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Six SNA de [[classe Rubis]] sont entrés en service dans la [[Marine nationale (France)|Marine nationale]] entre 1983 et 1993. Ils sont basés dans le [[port militaire de Toulon]]. Les SNLE étant basés à celui de [[Brest]], à l'[[Île Longue (Finistère)#La base de sous-marins|île Longue]]<ref>{{lien web|url=http://www.france5.fr/emission/une-vie-ailleurs/diffusion-du-19-01-2014-05h50|site=france5.fr |titre=Une vie ailleurs - Dans un sous-marin|date=31 décembre 2013|consulté le=4 janvier 2014}}.</ref>. Les Rubis sont la seule classe de sous-marins d'attaque actuellement en service depuis le retrait des derniers sous-marins à propulsion classique en 2001. L’escadrille des sous-marins d’attaque (ESNA) dépend de la [[Force océanique stratégique]] qui a assimilé les [[forces sous-marines]] à la fin du {{s-|XX|e}}.
Six SNA de [[classe Rubis]] sont entrés en service dans la [[Marine nationale (France)|Marine nationale]] entre 1983 et 1993. Ils sont basés dans le [[port militaire de Toulon]]. Les SNLE étant basés à celui de [[Brest]], à l'[[Île Longue (Finistère)#La base de sous-marins|île Longue]]<ref>{{lien web|url=http://www.france5.fr/emission/une-vie-ailleurs/diffusion-du-19-01-2014-05h50|site=france5.fr |titre=Une vie ailleurs - Dans un sous-marin|date=31 décembre 2013|consulté le=4 janvier 2014}}.</ref>. Les Rubis sont la seule classe de sous-marins d'attaque actuellement en service depuis le retrait des derniers sous-marins à propulsion classique en 2001. L’escadrille des sous-marins d’attaque (ESNA) dépend de la [[Force océanique stratégique]] qui a assimilé les [[forces sous-marines]] à la fin du {{s-|XX|e}}.


Un programme de remplacement par six SNA du [[Programme Barracuda]] ([[Classe Suffren (sous-marin)|classe Suffren]]) a démarré le {{date-|21 décembre 2006}}. Le premier bâtiment, le [[Suffren (sous-marin)|''Suffren'']] est lancé le {{date-|12 juillet}} en 2019<ref>[https://www.20minutes.fr/societe/2562847-20190712-lancement-sous-marin-suffren-reelle-necessite-strategique-france-apres-chercheur "Lancement du sous-marin «Suffren»...", 20 Minutes, le 12 juillet 2019]</ref>. La commande du {{4e}} SNA est notifiée à la [[DCNS]] en {{date-|juillet 2014}}. En raison des restrictions budgétaires, le dernier SNA de cette classe ne devrait pas être opérationnel avant 2030<ref>{{lien web|url=http://www.meretmarine.com/fr/content/le-quatrieme-sna-du-type-barracuda-commande|site=meretmarine.com |titre=Le quatrième SNA du type barracuda commandé|date=30 septembre 2014|consulté le=}}.</ref>{{,}}<ref>{{lien web|url=https://www.defense.gouv.fr/marine/organisation/les-forces/forces-sous-marines/la-force-oceanique-strategique-de-la-marine-nationale|site=defense.gouv.fr/marine/ |titre=La force océanique stratégique de la marine nationale|date=4 février 2015|consulté le=}}.</ref>.
Un programme de remplacement par six SNA du [[Programme Barracuda]] ([[Classe Suffren (sous-marin)|classe Suffren]]) a démarré le {{date-|21 décembre 2006}}. Le premier bâtiment, le [[Suffren (sous-marin)|''Suffren'']] est lancé le {{date-|12 juillet}} en 2019<ref>[https://www.20minutes.fr/societe/2562847-20190712-lancement-sous-marin-suffren-reelle-necessite-strategique-france-apres-chercheur "Lancement du sous-marin «Suffren»...", 20 Minutes, le 12 juillet 2019]</ref>. D'une longueur de 99 mètres et d'un diamètre de 8,8 mètres, il est armé de missiles de croisière navals, de [[Torpille F21|torpilles lourdes filoguidées F21]], de missiles antinavire [[Exocet (missile)|Exocet]] SM39 modernisé et de capacité de mouillage de mines. Sa propulsion est hybride : un réacteur à eau pressurisée dérivé des chaufferies équipant les SNLE type [[Le Triomphant (S616)|Le Triomphant]] et le [[Charles de Gaulle (porte-avions)|porte-avions Charles de Gaulle]], deux turbines de propulsion, deux turbo alternateurs et deux moteurs électriques. Son immersion est supérieure à 300 mètres. Son équipage est de 65 personnes, plus commandos, et sa disponibilité est supérieure à 270 jours par an<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=CEA |titre=Lancement du sous-marin nucléaire d'attaque Suffren |url=http://www.cea.fr/presse/Documents/DP/2019/Dossier%20de%20presse%20lancement%20du%20Suffren.pdf |site=CEA |date=12 juillet 2019 |consulté le=30 août 2020}}</ref>.

