« XVe siècle » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Mandeville (discuter | contributions)
Aucun résumé des modifications
Mandeville (discuter | contributions)
Aucun résumé des modifications
Ligne 60 : Ligne 60 :


==== Afrique centrale ====
==== Afrique centrale ====
* '''{{s2|XIV|e|XV|e}}''' : organisation d'états centralisés en Afrique centrale<ref>{{Article|auteur=Habi Buganza Mulinda|titre= « Aux origines du royaume de Ngoyo »|volume=|numéro=41 |périodique=Civilisations |lieu= |année=1993|passage=165-187|présentation en ligne=https://journals.openedition.org/civilisations/1702}}</ref>. Selon une tradition orale, une femme nommée Ngounou aurait eu quatre fils : [[Royaume du Kongo|Kongo]], [[Vili (peuple)|Vili]] ([[Royaume de Loango|Loango]]), Woyo ([[Ngoyo]]) et [[Royaume Tio|Tyo]] (Ingobella). Ils auraient fondé des royaumes sur la rive droite du [[Congo (fleuve)|Congo]]. Le [[Royaume de Loango|Loango]], limité au nord par la forêt équatoriale et à l’ouest par l’[[Océan Atlantique|Atlantique]], est constitué par une confédération de tribus et contrôle au début du {{s-|XV}} les États voisins de [[Royaume de Cacongo|Kakongo]] et [[Ngoyo]]. À l’arrivée des Portugais en [[1482]], son autorité n’est plus reconnue par la plupart des tribus vassales et quelques années plus tard, le Loango est tributaire du [[Royaume de Kongo|Kongo]]. L’Ingobella, [[Royaume Tio|royaume des Tyo]] (appelés encore [[Teke (peuple)|Téké]] ou Anzike), est limité à l’est et au sud par le fleuve Congo, à l’ouest par le Loango et au nord par la forêt. Son peuple, qui joue vraisemblablement un rôle important dans la traite, porte des coups sévères au [[royaume de Kongo|royaume du Congo]] au {{s-|XVI}}<ref>{{Ouvrage |auteur=Robert Cornevin|titre= Histoire de L'Afrique - Du tournant du XVIe au tournant du XXe, avec la collaboration de M. Cornevin|volume=2|éditeur= Payot|lieu= |année=1966|isbn =9782228114707|présentation en ligne={{Google Livres|oT4BAAAAMAAJ|page=57|surligne=Ngounou }}}}</ref>.
* '''1394-1418''' : règne de Nshare, fondateur du [[royaume bamoun]]. Fils d'un chef [[Tikar (peuple)|tikar]] de Rifoum, il traverse le [[Mbam]] avec ses frères Mfonso et Mfonban (''Morunta'') pour installer sa suprématie sur les plateaux de l’ouest [[cameroun]]ais<ref>{{Ouvrage |auteur=Alexandra Loumpet-Galitzine|titre=Njoya et le royaume bamoun : les archives de la Société des missions évangéliques de Paris, 1917-1937|éditeur= Karthala|lieu= |année=2006|isbn =9782845867864|présentation en ligne={{Google Livres|Yvc7IThvoVoC|page=101}}}}</ref> ({{s-|XIV}} selon la tradition, fin {{s-|XVI}} ou début {{s mini-|XVII}} selon certains historiens). Sa fille Mgouopou lui succède à sa mort de 1418 à 1461<ref>{{Ouvrage |auteur=|titre=Les grandes pionnières du Cameroun|éditeur= Editions Cognito|lieu= |année=|isbn =9789956412082|présentation en ligne={{Google Livres|UXrv3a_NqicC|page=17}}}}</ref>. Dix-huit souverains de sa dynastie se succèdent jusqu’au {{s-|XIX}}, dont Mbuembue et [[Ibrahim Njoya|Njoya]].
* '''1394-1418''' : règne de Nshare, fondateur du [[royaume bamoun]]. Fils d'un chef [[Tikar (peuple)|tikar]] de Rifoum, il traverse le [[Mbam]] avec ses frères Mfonso et Mfonban (''Morunta'') pour installer sa suprématie sur les plateaux de l’ouest [[cameroun]]ais<ref>{{Ouvrage |auteur=Alexandra Loumpet-Galitzine|titre=Njoya et le royaume bamoun : les archives de la Société des missions évangéliques de Paris, 1917-1937|éditeur= Karthala|lieu= |année=2006|isbn =9782845867864|présentation en ligne={{Google Livres|Yvc7IThvoVoC|page=101}}}}</ref> ({{s-|XIV}} selon la tradition, fin {{s-|XVI}} ou début {{s mini-|XVII}} selon certains historiens). Sa fille Mgouopou lui succède à sa mort de 1418 à 1461<ref>{{Ouvrage |auteur=|titre=Les grandes pionnières du Cameroun|éditeur= Editions Cognito|lieu= |année=|isbn =9789956412082|présentation en ligne={{Google Livres|UXrv3a_NqicC|page=17}}}}</ref>. Dix-huit souverains de sa dynastie se succèdent jusqu’au {{s-|XIX}}, dont Mbuembue et [[Ibrahim Njoya|Njoya]].


