</ref> comme Guillaume la Tortue, Francesco Farfa, [[Jerome Pacman|Jérôme Pacman]], Olivier le Castor, Jack de Marseille, [[Étienne de Crécy]] et [[Philippe Zdar]] (futurs [[Motorbass]]), [[Dominique Dalcan|Snooze]], DJ Grégory, [[Shazz]] ou [[Kid Loco]], alors férus de [[rock 'n' roll|rock]], de [[hip-hop]] ou de [[jazz]]<ref>{{Ouvrage|prénom=Guillaume|nom=Kosmicki|lien auteur=Guillaume Kosmicki|titre=Musiques électroniques |sous-titre=des avant-gardes aux dance floors |éditeur=Mot et le reste |année=2009 |pages totales= |passage=353 |isbn=}}</ref>. Aussi les influences de cette génération d'artistes se trouvent-elles non seulement dans les tubes [[acid jazz]] et [[techno]] de l'époque mais aussi dans le [[funk]], la [[disco]], le jazz et la [[musique soul|soul]].


=== Années 1990 ===
=== Années 1990 ===
les roses fleurissent
DJ Yellow fonde, avec [[Bob Sinclar]], un [[Label discographique|label]] [[Yellow productions]] ; c'est chez [[Champs Disques]], la boutique parisienne des Champs-Élysées, que DJ Yellow adolescent et alors ni disc jockey, ni producteur, a une révélation. Bien plus tard au début des années 1990, son label rencontre en peu de temps le succès : lui et Bob Sinclar sont invités à jouer à l'étranger, au Japon ou aux États-Unis{{sfn|Richard|2013|p=178 à 181|id=R13}} ; au début des années 1990, peu de DJ français, à l'exception notable de Laurent Garnier essentiellement en Angleterre, ou de [[Dimitri from Paris]] un peu plus tard, se produisent hors des frontières{{sfn|Richard|2013|p=181|id=R13}}. Au début des années 1990, la création de son propre label permet de s'affranchir des [[Major (industrie musicale)|majors]] alors frileuses face à cette vague de créations francophones{{sfn|Richard|2013|p=281|id=R13}}.
Les artistes de la scène française commencent à produire et à éditer des titres qui grimpent rapidement dans les classements britanniques et ne laissent pas indifférents les critiques d'outre-Manche, lesquels n'hésitent pas à prendre l'[[Eurostar]] pour venir les écouter et écrire des articles sur la « French disco », le « Paris beat », la « French hype », la « nouvelle vague » ou même la « baguette beat »<ref>{{Ouvrage |auteur1=Violaine Schütz |titre=DAFT PUNK. Humains après tout |éditeur=Camion blanc |année=2014 |pages totales= |passage=47 |isbn=}}.</ref>.

La French touch balbutiante voit apparaître [[Air (groupe)|Air]], Dimitri from Paris, [[Cassius (groupe)|La Funk Mob]] et [[DJ Cam]], artistes produisant des sonorités très influencées par le [[trip hop]]. Mais les styles musicaux sont encore variés et une véritable différenciation se fait entre les DJ jouant de la house (laquelle n'est guère répandue en France à l'époque) et les autres{{sfn|Richard|2013|p=182|id=R13}}. Les [[Daft Punk]] commencent à travailler chez eux à leurs premiers [[Extended play (musique)|maxis]]. En France, le mouvement est encore très marginal au début des années 1990 et se concentre en quelques points névralgiques de la capitale, notamment chez les disquaires, où ces mêmes artistes sont à l'affût des nouveautés{{sfn|Richard|2013|p=192 et 193|id=R13}}.

