« Niels Ackermann » : différence entre les versions

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Contenu supprimé Contenu ajouté
Candoletto (discuter | contributions)
Stolengem (discuter | contributions)
mAucun résumé des modifications
Ligne 2 : Ligne 2 :
{{ébauche|photographie|Suisse}}
{{ébauche|photographie|Suisse}}
{{infobox biographie2|charte=photographe}}
{{infobox biographie2|charte=photographe}}
'''Niels Ackermann''' est un [[Photojournalisme|reporter-photographe]] [[Photographie documentaire|documentaire]] [[Suisse romande|suisse]] né le 6 avril 1987.
'''Niels Ackermann''' est un [[Photojournalisme|reporter-photographe]] [[Photographie documentaire|documentaire]] [[Suisse romande|suisse]]né le {{date de naissance|6 avril 1987}}.


Il est lauréat du [[Photographe Swiss Press de l'année|Swiss Press Photo, photographe suisse de l’année]] et du [[Rémi Ochlik|Prix Rémi Ochlik de la Ville de Perpignan]].
Il est lauréat du [[Photographe Swiss Press de l'année|Swiss Press Photo, photographe suisse de l’année]] et du [[Rémi Ochlik|Prix Rémi Ochlik de la Ville de Perpignan]].

Version du 14 février 2021 à 20:23

Niels Ackermann
Niels Ackermann photographié par son épouse, Anna Ackermann, à Kyiv, Ukraine, le 5 mars 2016.
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (37 ans)
GenèveVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activité
Autres informations
Site web
Distinction

Niels Ackermann est un reporter-photographe documentaire suissené le .

Il est lauréat du Swiss Press Photo, photographe suisse de l’année et du Prix Rémi Ochlik de la Ville de Perpignan.

Biographie

Diplômé en sciences politiques[1], Niels Ackermann travaille comme photojournaliste pour la presse suisse et internationale depuis 2007. À partir de 2010, il vit à Kiev en Ukraine pendant quatre ans. Au cours de son séjour, il effectue un reportage au long cours sur la ville nouvelle de Slavoutytch, construite pour les travailleurs chargé de réhabiliter le site de Tchernobyl[1], puis il « fait le tour du pays pour photographier les restes de statues de Lénine déboulonnées au fil des révoltes[2].» Il accompagne la Présidente de la Confédération suisse Simonetta Sommaruga lors du premier voyage d'un président suisse en Ukraine du 20 au 23 juillet 2020[3].

Niels Ackermann vit à Genève. Il est l’un des membres fondateurs de l’agence photographique Lundi13 en 2015[4].

Ses reportages ont obtenu de nombreuses récompenses dont le Swiss Press Photo Award du photographe suisse de l’année et le prix Rémi Ochlik de la ville de Perpignan au festival Visa pour l’Image.

Il a exposé dans les principaux festivals de photographie et lors d’expositions individuelles dans le monde. Ses reportages sont publiés dans Le Temps, Le Monde, la Neue Zürcher Zeitung, The New York Times, Libération

Publications

Expositions

Liste non exhaustive

Collections

Récompenses

Liste non exhaustive

  • 2010 : Swiss Press Award, 2e place catégorie News.
  • 2013 : Prix Globetrotter World Photo.
  • 2015 : Désigné par L’Hebdo comme un des « 100 personnalités qui font la Suisse romande »[1].
  • 2015 : Premier prix BAT Prix Photo 2015 & Prix du public[8].
  • 2015 : Prix Focale Ville de Nyon[8]
  • 2016 : Swiss Press Photo catégorie étranger[8].
  • 2016 : Swiss Press Photo, Photographe suisse de l'année [8].
  • 2016 : Prix Rémi Ochlik Ville de Perpignan pour L’Ange blanc. Les enfants de Tchernobyl sont devenus grands[5].
  • 2017 : PDN Award, catégorie reportage (Looking for Lenin).
  • 2018 : Swiss Press Photo, premier prix, catégorie Histoires Suisses (Opération Valmy).
  • 2018 : Swiss Press Photo, 3e place, catégorie Etranger (Art. 51).

Notes et références

  1. a b et c Luc Debraine, « Le témoin engagé, Niels Ackermann, photographe de l’agence Rezo, Genève, 28 ans », sur L’Hebdo, , p. 72
  2. a et b Veronika Dorman, « Niels Ackermann : « Chaque Ukrainien a quelque chose à dire sur Lénine » », sur Libération,
  3. « Visite présidentielle en Ukraine », sur uvek.admin.ch, (consulté le )
  4. Irène Languin, « Comment chasser l’image à l’ère pandémique », sur La Tribune de Genève,
  5. a et b Armelle Canitrot, « À Slavoutytch, les jeunes au jour le jour », sur La Croix,
  6. Boris Senff, « Entre Lénine et Niels Ackermann, l'histoire d’un succès d’images », sur 24 Heures,
  7. Sylvie Bonier, « Niels Ackermann expose au grand jour l’intimité de l’OSR », sur Le Temps,
  8. a b c et d Caroline Stevan, « Un Swiss Photo Award pour Niels Ackermann », sur Le Temps,

Liens externes