* La tribu [[Songyés|Songye]] s’installe sur le haut-[[Congo (fleuve)|Lualaba]] ([[Congo (fleuve)|fleuve Congo]]) et soumet les autochtones. Cette fusion est à l’origine du peuple et du [[Empire Luba|royaume luba]].
* La tribu [[Songyés|Songye]] s’installe sur le haut-Lualaba ([[Congo (fleuve)|fleuve Congo]]) et soumet les autochtones. Cette fusion est à l’origine du peuple et du [[Empire Luba|royaume luba]] fondé par [[Ilunga Mbidi]], surnommé [[Kalala Ilunga]]<ref>{{Ouvrage |auteur=André Kabanda Kana|titre=L'interminable crise du Congo-Kinshasa - Origines et Conséquences|éditeur= L'Harmattan|lieu= |année=2005|isbn =9782296378407|présentation en ligne={{Google Livres|CphQmHd2CQsC|page=22}}}}</ref>.
* Selon une tradition orale, une femme nommée Ngounou aurait eu quatre fils : Kongo, Vili ([[Royaume de Loango|Loango]]), Woyo ([[Ngoyo]]) et Tyo ([[Ingobella]]). Ils auraient fondé des royaumes sur la rive droite du [[Congo (fleuve)|Congo]].
** Le [[Royaume de Loango|Loango]], limité au nord par la forêt équatoriale et à l’ouest par l’[[Océan Atlantique|Atlantique]], est constitué par une confédération de tribus et contrôle au début du {{s-|XV}} les États voisins de [[Kakongo]] et [[Ngoyo]]. À l’arrivée des Portugais en [[1482]], son autorité n’est plus reconnue par la plupart des tribus vassales et quelques années plus tard, le Loango est tributaire du [[Royaume de Kongo|Kongo]].
** L’[[Ingobella]], royaume des Tyo (appelés encore Téké ou [[Anzike]]), est limité à l’est et au sud par le fleuve Congo, à l’ouest par le Loango et au nord par la forêt. Son peuple, qui joue vraisemblablement un rôle important dans la traite, porte des coups sévères au [[royaume de Kongo|royaume du Congo]] au {{s-|XVI}}.


==== Afrique orientale ====
==== Afrique orientale ====

* Apogée du comptoir arabe de Zanjéba ([[Unguja|Zanzibar]]).
* Apogée du comptoir arabe de Zanjéba ([[Unguja|Zanzibar]]).
* Création des royaumes du [[Darfour]] et du [[Kordofan]] au Soudan oriental à la suite de l’émigration des [[Berbères]].
* Création des royaumes du [[Darfour]] et du [[Kordofan]] au Soudan oriental à la suite de l’émigration des [[Berbères]].

Version du 8 août 2021 à 09:02

Millénaires :

Ier millénaire • IIe millénaire • IIIe millénaire
- Siècles :
XIVe siècleXVe siècleXVIe siècle -

Décennies :

14001410142014301440
14501460147014801490 -

Années :

14011402140314041405
14061407140814091410

14111412141314141415
14161417141814191420

14211422142314241425
14261427142814291430

14311432143314341435
14361437143814391440

14411442144314441445
14461447144814491450

14511452145314541455
14561457145814591460

14611462146314641465
14661467146814691470

14711472147314741475
14761477147814791480

14811482148314841485
14861487148814891490

14911492149314941495
14961497149814991500

Le XVe siècle a débuté le et a pris fin le .

Ce siècle se situe entre le Moyen Âge et la Renaissance.

La population mondiale à la fin de ce siècle est estimée à 460 millions d'habitants, répartie essentiellement entre trois grands foyers ; Chine-Japon-Corée, Inde et Europe de l'Ouest. Cette dernière est encore marquée par la peste noire de 13471352 qui a décimé 25 à 50 % de la population européenne[1].