La commande du {{4e}} SNA est notifiée à la [[DCNS]] en {{date-|juillet 2014}}. En raison des restrictions budgétaires, le dernier SNA de cette classe ne devrait pas être opérationnel avant 2030<ref>{{lien web|url=http://www.meretmarine.com/fr/content/le-quatrieme-sna-du-type-barracuda-commande|site=meretmarine.com |titre=Le quatrième SNA du type barracuda commandé|date=30 septembre 2014|consulté le=}}.</ref>{{,}}<ref>{{lien web|url=https://www.defense.gouv.fr/marine/organisation/les-forces/forces-sous-marines/la-force-oceanique-strategique-de-la-marine-nationale|site=defense.gouv.fr/marine/ |titre=La force océanique stratégique de la marine nationale|date=4 février 2015|consulté le=}}.</ref>.


=== Inde ===
=== Inde ===

Version du 30 août 2020 à 21:06

Le 1er SNA de l'Histoire, l'USS Nautilus en 1955.

Les sous-marins nucléaires d'attaque (abrégés en SNA en français et SSN pour « Ship Submersible Nuclear » selon le code OTAN) sont des sous-marins à propulsion nucléaire. Contrairement aux SNLE qui ont pour seule mission la dissuasion nucléaire, les SNA sont destinés à des missions de protection, de renseignement et de projection de puissance.

Le premier de cette classe de navires de guerre fut l'USS Nautilus de l'US Navy qui entra en service en 1955.

Rôles

Construction du premier sous-marin nucléaire d'attaque de classe Astute à Barrow-in-Furness, la première classe de SNA de la Royal Navy du XXIe siècle.

Ces sous-marins sont des chasseurs. Ils ont plusieurs rôles :

  • Lutte anti-sous-marine : détection, pistage et éventuellement destruction de sous-marins adverses (SNA, SNLE ou sous-marins diesel), en mission individuelle (patrouille) ou en protection d'un groupe de combat de surface, notamment d'un groupe aéronaval.
  • Lutte anti-navire : soit en mission de protection d'un groupe de surface, ou en mission offensive : blocus naval, stratégies d'interdiction.
  • Action contre la terre avec l'emploi de missiles de croisière.
  • Renseignement : interception électronique, prises de vues optiques et infra-rouge discrètes.
  • Participation à des actions de forces spéciales avec le débarquement de commandos et de nageurs de combat.
  • Minage en eaux hostiles.

Avantages par rapport au sous-marin classique

Les sous-marins classiques (code OTAN : SS [Sub-Surface] ou SSK - K pour kerosen, propulsion thermique - abréviation retirée de la nomenclature officielle depuis 2007) sont également conçus pour ces missions. Mais la propulsion nucléaire, totalement indépendante de l'atmosphère, apporte aux SNA un avantage déterminant en mobilité tactique et stratégique et en discrétion :

  • Alors que les sous-marins classiques sont contraints de remonter en surface (ou à l'immersion périscopique en utilisant un schnorchel) pour alimenter les moteurs diesel en air (oxygène) et, ainsi recharger leurs batteries électriques, après quelques dizaines d'heures de plongée aux moteurs électriques (quelques jours pour ceux dotés de propulsion AIP), les rendant ainsi détectables et vulnérables, les sous-marins à propulsion nucléaire peuvent rester plusieurs mois en plongée, préservant ainsi leur discrétion.
  • Ils peuvent également soutenir dans la durée des vitesses importantes en plongée qu'un sous-marin classique ne pourrait maintenir plus de quelques dizaines de minutes sans entièrement décharger ses batteries.

