« Saint-Palais (Pyrénées-Atlantiques) » : différence entre les versions
→Lieux-dits et hameaux : Faute de frappe |
|||
Ligne 50 : | Ligne 50 : | ||
La commune de Saint-Palais est selon l'[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] composée des lieudits suivants : |
La commune de Saint-Palais est selon l'[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] composée des lieudits suivants : |
||
* Berrogain Dupré ; |
* Berrogain Dupré ; |
||
* |
* Gibraltar ; |
||
* Saint-Jayme ; |
* Saint-Jayme ; |
||
* Xobatenea. |
* Xobatenea. |
Version du 10 octobre 2020 à 16:01
Saint-Palais | |||||
L'église Sainte-Marie-Madeleine. | |||||
Héraldique |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Charles Massondo 2020-2026 |
||||
Code postal | 64120 | ||||
Code commune | 64493 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Palaisins | ||||
Population municipale |
2 052 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 276 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 19′ 45″ nord, 1° 01′ 57″ ouest | ||||
Altitude | Min. 52 m Max. 263 m |
||||
Superficie | 7,44 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre (bureau centralisateur) |
||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | saint-palais.fr | ||||
modifier |
Saint-Palais (en basque : Donapaleu[1]) est une commune française située dans le département français des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine. La ville est située au cœur de l'ancien Royaume de Navarre, dont elle est la capitale depuis 1521. Bordée par la Bidouze et la Joyeuse, elle est 60 km de Bayonne, 85 km de Pau et de 40 km de l'Espagne. Cette situation d'enclave « pratique » lui offre une économie locale riche et diversifiée et un panorama remarquable de services publics.
L'itinéraire moderne de la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle passe par cette localité. La première localité du chemin traversée en Navarre, elle est donc parfois considérée comme le début du Camino navarro, voire du Camino francés.
Géographie
Situation
La commune est la capitale du pays de Mixe dans la province basque de Basse-Navarre.
Accès
La sortie 4 de l'autoroute A64 dessert Saint-Palais, point de confluence des routes D 8, D 11, D 302, D 511 D 933 et D 2933.
Des services de cars (autocars Hiruak-Bat, SNCF et Bidegain) relient Saint-Palais à Saint-Jean-Pied-de-Port (et Bayonne), Dax et Orthez.
Hydrographie
Ses terres sont arrosées[2] par la Bidouze, née dans les monts calcaires des Arbailles, et par ses affluents la Joyeuse et le ruisseau d'Eyherachar.
Lieux-dits et hameaux
La commune de Saint-Palais est selon l'IGN composée des lieudits suivants :
- Berrogain Dupré ;
- Gibraltar ;
- Saint-Jayme ;
- Xobatenea.
Communes limitrophes
Toponymie
Mentions anciennes
Le toponyme Saint-Palais apparaît sous les formes Sanctus Pelagius (1160[4]), Sant Peray (1249[4]), Sant Pelay (1264, 1350 et 1413[4]), Sent-Palay (1385[5], notaires de Navarrenx[6]), Sent-Palays (1474[5], titres de Lahonce[7]), Sant-Pelay (1513[5], titres de Pampelune[8]), Donapalaio (1643[4]), S-Palais (1650) et Mont-Bidouze (1793).
Le nom de la ville vient de San Palay en souvenir de Pelayo (saint Pélage de Cordoue), un jeune adolescent martyrisé à Cordoue en 926[4].
Ahetze, ancien fief dépendant du royaume de Navarre est mentionné en 1863 par le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[5].
Jean-Baptiste Orpustan[4] indique qu'Ahetze provient d'aiz, 'pierre' et par extension 'hauteur rocheuse'.
Anguélu, fief vassal du royaume de Navarre, est mentionné sous la forme Angulue (1376[5], montre militaire de Béarn[9]).
Agotéta, hameau de Saint-Palais, provient, selon Paul Raymond, des Agots ou cagots[5].
Histoire
C’est une fondation royale navarraise, une ville neuve ou iriberri, vraisemblablement du début du XIIIe siècle.
Elle est bâtie sur un promontoire rocheux dominant la Bidouze. Sa rue unique, la Rue Royal est alors bordée de remparts et d'un fossé à l'ouest, l'est étant protégé par les contreforts de la Bidouze. Cette rue est l'actuelle Rue du palais de justice. L’expansion de la ville a suivi cette rue unique en direction du nord, le long de la rivière, jusqu'à la limite de la zone inondable (Rue de la Bidouze). Cette expansion était un quartier populaire.