En 1995, la French touch commence à prendre véritablement son essor avec la sortie de l'album ''{{lang|en|[[Boulevard (album)|Boulevard]]}}'' de [[St Germain (musicien)|St Germain]], de son vrai nom Ludovic Navarre. Un disque au son [[acid jazz]] et [[deep house]], encensé par la presse britannique notamment via le ''{{lang|en|New Musical Express}}'' ou encore ''{{lang|en|[[Mixmag]]}}''<ref>{{lien web|lang=en|passage=Boulevard, Navarre's first album, focused on a fusion of electronic music and jazz. The album was elected for Record of the Year in England by some of the major dance publications and nominated for the Dance Music Awards in London.|url=http://www.abc.net.au/triplej/music_specials/s1402002.htm|titre=J FILES: France|site=abc.net|en ligne le=12 avril 2001|consulté le=25 mars 2012}}.</ref>. Puis en 1996, c'est au tour du [[duo]] Motorbass de connaître un succès mondial à la sortie de l'album ''{{lang|en|Pansoul}}''. Début 1997, l'album ''{{lang|en|[[Homework]]}}'' des Daft Punk achève d'établir ce mouvement musical sur les scènes nationale et internationale<ref>{{lien web|lang=en|passage=Cocorico : les Daft Punk ont révolutionné la scène électronique nationale et internationale. […] Le phénomène Daft Punk est néanmoins le déclencheur de cet engouement dont fut l’objet l’hexagone jusqu’au début des années 2000.|url=http://www.nonfiction.fr/article-1285-humains_apres_tout.htm|titre=Humains après tout|site=nonfiction.fr|en ligne le=27 juin 2008|consulté le=25 mars 2012}}.</ref>.

Devant la fraîcheur et l'originalité que possèdent alors ces artistes provenant quasi exclusivement de France, la presse anglo-saxonne a l'idée de nommer tout simplement ce son ''French touch''. Beaucoup d'artistes français seront dès lors étiquetés French touch, comme en témoigne la diversité des productions de l'époque<ref>{{lien web|auteur=Olivier Marteau|url=http://www.francomix.com/article-L_electro_francophone_1995_2004-119.html|titre=L'électro francophone 1995-2004|site=Francomix|date=18 février 2005|consulté le=25 mars 2012}}.</ref>.

Dans la foulée, d'autres artistes participent à ce phénomène : [[Étienne de Crécy]], avec sa compilation ''[[Super Discount]]'', [[Cassius (groupe)|Cassius]], [[Alex Gopher]], [[Demon (musicien)|Demon]], [[Grand Popo Football Club]]<ref>{{lien web|url=http://www.lesinrocks.com/2000/08/29/musique/grand-popo-football-club-science-pop-11219534/|site=Les Inrocks|titre=Grand Popo Football Club-Science Pop|date=29 août 2000|consulté le=25 mars 2012}}.</ref>, [[Air (groupe)|Air]] ou encore Dimitri from Paris qui a déjà une carrière de « remixeur » dans les années 1980{{sfn|Richard|2013|p=184 à 185|id=R13}} ; ce dernier vend un demi-million d'exemplaires de ''[[Sacrebleu]]'' : cet album {{Cita|faisait partie de la french touch, avec ce son unique, ce côté français qui était une blague pour moi mais qui plaisait aux étrangers. Cette synergie a créé la demande, c'était nouveau}}, précise-t-il{{sfn|Richard|2013|p=186|id=R13}}. Certaines soirées, dont celles des Folie's Pigalle, du [[Le Palace (Paris)|Palace]] programmées par David Guetta et [[Pedro Winter]] ou encore les soirées « Respect » au [[Queen (boîte de nuit)|Queen]], deviennent les hauts lieux de la French touch, voyant passer tout ce que la scène française compte de DJ aux styles musicaux variés{{sfn|Richard|2013|p=186 à 187|id=R13}}. En parallèle, de nombreux DJ français comme [[DJ Cam]], [[DJ Deep]] ou [[Jerome Pacman|Jérôme Pacman]], ne participant pas à ce mouvement à cause de leur style [[Jungle (musique)|jungle]], rap ou [[deep house]] par exemple, profitent de l'engouement de la french touch pour se produire abondamment à l'étranger{{sfn|Richard|2013|p=189 à 190|id=R13}}. Pour le duo [[Justice (groupe)|Justice]], {{Citation|la French touch n'est pas une famille musicale. En réalité, ce nom désigne les groupes français qui s'exportent à l'étranger<ref>{{Article |auteur1=Fabrice Pliskin |titre=Justice en Amérique |périodique=L'Obs|numéro= 2813|date=4 octobre 2018 |pages=110 à 111 |issn=0029-4713|consulté le=17 novembre 2018 }}.</ref>.}}