Armement

  • Torpilles : il s'agit de torpilles lourdes à long rayon d'action, généralement filoguidées, à autodirecteur acoustique actif ou passif.
  • Missiles aérodynamiques à changement de milieu (c’est-à-dire lançable en plongée) de 2 types :
  • Mines

SNA par pays

Voir article connexe pour opérationnel

Chine

Sous-marin nucléaire de la marine de la république populaire de Chine de type 091 (en).

La marine chinoise a mis en service son premier SNA en août 1974, retiré aux alentours de 2000, celui-ci a été transformé en 2016 en navire-musée[1]. Cinq de ses navires du Type 091 (en) (Code OTAN : Classe Han) ont été lancés entre 1970 et 1990[2]. Basés à Qingdao, ils commencent, dans les années 2000, à être relevés par les navires Type 093 (en) (Classe Chang) dont le premier est entré en service en [3] puis par les Type 095 (en) entré en service vers 2010

États-Unis

L'United States Navy a été la première marine à utiliser la propulsion nucléaire navale. Dans la seconde moitié des années 1980, elle a aligné jusqu'à une centaine de SNA[4]. Avec le retrait en 1990 du dernier exemplaire de sous-marin conventionnel de la classe Barbel, tous ses sous-marins de combat sont à propulsion nucléaire. Avec la disparition de la marine soviétique, elle dispose, de loin, de la plus importante flotte de sous-marins nucléaire d'attaque avec 51 SNA en [5],[6], chiffres en nette baisse depuis la fin de la guerre froide avec un record de 96 SNA en 1987 et le retrait des premières classes de SNA.
Elle dispose à cette date de :

France

Le Casabianca SNA de la Marine nationale.

Six SNA de classe Rubis sont entrés en service dans la Marine nationale entre 1983 et 1993. Ils sont basés dans le port militaire de Toulon. Les SNLE étant basés à celui de Brest, à l'île Longue[7]. Les Rubis sont la seule classe de sous-marins d'attaque actuellement en service depuis le retrait des derniers sous-marins à propulsion classique en 2001. L’escadrille des sous-marins d’attaque (ESNA) dépend de la Force océanique stratégique qui a assimilé les forces sous-marines à la fin du XXe siècle.

Un programme de remplacement par six SNA du Programme Barracuda (classe Suffren) a démarré le . Le premier bâtiment, le Suffren est lancé le en 2019[8]. D'une longueur de 99 mètres et d'un diamètre de 8,8 mètres, il est armé de missiles de croisière navals, de torpilles lourdes filoguidées F21, de missiles antinavire Exocet SM39 modernisé et de capacité de mouillage de mines. Sa propulsion est hybride : un réacteur à eau pressurisée dérivé des chaufferies équipant les SNLE type Le Triomphant et le porte-avions Charles de Gaulle, deux turbines de propulsion, deux turbo alternateurs et deux moteurs électriques. Son immersion est supérieure à 300 mètres. Son équipage est de 65 personnes, plus commandos, et sa disponibilité est supérieure à 270 jours par an[9].

La commande du 4e SNA est notifiée à la DCNS en . En raison des restrictions budgétaires, le dernier SNA de cette classe ne devrait pas être opérationnel avant 2030[10],[11].

Inde

Entre 1988 et 1990, l'Inde a loué à la marine soviétique le sous-marin nucléaire lanceur de missiles de croisière de classe Charlie K-43 sous le nom INS Chakra[12].

Le 26 juillet 2009, la marine indienne a inauguré son premier sous-marin nucléaire fabriqué localement. Le nom du sous-marin connu auparavant sous le nom de code Advanced Technology Vessel est Arihant ce qui signifie « Destructeur d'ennemis ». Bien que dérivé d'un SNA soviétique, il est classé comme SNLE car pouvant emporter de quatre à douze missiles balistiques à charge nucléaire.

Depuis 2012, l'Inde loue pour dix ans, un exemplaire de la classe Akoula, le K-152 Nerpa également sous le nom de INS Chakra pour un montant de 920 millions de dollars[13].

Royaume-Uni

Le premier sous-marin de la classe Valiant, le 2e SNA britannique.

Le premier SNA de la Royal Navy fut le HMS Dreadnought mis sur cale en 1959 et entré en service en 1963. Le Royaume-Uni devient ainsi le troisième pays à mettre en œuvre la propulsion nucléaire.

Lors de la guerre des Malouines, l'un des trois SNA dépêchés sur zone, le HMS Conqueror, a effectué le premier et en fait seul torpillage réalisé par un SNA en envoyant par le fond le croiseur ARA General Belgrano argentin[14].