Événements

Océanie

Amérique

1492 : Christophe Colomb atteint l'Amérique. Début de l'Époque moderne.
  • 1492-1498 : trois premiers voyages de Christophe Colomb[8] ; premiers contacts d'Européens avec les Amérindiens aux Antilles.

Afrique

Afrique occidentale


  • Les Nupe chassent les Yoruba du vieil Oyo (sud-ouest de l’actuel Nigeria) au début du siècle ; ils se réfugient à Kasu, chez les Borgu puis à Igboho, puis réorganisent leur armée basée à Ikoyi, avant de reconquérir leur territoire sur les Nupe au début du XVIe siècle[13]. La civilisation d'Oyo a subi l’influence d’Ife, comme en témoignent les scarifications tracées sur les terres cuites et les bronzes représentant le visage des souverains[14].
  • Fabrication de têtes de bronze selon la technique de la fonte à cire perdue dans le royaume du Benin (Nigeria). Elles représentent des Obas (rois), des courtisans, des chefs de tribus, des chasseurs, des marchands et même des soldats portugais[15].

Afrique centrale

  • XIVe et XVe siècles : organisation d'états centralisés en Afrique centrale[17]. Selon une tradition orale, une femme nommée Ngounou aurait eu quatre fils : Kongo, Vili (Loango), Woyo (Ngoyo) et Tyo (Ingobella). Ils auraient fondé des royaumes sur la rive droite du Congo. Le Loango, limité au nord par la forêt équatoriale et à l’ouest par l’Atlantique, est constitué par une confédération de tribus et contrôle au début du XVe siècle les États voisins de Kakongo et Ngoyo. À l’arrivée des Portugais en 1482, son autorité n’est plus reconnue par la plupart des tribus vassales et quelques années plus tard, le Loango est tributaire du Kongo. L’Ingobella, royaume des Tyo (appelés encore Téké ou Anzike), est limité à l’est et au sud par le fleuve Congo, à l’ouest par le Loango et au nord par la forêt. Son peuple, qui joue vraisemblablement un rôle important dans la traite, porte des coups sévères au royaume du Congo au XVIe siècle[18].
  • 1394-1418 : règne de Nshare, fondateur du royaume bamoun. Fils d'un chef tikar de Rifoum, il traverse le Mbam avec ses frères Mfonso et Mfonban (Morunta) pour installer sa suprématie sur les plateaux de l’ouest camerounais[19] (XIVe siècle selon la tradition, fin XVIe siècle ou début XVIIe selon certains historiens). Sa fille Mgouopou lui succède à sa mort de 1418 à 1461[20]. Dix-huit souverains de sa dynastie se succèdent jusqu’au XIXe siècle, dont Mbuembue et Njoya.

Afrique orientale

  • Apogée du comptoir arabe de Zanjéba (Zanzibar).
  • Création des royaumes du Darfour et du Kordofan au Soudan oriental à la suite de l’émigration des Berbères.
    • Jusqu'au XVe siècle, une dynastie dadjo règne sur le Darfour, héritière du royaume de Méroé, puis elle est remplacée par une dynastie toundjour.
    • À l’est, le Kordofan est aussi occupé par les Toundjour, mais son rôle est très effacé. Les Toundjour ne peuvent pas résister à l’offensive de l’Islam et sont soumis par des Nouba musulmans.
    • Le Ouadaï (Tchad) est soumis à la dynastie animiste Toundjour venue du Darfour.
  • Des nilotes pénètrent à l’est du lac Albert et donnent la dynastie Bito au royaume de Kitouara.
  • Le Bounyoro, fondé au XIVe siècle par la dynastie des Bito, recouvre à son apogée selon la tradition l’ensemble de la zone interlacustre, débordant même sur l’Éthiopie, les pays kenyans, le Tanganyika et le Rwanda (XIVe – XVIe siècles).
  • Relations entre Éthiopiens et Jérusalem qui permettent au christianisme éthiopien de prendre contact avec l’Occident (concile de Florence, 1438-1445).
    • À la fin du XIVe et au début du XVe siècle, les moines éthiopiens essaiment sur la route qui, par la Nubie, va jusqu’au Caire et aux Lieux Saints. On trouve leurs traces à Dongola, sans doute fréquentent-ils les églises de Nubie. On les trouve aux grands couvents de Sohag, et ils ont une communauté au couvent égyptien d’El-Moharrak. Ils entretiennent des prieurés au Caire, dans le quartier chrétien de Harat-Zoueïlah et aux couvents du Ouadi Natroun (peinture). Ils ont une maison au monastère de Saint-Antoine, dans le désert de Qolzoum. Ils sont à Jérusalem, jusqu’à Chypre, en Arménie et même à Rome.