L'année 1998 est marquée par le titre ''{{lang|en|[[Music Sounds Better With You]]}}'' de [[Stardust (groupe)|Stardust]], morceau produit par [[Thomas Bangalter]], [[Benjamin Diamond]] et [[Alan Braxe]], devenu emblématique de ce mouvement, et qui se vendra à plus de deux millions d'exemplaires dans le monde dès les premiers mois. La French touch entraîne une professionnalisation ainsi qu'une mutation de la scène musicale : alors qu'auparavant DJ et producteurs étaient deux rôles séparés, leurs activités se confondent et plusieurs artistes de l'époque ne sont disc-jockeys qu'accessoirement{{sfn|Richard|2013|p=191|id=R13}}{{,}}{{Note|D'Julz explique qu'{{Cita|avec la french touch, nous nous sommes rendu compte qu'il fallait sortir des disques pour passer un cap de reconnaissance. Ce fut un déclic pour les DJ de l'époque. Il fallait apprendre un autre métier, on ne pouvait plus être que DJ{{sfn|Richard|2013|p=233|id=R13}}.}}|group=n}}.

L'{{Cita|inondation de la French touch dans le monde entier}} la pousse vers sa propre fin et, en 1999, le rythme ralentit, nombre d'artistes changent de voie{{sfn|Richard|2013|p=191 à 192|id=R13}}. Dès l'année suivante, la mention « French touch » passe pour ringarde et il devient indispensable pour les artistes français de s'en démarquer{{sfn|Richard|2013|p=234|id=R13}}.


== Notes ==
== Notes ==
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== Article connexe ==
== Article connexe ==
* à table
* ''[[Eden (film, 2014)|Eden]]''


== Bibliographie ==
== Bibliographie ==
* ya maman dehors
* {{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Stéphane |nom1=Jourdain |titre=French touch, 1995-2015 |sous-titre=une épopée électro |éditeur=Éditions Le Castor Astral |collection=Castor Music |lieu=Bègles |année=2015 |pages totales=250 |isbn=979-10-278-0041-4}}
* {{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Stéphane |nom1=Jourdain |titre=French Touch : des raves aux supermarchés, l'histoire d'une épopée électro |éditeur=Éditions Le Castor Astral |collection=Castor Music |lieu=Bordeaux |année=2005 |pages totales=189 |isbn=2-85920-609-4}}
* {{Ouvrage |langue=fr |prénom1=Morgan |nom1=Jouvenet |titre=Rap, techno, électro… Le musicien entre travail artistique et critique sociale |éditeur=Éditions MSH |lieu=Paris |année=2006 |pages totales=290 |isbn=2-7351-1137-7 |lire en ligne=https://books.google.fr/books?id=74jpQCufIi4C}}
* {{Ouvrage |langue=fr |auteur1=Raphaël Richard |titre=DJ made in France |éditeur=[[Éditions du Camion blanc|Camion Blanc]] |lieu=Rosières-en-Haye |année=2013 |mois=8 |pages totales=329 |passage=178 et sv. |isbn=978-2-35779-340-8 |id=R13 |plume=oui}}


{{Palette|Musique house}}
{{Palette|Musique house}}

Version du 16 novembre 2021 à 18:37

French touch
Origines stylistiques House, electro, techno, funk, disco, eurodisco, deep house
Origines culturelles Début des années 1990 ; France
Instruments typiques Clavier, synthétiseur, boîte à rythmes, séquenceur, échantillonneur
Popularité Reconnaissance mondiale [1]
Scènes régionales France

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Histoire

Origine du nom

il fait beau

Années 1768

Carton d'invitation à la première soirée French touch au Palace, à Paris, en 1987.

les oiseaux chantent

Années 1990

les roses fleurissent

Notes

Références

  1. « La French Touch est morte, vive la French Touch ! », sur Libération, (consulté le ).

Article connexe

  • à table

Bibliographie

  • ya maman dehors