Charles II de Navarre, en 1351, fit bénéficier la ville d'un grand privilège, il l'autorisa à battre monnaie et fit installer un atelier monétaire.
Jean d'Albret la dota en 1472 de foires qui demeurent : marché du vendredi, marché aux agneaux les mercredis d'hiver, foire aux chevaux le lundi de Pâques.
En 1521, défait par contre les Espagnols à la bataille de Noain, Henri II installe la capitale du Royaume de Navarre à Saint-Palais. Il fonde les États généraux de Navarre en 1523 et la chancellerie et les premiers que Louis XIII devait transporter à Pau.
La Maison du roi servait de maison commune ; la sénéchaussée en fit son siège en 1639.
Saint-Palais s'est développée grâce aux pèlerinages. Un édit de Louis XVI en novembre 1784 mit fin aux activités des hospices d'Utziat à Arros, d'Harambelts à Ostabat, et de Saint-Palais, pour former un hôpital à Saint-Palais, «étant la Capitale de notre Royaume de Navarre».
La loi du [10], met un point final aux particularités institutionnelles et aux privilèges locaux.
Elle aboutit à la mise en place du département des Basses-Pyrénées, qui regroupe le Béarn, la Soule, la Basse-Navarre, le Labourd et les terres gasconnes de Bayonne et de Bidache,
Les trois provinces basques furent réorganisées en trois districts: Mauléon, Saint-Palais et Ustaritz
Le Directoire du nouveaux département incita un grand nombre de municipalités à adopter de nouveaux noms conformes à l'esprit de la Révolution. Ainsi Saint-Palais s'appela Mont-Bidouze.
Le district[5] de Saint-Palais comprenait les cantons de Bidache, Came, Garris, Iholdy, Larceveau, Ossès, Saint-Étienne-de-Baïgorry, Saint-Jean-Pied-de-Port, Saint-Martin-d'Arberoue et Saint-Palais.
Le canton de Saint-Palais était alors composé des communes d'Aïcirits, Amendeuix-Oneix, Arbérats-Sillègue, Arbouet-Sussaute, Béhasque-Lapiste, Camou-Mixe-Suhast, Gabat, Ilharre, Larribar-Sorhapuru, Orsanco, Saint-Palais et Uhart-Mixe.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune appartient à huit structures intercommunales[11] :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat AEP du pays de Mixe ;
- le syndicat d'assainissement collectif de Saint-Palais ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal de regroupement pédagogique Ikas Bidea ;
- le syndicat intercommunal pour la gestion du centre Txakurrak ;
- le syndicat intercommunal pour le fonctionnement des écoles d'Amikuze ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Saint-Palais accueille le siège de six groupements :
- la communauté de communes d'Amikuze ;
- le syndicat AEP du pays de Mixe ;
- le syndicat d'assainissement collectif de Saint-Palais ;
- le syndicat de production d’eau d’Auterrive ;
- le syndicat intercommunal de regroupement pédagogique Ikas Bidea ;
- le syndicat mixte Baxe Nafarroa.
Jumelages
Sangüesa (Espagne) depuis 1993[12].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[14].
En 2021, la commune comptait 2 052 habitants[Note 1], en augmentation de 10,92 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
La commune dispose de quatre écoles : l'école maternelle publique, l'école primaire privée Etchecopar, l'école primaire privée Amikuzeko Ikastola et l'école primaire publique[17]. L'école Amikuzeko Ikastola propose un enseignement basque par immersion alors que les trois autres écoles proposent un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[18].
La commune dispose également de deux collèges (collège public Léon-Bérard[19] et collège privé Etchecopar[20]) et d'un lycée d'enseignement agricole privé (lycée Jean-Errecart[21]).
Économie
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Sports
L'Union sportive de Saint-Palais Amikuze engagée en championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale 2017-2018. Reléguée en Honneur la saison suivante l'USSP remonte en Fédérale 3 en 2020-2021
Culture et patrimoine
Fêtes locales
- Mi-juillet : Fêtes de la Madeleine, en blanc et bleu.
- Août : festival de force basque, l'un des plus importants (chaque dimanche qui suit le ).
Patrimoine civil
La Maison noble D'Erdoy-Oyhenart Cette bâtisse face à l'église Saint-Paul est la salle d'Erdoy, ancienne maison noble, dont l'héritière Jeanne épousera l'historien mauléonnais A. Oyhénart en 1627. Plus couramment appelée « La maison des Têtes », pour les 5 bas-reliefs qui ornent sa façade. De gauche à droite les bustes de Henri II, sa fille Jeanne d'Albret et Henri III de Navarre (le futur Henri IV). Les deux autres bustes, une femme et un diable sont postérieurs et ont été placés à la suite de l'agrandissement de la maison.
L'Hôtel de La Monnaie
Lorsque Charles II de Navarre autorise Saint-Palais à battre monnaie, il installe son atelier dans la Maison noble d'Angelu en 1351. À sa création, Saint-Palais comptait environ 300 habitant dont 100 qui travaillaient à la Monnaie (60 faisaient fondre le métal et 40 le frappaient). L'atelier sera démantelé en 1672.
La Maison du Roi
Ancien palais et prison de la sénéchaussée de Navarre de 1639 à 1790. Maison commune des habitants de Saint-Palais jusqu'à 1760.
Siège des Jurats. La noblesse était convoquée au « son de cloche », et délibérait avec les jurats pour régler les affaires communes. Les jurats disposaient de pouvoir de police et de basse justice. En 1606, ils étaient au nombre de quatre, choisis parmi le maîtres de maison, renouvelables par moitié tous les ans. Avec les jurats étaient désignés six prud'hommes, renouvelés tous les ans, qui secondaient la sénéchaussée et les jurats, dans l'administration de la ville. Ces six prud'hommes étaient préférés aux réunions tapageuses et inefficaces des réunions des maîtres de maisons.
En 1700, était désigné un régent qui devait instruire « les enfants de la communauté et les y élever dans la crainte de Dieu ».
- Château d'Ithorrotz, appartenant à la famille d'Abbadie d'Ithorrotz[22].
Patrimoine naturel
Le bois de la ville : ancien lavoir et circuit d'interprétation sur la flore locale situé route d'Iholdy.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Paul[23]
Construite au Moyen Age, elle abrita les premiers États généraux de Navarre en 1523.
Devient un temple de la religion réformée sous Jeanne d’Albret et Henri IV.
En 1524 elle abrite le chancellerie de Navarre qui fait régner la justice dans le royaume jusqu'en 1624.
Le tribunal de justice qui échut à Saint Palais s'y installe en 1790[24].
L'église Sainte-Marie-Madeleine[25]
L'église néo-gothique date de 1866. Elle conserve trois pièces de l'ancienne Saint-Paul un tableau de l'apôtre, une Vierge dorée et un sarcophage. En 1888, Théodore d’Arthez Lassalle offre à la paroisse un orgue de facture Cavaillé-Coll[26]. Classé monument historique en 1980 et restauré en 1986, il est toujours en fonctionnement.
Le monastère des franciscains
Les Franciscains s'installeront à Saint Palais au XIXe siècle. Le monastère a été désacralisé pour être transformé en centre culturel.
Le Pèlerinage de Compostelle
Saint-Palais est située sur la via Podiensis du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle et recèle la chapelle Saint-Nicolas, le hameau d'Harambeltz et son prieuré-hôpital dédiée à saint Nicolas.
Au temps d'Aimery Picaud, le détour était impensable, Saint-Palais n'existant pas. Il n'y avait que Garris, à 3 km à l'ouest, au sommet de la crête (qui pourrait avoir été Carassa, sur la voie romaine Bordeaux - Astorga).
On quitte Saint-Palais par le quartier Sant Jayme (Jacques, à comparer avec Jaume et Jaime en pays d’Oc) et le couvent des franciscains.
Patrimoine environnemental
Le réseau Natura 2000 a classé les berges de la Bidouze[27] et de la Joyeuse en Zone spéciale de conservation (ZSC).
Notamment pour leur faune aquatique, et en particulier pour l'écrevisse à pattes blanches, le saumon atlantique, le Rat-trompette, le Vison d'Europe, le Toxostome, un poisson d'eau douce ainsi que la Trichomanès remarquable, une espèce de fougère.