En 1990, 17 SNA sont en service, mais leur nombre après la fin de la guerre froide décroît rapidement.

En 2009, la Royal Navy dispose de huit SNA. Un de la classe Swiftsure, en service jusqu'en 2010, et sept SNA de la classe Trafalgar, mis en service de 1983 à 1991. Fin 2015, sa flotte comporte sept unités, quatre Trafalgar et trois Astute[15]. À terme tous ces sous-marins devraient être remplacés par sept sous-marins de la classe Astute dont le premier exemplaire a été lancé en 2010.

URSS / Russie

Un Alfa en 1983. Ils furent les sous-marins les plus rapides du monde.

Le complexe militaro-industriel soviétique a construit la plus grande flotte de sous-marins nucléaire de l'Histoire durant la Guerre froide.

Au , la marine soviétique disposait d'un total de 371 sous-marins dont 76 SNA et 49 SSGN[16], les sous-marins nucléaires étant construits sur 4 chantiers navals[17].

La Russie dispose en 2010 d'une flotte de 18 SNA dont seulement huit sont opérationnels.

Elle se compose de huit Akula, deux autres se trouvant en réserve, sept SNA de la classe Victor III (en) et de trois SNA de la Classe Victor[18].

1re génération

Le 1er SNA soviétique K-3 de la classe November est construit par le chantier naval Sevmash de Severodvinsk, lancé le , et déclaré opérationnel le 17 décembre 1958[19].

2e génération

3e génération

4e génération

  • K-278 Komsomolets ou Projet 685 Plavnik. Projet de développement pour la 4e génération

Projets de SNA

Plusieurs nations ont tenté ou tentent d'avoir des sous-marins nucléaires dans leur marine militaire.

Argentine

En , le général Nicolaides, nommé chef d'état-major après la Guerre des Malouines, s'était prononcé pour l'acquisition d'un sous-marin nucléaire à cause du rôle déterminant joué par ce système d'arme dans la défaite argentine. Dans l'opinion, la nécessité de disposer d'un tel bâtiment demeure pour pouvoir conquérir les Malouines. Le , le ministre de la défense argentin, Nilda Garré, annonce un projet d’équipement de bâtiments de la marine avec un système de propulsion nucléaire. On spécule alors que le sous-marin ARA Santa Fe (en) de la classe TR 1700 pourrait être équipé d'un réacteur nucléaire à la fin des années 2010[21]. Début 2019, devant les difficultés budgétaires que subit ce pays, cela semble peu probable.

Brésil

La marine brésilienne a décidé de se lancer dans ce domaine en 1979. En , elle nomme un organisme de coordination générale pour son programme de développement de sous-marin nucléaire[22].

Le plan d'équipement et d'articulation de la marine brésilienne décidé en 2010 prévoit entre autres la construction de 6 SNA d'ici 2047[23].

La conception du premier d'entre eux débute le , il est alors prévu que celle-ci devrait se terminer en 2015, que la construction commence en 2016 à Itaguaí, pour se terminer en 2023, avec les essais à quai puis en mer. Le sous-marin entrera au service actif en 2025[24].

Mais suite à des restrictions budgétaires, il est décidé fin 2015, bien que son premier moteur construit par Jeumont-Schneider ait été livré en [25] que sa construction soit reportée à 2025[26].

Les caractéristiques ont évolué avec le temps pour ce bateau nommé SN Álvaro Alberto (SN-10). À l'origine la marine brésilienne annonce un déplacement de 6 000 t, une longueur de 100 m, un équipage de 100 personnes et une profondeur de 350 m[27], en date de 2016, on indique un déplacement de 2 700 t ce qui en fait l'un des plus petits SNA d'attaque au monde équipé d'une chaudière nucléaire électrogène à eau pressurisée RENAP-50 de 48 mégawatts[28] construit au centre expérimental Aramar de Iperó[29].

Canada

À la fin des années 1980, le gouvernement canadien, désireux de contrôler le Passage du Nord-Ouest avait envisagé d'acquérir 12 sous-marins nucléaires d'attaque français de la classe Rubis, pour la marine canadienne. Une concurrence sérieuse opposa à cette occasion la France et le Royaume-Uni qui voulait vendre ses sous-marins de type Trafalgar, mais la fin de la guerre froide et les difficultés budgétaires conduiront à l'abandon de ce projet[30].