Afrique australe

  • Des peuples du groupe bantou occidental, venus du Nord, s’établissent à l’ouest du Drakensberg, entre les fleuves Limpopo et Orange (Sotho, Tchouna).
  • Vers 1450 : l’État de Monomotapa, entre le Zambèze et le Limpopo, les régions aurifères de l’actuel Zimbabwe, connaît une période florissante grâce au commerce avec les Arabes de Sofala. Il échange de l’or contre des produits de Perse, d’Inde, de Malaisie ou de Chine.

Asie

  • La dynastie Ming, qui fait de Pékin sa capitale, s'ouvre au monde avec les expéditions de l'amiral Zheng He avant de se refermer sur elle-même à la suite de rivalités de pouvoir à la cour impériale.
  • Les Phagmodrupas prennent le pouvoir au Tibet pendant une brève période au XVe siècle, tandis que le bouddhisme tibétain bénéficie d’un nouvel essor grâce aux mesures énergiques du moine réformateur Tsong-kha-pa (1357-1419), qui fonde l’ordre religieux des Dge-lugs-pa, plus connu sous le nom de l'école des bonnets jaunes.
  • L’islam prend pied au début du siècle dans l’ouest de Java, dans la région de Bantam et à l’est, dans la région de Surabaya. L’organisation sociale et politique des principautés locales demeure intacte, mais l’Islam fait disparaître le système des castes au profit de la conception de l’égalité des hommes devant Dieu. L’hindouisme recule et finit par trouver refuge à Bali.
  • Dès 1400, l’islam a atteint Kalimantan, puis les îles Sulu au Sud des Philippines et les Moluques à la fin du siècle.
  • En s'emparant de l'archipel de Socotra (1506), de Goa (1510), de Malacca (1511) et d'Ormuz (1515), quatre grandes places du commerce transocéanique, Afonso de Albuquerque fait de l'État portugais un empire maritime commerçant avec le Siam, la Chine et les Moluques.
  • Début XVe siècle : fin de la civilisation d'Angkor.


Europe

Maison en Cuenca (Espagne) - XVe siècle.

Dans l’imaginaire occidental comme en Europe, la Renaissance et l'Italie sont étroitement liées. Au XVe siècle, le Quattrocento est resté comme un temps marqué par l’avènement de l'idéal antique (science grecque, droit romain), de foisonnement de réalisations architecturales et d'inventions (Léonard de Vinci), mais aussi un essor du commerce, de guerres (guerre de Cent Ans, guerres d'Italie), d'expansions et de ruptures (prise de Constantinople puis de l' Inquisition espagnole), de nouvelles questions (avec le développement de l'humanisme chrétien) ainsi que des bouleversements religieux . Le XVe siècle marque une nouvelle connaissance du monde, surtout avec la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb.

Des guerres et des ruptures

Sacre de Charles VII à Reims. Enluminure du manuscrit de Martial d'Auvergne, Les Vigiles de Charles VII, BnF, département des manuscrits, Ms. Français 5054, fo 63 vo, vers 1484.

La guerre de Cent Ans, conflit opposant la France et l'Angleterre tout le long du siècle, a retardé l'essor de la Renaissance en France jusque vers la fin du conflit par la prise de Nancy (1477). Cette guerre occupe au XVe siècle une place importante dans l'imaginaire collectif français (sacre de Charles VII, Épopée de Jeanne d'Arc, le courage de Du Guesclin, la folie de Charles VI...) et européen (archétype de la guerre absurde et interminable) tant par l'hostilité que la longévité de la guerre.

La Prise de Constantinople par les Ottomans marque la chute de l'Empire byzantin (1453). Avec la prise de Grenade et la fin de la Reconquista espagnole en 1492, les confrontations face aux franges du monde arabo-musulman ont affirmé une identité européenne. L’islam disparaît d’Europe occidentale après la chute de Grenade. Des conflits entre les Européens et les Turcs, par exemple les Guerres Moldavo-ottomanes commencent. Si l’unité politique de l’Europe chrétienne face aux Ottomans et musulmans ne s'est pas concrétisée, les États chrétiens ont rêvé néanmoins d’une Europe unie sous le christianisme.