Centres et équipements culturels
L’Espace Chemins-Bideak, est un centre d'interprétation installé dans l’ancien couvent Franciscain. Il comprend un jardin paysager, un parc, des expositions temporaires et permanentes, une grande fresque en bande-dessinée racontant l'histoire de la Navarre et de la Basse-Navarre, un cloître, et un auditorium. .
Personnalités liées à la commune
née au XVIe siècle
- Arnauld Oihénart, né en 1592 à Mauléon et mort en 1668 à Saint-Palais, est un avocat et juriste poète, linguiste, historien et parémiographe de langue basque.
née au XIXe siècle
- Alexandre Clerget (1856-1931), sculpteur, né à Saint-Palais.
- Louis d'Iriart d'Etchepare, né en 1859 à Pau et décédé en 1945 à Saint-Palais, est un homme politique français.
nées au XXe siècle
- Maurice Celhay, né le à Saint-Palais et décédé en 1980, est un joueur français de rugby à XV, ayant joué au poste de trois-quarts centre ou ailier gauche à l'Aviron bayonnais et en sélection nationale. Sa carrière fut d'une longévité exemplaire, du fait de la Seconde Guerre mondiale. Il possède le plus beau palmarès individuel du club, et fut le capitaine de son équipe lors des phases finales des championnats en 1943 et 1944 ;
- Jean Urruty, né en 1912 à Saint-Palais, champion de France de pelote basque à main nue junior à 17 ans, puis champion de France senior à joko garbi, rebot, main nue et pasaka. Il remporte la coupe Wendel en 1930 ;
- Pierre Hurmic, né en 1955 à Saint-Palais, avocat et homme politique français, maire de Bordeaux ;
- Pascal Idieder, né en 1982 à Saint-Palais, est un joueur de rugby à XV français qui évolue au poste de pilier au sein de l'effectif du CA Brive ;
- Thierry Berhabé, né en 1982 à Saint-Palais, est un joueur de rugby à XV français qui évolue au poste de pilier au sein de l'effectif du Stade aurillacois ;
- Adrien Figueiredo, né en 1984 à Saint-Palais, est un joueur de rugby à XV et à sept français qui évolue au poste d'ailier au sein de l'effectif du Stade rochelais ;
- Simon Ternisien, né en 1987 à Saint-Palais, est un joueur de rugby à XV français qui évolue au poste de centre au sein de l'effectif du Stade montois.
Héraldique
Anciennes armoiries de Saint-Palais.
Blasonnement :
De gueules au rai d'escarboucle pommeté et fermé d'or allumé en cœur de sinople.
Commentaires : Les armes de Saint-Palais avec l'ancien écu du royaume de Navarre surmonté d'une couronne royal.
|
Armoiries modernes de Saint-Palais.
Blasonnement :
De gueules aux chaînes d’or posées en pal, en sautoir et orle, chargées en cœur d’une émeraude au naturel.
Commentaires : Les armes de Saint-Palais avec l'écu moderne du royaume de Navarre surmonté d'une couronne royal.
|
Ecu de la Maison noble d'Angelu, l'Hotel de la Monnaie.
Blasonnement :
De gueules au chef losangé d'or et d'azur à trois tires.
|
Voir aussi
Article connexe
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Site de la mairie
- Site de l'office de tourisme
- Site de l'espace Chemins-Bideak
Notes et références
Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Académie de la langue basque
- Notice du Sandre sur Saint-Palais
- Carte IGN sous Géoportail
- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque, Presses universitaires de Bordeaux 2006 (ISBN 2 86781 396 4)
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne).
- Titres de l'abbaye de Lahonce - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Manuscrit de 1376 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1947, réédition 1975 (ISBN 2 7003 0038 6), page 185
- Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le )
- Annuaire des villes jumelées
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Saint-Palais%20%2864%29}}
- {{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=115&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}
- Site du collège Léon Bérard
- Site du collège Etchecopar
- Site du lycée Jean Errecart
- Canton de Saint-Palais, lasoule-leguide.fr, consulté le 17 janvier 2018.
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Paul
- « Saint-Palais », sur http://www.armorial-communes-basques.com
- Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Sainte-Marie-Madeleine
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur l'orgue de l'église Saint-Paul
- « FR7200789 - La Bidouze (cours d'eau) », sur inpn.mnhn.fr, (consulté le )