Italie

L'Italie avait envisagé en 1959 de se doter de sous-marins nucléaires d’attaque, mais les États-Unis ne souhaitèrent pas apporter leur aide et le projet fut abandonné. Le premier SNA italien aurait dû s’appeler Guglielmo Marconi. À ce jour, l'Italie n'a aucun sous-marin nucléaire.

Pays-Bas

Le principe de la construction d'un SNA est annoncé en par les Pays-Bas et un premier crédit d'études est dans le budget de la défense de 1965. En , le ministre de la Défense déclare que son gouvernement s'intéresse au projet de construction de la classe Rubis alors à l'étude en France. Les États-Unis auraient refusé toute aide à ce projet[31], qui est resté sans suite.

Notes et références

  1. Henri Kenhmann, « Le 1er SNA chinois Type 09I transformé en musée flottant », sur www.eastpendulum.com, (consulté le ).
  2. (en) Type 091 (Han Class) Nuclear-Powered Attack Submarine, Sinodéfense.
  3. (en) Type 093 (Shang Class) Nuclear-Powered Attack Submarine, Sinodefense.
  4. (en) « U.S. Navy Active Ship Force Levels, 1986-1992 », sur Naval History and Heritage, (consulté le ).
  5. « Ship Battle Forces », sur www.nvr.navy.mil (consulté le ).
  6. (en) « Fleet Size », sur United States Navy, (consulté le ).
  7. « Une vie ailleurs - Dans un sous-marin », sur france5.fr, (consulté le ).
  8. "Lancement du sous-marin «Suffren»...", 20 Minutes, le 12 juillet 2019
  9. CEA, « Lancement du sous-marin nucléaire d'attaque Suffren », sur CEA, (consulté le )
  10. « Le quatrième SNA du type barracuda commandé », sur meretmarine.com, .
  11. « La force océanique stratégique de la marine nationale », sur defense.gouv.fr/marine/, .
  12. (en) G. M. Hiranandani, Transition to Eminence : The Indian Navy 1976–1990, Lancer Publications, (ISBN 9788170622666, lire en ligne).
  13. « La Russie a remis le sous-marin nucléaire d’attaque Nerpa à l’Inde », sur http://www.opex360.com/, OPEX360, (consulté le ).
  14. Le premier torpillage depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale étant celui de la frégate indienne INS Khukri par le sous-marin pakistanais Hangor pendant la guerre indo-pakistanaise de 1971, mais le Hangor n'était pas un sous-marin nucléaire.
  15. (en) « Submarine Service », sur Royal Navy, (consulté le ).
  16. Jean Labayle-Couhat, Flottes de combat 1996, p. 716.
  17. (en) Submarines: general information, Warfare.Ru
  18. (en) Russian Navy: Submarines: SSN, Warfare.Ru
  19. (en) Nuclear fleet celebrates half a century, Po Sevmash, 16 décembre 2008.
  20. http://fr.ria.ru/defense/20131230/200140025.html
  21. Gilles Corlobé, « Un sous-marin nucléaire argentin : rêve ou réalité ? », sur Le portail des sous-marins, (consulté le ).
  22. (fr) La marine brésilienne nomme un coordonnateur pour la construction de son sous-marin nucléaire, 25 septembre 2008.
  23. Centre d'études supérieures de la Marine, « BM 136 - Marinha do Brasil : outil géopolitique et vitrine de l'essor économique », (consulté le ).
  24. (es)« Brasil comienza el desarrollo del submarino nuclear en julio », sur Nuestromar, (consulté le ).
  25. « Équipements des armées, bilan 2015 (1/5) : Afrique et Amérique », Revue Défense Nationale,‎ , p. 2 (lire en ligne).
  26. « Le sous-marin nucléaire brésilien devra attendre 2025 », sur Le portail des sous-marins, (consulté le ).
  27. (pt) « Submarino nuclear », sur Centre technologique de la marine de Sao Paulo (consulté le ).
  28. « Brésil : Report de la mise à l’eau du premier Scorpéne », sur http://www.ttu.fr/, (consulté le ).
  29. (en) « Submarinos Nucleares de Ataque (SNA) », sur http://www.globalsecurity.org/, (consulté le ).
  30. (fr) Canada : Un sous-marin au musée, Mer et Marine, 24 novembre 2005.
  31. Henri Le Masson, Flottes de combat 1972, Paris, Éditions maritimes et d'outre-mer, , 322 p..

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes