« Inigo, portrait » : différence entre les versions
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Inigo est le portrait en cinq chapitres, de cet homme exceptionnel, à la fois soldat et religieux, empreint de conceptions médiévales et projetant l'église dans la [[renaissance]] par la Réforme [[Concile de Trente|Tridentine]], fervent mystique et fondateur de la Compagnie de Jésus. On s'étonne des souffrances endurées par cet ancien homme de guerre, qui ont éprouvé sa volonté. |
Inigo est le portrait en cinq chapitres, de cet homme exceptionnel, à la fois soldat et religieux, empreint de conceptions médiévales et projetant l'église dans la [[renaissance]] par la Réforme [[Concile de Trente|Tridentine]], fervent mystique et fondateur de la Compagnie de Jésus. On s'étonne des souffrances endurées par cet ancien homme de guerre, qui ont éprouvé sa volonté. |
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Le sixième chapitre, paradoxalement intitulé ''J'ai longtemps détesté Ignace de Loyola...'', permet à François Sureau de marquer ses distances, avec ce personnage fascinant, comme lui homme de guerre, comme lui imprégné de spiritualité, comme lui attaché à l'enseignement et défenseur des institutions. L'auteur y livre des clés, en faisant référence à [[Rimbaud]] et [[Roland Barthes]]<ref>{{Lien web|langue=Français|auteur1=Élisabeth Bart|titre=''Inigo ou la liberté absolue'', de François Sureau|périodique=Stalker|date=20/12/2010|issn=2425-8784|lire en ligne=https://web.archive.org/web/20160422225834/http://www.juanasensio.com/archive/2010/12/11/inigo-francois-sureau-elisabeth-bart.html|pages=}}.</ref> |
Le sixième chapitre, paradoxalement intitulé ''J'ai longtemps détesté Ignace de Loyola...'', permet à François Sureau de marquer ses distances, avec ce personnage fascinant, comme lui homme de guerre, comme lui imprégné de spiritualité, comme lui attaché à l'enseignement et défenseur des institutions. L'auteur y livre des clés, en faisant référence à [[Rimbaud]] et [[Roland Barthes]]<ref>{{Lien web|langue=Français|auteur1=Élisabeth Bart|titre=''Inigo ou la liberté absolue'', de François Sureau|périodique=Stalker|date=20/12/2010|issn=2425-8784|lire en ligne=https://web.archive.org/web/20160422225834/http://www.juanasensio.com/archive/2010/12/11/inigo-francois-sureau-elisabeth-bart.html|pages=}}.</ref>. |
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Le 13 mars 2013, pour la première fois, le jésuite argentin Jorge Mario Bergoglio est choisi comme [[Pape]] à l'issue du deuxième jour de conclave et prend le nom de François. |
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== Éditions == |
== Éditions == |
Version du 16 octobre 2020 à 10:32
Inigo, portrait | |
Auteur | François Sureau |
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Pays | France |
Genre | Roman |
Éditeur | éditions Gallimard |
Collection | Blanche |
Date de parution | |
Nombre de pages | 154 |
ISBN | 978-2-07-013075-7 |
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Inigo, portrait est un roman de François Sureau paru le aux éditions Gallimard.
Résumé
Íñigo est le prénom d'un personnage important du christianisme, Íñigo López de Loyola, connu au pays basque comme Eneko Loiolakoa et en France comme Ignace de Loyola, prêtre et théologien basque-espagnol (1491-1556), fondateur de la Compagnie de Jésus, canonisé par le pape Grégoire XV le 12 mars 1622. Ignace de Loyola est liturgiquement commémoré le 31 juillet.
Inigo est le portrait en cinq chapitres, de cet homme exceptionnel, à la fois soldat et religieux, empreint de conceptions médiévales et projetant l'église dans la renaissance par la Réforme Tridentine, fervent mystique et fondateur de la Compagnie de Jésus. On s'étonne des souffrances endurées par cet ancien homme de guerre, qui ont éprouvé sa volonté.
Le sixième chapitre, paradoxalement intitulé J'ai longtemps détesté Ignace de Loyola..., permet à François Sureau de marquer ses distances, avec ce personnage fascinant, comme lui homme de guerre, comme lui imprégné de spiritualité, comme lui attaché à l'enseignement et défenseur des institutions. L'auteur y livre des clés, en faisant référence à Rimbaud et Roland Barthes[1].
Éditions
- Inigo, portrait, éditions Gallimard, 2010 (ISBN 978-2-07-013075-7).
Notes et références
- Élisabeth Bart, « Inigo ou la liberté absolue, de François Sureau », Stalker, (ISSN 2425-8784).