Personnages significatifs

Personnalités politiques

Modèle:Message galerie

Voir : Philosophes et humanistes du XVe siècle.

Imprimeurs, éditeurs et libraires

Événement majeur de l'histoire occidentale du XVe siècle sur le plan technologique, économique et intellectuel, l'imprimerie permet de diffuser des textes, des images, des idées ou des cartes géographiques d'une façon inconnue jusque-là.

Explorateurs

Religieux

Militaires

Notes et références

  1. Eric R. Weiss-Altaner, Principes de démographie politique : population, urbanisation et développement, ERE S.A., , p. 93
  2. Henry Gaudru, Gilles Chazot, La belle histoire des volcans, De Boeck Superieur, (ISBN 9782807317925, présentation en ligne)
  3. Louise Spilsbury, The Mississippian Culture : The Mound Builders, Gareth Stevens Publishing LLLP, , 48 p. (ISBN 978-1-5382-2567-7, présentation en ligne)
  4. Daniel Lévine, Amérique : continent imprévu-La rencontre de deux mondes, Bordas (ISBN 9782047603598, présentation en ligne)
  5. a b et c Bartolomé Bennassar, Jean Jacquart, Le XVIe siècle, Armand Colin, (ISBN 9782200283681, présentation en ligne)
  6. Les grandes civilisations disparues, Éditions Asap (ISBN 9782359325874, présentation en ligne)
  7. Gyles Iannone, The Great Maya Droughts in Cultural Context : Case Studies in Resilience and Vulnerability, University Press of Colorado, (ISBN 9781607322801, présentation en ligne)
  8. a et b Baptist Cornabas, Parlons géopolitique !, Larousse, (ISBN 9782035979636, présentation en ligne)
  9. Stéphane Coviaux, Romain Telliez, Le Moyen Âge en Occident : Ve-XVe siècle, Armand Colin, (ISBN 9782200625290, présentation en ligne)
  10. a et b Alain Bihr, Le premier âge du capitalisme (1415-1763) - L'expansion européenne, vol. 1 (ISBN 9782849507018, présentation en ligne)
  11. Gérard Pescheux, Le royaume asante (Ghana): parenté, pouvoir, histoire, XVIIe-XXe siècles, Karthala, (ISBN 9782845864221, présentation en ligne)
  12. Bernard Lugan, Atlas historique de l'Afrique: Des origines à nos jours, Éditions du Rocher, (ISBN 9782268101149, présentation en ligne)
  13. Bethwell A. Ogot, Histoire générale de l'Afrique. L'Afrique du XVIe au XVIIIe siècle, vol. 5, UNESCO, (ISBN 9789232017116, présentation en ligne)
  14. Sarolta Anna Takacs, Eric H. Cline, The Ancient World, Routledge, (ISBN 9781317458395, présentation en ligne)
  15. Jean-Jacques Breton, Les arts premiers: « Que sais-je ? » n° 3817, Presses universitaires de France, (ISBN 9782130816805, présentation en ligne)
  16. Hubert Deschamps, L'Afrique noire précoloniale, Presses universitaires de France (ISBN 9782705902766, présentation en ligne)
  17. Habi Buganza Mulinda, « « Aux origines du royaume de Ngoyo » », Civilisations, no 41,‎ , p. 165-187 (présentation en ligne)
  18. Robert Cornevin, Histoire de L'Afrique - Du tournant du XVIe au tournant du XXe, avec la collaboration de M. Cornevin, vol. 2, Payot, (ISBN 9782228114707, présentation en ligne)
  19. Alexandra Loumpet-Galitzine, Njoya et le royaume bamoun : les archives de la Société des missions évangéliques de Paris, 1917-1937, Karthala, (ISBN 9782845867864, présentation en ligne)
  20. Les grandes pionnières du Cameroun, Editions Cognito (ISBN 9789956412082, présentation en ligne)
  21. André Kabanda Kana, L'interminable crise du Congo-Kinshasa - Origines et Conséquences, L'Harmattan, (ISBN 9782296378407, présentation en ligne)
  22. Pierre Amiet, Jeannine Auboyer, René Grousset, Histoire de l'Asie, Presses universitaires de France (ISBN 9782130775928, présentation en ligne)

Bibliographie

Articles connexes